Le bonheur c'est l'épuisement !

il y a 1 minute, G2LLOQ a dit :

les 3B   traditionnels  tout simplement  !

Bach Beethoven Brahms ?

Ou version gourmande :

 Brioche Baba au Rhum Bûche de Noël !

Ou locale (varoise) :

Brignoles 

Belgentier

Brue Auriac ...

Internationale :

Berlin

Belgrade

Beijing 

OU française :

Baris

Byon

Barseille

Il y a 22 heures, G6K972 a dit :

C'est quoi le bonheur de l’épuisement...

Le bonheur à un moment  ça t'anesthésie, tu finis par végéter et te faire chier.

Tandis que les difficultés, les gros emmerdements ça te donne une énergie incroyable.

Il y a 3 heures, Je vis au cimetière a dit :

Le bonheur à un moment  ça t'anesthésie, tu finis par végéter et te faire chier.

Tandis que les difficultés, les gros emmerdements ça te donne une énergie incroyable.

Pas très convaincante ta démonstration...

Il y a 15 heures, Je vis au cimetière a dit :

Le bonheur à un moment  ça t'anesthésie, tu finis par végéter et te faire chier.

Tandis que les difficultés, les gros emmerdements ça te donne une énergie incroyable.

Il y a 11 heures, G6K972 a dit :

Pas très convaincante ta démonstration...

Je dirais pas ça ! J'avais écrit une autre fois : 'le bonheur c'est l'ennui !' il me semble ... En tout cas je comprends @Je vis au cimetière !

A part ça j'ai hésité au départ : paradoxe ou oxymore puis en réfléchissant je me suis dit :

"le bonheur c'est l'épuisement" c'est un paradoxe et un "épuisement heureux", ce serait plutôt ça l'oxymore. 

Votre avis ?

il y a 49 minutes, Engardin a dit :

Je dirais pas ça ! J'avais écrit une autre fois : 'le bonheur c'est l'ennui !' il me semble ... En tout cas je comprends @Je vis au cimetière !

A part ça j'ai hésité au départ : paradoxe ou oxymore puis en réfléchissant je me suis dit :

"le bonheur c'est l'épuisement" c'est un paradoxe et un "épuisement heureux", ce serait plutôt ça l'oxymore. 

Votre avis ?

Tant que nous consentons à l’effort que nous produisons, on peut dire, qu’il y aura toujours une satisfaction de nous-même dans le résultat obtenu. Extérieurement (pour la tâche accomplie). Intérieurement (pour notre propre dépassement). En cela, ma joyeuse peine épuisante, pourrait s’apparenter davantage à un oxymore paradoxal, quand j’agis en toute liberté. 

Il y a 3 heures, G6K972 a dit :

Tant que nous consentons à l’effort que nous produisons, on peut dire, qu’il y aura toujours une satisfaction de nous-même dans le résultat obtenu. Extérieurement (pour la tâche accomplie). Intérieurement (pour notre propre dépassement). En cela, ma joyeuse peine épuisante, pourrait s’apparenter davantage à un oxymore paradoxal, quand j’agis en toute liberté. 

Génial ! La notion "d'oxymore  paradoxal" ! 

Je réfléchis : moins par moins ça fait ?   +  !

Et dans notre cas présent ?

" Le bonheur c'est trop bien !" 

J'argumente ou c'est pas la peine ?

il y a 50 minutes, Engardin a dit :

Génial ! La notion "d'oxymore  paradoxal" ! 

Je réfléchis : moins par moins ça fait ?   +  !

Et dans notre cas présent ?

" Le bonheur c'est trop bien !" 

 

J'argumente ou c'est pas la peine ?

Libre à toi d’argumenter, si tel est ton bonheur...

Le bonheur c’est trop bien, même s'il nous en coûte un certain effort... Mais dans l’absolu, ça reste chiant finalement, car c’est après coup que nous l’apprécions le plus et le mieux...

Le 09/07/2025 à 16:06, Je vis au cimetière a dit :

Le bonheur à un moment  ça t'anesthésie, tu finis par végéter et te faire chier.

Tandis que les difficultés, les gros emmerdements ça te donne une énergie incroyable.

Donc ça pimente l'existence, d'après toi. Faut quand même qu'il soit juste d'Espelette le "piment" car tout dépend de quelles difficultés il s'agit.

Les difficultés surmontées font partie d'un tout et donc du bonheur vécu, parfois entaché du fait des difficultés à surmonter mais pas disparu pour autant, sauf... en cas d'épreuve existentielle nous paraissant insurmontable, tel un deuil par exemple.

Si seulement on pouvait les éviter, ces épreuves-là annihilant toute notre énergie vitale !...

Je fais partie de ceux qui préfèrent le bonheur au malheur et le bonheur n'empêche aucunement de faire tout un tas de choses selon ses centres d'intérêt. Non on ne s'y emmerde pas, dans le bonheur !

Il y a 7 heures, G6K972 a dit :

(...) Le bonheur c’est trop bien, même s'il nous en coûte un certain effort... Mais dans l’absolu, ça reste chiant finalement, car c’est après coup que nous l’apprécions le plus et le mieux...

Quand on l'a perdu, tu veux dire ?

Je persiste et signe: je réfute quant à moi ton "chiant".

Il y a 1 heure, Passiflore a dit :

 

Donc ça pimente l'existence, d'après toi. Faut quand même qu'il soit juste d'Espelette le "piment" car tout dépend de quelles difficultés il s'agit.

