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Tout ce qui a été posté par Jedino
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J'écoute beaucoup de metal, et principalement du metal "extrême". Et elles me font danser aussi, de part leurs énergies. C'est vraiment une question de goût.
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Personne ne t'en voudras :)
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La haine. C'est à la mode, tout ça, un peu. L'apprécier, je ne sais pas. Je ne peux t'expliquer comment. J'apprécie, c'est tout.
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Il l'a tout autant fait. Et entre gamin ,faut se provoquer. S'il avait mis, "je n'aime pas", je n'serais même pas là à me justifier pour une chose sans intérêt. On ne peut pas plaire à tout le monde. Mais oui, c'est considéré comme l'un des plus grands du rap. Et tout dépend des petits. Et difficile de comparer un petit à un grand. Car le petit devenu grand, que ferait-il?
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Va écouter Manau. Va écouter Eminem. Va même écouter fort minor, qui est bien moins connu. Va écouter les grands groupes de raps, et tu trouveras d'aussi bons textes qu'autres parts. Tu n'aimes pas la manière dont ils écrivent? Soit. Mais de là à dire que c'est de la merde. Puis-je connaitre ton genre musical, que je puisse l'insulter ouvertement aussi? Et oui, tu en as qui font ça avec les belles nanas et les insultes de partout. Mais tu trouves la même chose dans les autres styles musicaux. (ah oui, au faite, je suis un metalleux, si tenté de donner un sens à ces classements de genre) Et désolé si j'ai l'air méchant, ou quoi que ce soit, mais ce genre de remarque, c'est tout juste déplacé.
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L'espoir est trop haut, le désespoir trop bas. Pourtant, sans l'espoir, nous ne pouvons aimer la vie, et sans le désespoir, nous ne pouvons pas nous dire qu'il est beau de l'aimer.
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La vie n'est-elle pas ce chemin tortueux, ce chemin rencontrant ici et là des collines? Ne devons-nous pas chaque jour buter face à elle, et trouver le courage d'affronter sa pente pour arriver en haut? Car si difficultés est son ascension, plus belle est sa descente. Mais parfois s'offre à nous de véritables montagnes, à ces airs si insurmontables, que l'on préfère souvent laisser tomber. Et c'est ainsi que s'inscrit tout l'intérêt de s'associer aux autres, afin de trouver le col qui nous mènera au-delà. C'est ainsi que je vois la vie : une longue et éternelle promenade, parfois épuisante, d'autre fois distrayante, mais suffisamment chaotique pour ne pas être ennuyeuse.
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Ne sachant que faire de mes mains fébriles, je les posais sur mon front. Un acte que l'on aurait presque confondu si je n'effectuais pas une pression de mes faibles forces, comme si cela me permettait de diminuer un peu la douleur qui me brûlait la tête. Impuissance, pourquoi était-elle avec moi? Je ne savais que faire contre ce démon venu de l'intérieur. Devais-je frapper, me frapper? Devais-je me détruire pour, le temps d'un court instant, oublier ce mal qui me tue et me tient pour prisonnier? Ca n'avait aucune importance car, pour le moment, j'étais parfaitement incapable de réfléchir, ou même penser, et ne pouvais me retenir de me flanquer quelques torgnoles mal placées.
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J'en chiale presque.
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J'ai lu aujourd'hui "j'irais cracher sur vos tombes".
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Trésor, que tu sois de velours ou de soie, d'or ou de diamant, je te prie de ne jamais me rencontrer. Je n'aime pas l'argent, et encore moins en posséder, parce qu'elle assombrit les cœurs et corromps les âmes, car je pense que nous ne sommes riches que des autres, de ce qu'ils nous apportent, et surtout, de ce que nous faisons pour eux. Que valent des capitaux à côté d'un remerciement sincère? Que valent des dollars à côté d'un sourire? Ne réfléchissez plus, n'hésitez plus. Le choix, nous ne l'avons pas. Il vous faudra de toute manière brasser l'argent, à vous étouffer sous la dette et l'anxiété de ne pas pouvoir rembourser à la fin du mois. Il vous faudra oublier ce que vous êtes : un humain, sensible, vivant, nait pour donner, et non pour se faire prendre, afin de ne pas nuire au système transformant doucement l'être en machine.
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Pourquoi citer un autre exemple? Un seul ne te suffit pas? M'enfin. Tu peux très bien citer certains exemples mathématiques ou les jeux de hasard, comme on les appelle, tel que le loto. L'exemple est plus idiot, moins dans le sujet, mais c'est également cela. Et pourquoi ne pas appeler cette force ou interaction "dieu"? Est-ce une hostilité envers ce mot qui empêche son utilisation? Ais-je dit que ce "dieu" est une personne comme nous? Non, j'ai même dit que je trouvais cela non représentatif de la probable entité ou force, ou quelconque chose à l'origine du tout. J'emploie "dieu" pour désigner cette force créatrice. Est-ce donc être focalisé que de le nommer ainsi?
