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Jack~OF~Blade

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Tout ce qui a été posté par Jack~OF~Blade

  1. Moi je dis que c'est contre nature...mais après tout, techniquement, l'Homosexualité c'est contre nature aussi, et aujourd'ui beaucoup se battent pour que ceux ci soient accépté, et ai les meme droits que les autres (au niveau du mariage par exemple...). Alors certe, c'est un peu malsain, mais non seulement ce sont des adultes, en plus ils sont tout 2 consentant, alors moi je dis, si on tolére les homosexuels, on devrait tolérer aussi les relations telles que celle ci. La liberté, elle est ou la ? Ils on le droit de s'aimer, comme il a été dit je ne sais plus ou dans le topic, on ne choisit pas vraiment qui on aime ! voila, c'est mon humble avi
  2. Bon anniv' bonne année bonne santé bon délire éclate toi bon boulot et pis tous le tralala ce serait trop long a dire aprés...(j'ai oublié les virgules ^^)
  3. "Dieu ne peut être ni bon, ni méchant, ni juste, ni injuste. Il ne peut rien vouloir, ni rien établir, car en réalité il n'est rien, et ne devient le tout que par crédulité religieuse." (Michel Bakounine) :blush: +1 pour isteru egalement Une petite phrase a mediter : Dieu a créer l'homme a son image, puis ils ont évolué... Et Dieu, a t'il évolué ?
  4. ah moi ce serait plutot un ras le c*. oups pardon :blush:
  5. Moi je trouve que grenouille verte, a une vision très perspicace de la question ...
  6. L'avortement : c'est quand meme un pas en avant pour la liberté de la femme (elle peut decider encore + tard si elle veut garder ou pas le gamin ), pis ca permet d'arreter des grossesses qui on 100% de chances de donner un gamin atteint d'une maladie génétique (trisomie 21...), et l'euthanasie...ben pour les animaux, c'est une mort sans souffrance, et dans certain pays, elle est autorisée pour l'Homme, dans certains cas d'éternelle souffrance alors le Pape, il est gentil, mais la, si il pouvait fermer sa grande G* et pis il la voi ou sa loi naturelle ? PS : jsuis totalement d'accord avec Danaos, un peu plus haut....
  7. escuse moi, mais qu'est ce que l'analepse (j'avoue que j'ai oublié ce que c'est ^^) oui je suis d'accord avec toi ch.chouda
  8. Dsl pour le cochon d'inde de ta cousine, toutes mes condoléances ;)

  9. Merci ^^

    PS : "Jack*"

    et joyeux noel très en retard ^^

  10. Jack~OF~Blade

    Comment plaire à un mec ?

    Maisn non :faut jamais dire jamais ! louloute37, t'as pas un site pour le mode vice versa ? :blush:
  11. Ben moi, c'est demain XD

    oui, bonnes fete a toi aussi

  12. Jack~OF~Blade

    Vos prénoms

    Mais comment s'apelle Jack, le mystérieux Jack ? Nicolas... boarf, c'est un peu plus banal quand meme :blush:
  13. Salut coeur bleu oui c'est fatiguant, a croire que ca va finir par me tuer... et sinon c'est quoi cette histoire ci dessus ? Une ame blessée ? non ca je ne l'ignorerai jamais...
