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Tout ce qui a été posté par Jack~OF~Blade
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Tiens y'a un Jeff dans ton histoire aussi ? :blush:
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L'amour va et s'en va... Rupture douloureuse !
Jack~OF~Blade a répondu à un(e) sujet de Geko62 dans Amour et Séduction
:blush: De rien Geko ! PS : Tu as déjà penser à écrire un livre ? -
L'amour va et s'en va... Rupture douloureuse !
Jack~OF~Blade a répondu à un(e) sujet de Geko62 dans Amour et Séduction
Certes, le physique est important, car accrocheur... Mais comme une synthése d'économie (la phrase d'accroche est importante, mais si tu la rate, ca t'empechera pas d'avoir la moyenne ^^), faut pas non plus trop se porté la dessus : un exemple plus parlant (je crois que le lycée me tape sur le systeme...°, la fille que j'aime est jolie, mais je l'aime aussi et surtout parce qu'elle est marrante, intelligente (contrairement a ce qu'en pense ses freres et nos amis en commun), et même...un peu "conne" (peut pas s'empecher de dire des conneries :blush: ) Donc courage, faut juste que tu décentralise tes intérets et tes critères chez les femmes ! -
L'amour va et s'en va... Rupture douloureuse !
Jack~OF~Blade a répondu à un(e) sujet de Geko62 dans Amour et Séduction
Geko ! Bonne année en retard alors !!! Cela me fait plaisir de te relire, tes pavés me manqués ! je vois que tu t'en sort petiti a petit, tu vas dans la bonne direction, évite cependant d'etre trop compliqué avec les filles ! Quand a guérir l'amour par l'amour, c'est normal, réaction habituelle... -
Un combat eternel La superficie totale des Pays-Bas est de 41 526 km², dont quelque 6 500 km2 de polders, terres conquises sur la mer. Ses digues, ses canaux et ses écluses font partie d'un système de drainage des eaux extrêmement bien organisé, datant du Moyen ÿge et qui a permis aux Néerlandais d'augmenter la surface du pays. La mer et les fleuves représentent à la fois une source de dangers et de profits pour les Pays-Bas. La mise au point du système de drainage constant a été renforcée par la protection des dunes côtières. Sans cette intervention, la moitié des Pays-Bas serait sous les eaux, envahis par la mer et les fleuves qui les traversent ; la province de Zélande, par exemple, est située entièrement au-dessous du niveau de la mer. En outre, dans la seconde moitié du xxe siècle, le pays a été victime d'impressionnantes inondations. Le 1er février 1953, une marée de vive-eau et des vents violents ont provoqué la rupture des digues et des dunes côtières en Zélande. Quelque 162 000 ha ont été inondés et plus de 1 800 personnes ont trouvé la mort. Une autre inondation catastrophique s'est déroulée le 31 janvier 1995, provoquant le déplacement de 250 000 personnes et l'évacuation des polders. C'est à la suite de l'inondation de 1953 qu'a été lancé le plan Delta afin de protéger la région du delta du sud-ouest par la construction d'une série de digues et de barrages énormes, destinés à condamner les bras de mer situés en mer du Nord. Ce plan, achevé en 1986, a engendré la création de lacs artificiels (une partie du Zuider Zee, l'IJsselmeer, a été transformée en lac artificiel sur une superficie de 1 250 km2) et a rattaché certaines des îles à la terre ferme. En plus de ces travaux, les Pays-Bas ont pratiqué l'assèchement de plusieurs régions. Ainsi en 1932, des travaux de drainage d'environ 225 000 ha ont été entamés pour former de nouveaux polders (Flevoland-Sud, Flevoland-Est et polder du Nord-Est, qui ont constitué dès 1986 la douzième province des Pays-Bas : le Flevoland). En 1980, les trois quarts environ de cette région étaient asséchés. Encarta 2007
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peut etre bien :blush:
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Jean décontraté, tshirt manches longues "California Dreamer" écrit dessu, bien voyant, avec gilet noir rayé...
