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Tout ce qui a été posté par Jedino
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Dormir dans un cimetière la nuit ?
Jedino a répondu à un(e) sujet de Forbidden dans Esotérisme & Paranormal
Pour, si c'est pour aller dans un cimetière hanté, sinon on va se faire chier -
En même temps, si le dit public foutait moins la merde une fois dans les sièges du stade, il n'y aurait pas besoin de cet encadrement. Et quand tu reçois une bouteille, t'es pas toujours très content. Pour la plupart des mesures, c'est une question de sécurité et/ou de respect. Mais oui, l’État c'est le méchant qui veut nous abuser, nous sucer jusqu'à la moelle.
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Nous sommes bien d'accords, malheureusement
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Bouah! Si t'étais soumise, tu serais parfaite! :D
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L'oeuvre d'une vie n'est pas la réalisation de soi : cela se résume simplement à l'appel poétique perpétué depuis des siècles. Je ne vous parle pas ici de la beauté, quoi qu'elle découle directement de ce que je souhaite mettre en avant : notre monde, ou plutôt, celui qui nous avait accueilli avant qu'il ne soit martyrisé par notre folie constructrice. L'aura poétique d'un ciel, même gris, d'une forêt silencieuse, et pourtant si agitée, si vivante. Même le rocher prend de son importance dans un décor qui est fait pour plaire à la moindre âme errante qui croisera son chemin. Bien sûr, on vous dira que la poésie, c'est en quelque sorte, la beauté, une forme lyrique maîtrisée. Il n'en est rien. Elle n'est pas la conséquence d'une croyance humaine. Elle est une part de nous-mêmes, de notre environnement. La vie, ce n'est pas l'exploitation d'un homme ou d'une ressource, la comparaison entre toutes sortes. Non, c'est un partage, un échange, un rien qui ne se voit pas, se sent à peine, entre l'illusion de notre conscience, et le reste. De là vient l'inspiration des plus grands poètes.
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T'en fais pas, t'es supportable
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Bas-Rhin surtout :D Mais bon, j'veux bien t'accepter
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Si, bientôt, quand on aura trouvé le roi et la reine qui règneront sur le royaume (a)
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Jamais :D Chalut
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Si seulement je pouvais m'en persuader... Mais, il y a ce mur, ces sons, ces visions, Tous ces détails qui troublent ma raison. A chercher du regard une inexistante floraison, Je me vide de l'effluve de mes mortes passions. J'ai mis 40 minutes à écrire quatre vers, je vais donc m'arrêter là.
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Des questions, sans doute, de la souffrance, possiblement. Il n'est pas rare qu'elle ne me dise que je m'en pose de trop. Des inutiles, surtout. Enfin! Inutile... Rien ne l'est, dans ma logique, puisque tout est utile, même l'inutile. Je ne suis pas sûr de voir la vie d'un oeil si pessimiste. Elle n'est certes pas un paradis, une utopie. Mais, elle a des traits plaisants. Maintenant, tu poses un problème plus... Épineux, va-t-on dire : celui de l'avenir. Je suis parfaitement incapable de m'imaginer ne serait-ce que dans un an. Je ne vois à aucune place. Mon seul "plaisir" reste ces quelques envies matérialistes, et puis, lui parler. Je me suis souvent demandé pourquoi elle, aussi. Certes, elle est jolie. Mais, cela ne me motive que rarement assez. Je crois que ce côté inaccessible, et sa non crainte de dire ce qu'elle pense franchement me plaisent bien. Pour cette dernière raison, probablement, qu'elle arrive à me sortir de mes délires parfois capricieux, digne d'un enfant occidental. Parallèlement, je ne fais pas grand chose pour changer ce sentiment d'être pas toujours là où je devrais être. C'est ainsi. Loïc est un homme comme il en existe de nombreux autres : plutôt grand, sans l'être de trop, relativement mince, bref, sa description serait fastidieuse à souhait. Pourtant, il est le lieu de quelques particularités, ce qu'on nomme les défauts, et qui font que cette personne à de l'intérêt. Imaginez l'homme parfait : il serait triste à