  14. D'être amoureux... c'est fatiguant...
  15. et voici la version complete pour linstant : FéLCON TOME 1 : L'envol du Maëlstrom Ben rampait silencieusement dans les hautes herbes, grillées par le soleil estival américain et la canicule. C'était la fin de l'été, l'année scolaire allait bientôt reprendre dans la paisible ville de Leanton, perdue en plein centre du Texas et Ben, un jeune américain de 13 ans profitait de ses derniers jours avec ses meilleurs amis. "Ben !, c'est bon, je t'ai vu !!" -Ce n'est pas possible !! On t'a greffé des yeux de faucon ou quoi ?!, répondit celui ci, accablé par les capacités visuelles de la jeune fille qui l'avait repéré sans peine, il faudra que je pense a demander a tes parents, ajouta t-il en se relevant et en frottant ses habits et ses longs cheveux noirs auxquelles l'herbe sèche s'était accrochée. Il avança vers Namie en marmonnant : "Comment fait-elle ? Non mais c'est vrai quoi !" -Tatatata, rétorqua la jeune adolescente, une professionnelle ne révèle jamais ses secrets...et je te rappelle qu'il reste encore Alex, Ralph et Jeff A peine eut-elle finit sa phrase qu'elle se figea, fixant un fourré sur la droite de ben... et éclata de rire -Rectification, il ne reste que Alex et Ralph, Jeff sort de ton fourré ! Une petite silhouette, surmontée d'une tête ornée de longs cheveux blonds bouclés fit son apparition au milieu des maïs (quelques peu grillés entre nous), comme venue de nulle part. Il se dirigea a contre c¿ur vers eux, en trainants des pieds et en râlant : -Il ferait un bon politicien, chuchota Ben a l'oreille de Namie qui ne put s'empêcher de pouffer a sa remarque...pertinente. -Qu'est ce qu'il y a de drôle?, marmonna Jeff que l'on sentait de très mauvaise humeur, allez y dites le moi en face !! Jeff était d'un naturel un peu (beaucoup) grognon et s'énervait principalement pour un rien. A cause de sa petite taille et de son tempérament agressif, d'aucun le comparait a un chat sauvage...avec les griffes sorties en permanence. Pour éviter toutes disputes, Ben lui expliqua calmement : "j'expliquai a Namie que tu ferai un très bon président..." -Mouais...ça ira pour cette fois, répondit Jeff en faisant une grimace, mais la prochaine... -Eho les 2 commères, ça vous diraient d'arrêter de raconter votre vie et de m'aider a trouver Alex et Ralph parce que les connaissant on aura finit la partie a la rentrée !! En effet, Alex et Ralph, faux jumeaux de 14 ans, avaient la patience dans la peau. Fan de jeux vidéo depuis toujours, ils étaient capables de rester des heures comme des buses devant une télé (écran plat évidemment) pour passer un seul niveau ! de quoi s'inquiéter quand on joue a cache-cache avec eux dans un champs de plusieurs terrains de foots de longueurs. En pensant a cette possibilité, Jeff proposa en ricanant : "On a qu'a les laisser la !" Ben et Namie lui jetèrent deux regards désapprobateurs jusqu'a la pupille. Puis Ben se détendit et ricana a son tour : - il n'a pas tort ... -Ben !, s'écria la jeune fille scandalisée tu n'es pas sérieux ?! -On rigolai, précisa Jeff, pas besoin de tirer une tête pareille ! Ils éclatèrent tous de rire (encore ! décidemment)...Alex et Ralph aussi d'ailleurs qui se firent aussitôt repérés derrières les 3 autres adolescents. -Ils voulaient nous prendrent a revers, fit remarquer Ben -Oh quel sens de l'observation, rétorqua Namie, vexée de ne pas l'avoir dit la première -Oh ca va vous 2, s'emporta Jeff, on dirait un couple en ménage.... "Hum, Hum" Les trois camarades se retournèrent d'un seul homme : « Quoi ??! » -Cool, Relax, firent Ralph et Alex tout en frottant et époussetant leurs vêtements, c'est les vacances quand même !!! » -Ca pour être cool, vous êtes cool, fit remarquer Jeff, d'habitude il nous faut plusieurs jours pour vous retrouver¿ Les deux jumeaux se regardèrent un cour instant, puis s'avancèrent, menaçants. Il faut dire que les deux ados se complétaient plutôt bien. Le premier a être né, Alex, était grand, bronzé mais fin de constitution, tandis que son frère, Ralph, plus petit, tout aussi bronzé qu'Alex, était plus trapu. Ils possédaient tous