poésie
Le regard si doux de ceux qui aiment encore
Ravivant l'éclat sombre et peureux des noirs soirs
Bruissement insaisissable de ce trésor
Qui perce son torse, s'empare de la caresse
Qu'il aime
Des lèvres fraîches coulent sur des feux trop vifs,
Les éteignent - l'étreinte fatiguée, calme,
Folle et cruelle, elle couvre son cou naïf
Comme fantomatique, fuis, crie et clame,
L'amour
Alors elle se couche,
Sur l'exil forcé, lourd.
Sous les larmes se cachent,
Le décompte des jours.
4 Commentaires
Commentaires recommandés