mourir, ne pouvant être accepté, parce que trop déroutant pour la femme qui pourrait se risquer à l'aimer. Mais Loïc n'est rien de tout cela. Il est un modeste charpentier, et ne manque de rien. Certes, il n'est pas patron d'une boîte énorme. Cela n'est pas grave. Il est très terre à terre, malgré sa jeunesse mouvementée de rêveur niais. Aujourd'hui, tout va pour le mieux chez lui. L'être aimée est avec lui. Des enfants sont nés de cette union. Il est capable de satisfaire les envies et de réparer les petits ennuis. Autant dire que son existence n'est pas à plaindre : il vit sa vie. Seulement, s'il avait gardé espoir, aurait-il pu, un jour, finir autrement? Comment savoir? S'il est là, dans cette situation, c'est qu'auparavant, son choix est allé en ce sens. Ce n'était peut-être pas forcément comme cela qu'il concevait ses années à venir. Mais qu'importe? Voyez-vous, je refuse ce chemin, celui de finir en Loïc. Une erreur naïve qui tend à m'empêcher de progresser, à me décider. Je n'ai pas encore trouvé la solution qui saura me plaire. Je n'ai pas suffisamment de courage pour faire un choix que je pourrais regretter, et je n'en ai pas assez non plus pour suivre la voie que j'aimerais emprunter. Non, je ne suis pas sans espoir, soumis à la vile cruauté de notre vie. Non, la conscience ne me fait pas tant souffrir : connaître les maux du monde n'est pas nouveau pour moi, malheureusement. Je suis, et c'est là tout le problème, un lâche, un de ces égoïstes pris entre le désir d'avoir un confort, parce que je suis né dedans, et de partager avec mille personnes ce que je possède. Je suis un mélange de velléités et de candeur. Je suis un dégonflé.
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Pourquoi la nature devrait-elle faire avec raison? On naît, on meurt. Plus tard, notre étoile mourra à son tour. Nous sommes la pièce d'un puzzle plus grand, qui nous dépasse. Notre rôle n'a aucune véritable importance, aucune influence. Y chercher un sens serait une erreur, une erreur parce qu'elle se baserait sur un mensonge qui nous rassure. Le seul but que je pourrais accorder à notre existence, mon existence, est de la porter vers les directions qui me plaisent le mieux. Mais, jamais, Ô grand jamais, elle ne tendrait à avoir un sens qui lui octroierait une signification ayant un véritable impact. Nous sommes une fleur devenue belle et grande, vivant ses jours, et se laissant dépérir, impuissant. Bien sûr, elle aura eu un rôle, un sens dans sa vie, puisqu'elle aura permis de nourrir quelques petites bêtes, et finalement, toutes les autres qui en dépendent. Mais, elle n'est rien à côté de l'échiquier le plus grand, le vrai, qui rend l'action de cette fleur bien ridicule.
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Le sens de la vie... Comme si la vie avait un sens. Croyez-vous qu'il y ait un but à notre présence? Sincèrement? Avez-vous vraiment besoin de croire en cette idée pour accepter votre existence? La vie n'a aucune signification particulière, elle n'est qu'un engrenage, une nécessité dans un équilibre tout aussi peu sensé. Mais, peut-être est-elle, pour nous, humains, doués de cette conscience qui fait bien des heureux et malheureux, plutôt une direction? Nous pouvons tracer notre chemin, par fierté inutile, mais il serait naïf de s'illusionner d'un rôle qui nous incombe. Que ce soit la présence induite par la création de Dieu, ou l'évolution, nous offrant la place de super-prédateurs, rien n'est dans le vrai. La réalité est souvent ce qu'on refuse d'admettre : la vie n'a pas de sens, et notre présence encore moins. Nous ne sommes ni volonté, ni hasard, car le fait d'être n'a, en lui-même, pas le moindre sens.
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Je ne crois pas en une destinée, mais au fait qu'on décide de la destination de notre voyage. La passivité n'est donc pas la solution, et je ne dois pas attendre que cela vienne.. Sinon, c'est tiré de l'actualité récente, ton histoire? En tout cas, on sent l'idée du pauvre curé. A croire que tu as connu la situation? (:D) Non mais c'est good
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Je crois que j'en profite, mais sans m'amuser excessivement pour autant Disons que je préfère, finalement, apprendre, comprendre, que rencontrer et m'éclater. C'est comme ça.