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Ce jour là, tu avais pris ta décision. Ton désir était de partir, de voguer vers l'inconnu. Tu pensais qu'en fuyant ta douleur tu finirais par t'en détacher. La vie ne t'as pas gâté, et tu n'as pas su l'affronter, lui dire que c'en est assez, que tu n'en pouvais plus. Alors, tu es partie. Envolée comme le fond trop de personnes. Tu croyais qu'en abandonnant tout tu finirais par te libérer de tes démons de souvenirs, que ton avenir se reconstruirait au delà de Paris, ville de rêves et de fantasmes, qu'à des milliers de kilomètres, tout serait si différent. Mais en bientôt un an, tu sembles avoir compris qu'il est impossible d'échapper à notre passé, que tu es prisonnière à jamais de tes erreurs et de tes faux pas. Depuis, je ne t'ai parlé que trois ou quatre fois, et attends à chaque fois un partage de quelques heures entre nous. Je ne saurais le décrire mieux que toi, comment t'exprimer à quel point il est jouissif pour moi de converser avec toi. Tu es la muse dont j'ai toujours rêvé dans mon esprit futile, tu es l'idéal que j'espère et que tout le monde rejette. Tu es la souffrance que je demande à tout instant, et qui me procure ce qu'on appelle communément, le bonheur.
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La mort est une fonction de la vie. Tu n'attends pas la mort. Tu es la mort.
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Je réponds pour répondre au post de la personne ayant ouvert le sujet. Et oui, je m'en excuse, mais je n'ai pas eu le courage de lire toutes les pages, surtout quand je vois que ça se chamaille plus ou moins sur le sujet. Alors, je ne sais pas si je vais rentrer dans un "parti" ou ne faire que répéter, mais bon. Ce sera chose faite, en tout cas. Donc, d'après la science (et j'apprécie la science pour les preuves qu'elles apportent), le hasard fait parti intégrante de la vie, comme la fécondation. Donc oui, je pense pouvoir croire que le hasard a fait beaucoup. Néanmoins, le hasard ne reste pas plus qu'une fonction parmie une autre, conférant au vivant la capacité à rendre incertain le monde déterminé dans lequel ce vivant évolu. Néanmoins, là où tu marques un point, c'est sur le fait que l'enchainement semblant idéalement calculé peut paraitre trop "parfait" pour être la conséquence du hasard. Ce qui en soit n'est pas tout à fait impossible, car le hasard permet une issue positive ou négative, dans l'idée. Même si ces "valeurs" données à ces issues sont pures créations de notre jugement car, dans l'idée, rien n'est "bon" ou "mal" dans l'évolution de l'univers. Partant de là, on peut considérer un "dieu". Non, pas dieu. Mais un dieu. Et là se pos le problème religieu. Faut-il le prier, par des prières érigées en son nom, ou le prier, en jouissant de ce qu'il nous a offert? Faut-il rejoindre cette religion plutôt qu'une autre, car plus représentative de lui, bien que ce "lui" soit mauvais, car cela lui donne un caractère anthropomorphique? Je crois, personnellement, en l'existence d'un être, tout croyant en la science. Cela ne semble pas possible. Cela semble être une solution de facilité. Pourtant, je trouve que c'est deux choses ne sont pas si distinctes. C'est par la deuxième qu'on prouvera (surement jamais) l'existence de la première. Mais oui, ce jour là, ca ne donnerait plus aucun sens au fait d'y croire. Bref, le sujet est complexe, sans réponse, et source de conflits. Je vous laisse donc, ne souhaitant pas m'étaler de trop. Mais restez courtois : n'oubliez pas que "lui" vous regarde là-haut.
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Ecorcher le français, abus de langage, etc.
Jedino a répondu à un(e) sujet de Y-S dans Actualités - Divers
La présentation et l'effort suffisent pour ceux dont le sujet intéressent. Pas la peine en effet de ne faire aucune faute. Même les plus grands n'y arrivent pas sans se corriger ou se faire corriger plusieurs fois. La perfection est, autant ici qu'ailleurs, impossible à atteindre, je pense. Enfin, me direz-vous, tout dépend de la taille du message ou du texte, et également du nombre de relecture. Personnellement, les fautes ne me dérangent pas. Je préfère le fond à la forme. Mais j'apprécie malgré tous les efforts, et ne peut nier le fait que je me plais mieux à discuter avec une personne dont le français sera "meilleur" au niveau du vocabulaire, de la grammaire et de l'orthographe. Je pense que nous sommes là, comme pour de nombreuses choses, dépendant de notre attente et de notre manière d'être et de vouloir. -
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