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J'ai un peu de mal en ce moment, parce que j'ai plein de choses a faire (scouts, école, autres forums....) Donc j'avance surement, mais lentement...
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en effet, ca avance bien dis donc !
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C'est un projet durable dis donc :blush:
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Oui il vaudrait mieu que t'écrive au passé. Après j'en ferait un de blog, mais pour l'instant, mon roman, il est pas assez avancé ^^
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La surpêche et montée des eaux
Jack~OF~Blade a posté un billet dans TPE 1ere ES : L'Homme et la Nature
La surpêche Greenpeace "Nos océans sont malades de la surpêche. 80% des stocks de poissons sont pleinement exploités, surexploités ou en déclin. Les ressources de la mer s'épuisent. " "Nous avons trop de bateaux, plus assez de poissons et aucun respect pour la mer. Nous lui prenons ce qui nous intéresse : nourriture, hydrocarbures, ressources minières, sables et graviers. Nous y laissons ce dont nous n'avons plus besoin : poissons pêchés en trop, déchets urbains, agricoles et industriels, bateaux échoués, mazout et métaux lourds... Nous sommes enfermés dans une logique d'exploitation de nos océans, incapables de voir que nous menaçons les écosystèmes marins et probablement nous-mêmes. " "Il n'est pas trop tard pour agir. Mais il faut le faire maintenant. Greenpeace demande la création d'un réseau de réserves marines qui couvrirait 40% de la surface de nos océans. Aucune activité de pêche n'y serait autorisée. Les poissons pourraient s'y reproduire en toute tranquillité. Les équilibres naturels seraient restaurés. Pour les 60% de mers et d'océans restants, nous défendons l'instauration d'une « pêche durable ». Elle répondrait à nos besoins sans compromettre ceux des générations futures. " "Aujourd'hui, certaines espèces de poissons et de mammifères marins sont en voie d'extinction : le thon rouge, les baleines, les poissons de grand fond. Demain, d'autres le seront. Si cela continue, il n'y aura plus aucun poisson dans nos océans en 2048. Pouvons-nous décemment rester sans rien faire ? " Vidéo surpêche pratique: http://www.greenpeace.org/france/campagnes/oceans Les ministères ferme les yeux « http://oceans.greenpeace.fr/chalutage-de-f...-eaux-suedoises » Le Ministère de la Défense agit dans la lutte contre la pollution marine « Le Préfet maritime a pour mission de coordonner l'action de l'Etat en mer, notamment en ce qui concerne la lutte contre la pollution (terre-mer). » Source: ministère de l'écologie, de l'énergie, et du développement durable Carte simulation hausse du niveau de la mer http://flood.firetree.net/ La mer monte à cause du réchauffement climatique Alors que les observations géologiques et archéologiques indiquent qu'au cours des derniers millénaires, le niveau de la mer a peu varié (pas plus de 0.1 mm par an globalement), les enregistrements marégraphiques disponibles depuis près d'un siècle témoignent d'une hausse significative au cours des dernières décennies, de l'ordre de 1.8 mm par an. L'élévation du niveau de la mer du 20ème siècle est attribuée au réchauffement climatique observé depuis quelques décennies. Depuis le début des années 1990, les satellites altimétries, en particulier Topex-Poseidon, surveillent en permanence les variations du niveau de la mer, avec une précision remarquable et une couverture globale. Ces nouvelles observations analysées au LEGOS montrent que depuis 1993, le niveau moyen global de la mer s'est élevé de près de 3 mm par an (figure 1), valeur significativement supérieure de celle mesurée par les marégraphes au cours du XXe siècle. Mais cette vitesse d'élévation est loin d'être uniforme : dans certaines régions, la mer a monté (jusqu'à trois centimètres par an), dans d'autres, elle a baissé (figure 2). Grâce aux observations spatiales, on mesure en effet les variations du niveau de la mer sur tout le domaine océanique et non plus seulement le long des côtes comme le font les