deux des yeux bruns, principale différence avec leurs camarades : Namie étant Blonde aux yeux bleus océans, Ben avait des longs cheveux noirs et des yeux vert émeraudes et Jeff disposait de yeux gris bleu accompagnaient de ses mythiques longs cheveux blonds bouclés. Ce derniers se mit a reculer prudemment, jeta un coup d'¿il a Ben, qui hocha la tête d'un air approbateur et se jeta sur les deux frères avec le dernier garçon de la bande. Après s'être battus comme des gorilles enragés, et transpirants comme des b¿ufs, le gang s'assit en cercle au centre de l'immense champ. Ils commencèrent à parler de la future rentrée au collège, des « profs », des anecdotes de l'année passée. Le soleil se mit à descendre dans le ciel annonçant la tombée de la nuit. C'est alors que Namie se mit a frissonner étrangement. «Que se passe-t-il Nam', s'inquiéta Ben, tu te sent bien ? » « Oui, oui, répondit cette dernière d'un air distrait, c'est justes que je ressent .. , quelque chose de bizarre dans le coin¿ » La sensibilité de Namie était si manifeste que les 5 amis la prirent au sérieux sans aucuns doutes. Particuliérement Alex le plus peureux du groupe. On pouvait d'ailleurs voir les sueurs froides qui le faisaient frissonner malgré la température encore douce, bien que l'on puisse voir la lune apparaitre dans le ciel étoilé. C'était la pleine lune .Vachement rassurant. Soudain Ben sursauta : une décharge¿d'énergie non identifié l'avait traversé de part en part de son corps, comme des petites lames de rasoirs¿particulièrement bien aiguisée. Il se tourna instinctivement vers Namie, et recula les yeux écarquillé de frayeur : les yeux de la jeune adolescente avaient brutalement, virés a un bleu foncé presque noir, caractéristiques des profondeurs abyssales. Et se mirent a briller. De plus en plus bizarre cette fille. Ses pupilles se dilatèrent et se remplir d'une sagesse qu'il ne lui connaissait pas. Elle chuchota d'une voix rendue rauque par l'angoisse : « Chut ! Taisez vous et ne faites aucun gestes brusques, nous ne sommes pas seuls dans ce champ¿ » -Que veux tu dire ?, souffla Alex mort de peur, tu pense que¿ -Quelqu'un nous observe, lâcha sobrement Namie -Quelqu'un¿ou quelque chose, ajouta Ralph après un silence angoissant Ils se tournèrent lentement et regardèrent chacun de leur coté, sursautant au moindre souffle du vent glacial qui se levait, balayant leur visages qui se gerçaient a son contact. Ils se tortillèrent ainsi jusqu'à ce que Namie déclare : -IL n'est pas dans le champ -Mais alors, s'énerva Jeff, il est ou ton f¿. intrus ?! -Ca vous arrive de regarder en l'air ?, demanda Alex, livide Ils levèrent tous les yeux en même temps et hurlèrent en même temps (tant qu'à faire). Ce qui les observaient réagit immédiatement et se jeta sur ses proies à une vitesse vertigineuse. Ben eut juste le temps de se propulser sur le coté et ainsi d'éviter la charge de la créature qui les agressaient. Il tenta de se relever, mais a peine eut il bouger sa jambe qu'une douleur aiguë lui transperça le mollet et l'obligea a s'immobiliser. Il sentit la bête tirailler sur son genou avec ses crocs réagissant instantanément, Ben envoya un fulgurant coup de pied, de sa jambe libre qui envoya voltiger le monstre sur plusieurs mètres. « C'est bien beau tous ca, pensa le jeune adolescent en perdition, mais eu prochain assaut je suis bon pour envisager une carrière de pâté en croute moi ! » Il leva la tête de quelques centimètres afin de repérer son agresseur. Il distingua aisément deux yeux, brillant d'une inquiétante lueur orange dans l'obscurité de la nuit, puis les prémices d'une énorme mâchoire, qui pourrait sans aucun doutes broyaient ses os en quelques secondes. Maintenant il en était certain : il n'avait pas affaires a un animal ordinaire, c'était autre chose¿ . La créature se mit en place lentement face a Ben qui gisait sur le sol à quelques mètre d'elle, paralysait par la peur. Elle prenait son temps, se délectant à l'avance, sur de manger chaud cette nuit. Ce n'était pas le moment de flancher. Surtout pas. Il ne lui ferait pas ce plaisir. Ben sentit la présence du couteau