Qui établi les normes qui définissent le hors...norme

il y a 9 minutes, zenalpha a dit :

Et tu ne peux pas grand chose pour construire les autres

Non seulement je ne peux pas grand chose à ce niveau là, mais ce n’est nullement ma vocation. Je ne suis là que pour comprendre ce qui m’entoure, ainsi, que ce moi même. Il m’a été donné d’évoluer en ce bas monde sans pour autant perdre de vue ce qui est important donc primordial, tout en relativisant sur ce qui est moins important, donc secondaire. Ainsi j’en déduis que l’individus prime sur le groupe, et que la qualité d’un groupe ne tient qu’à la qualité des individus qui le composent. En cela tout individus cherchant à s’améliorer personnellement, cherchent forcément, le souhaitant, ou pas, l’amélioration du groupe. Voilà pourquoi qu’être d’accord ou pas d’accord dans le groupe, n’a pas une si grande importance que ça au final. 

il y a 13 minutes, Axo lotl a dit :

je crois que ça existe, mais mes connaissances en philo sont limitées

De même pour les miennes 

il y a 6 minutes, G6K972 a dit :

il y a 19 minutes, Axo lotl a dit :

 

De même pour les miennes 

Mais oui ça existe bel et bien. 

Il y a 5 heures, Enchantant a dit :

Si je comprends bien vos remarques, ce que vous appelez la loi naturelle c’est la loi du plus fort ? (Et vous avez raison)

Effectivement c’est la loi qui s’applique dans le monde des animaux sauvages mais aussi de certains peuples qui envahissent le pays voisin au prétexte qu’ils sont plus forts.

Pour éviter ces meurtres à répétition, les humains ont pensés avec raison et justesse que de déléguer à des élus un pouvoir de décision temporaire, au moyen d’un bulletin de vote favorisait la loi des plus nombreux au détriment du plus fort, c’est ce que nous désignons comme "La Démocratie".

Comme Winston Churchill le disait si justement en tirant une bouffée sur son cigare :

 « La démocratie, c’est le pire des systèmes à l’exclusion de tous les autres... » 

Quelque part dans le sujet, j'ai lu que la "nature" n'était pas du tout anarchique. Hors je conçois qu'elle soit régie par des lois très strictes (je n'avais pas en tête que les lois ou les règles étaient contradictoire avec l'anarchie), mais pour autant il n'y a pas de chef d'orchestre, mais il y a des "chefs" au sein des espèces organisées hiérarchiquement.

J'ai lu aussi quelque part (malheureusement je ne sais plus où, ni les termes exacts) que la vision de la loi du plus fort appliquée à la nature était une vision typiquement issue d'une société où une telle constante règne. Dans les sociétés où la loi du plus fort n'est pas au goût du jour, alors la nature apparaît comme un lieu où règne l'entraide, ou la complémentarité. Ce que j'en comprends, c'est que nous avons tendance à retenir les aspects qui nous semblent familiers ou qui nous sautent aux yeux.

Pour en revenir au sujet, je me suis demandée si, au lieu d'être une utopie (une idée vers laquelle tendre), l'anarchie ne serait pas une nostalgie (un regret pour quelque chose de perdu). Mais c'était une idée pas du tout travaillée, et qui n'a pas vraiment de pertinence au final!

Je pensais que la démocratie était aussi une utopie, mince alors!

Il y a 1 heure, Ambre Agorn a dit :

Quelque part dans le sujet, j'ai lu que la "nature" n'était pas du tout anarchique. Hors je conçois qu'elle soit régie par des lois très strictes (je n'avais pas en tête que les lois ou les règles étaient contradictoire avec l'anarchie), mais pour autant il n'y a pas de chef d'orchestre, mais il y a des "chefs" au sein des espèces organisées hiérarchiquement.

J'ai lu aussi quelque part (malheureusement je ne sais plus où, ni les termes exacts) que la vision de la loi du plus fort appliquée à la nature était une vision typiquement issue d'une société où une telle constante règne. Dans les sociétés où la loi du plus fort n'est pas au goût du jour, alors la nature apparaît comme un lieu où règne l'entraide, ou la complémentarité. Ce que j'en comprends, c'est que nous avons tendance à retenir les aspects qui nous semblent familiers ou qui nous sautent aux yeux.

