-
Compteur de contenus
48 051 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par Jedino
-
-
-
-
Bonnet phrygien, phrygien bonnet
Jedino a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Conventionnel, non. Enfin, si on veut. Disons que de nombreux poèmes de cette époque-là étaient sans titre, et donc, pour changer cela, la postérité a décidé de prendre le premier vers, ou une partie de celui-ci. Je ne dis pas le contraire, jeune homme! :) -
Bonnet phrygien, phrygien bonnet
Jedino a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Mettre comme titre le dernier vers. C'est non conventionnel, ça! Tu prends le Moyen-Age à l'envers, là! -
Bah oui! Bande de non culturés Hahaha, sache que je suis à genoux trois fois par jour!
-
Nan mais là c'était trop facile! Ca m'déçoit presque de toi
-
Haha, c'est marrant, mais rien que le titre, et je connaissais déjà la probable référence musicale. J'aurais eu du mal à placer un quelconque plagiat ici (mais je te remercie pour la pub)
-
L'ion de nos amours, voyons! (Pardon)
-
C'est gentil, mais l'bougre n'est pas encore claqué!
-
-
Tsss, j'te crois pas
-
De lion, tu veux dire?
-
Vers liberté, libre esprit Tu meurs de ton non-dit, De ton mensonge ineffable Que ton coeur conte en fable, Longe, longe, l'infini, Avec qui rime ton cri, Perdu dans l'au-delà, Dans l'obscur du là Et l'indécis du si, Loin, tellement loin, De l'ion et du besoin, Brillant de noirceur Et mourant d'heur, Dans l'heure des cieux Où ne reste que les dieux Pour faire d'un incendie L'histoire d'une vie, Torche humaine, lève les yeux : Ange des soirs, ange des feux.
-
Et je suis bien heureux de ne pas en avoir! Faut dire qu'il ne servirait à rien. Cela dit, je vais porter plainte pour plagiat d'idée : l'histoire du QI accumulé, c'est MON idée
-
C'est pas pareil?
-
Vaut mieux un que deux
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Jedino dans Blog de Jedino le bouleau
Ah ça, c'est sûrement parce que pour une fois, je parle de quelque chose qui me concerne. Autrement dit, le "je" ne m'est pas inconnu. -
Bah, un mec avec 180 de QI qui se met avec une huitre de 30, ça fait toujours un QI moyen plutôt élevé de 105. Une bonne famille moyenne, quoi! Merci les maths!
-
Vaut mieux un que deux
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Jedino dans Blog de Jedino le bouleau
Tant mieux! Et je ne connais pas du tout l'auteur et son livre. -
Voilà que tu fais dans le sonnet, maintenant! Cela dit, il est musical, comme souvent chez toi! Surement l'influence de la musique, oui! Mais, je me demandais si t'étais pas amateur de Verlaine, aussi.
-
Elle me dit un bonjour très gentil comme elles savent le faire. Mais à l'écoute de ce qui doit être mon prénom, tout est devenu très trouble dans ma tête. Elle a beau me désigner par ce qui me désigne depuis toujours, je me sens comme étranger à ce mot, à ce nom greffé à mon visage et à mon corps. Ma réponse ne tarde cependant pas par mécanique, car les lèvres prononcent plus vite les choses que les choses ne sont pensées. C'est là la force de l'habitude. Je m'entends à peine, je me sens étranger à moi-même. Les lettres s'estompent, mon identité est oubliée, temporairement dû moins. Je m'oublie. Rien ne parvient à réconcilier la fracture qui traverse mon être. Rien sinon la nécessité, le besoin de se déplacer, toujours machinalement, afin d'être attentif, d'absorber, de fondre dans ma chaire ce que ma chaire ignore encore. Les absences se multiplient pourtant : l'ailleurs m'appelle à travers la fenêtre, vers l'infini du ciel, et aussi l'au-delà, l'abime de ma noirceur, de cette fatigue qui abat mes mouvements et emmêle mes idées. En cet instant, je sais que j'ai un corps, un esprit, parce que je l'apprends depuis toujours, parce que tout le monde me l'annonce ainsi depuis petit. Et cependant, à mesure que je m'écarte du monde, que je note sans y réfléchir chaque parole, je comprends doucement que ce "je" que je pense, que je suis, n'est ni ce que je pense, ni ce que je crois. Comment, sinon, se ressentir comme quittant ce qui me caractérise aux yeux de ceux que je croise tous les jours, dans la rue, dans la classe, dans les rencontres sans importance qui comptent si peu pour les autres et tant pour moi? Il paraît que nous sommes des êtres sociaux, que nos personnalités se construisent avec tous les éléments, même les plus improbables, dans ce qui constitue notre société. Je n'arrive plus, depuis ce jour, à me demander si, en effet, je n'ai pas été, "moi", éclipsé par un monstre social, et que ce monstre cherche à me convaincre que je suis lui. Je me demande, oui, si nous sommes ce que nous disons être, dans nos théories et nos savoirs. Car d'un esprit, nulle trace. D'une identité, pas davantage. Je ne connais et perçois que deux choses : la douleur de mes membres et la souffrance de mes émotions. La souffrance de mon esprit, elle, ne me dit rien, ne me parle pas : si je souffre d'une idée, je la souffre physiquement. Si je souffre d'une pensée, elle me tue intérieurement. Pour le reste, je ne ressens qu'une distance, une séparation qui parfois me guette et remonte en moi en une sensation étrange d'être ce que je suis sans être ce que je dois être.
