Lolilol. Il a remis ça! (j'entends par là, le sondage)

Non mais Magitte, c'est un monsieur bizarre. J'aime pas les messieurs bizarres.

Tu remarqueras que je ne parle pas (jamais, ou rarement) de tes poèmes. C'est vraiment ridiculement bas!

Tu noteras quand même que ce sondage est moins exigeant que le premier (ce qui ne m'empêchera pas d'être déçu, je le sens bien).

Oui, j'avais remarqué.

Tu noteras tout de même ton oubli fondamental qui est de préciser ce que tu entends concrètement au niveau des nuances entre les termes.

C'est que j'ai appris que j'étais tout à fait mauvais en commentaire de texte!

Je ne noterai rien du tout. Je trouverais ça insultant de préciser la nuance qu'il y a entre "bien" et "beaucoup".

Je ne demande absolument rien d'objectif, juste un ressenti ; si ça t'a plu, tu coches "j'aime beaucoup" ou "j'aime bien" selon ton enthousiasme, si tu trouves ça ennuyant ou mauvais tu choisis "je n'aime pas" ou "je n'aime pas du tout". C'est tout.

Si ce n'est que mon cerveau de moule ne fait pas la nuance entre "aimer" et "aimer".

C'est comme dire que "réfléchir beaucoup" est au-dessus de "réfléchir bien". Ca n'a aucun sens

Ce sont les machines qui gambergent en binaire, pas les moules.

Et d'où tiens-tu une information pareille? Une moule ne réfléchit pas en "ouvert" et "fermé", peut-être?!

Je ne suis pas expert en biologie de la moule mais j'ose imaginer qu'elle est capable de s'ouvrir plus ou moins selon qu'elle veuille se nourrir ou se reproduire par exemple - je dis par exemple mais je pense avoir ainsi fait à peu près le tour des diverses activités d'une moule.

Donc, ça ne s'arrête pas simplement à "ouvert" et "fermé" ; il faut prendre en compte l'angle d'ouverture qui n'a pas que deux valeurs possibles.

J'ai bien aimé. Toujours plaisant à lire. Et les références en bas de page sont sympas aussi (c'est surtout sympa pour l'éditeur dans 3000 ans si un jour t'es publié, l'aura pas besoin de se casser l'anus à expliquer les refs du 20-21e siècle. Enfin je suppose que dans 3000 ans les éditeurs n'existeront plus et on aura tous des puces électroniques greffées dans le cerveau avec une bibliothèque numérique).

Cela dit la fin du poème...

"Wesh mad'moiselle, le mirroir vraiment fantastique brille dans tes yeux ! Hé mad'moiselle, t'as kiffé ? Quoi t'aimes pas les compliments ?!"

Enfin bon, je mets ça sur le compte de l'effet bébés dalmatiens.

:smile2:

J'ai bien aimé. Toujours plaisant à lire. Et les références en bas de page sont sympas aussi (c'est surtout sympa pour l'éditeur dans 3000 ans si un jour t'es publié, l'aura pas besoin de se casser l'anus à expliquer les refs du 20-21e siècle. Enfin je suppose que dans 3000 ans les éditeurs n'existeront plus et on aura tous des puces électroniques greffées dans le cerveau avec une bibliothèque numérique).

Être édité serait une première chose mais de là à encore l'être dans 3 000 ans ! Surtout que je pense que l'homme aura causé sa disparition d'ici là. :p

Cela dit la fin du poème...

"Wesh mad'moiselle, le mirroir vraiment fantastique brille dans tes yeux ! Hé mad'moiselle, t'as kiffé ? Quoi t'aimes pas les compliments ?!"

Enfin bon, je mets ça sur le compte de l'effet bébés dalmatiens.

:smile2:

Effectivement, il y a une volonté de mièvrerie dans ces derniers vers mais je ne la considère que comme une apparence, un premier niveau de lecture.

Quand je les ai écrits, je pensais à tout autre chose : si les yeux sont le miroir de l'âme et que l'amour rend aveugle, l'image qu'on a de l'être aimé est biaisée, d'une beauté (extérieure comme intérieure) imaginaire, d'où une dimension fantastique.

En outre, j'aime à relier amour et égocentrisme dans mes textes et soutiens donc dans la dernière strophe la thèse qu'on aime autrui pour l'image de nous-mêmes qu'il nous renvoie ; on croit voir l'autre alors qu'on se regarde soi-même, d'où ses yeux sont des miroirs déformants

C'est marrant parc' que je m'étais fait justement la réfléxion "Fantastique ? Au sens qui existe dans l'imagination ?" avant de me rappeler d'une blague que j'avais lu hier, à savoir "quand on boit de l'alcool on est alcoolique, quand on boit du Fanta on est..." ce qui a pas vraiment du me réussir mentalement...

Mais bref, en effet je suis passé à côté du sens véritable, ça m'apprendra ^o^

Franchement, un plaisir.

Celui-ci, tu l'as franchement bien réussi !

J'accroche :).

J'aime beaucoup la fin notamment, très bien trouvée.

Bref, toujours de bons textes plaisant à lire !

C'est marrant parc' que je m'étais fait justement la réfléxion "Fantastique ? Au sens qui existe dans l'imagination ?" avant de me rappeler d'une blague que j'avais lu hier, à savoir "quand on boit de l'alcool on est alcoolique, quand on boit du Fanta on est..." ce qui a pas vraiment du me réussir mentalement...

Mais bref, en effet je suis passé à côté du sens véritable, ça m'apprendra ^o^

Jésus Khrist te pardonne, ma fille, mais tâche d'arrêter le Fanta.

Franchement, un plaisir.

Celui-ci, tu l'as franchement bien réussi !

J'accroche :).

J'aime beaucoup la fin notamment, très bien trouvée.

Bref, toujours de bons textes plaisant à lire !

Merci pour ton commentaire. :)