de l'armée, que lui avait offert son père pour son 12 éme anniversaire, au fond de la poche de son jean. Cependant bien que extrêmement tranchant (d'où la double sécurité pour éviter un regrettable accident), c'était tout de même une arme quelque peut dérisoire, face aux terribles crocs suintant de salives noires que l'on pouvait apercevoir a l'orée de sa gueule. « C'est toujours ça, soupira intérieurement l'adolescent terrifié bien qu'il n'osait pas se l'avouer a lui-même, c'est mieux que rien¿ » Il se débarrassa des sécurités, sortit la lame, étonnamment longue pour un couteau et se mit en position, afin de pouvoir se tenir prêt a parer (de son mieux) les attaques du prédateur qui avait décidé de faire de lui son plat de résistance. Celui-ci dût sentir son estomac gargouillé (a supposer qu'il n'en ait qu'un), car c'est précisément a cet instant qu'il repassa a l'attaque. Alors que Ben attendait courageusement le choc inévitable qui allait s'ensuivre, le couteau fièrement brandis, bien qu'inutile dans un affrontement qui semblait gagné d'avance, quelque chose d'extraordinaire se passa (et paf, non mais oh !) . Ben sentit son sang bouillir en lui, au sens propre du terme, et eut l'étrange sensation que le monstre était ridiculement lent. C'était exact a une exception faites : ce n'était pas une sensation. Il se rendit compte que sa vitesse était incroyablement décuplée, ce qui lui permit d'éviter sans difficulté la charge de son adversaire. En accomplissant ce geste, il remarqua que sa rotule ne le faisait plus souffrir : elle avait cicatrisé toute seule ! Ne désirant pas s'appesantir sur ces miracles inattendus, il ne laissa pas le temps au prédateur de faire volte face et lui planta sa lame dans son dos. Son assaillant émit un long grognement étouffé avant d'arracher violement l'arme figée entre ce qui semblaient être ses omoplates. Elle envoya le couteau voltigeait dans le lointain avec une force inimaginable ; C'est alors que la qu'un rayon de lune éclaira quelques instant le monstre, permettant a Ben de découvrir a quoi il avait à faire : et cela avait de quoi anéantir tous les espoirs du plus courageux des hommes : La tête, seule partie entrevue par Ben, n'était en fait qu'un petit morceau du corps de l'impitoyable créature. Comme il l'avait deviné, elle ressemblait bel et bien a un oiseau gigantesque, disposant de crocs au moins deux fois plus longs que la lame de son (regretté) couteau. Entièrement recouvert d'une cuirasse bosselée qui semblait impénétrable, elle ressemblait a un scarabée (géant, le scarabée), croisé avec un griffon de la mythologie, dont il aurait tiré ses ailes, d'une envergure impressionnante, animées par des muscles d'une puissance redoutable, tandis que sa queue, incroyablement longue, se secouait et se tortillait dans tous les sens, le menaçant de ses épines osseuses. Ben frissonna (une fois de plus) : son agresseur semblait quasiment invincible, ce qui rendait sa tâche¿quasiment impossible. Sa seule faiblesse résidait dans ses yeux, mais aussi sa gorge, non protégé par la cuirasse luisante de son corps. Alors que le jeune homme reculait lentement, désormais désarmé, le prédateur repassa à l'attaque. Une nouvelle fois, la vitesse de Ben se décupla, lui permettant d'esquiver une fois de plus l'attaque de la mystérieuse chimère, grâce a une roulade « tout en souplesse ». Il se rétablit, parfaitement sur ces appuis et se remit a reculer, lentement, mais surement : cependant, il se prit a penser que, si cette technique lui permettrait de rester en vie encore un bout de temps, l'issue de cet affrontement qui avait tourné a la traque rapprochée, ne faisait aucun doute. La créature lui jeta un regard¿goguenard, et¿.sourit. Ben n'en crut pas ses yeux. Un animal était normalement, incapable de sourire à la manière des Humains ! Ben blémit : cette¿ « Chose », devait possédait une intelligence que nulle ne devait pouvoir imaginer¿peut être bien plus efficace et subtile que celle de l'espèce Humaine ! Il sentit sa gorge se nouer sous l'afflux de terreur qui était en train de le submerger : dans un terrible hurlement a