marégraphes. L'océan chauffe et les glaces fondent¿ Quels sont les phénomènes responsables des variations actuelles du niveau moyen global de la mer ? On peut les ranger en deux catégories : 1) les changements du volume des océans résultant de variations de la densité de l'eau de mer, elles-mêmes causées par des variations de la température et de la salinité; 2) les changements du contenu en eau des océans (donc des masses d'eau) résultant d'échanges d'eau avec les autres réservoirs (atmosphère, réservoirs d'eaux continentales, glaciers de montagne, calottes polaires). Avec l'atmosphère, ces échanges d'eau se produisent par évaporation et précipitations. Avec les continents, ils résultent de variations d'écoulement d'eau vers les océans, produites elles-mêmes par des changements de l'hydrologie continentale (variations de l'évapotranspiration, des précipitations au-dessus des continents, du contenu en eau dans les sols et dans la biosphère, dans les réservoirs souterrains, de la couverture neigeuse, du niveau des lacs et des mers intérieures). Enfin les modifications du bilan de masse des glaciers de montagne et des calottes polaires (le Groenland et l'Antarctique) constituent une troisième source d'échanges d'eau avec les océans. Quelle est la part respective de tous ces facteurs à la hausse observée du niveau de la mer ? Grâce à de nouvelles données publiées récemment sur les variations de température de l'océan au cours des 50 dernières années, et sur les bilans de masse des glaciers de montagne et des calottes polaires, les chercheurs du LEGOS arrivent à expliquer de façon assez satisfaisante les valeurs observées. Pour la période 1950-2000, le rechauffement des océans explique 0.4 mm par an sur les 1.8 mm par an de hausse observée (soit 25%). La fonte des glaciers de montagne, du Groenland et de l'Antarctique contribue, quant à elle, pour environ 1 mm par an. D'où un total de l'ordre de 1.4 mm par an pour les contributions climatiques. Qu'en est-il pour les années récentes ? Alors que l'apport d'eau à l'océan venant de la fonte des glaces continentales est sensiblement identique à l'estimation des dernières décennies, la contribution de l'expansion thermique (due au réchauffement de l'océan) a triplé (1.6 mm par pour la période 1993-2003, soit une contribution de 60%). La somme de ces contributions (environ 2.6 mm par an pour la dernière décennie) est donc très proche des observations de Topex/Poseidon et Jason-1 (2.8 mm par an). Remarquons néanmoins que l'expansion thermique de l'océan joue à présent un rôle dominant, en comparaison des périodes antérieures. Par ailleurs, la confrontation des observations de Topex/Poseidon et Jason-1 avec la contribution d'expansion thermique montre que le réchauffement ¿non uniforme- de l'océan est la cause majeure de la variabilité géographique du taux de variation du niveau de la mer (Figure 3). Les modèles d'évolution du climat prédisent que la hausse du niveau de la mer se poursuivra au cours des prochains siècles (figure 4). Les prévisions indiquent en outre que l'élévation ne sera pas uniforme. La mer montera plus vite dans certaines régions que dans d'autres. Cependant, il subsiste encore d'importants désaccords entre les modèles et donc une grande incertitude quant aux régions les plus menacées. La surveillance des océans depuis l'espace et la mise en place de réseaux in situ et spatiaux de mesures de paramètres climatiques est d'importance cruciale pour mieux comprendre le système climatique et améliorer les modèles d'évolution future. http://www.legos.obs-mip.fr/fr/produits/gr...ealevel.fr.html http://la.climatologie.free.fr/rechauffeme...ffement5.htm#11 -