Les difficultés surmontées font partie d'un tout et donc du bonheur vécu, parfois entaché du fait des difficultés à surmonter mais pas disparu pour autant, sauf... en cas d'épreuve existentielle nous paraissant insurmontable, tel un deuil par exemple.

Si seulement on pouvait les éviter, ces épreuves-là annihilant toute notre énergie vitale !...

Je fais partie de ceux qui préfèrent le bonheur au malheur et le bonheur n'empêche aucunement de faire tout un tas de choses selon ses centres d'intérêt. Non on ne s'y emmerde pas, dans le bonheur !

 

 

Quand on l'a perdu, tu veux dire ?

Je persiste et signe: je réfute quant à moi ton "chiant".

Non, après l’effort que nous avons fourni pour l’obtenir... Le côté chiant du bonheur de ce fait...

il y a 1 minute, G6K972 a dit :

Non, après l’effort que nous avons fourni pour l’obtenir... Le côté chiant du bonheur de ce fait...

Son côté chiant ? Je ne comprends pas.

Selon ta propre expérience, quand tu es parvenu au bonheur ta vie est vite devenue sans intérêt et ennuyeuse ? C'est cela que je ne comprends pas, qu'il puisse en être ainsi.

il y a 11 minutes, Passiflore a dit :

 

Son côté chiant ? Je ne comprends pas.

Selon ta propre expérience, quand tu es parvenu au bonheur ta vie est vite devenue sans intérêt et ennuyeuse ? C'est cela que je ne comprends pas, qu'il puisse en être ainsi.

Non, le côté chiant du bonheur, c'est l’effort qu’il faut fournir pour l’atteindre d’une part, puis, celui qu’il faut fournir pour le conserver. Mais non, sinon ma vie n’est pas devenu ennuyeuse je veille aux grains pour pas que cela passe. 

Le 08/07/2025 à 13:46, Engardin a dit :

...

Une le  bonheur du travail, de travailler, de l'effort. Le corps qui souffre (un peu ! Un minimum !) qui s'essouffle, les muscles qui s'échauffent, qui fonctionnent comme une mécanique bien huilée, une vraie présence au monde, la réussite venant comme une récompense MERITEE !

....

J'ai encore plein d'épuisements qui m'attendent : CHIC !

 

Houlàààààààààààà! Est-ce que tu réalises, Manu, que tu as goûté la joie (et la compréhension ultime!!!) ... du SPORT!!! A l'insu de ton plein gré!

Pour le coup, j'en souris d'aise et de satisfaction!

Tout seul, t'as trouvé tout seul! Aucune argumentation n'aurait pu/su être aussi efficace. Surtout venant d'un/e sportif/ve. Hein?

Peut-être regarderas-tu les "fêlés" trottineurs (ou autres) en short d'un autre oeil... Même à 77 ans et 7 mois passés. (Bah oui, les mois aussi ça compte, tricheur méridional!)

Moi, j'en éprouve un plaisir tout neuf! Merci!

Bisous

Du coup, je réédite... Tu te rends compte ???.... Presque ton titre, ça aurait pu être  : "LE BONHEUR C'EST LE SPORT". Une apothéose pour moi... Sans l'ombre d'une arnaque de ma part!!!

Il y a 23 heures, Elfière a dit :

Houlàààààààààààà! Est-ce que tu réalises, Manu, que tu as goûté la joie (et la compréhension ultime!!!) ... du SPORT!!! A l'insu de ton plein gré!

Pour le coup, j'en souris d'aise et de satisfaction!

Tout seul, t'as trouvé tout seul! Aucune argumentation n'aurait pu/su être aussi efficace. Surtout venant d'un/e sportif/ve. Hein?

Peut-être regarderas-tu les "fêlés" trottineurs (ou autres) en short d'un autre oeil... Même à 77 ans et 7 mois passés. (Bah oui, les mois aussi ça compte, tricheur méridional!)

Moi, j'en éprouve un plaisir tout neuf! Merci!

Bisous

Du coup, je réédite... Tu te rends compte ???.... Presque ton titre, ça aurait pu être  : "LE BONHEUR C'EST LE SPORT". Une apothéose pour moi... Sans l'ombre d'une arnaque de ma part!!!

Tu penses bien qu'en écrivant ça je me suis dit : mais qu'est-ce qu'elle va en dire ?...

(Toi !) 

L'épuisement qui nous inonde d'endorphine...

Pff ! C'est quasiment du bonheur chimique ! 

Enfin mécanique puis chimique ! Bref, le bonheur n'est plus ce qu'il était !... 

Le 17/07/2025 à 12:33, Engardin a dit :

Tu penses bien qu'en écrivant ça je me suis dit : mais qu'est-ce qu'elle va en dire ?...

(Toi !) 

L'épuisement qui nous inonde d'endorphine...

Pff ! C'est quasiment du bonheur chimique ! 

Enfin mécanique puis chimique ! Bref, le bonheur n'est plus ce qu'il était !... 

Il y a peut-être deux volets à ce "bonheur".

Un, comme tu dis, serait lié à cette euphorie de la fatigue de l'épuisement musculaire. Comme un survoltage ! Un court-circuit ! Qui allume un... arc électrique !

Et puis un autre plus "catastrophique" (?) qui serait marqué par le refus ou l'impossibilité de toute réaction. Le laisser aller total. La démission.  L'abandon. Quand on n'a même plus la force de s'insurger...