glacer le sang, la Chimère releva sa queue a la manière des scorpions, et la projeta sur lui a une vitesse phénoménale. Inconcevable. Imparable. Ben s'évanouit sur le coup. * * * Bill Neadcliff était un sergent de police de Leanton, souffrant de troubles psychologiques mineurs, et utilisant de temps a autres des méthodes de travails quelques peu expéditives, faisant de lui un homme peu aimé, et pas du tout pris au sérieux par ses collègues. Alors quand il découvrit 2 jeunes gens cachés derrière les pompes a essences (de la station service principale de la ville), qui lui racontèrent qu'un monstre énorme les avaient attaqué au milieu d'un champ voisin, il se mit à penser que la, s'il racontait ca à ses supérieurs, il était bon pour la retraite à 40 ans. « Mais puisque que l'on vous dit que nous avons été attaqué par une créature volante qui¿ », S'énerva le jeune homme, aussitôt coupé par l'agent. -C'est ca, c'est ca et en attendant, tu as des preuves de ce que tu avance ? A cet instant, un rugissement à glacer le sang retentit au loin¿mais en même temps très proche de la station service ou ils se trouvaient. Le Policier perdit instantanément toutes les couleurs que le froid glacial (en pleine période de canicule ?) avait épargnés, et devint blanc comme un linge. « Vous la voulez toujours votre preuve ?, chuchota Namie terrifiée a l'idée que leur mystérieux agresseur vienne par ici, ou il vous faut un ou deux crocs en travers de la gorge ? » Neadcliff, regarda le point d'où semblait venir le monstrueux rugissement, sortit son arme et « intima » (autant que pouvez « intimer» un agent de police terrorisé) aux deux adolescents de « s'installer » dans sa voiture, pendant qu'il alertait les postes alentours. Namie et Alex se dirigèrent vers la voiture du représentant de la loi, et s'assirent à l'arrière, tandis que l'agent tentait de prendre contact avec les autres commissariats. Cependant, il se rendit rapidement compte que quelque chose clochait : « On n'a aucun réseau ! », souffla Neadcliff, d'une voix serrée par l'angoisse.
  16. bon voila la suite (jlai recopié sur lordi aujourd'hui ^^), je continue demain ! Comme il l’avait deviné, elle ressemblait bel et bien a un oiseau gigantesque, disposant de crocs au moins deux fois plus longs que la lame de son (regretté) couteau. Entièrement recouvert d’une cuirasse bosselée qui semblait impénétrable, elle ressemblait a un scarabée (géant, le scarabée), croisé avec un griffon de la mythologie, dont il aurait tiré ses ailes, d’une envergure impressionnante, animées par des muscles d’une puissance redoutable, tandis que sa queue, incroyablement longue, se secouait et se tortillait dans tous les sens, le menaçant de ses épines osseuses. Ben frissonna (une fois de plus) : son agresseur semblait quasiment invincible, ce qui rendait sa tâche…quasiment impossible. Sa seule faiblesse résidait dans ses yeux, mais aussi sa gorge, non protégé par la cuirasse luisante de son corps. Alors que le jeune homme reculait lentement, désormais désarmé, le prédateur repassa à l’attaque. Une nouvelle fois, la vitesse de Ben se décupla, lui permettant d’esquiver une fois de plus l’attaque de la mystérieuse chimère, grâce a une roulade « tout en souplesse ». Il se rétablit, parfaitement sur ces appuis et se remit a reculer, lentement, mais surement : cependant, il se prit a penser que, si cette technique lui permettrait de rester en vie encore un bout de temps, l’issue de cet affrontement qui avait tourné a la traque rapprochée, ne faisait aucun doute. La créature lui jeta un regard…goguenard, et….sourit. Ben n’en crut pas ses yeux. Un animal était normalement, incapable de sourire à la manière des Humains ! Ben blémit : cette… « Chose », devait possédait une intelligence que nulle ne devait pouvoir imaginer…peut être bien plus efficace et subtile que celle de l’espèce Humaine ! Il sentit sa gorge se nouer sous l’afflux de terreur qui était en train de le submerger : dans un terrible hurlement a glacer le sang, la Chimère releva sa queue a la manière des scorpions, et la projeta sur lui a une vitesse phénoménale. Inconcevable. Imparable. Ben