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Nous craignons tant de ne pas arriver à s'amuser, De sombrer dans une solitude démesurée, Que nous sommes prêts à nous déchirer Les tripes pour vivre une seconde amusée. Boire ou fumer, tout est bon pour y parvenir, Ne craignant aucunement de mourir Si le prix à gagner est de quelques fous rires, Si les gains ressemblent à de futiles délires. Oui, c'est l'époque où on doit se sacrifier Pour les loisirs, les amours, les futilités, Quitte à briser sa santé pour ses amitiés Que le vent emportera sans même broncher. Ce soir, je n'en suis pas aux prières, ni aux dénonciations niaises. Je vais devoir me faire à l'idée que, dans ce monde d'illuminés, les fous sont lynchés, et les autres se défoncent pour y ressembler. Chaque vice, chaque illusion, est un moyen de s'évader un peu de cette vérité qui nous met en difficulté : nous ne savons pas profiter. Voyez-vous, je crois que la faute est, bien entendu, dans toutes ces âmes de ratés. La faute est en nous, il serait préférable de ne pas l'oublier. Mais, comment ne pas se distraire en jetant la responsabilité sur le dos de la société? Nous vivons à l'ère de la consommation, de l'amusement. Pourquoi ces besoins? Cela ne m'étonnerait pas que ce ne soit qu'un moyen de tuer le temps qui s'allonge progressivement au fil des générations. La bêtise croît avec l'âge moyen. Car, rien de tout ça n'est nécessaire. Ou, du moins, pas de cette manière. Nul besoin de fumer, boire, se défoncer, ou qu'importe, pour savoir se déhancher, se lâcher, bref, aspirer au rire et au plaisir des mondanités devenus banalités. A cela, on me répondrait, à tort ou à raison, qu'en sais-je, que je suis un frustré.
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Ils sont ce que j'ai ressenti en cet instant. Ils sont ce que j'ai vécu en cette journée. Ils sont ce que je n'ai pas eu la force de supporter plus longtemps. Eux, ce sont ces bribes de mes pensées, ces événements de mon existence, que je personnifie grâce à mon imaginaire. Je les donne en spectacle, dans la lassitude, la solitude, et la lâcheté. Je les transforme en ce que je suis. Je m'amuse à les faire souffrir, à les torturer gaiement, sans relâche, dans l'unique but de me laver la conscience. Pitoyable. Et puis, parfois, cela ne suffit plus. Nos propres créations deviennent trop faibles pour porter un poids qui ne leur incombe aucunement. Ils ne méritent pas d'être traité de cette manière, comme les esclaves de mes fautes, de mes délires, car je n'ai pas le moindre droit sur eux dès lors que je les laisse avec ce souvenir qui était mien. Peut-être suis-je dans l'erreur? Cela importe peu. J'ai décidé de leur céder la liberté qu'ils n'attendent pas vraiment. Je pourrais conter simplement ce qui s'entremêle dans les tréfonds de la matière qui semble me constituer. Je serais capable de traduire ce qui tracasse mes émotions un soir de réflexion. Mais, cela est sans intérêt, surtout lorsque que s'évader de ce monde rend l'oubli envisageable. Comme si la nuit avait la poésie assez mesurée pour adoucir, un temps, ces démons qui dansent joyeusement dans mon esprit. La vérité est que je suis faible. Bien trop pour accepter tout ça. Bien trop pour faire ce que j'ai à faire. Bien trop pour m'élancer dans ce que je ne sais concevoir. L'inconnu est un monde dans lequel je ne souhaite pas m'immiscer sans le connaître auparavant. Et ceci est tout bonnement impossible. Dans notre réalité. Car, ce qui n'est pas vrai ici peut l'être là-bas, dans cet ailleurs qu'on ne voit pas, ne sent pas. Dans celui qu'on s'invente pour se rassurer d'un je ne sais quoi. Je vis dans un rêve cauchemardesque qui n'en finit pas.
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(aussi) Pour avoir lu celui-ci (Maxime Chattam, j'en ai lu plusieurs, mais pas celui cité), c'est accessible et vraiment intéressant, je trouve. Après, tu pourrais lire aussi L'attrape-coeur de Salinger. Et si tu n'es pas trop jeune, le "j'irai cracher sur vos tombes" de Boris Vian (finalement, oublie peut-être Vian, pas sûr que ce soit ton genre :D).
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Maxime Chattam
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Je savais bien que le début me disait quelque chose. Et "l'ombre et la lumière", c'est effectivement une chanson de Calogero et grand corps malade
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Parce qu'apparemment, celui-ci, et un autre que j'avais intitulé "la haine" et mis de ça un moment sur le forum, plaisent pas mal. Celui-ci, je ne l'ai jamais mis ici, parce qu'il est antérieur au sujet de Cosette. Donc, je vous le cite, à défaut de vouloir mettre le neuf, parce que trop récent.
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Participation forumienne du mois - par Mad_World
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Caez dans FFr Mag'
Toujours aussi intéressant à lire