-
N.B. : Je viens de saisir comment on divisait une citation. Mieux vaut tard que jamais! :D Ah, le sophisme est la quête d'un langage simple et compréhensible plutôt que l'éloquence? Autant pour moi, j'entends des bêtises depuis plusieurs années, alors. Eh bien moi je dis que ce n'est pas un "effet inévitable" parce que ce n'est en rien une nécessité. Il est inévitable que des concepts apparaissent, et que ceux-là soient précis, sans nul doute. Cela ne veut pas dire que ça doit en devenir indécent. Et je suis désolé, mais si vous aimez les grandes pensées métaphysiques, cohérentes pour la plupart, cela ne mène à rien, sinon à s'égarer. Mais, je maintient ma nuance : une expression peut être plus juste sans être complexe. Le problème, ici, est probablement ce que nous entendons chacun par le terme "complexe". Je ne dis pas le contraire, il me semble. Au contraire, je ne pense pas que l'homme soit un être de "raison" en premier lieu. Ce qui ne change rien au problème : je ne vois toujours pas ce qu'est l'esprit dont nous parlons. Pourquoi esprit? Pourquoi pas âme? Pourquoi pas conscience? Ce n'est que pure croyance. Prouvez-moi seulement que l'esprit est un concept pertinent, et que les actions non volontaires sont bien expliquées et explicables par les concepts que nous avons. Vous ne le pourrez pas, sauf par un petit tour de passe passe rhétorique censé prouver que ce qui ne va pas de soi serait nécessaire. Pourquoi serait-ce l'esprit qui fait notre rapport au monde, et non pas le monde qui fait la vision que l'esprit aura de lui? S'il est vrai, je crois, que nous ne pouvons pas nous défaire de ce que nous appelons notre subjectivité, nous aurions tort de penser qu'il faut se limiter à elle, et vous savez très bien que l'objectif, même illusoire, de toute science est justement de s'en défaire. En revanche, votre première proposition ne me semble pas si évidente : l'esprit dont vous considérez l'action si puissante que nul ne peut y échapper n'a rien d'évident, et le compenser par une théorie de l'inconscient (car c'est bien de quelque chose de ce goût-là dont vous me parlez) n'a pas valeur d'argument. Vous avez simplement foi en cela, sous-prétexte que des effets appellent une cause que nous mettons en théorie et prenons pour ce qui est, sans même le savoir. L'incapacité relative des soins psychiatriques devrait pourtant suffire à poser la question de la véritable pertinence du concept-même. Parlons-nous vraiment de philosophie, là? De cette science qui entend parvenir au vrai? Ou parlons-nous de croyances qui façonnent la réalité selon le bon vouloir de celui qui se veut philosophe? Sur tout ce qui est, tant à nos yeux que au-delà de nos yeux, tout en restant visible. J'ai une définition très "physique" de la réalité. Votre corps, ce qui le constitue, les cellules et atomes qui le composent, mais aussi les étoiles, visibles ou non, sont la réalité. Bref, le sensible, qu'il le soit directement ou non. L'esprit, dont nous ignorons tout, sauf quelques aspects extérieurs nous laissant penser que nous le connaissons (ce qui est très faux), mais aussi le monde intelligible à la Platon, ne font pas partis de ce que je mets dans le terme de réalité. Globalement, la matière. Jusqu'à preuve de l'existence d'un monde qui ne l'est pas, en tous les cas, ce que je doute connaître de mon vivant, si tel est le cas. A défaut, je ne spécule pas à ce propos, car je ne peux qu'être dans le faux. Je ne dis pas le contraire. Alors nous ne sommes pas d'accords sur la compréhension même du terme de vulgaire, et j'aurais mal saisi l'ensemble. Si vous parlez bien d'un propos simpliste, cela n'a aucune valeur philosophique. S'il est dans une expression simple, sans être simpliste, nous sommes effectivement en désaccord. La première citation de ce bloc me laisse penser que le second cas serait plutôt celui qui est vrai, ici. Lorsque vous vous exprimez par réponse à quelqu'un, je n'ai aucun mal à comprendre. Le sujet même de départ était plus complexe car très métaphorique, en partie. Non que la métaphore soit un souci, mais qu'elle ne permet pas toujours d'éclaircir un propos. Puis, j'étais fatigué, ce qui n'était surement pas à comprendre sans le moindre effort (mais si le but était de réfléchir, cela ne doit pas apparaître pour vous comme une faiblesse, bien au contraire). Et, je n'attribue pas d'inclination : ranger quelqu'un dans une catégorie, quelle qu'elle soit, ne m'intéresse pas. J'essaie au mieux de répondre à son propos, là, dans l'immédiat. C'est tout. Et c'est tout à votre honneur, en un sens. Mais vous deviez vous attendre à une certaine opposition sur le fond, non? Eh bien, à la lecture du dernier paragraphe, nous commençons à être d'accord. Et c'est bien ce que je soulignais plus haut, donc : tout était dans le sens de "complexe". En cela, oui, le propos devient complexe. Et ça demande une maîtrise du langage, c'est évident. On ne peut pas jouer avec les mots et les idées sans une certaine maîtrise. En revanche, on peut le comprendre. Maintenant, la question est l'écriture. Je ne crois pas que nous soyons, dans les grandes lignes, sur une longueur d'onde différente. Oui, il faut une certaine expérience philosophique pour écrire, ne serait-ce que pour en comprendre les rouages, qu'on les discute ou non. Et oui, il faut une certaine connaissance du langage, intuitive ou non. Ce qui me chagrinait, en réalité, c'était le rejet du vulgaire, comme si le fait de s'y essayer était négatif. Ne pensez-vous pas qu'avant de savoir, il faut apprendre? Cela suppose une lecture et une écriture, non?
-
Carrément, ouai!
-
Ca ne justifie pas une telle trahison!
-
T'avais bien commencé, t'as mal fini! Mais bon!