s’évanouit sur le coup. * * * Bill Neadcliff était un sergent de police de Leanton, souffrant de troubles psychologiques mineurs, et utilisant de temps a autres des méthodes de travails quelques peu expéditives, faisant de lui un homme peu aimé, et pas du tout pris au sérieux par ses collègues. Alors quand il découvrit 2 jeunes gens cachés derrière les pompes a essences (de la station service principale de la ville), qui lui racontèrent qu’un monstre énorme les avaient attaqué au milieu d’un champ voisin, il se mit à penser que la, s’il racontait ca à ses supérieurs, il était bon pour la retraite à 40 ans. « Mais puisque que l’on vous dit que nous avons été attaqué par une créature volante qui… », S’énerva le jeune homme, aussitôt coupé par l’agent. -C’est ca, c’est ca et en attendant, tu as des preuves de ce que tu avance ? A cet instant, un rugissement a glacer le sang retentit au loin…mais en même temps très proche de la station service ou ils se trouvaient. Le policier perdit instantanément toute ses couleurs que le froid glacial (en pleine période de canicule ?) avait épargné, et devint blanc comme un linge. « Vous la voulez toujours votre preuve ?, chuchota Namie terrifiée a l’idée que leur mystérieux agresseur vienne par ici, ou il vous faut un ou deux crocs en travers de la gorge ? » Neadcliff, regarda le point d’où semblait venir le monstrueux rugissement, sortit son arme et « intima » (autant que pouvez « intimer» un agent de police terrorisé) aux deux adolescents de « s’installer » dans sa voiture, pendant qu’il alertait les postes alentours. Namie et Alex se dirigèrent vers la voiture du représentant de la loi, et s’assirent à l’arrière, tandis que l’agent tentait de prendre contact avec les autres commissariats. Cependant, il se rendit rapidement compte que quelque chose clochait : « On n’a aucun réseau ! », souffla Neadcliff, d’une voix serrée par l’angoisse
  17. ouais parce qu'en plus t'as meme pas a chercher beaucoup : une fourmi est un insecte, or quasimment 100% des insectes ont 6 pattes (je dis quasimment parce que je connais pas toutes les especes d'insectes et sinono joyeux noel a toi aussi :blush:
  18. Idem mec , ca fait plaisir de te retrouver :blush:
  19. Le Naufrage de L'Erika Le 12 décembre 1999, à 8h15, L'Erika, un pétrolier de 37000 tonnes et de 187 mètres de long battant pavillon maltais,appartenant a Giuseppe Savarese et régit par Antonio Pollara, le gestionnaire , se brisa en deux, au Sud ouest de Penmarc'h (Finistére), au large des côtes. 1°) Le mystére du naufrage : Pourquoi ? :mef2: Les autorités portuaires, ainsi que les représentants de la compagnies utilisant le navire (TotalFina), nont pas réussis a éxpliquer les raisons qui ont amener ce pétrolier a ce briser en deux. En effet, L'Erika a été construit en 1975, dans un chantier naval japonais, et n'avais jamais, semble t'il, connus d'importantes avaries techniques. D'ailleur, le 12 Novembre 1999, 1 mois avant la catastrophe, il est contrôlé par les autorités Russes à Novorossisk et déclaré conforme aux réglementations en vigueur. De plus, durant les 2 annnées qui avaient précédées cette dates fatidiques, le navires aurait subi 2 autres contrôles, en France et en Italie, qui n'avaient rien révélés. 2°) L'Historique du Naufrage Cette mésaventure aux terribles conséquences a débuté un peu avant le jour "J". En effet, "notre histoire" débute le 10 décembre 1999, lorsque l'Erika appreilla au port de Dunkerque. Affrété par la compagnie TotalFina, comme a plusieurs reprises par le passé, il transportait 30000 tonnes de fioul lourd de catégorie n°2*(un raffinage de pétrole épais et économique déstiné a l'industrie), apparament destiné a une centrale électrique. Le 11 décembre 1999, L'Erika est en route pour la "pointe" de la Bretagne. On constate des vents violents, dus a une dépression, venant du Sud-Ouest. L'Erika lutte, le "nez a la rame" (comme disent les marins dans leur jargon :D ). Mais, tel un simple humain, il fatigue, soumis aux caprices de la Manche, et malgré son imposante armature, il peine. Soumis aux incessantes pressions