Définition: Le lindane est un insecticide organochloré commercialisé depuis 1938. Ses noms chimiques sont gamma-hexachlorocyclohexane (HCH) et benzene hexachloride (BHC). Il a été utilisé en agriculture et dans les produits pharmaceutiques pour le traitement de la gale et l'élimination des poux. Sa dose létale 50 est de 88mg/kg. Source Wikipedia PCB Définition : Les PCB de type dioxine Les PCB (polychlorobiphényles) sont des composés aromatiques chlorés (209 congénères). Ce sont des mélanges industriels fabriqués et utilisés à partir des années 30 pour leurs propriétés isolantes (transformateurs électriques) et leur stabilité chimique et physique (huile de coupe, encre, peinture). Ils sont totalement interdits en Suisse depuis 1986. Ils avaient déjà fait l'objet d'une interdiction partielle depuis 1972. Certains PCB (12 congénères) présentant des propriétés toxicologiques analogues à celles des dioxines sont appelés PCB de type dioxines (cPCB ou PCB-DL). Les dioxines Les dioxines (polychlorodibenzodioxines, PCDD) (75 congénères) et les furanes (polychlorodibenzofuranes, PCDF: 135 congénères) sont des hydrocarbures aromatiques polycycliques chlorés. Ils apparaissent au cours des processus thermiques. Ils sont classés dans les polluants organiques persistants (POPs). 17 congénères revêtent une importance toxicologique. Remarque importante : les PCB de type dioxine (cPCB) et les dioxines sont deux groupes de substances différentes. Les poissons analysés présentent des dépassement de la valeur limite de cPCB. Aucune analyse effectuée auprès des poissons de la Sarine n'a révélé de dépassement des valeurs limites de dioxine. Source: http://admin.fr.ch/pila/fr/pub/sant_/pcb___d_finition.htm Dichlorodiphényltrichloroéthane (DDT) : pesticide ou insecticide chimique incolore utilisé pour détruire des insectes porteurs de maladies ou destructeurs de récoltes. Bien que ce produit cancérigène soit interdit depuis des années en Amérique du Nord, il est encore utilisé dans les pays en voie de développement. Source Futura-Science
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Rencontre forumienne le 17/04/2010
Jack~OF~Blade a répondu à un(e) sujet de Blackmesa dans Près de chez vous
A Lyon y'en a presque plus de neige :blush: -
"degorger le poireau" :blush: Et je suis d'accord avec Man', (faisant partie de la gente masculine ) que c'est la nature, et que parfois, n'importe ou, des pensées fugace sur ce..."théme" me passent par l'esprit : ca peut arriver, et je ne doute meme pas que les pretres n'en sont pas a l'abri, loin de la. Cependant ce n'est que mon humble avis Ps : Nissard, relie toi , t'est super compliqué a lire !
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Je connais, mais suis pas attiré par ce jeu, je prefere les jeux + tranquille comme Ogame... :blush:
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...intéressante question Jte dirait quand je serais devenu prêtre :blush:
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Bon ben si elle nous lit... Bisoux mamandrinette !!! :blush:
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Problème selon Greenpeace Une économie qui méprise les océans Parce que nous avons oublié cette évidence, nous soutenons une pêche industrielle qui épuise les fonds marins. Nous laissons se développer une pêche illégale qui ne respecte aucune règle. Nous restons sans réaction devant le gaspillage des prises accessoires (les organismes capturés involontairement), probablement 20 millions de tonnes par an rejetés à la mer. Nous favorisons une aquaculture (de saumon, de crevettes ...) qui empoisonne les écosystèmes. Nous acceptons un trafic maritime qui pollue les mers et des activités d'extraction (sable, hydrocarbures, minerais) qui nuisent à la vie marine. Les scientifiques peuvent bien tirer la sonnette d'alarme, les politiques laissent perdurer ce massacre. Les industriels ont carte blanche. Une décharge à ciel ouvert Les pollutions dues à nos activités achèvent de faire de nos mers et océans une gigantesque poubelle. Il y a bien sûr les pollutions dues au passage des pétroliers et des chimiquiers. Mais 80% des polluants retrouvés dans les mers et les océans proviennent d'activités sur terre. Ce sont les eaux usées domestiques, les plastiques, les rejets industriels, les pesticides et les engrais agricoles, les déchets radioactifs. On trouve ainsi en mer des métaux lourds toxiques comme le mercure ou des « polluants organiques persistants » aussi dangereux que le lindane, le PCB ou le DDT. Notre production de déchets est telle