Oups
Vers liberté, libre esprit
Tu meurs de ton non-dit,
De ton mensonge ineffable
Que ton coeur conte en fable,
Longe, longe, l'infini,
Avec qui rime ton cri,
Perdu dans l'au-delà,
Dans l'obscur du là
Et l'indécis du si,
Loin, tellement loin,
De l'ion et du besoin,
Brillant de noirceur
Et mourant d'heur,
Dans l'heure des cieux
Où ne reste que les dieux
Pour faire d'un incendie
L'histoire d'une vie,
Torche humaine, lève les yeux :
Ange des soirs, ange des feux.
6 Commentaires
Commentaires recommandés