et oscillations dus a la mer, le navire s'épuise, lentement, mais surement. Et inévitablement, arrive ce qu'il devait advenir : l'une des 14 cuves de petrole se fend, créant une fuite de fioul, qui remplit un des ballast latéraux, qui doit normalement assurer la stabilité du navire. C'est le début de la "Fin". A 14h30, le même jour, l'Erika aborde enfin la pointe Bretonne. La situation empire pour le petrolier, de plus en plus mis a mal par la "toute puissance" de la Manche. En effet, le vent, qui était de Sud-Ouest, s'est déplacé, passant de plus e plus à l'Ouest : résultat, les vagues atteignent le navire de travers, obligeant celui ci a un roulis d'un bord a l'autre, qui risque fortement de faire empirer la fuite de la cuve, mettant encore plus a mal l'équilibre instable de l'Erika. C'est ici que commence la polémique concernant le pétrolier : Qu'on fait le capitaine, Total, et l'armateur du navire ? Ils aurait pu envoyer une demande d'aide d'urgence, car ils était extremement proche de la ville et du port de Brest. Les remorqueurs "Abeille" aurait pu entrer en action, et le port de Brest était parfaitement équipé pour effectuer les réparations nécessaires. Mais ils continuent, mettant le cap sur l'embouchure de la Loire : le Capitaine décide alors de lancer un appel radio au port de St-Nazaire, pour effectuer des réparations d'urgences. st-Nazaire refusent, craignant une pollution du fleuve. L'Erika est cependant rediriger vers le terminal pétrolier de Donges. A ce moment, le centre de secour en mer de l'Atlantique(CROSS-Etel) capte un étrange message : " Il souffre mon bateau, il souffre¿ ", en provenance de l'Erika. Enfin, le lendemain, le 12 décembre 1999, a 6h du matin l'Erika émet le fameux SOS : Le vent a soufflé d'Ouest toute la nuit, le bateau a dû prendre une gîte de plus en plus importante. Des fissures sont apparues. Mais il est trop tard : a8h15, heure a laquelle arrivent les premiers hélicoptéres de secours, l'Erika se brise en deux. 3°) Les conséquences du Naufrage Il n'y a eu aucune victime, heureusement : les 26 hommes d'équipages ont tous été helitreuillés saints et saufs; Mais ls dégats sur l'environnements ont été terrible : Les épaves du pétrolier, en sombrant par 120 mètres de fond, ont laché plus de 10000 tonnes de fioul. En quelques jours de dérive, les nappes de pétroles ont souillé une grande partie du littoral atlantique, 400km de côtes exactement, du Sud-Finistére à la Charente Maritime, et mazoutant plus de 150000 oiseaux : c'est ce que l'on apelle une marée noire. L'ouverture du procés en appel de l'Erika a eu lieu le 5 octobre 2009 pour revoir les condamnations : Total, Rina, Savarese et Pollara avaient été condamnés solidairement en première instance à 192 millions d'euros de dommages et intérêts. Ils avaient également écopé de l'amende maximale : 375.000 euros pour les personnes morales, 75.000 euros pour les personnes physiques. Tous quatre ont fait appel. Les membres des secours et le capitaine du pétrolier avaient été mis hors de cause, ainsi que deux filiales de Total. Mais le parquet a fait appel de la relaxe de ces deux dernières. "Total est le principal responsable car il a choisi en toute connaissance de cause, et pour la quatrième fois, un bateau pourri pour transporter des produits toxiques"-Me Corinne Lepage, défenseur de 10 communes polluées. "Il faut qu'en appel, la justice confirme la chaîne de responsabilités dans un but de prévention des risques"-Philippe de Villiers, le président MPF du conseil général de la Vendée Images du naufrage : et aussi, la représentation schématique de l'épave de l'Erika : *Qu'est ce que le fioul lourd de catégorie n°2 ? : http://www.labo-analytika.com/erika/fioul_lourd_n2.html Informations :Ici liste de marées noires + d'informations ?
  20. ouais pour quoi toi... c po juste... ze veu pas, ze veu pas, ze veu pas, ze veu pas, ze veu pas, ze veu pas, ze veu pas, ze veu pas, ze veu pas, ze veu pas, ze veu pas, ze veu pas, ze veu pas, ze veu pas... :blush:
  21. Tu ne vas pas nous faire ca...grand mere !!! :blush:
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