qu'il existe dans le Pacifique Nord une zone plus grande que la France où les déchets tournent en spirale à l'infini. A cela s'ajoutent les pollutions sonores qui menacent gravement les écosystèmes marins. Les dérèglements climatiques C'est une autre conséquence des activités humaines. La manifestation la plus évidente en est la montée des eaux : 17 cm au cours du XXème siècle, peut-être un mètre à d'ici 2100. Certains Etats insulaires (comme les Maldives ou la Micronésie) disparaîtraient. Des zones côtières (y compris en Europe) seraient inondées. D'autres phénomènes sont moins souvent cités, mais tout aussi menaçants : la montée de la température, la modification des courants océaniques, l'acidification des eaux (due à l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre), le développement d'espèces invasives¿ Les océans deviendraient alors de nouveaux vecteurs de dérèglements climatiques. C'est le cercle vicieux. Des populations menacées Cette exploitation sans limite de nos océans, et plus généralement de notre planète, a des effets directs et manifestes sur la biodiversité marine. De nombreuses espèces sont éteintes ou en voie d'extinction. Les plus connues sont les baleines et les dauphins, les raies, le requin, le thon rouge, l'espadon, etc. Mais la liste est plus longue. L'exemple du krill, une crevette des eaux froides, montre que la disparition d'une seule espèce peut mettre en péril toute une chaîne alimentaire. Au rythme actuel, il n'y aura plus de poisson dans les océans d'ici 2048. Que ferons-nous ce jour-là ? Manger des méduses ? Leurs solutions Abandonner un modèle dépassé Notre politique de pêche est doublement archaïque. D'abord, parce qu'elle est envisagée de façon industrielle. Comme si les poissons sortaient des chaînes d'une usine ! Il faut reprendre conscience que les poissons ont besoin de temps pour se reproduire et grandir. Ensuite, nous devons cesser de gérer de manière purement quantitative, espèce par espèce les niveaux de capture (le thon rouge, la morue, etc.). Il faut prendre en compte les écosystèmes. Quand on pêche tel ou tel poisson, tel ou tel fruit de mer, c'est une chaîne alimentaire que l'on perturbe. Les organismes marins sont interdépendants. Nous devons opter pour une approche globale des ressources marines et ne plus attribuer des quotas sans réflexion sur leurs effets pervers. Appliquer le principe de précaution Il serait grand temps d'écouter et de prendre en compte les alertes du monde scientifique et du milieu associatif. Nous devons préserver nos ressources marines. En l'absence de certitudes ou de preuves irréfutables, nous devons appliquer le principe de précaution. Cela veut dire prendre des mesures qui préviendraient toute disparition d'espèces, tout épuisement définitif des fonds marins. N'attendons pas qu'il soit trop tard ! Respecter le droit de la mer Pour mettre en ¿uvre ces mesures, il n'est pas nécessaire de convoquer des sommets internationaux et de se lancer dans d'interminables négociations. Le plus désolant est que des cadres juridiques existent déjà ! La Convention sur la Diversité Biologique, signée en 1992 lors du Sommet de Rio, engage les Etats signataires a enrayer la disparition d'espèces animales et végétales, y compris en mer. La Convention de Barcelone de 1976 contraint les pays riverains de la Méditerranée à la préserver. Le problème n'est pas d'édicter des normes. C'est de les respecter vraiment. Lutter contre la pêche illégale Un poisson sur quatre est issu de la pêche « pirate ». Un plan d'action international doit être mis en ¿uvre pour mettre fin à ce scandale. Les autorités doivent mieux contrôler les arrivages de poissons. Les ports doivent refuser de « blanchir » le poisson illégal. Les supermarchés, poissonneries et marchés doivent s'interdire de revendre de la marchandise volée. Enfin, les pays en développement doivent être soutenus pour mieux lutter contre la pêche illégale qui épuise leurs ressources marines
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:blush: yeah rammstein !
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bonsoir jglune