Pour en revenir au sujet, je me suis demandée si, au lieu d'être une utopie (une idée vers laquelle tendre), l'anarchie ne serait pas une nostalgie (un regret pour quelque chose de perdu). Mais c'était une idée pas du tout travaillée, et qui n'a pas vraiment de pertinence au final!

Je pensais que la démocratie était aussi une utopie, mince alors!

Que la nature produise des chefs, n’est pas véritablement là le problème. Que nous ayons tendance à lier ce qu’on observe dans la nature avec ce que nous connaissons, ou ce qui nous est familier, n’est pas non plus le problème . Que nous percevions la nature comme anarchique,  démocratique, pacifique, ou, autre, n’est nullement un problème non plus. Nous sommes nous même des produits de cette nature et nous appartenons de ce fait à cette nature. Le souci réside dans  nos propres comportements avec nous même, qui nous poussent à nous exploiter les uns les autres, non pas pour le bien ou l’équilibre de l’ensemble, mais, simplement pour servir des égos frustrés et avides de pouvoir. Ces êtres qui n’en sont pas moins humains pour autant, sont prêts, dans leur ascension au pouvoir, à rompre un équilibre pour assouvir leurs fantasmes de domination de la planète. C’est donc là que nous devons nous poser des questions sur la réelle importance de ces faits de société et nous demander jusqu'à quelle point devons-nous laisser faire et tolérer tout ceci sans broncher, ni lancer d’alerte en vers la masse aliénée par tous ces comportements belliqueux et décalés. N’est il pas de la responsabilité publique,  en cela de nôtre responsabilité à tous d’être les garants de l’équilibre de notre monde ??? Voilà c'est cela le véritable questionnement à travers le sujet abordé. Le reste n’est que secondaire. 

Il y a 8 heures, G6K972 a dit :

Que la nature produise des chefs, n’est pas véritablement là le problème. Que nous ayons tendance à lier ce qu’on observe dans la nature avec ce que nous connaissons, ou ce qui nous est familier, n’est pas non plus le problème . Que nous percevions la nature comme anarchique,  démocratique, pacifique, ou, autre, n’est nullement un problème non plus. Nous sommes nous même des produits de cette nature et nous appartenons de ce fait à cette nature. Le souci réside dans  nos propres comportements avec nous même, qui nous poussent à nous exploiter les uns les autres, non pas pour le bien ou l’équilibre de l’ensemble, mais, simplement pour servir des égos frustrés et avides de pouvoir. Ces êtres qui n’en sont pas moins humains pour autant, sont prêts, dans leur ascension au pouvoir, à rompre un équilibre pour assouvir leurs fantasmes de domination de la planète. C’est donc là que nous devons nous poser des questions sur la réelle importance de ces faits de société et nous demander jusqu'à quelle point devons-nous laisser faire et tolérer tout ceci sans broncher, ni lancer d’alerte en vers la masse aliénée par tous ces comportements belliqueux et décalés. N’est il pas de la responsabilité publique,  en cela de nôtre responsabilité à tous d’être les garants de l’équilibre de notre monde ??? Voilà c'est cela le véritable questionnement à travers le sujet abordé. Le reste n’est que secondaire. 

Il n'y a jamais eu autant de lanceurs d'alertes, de principes de précaution et de causes particulières de radicalisation qu'aujourd'hui 

C'est un système défensif dans le système lui-même dont personne n'en a compris la véritable nature

Ce que tu ressens est une échappatoire, une soupape.

Comme la démocratie ou personne ne sait travailler ensemble mais ou tout le monde est contre son bouc émissaire préféré est une aussi une soupape d'illusion de gouvernance.

La gouvernance du peuple par le peuple, certains y croient dur comme fer

Le malaise vient du fait qu'entre la véritable révolte et la résignation, tu n'as absolument aucune incarnation d'un système révolutionnaire 

Tu es le système néo et puisque tu parlais de normes...

il y a 7 minutes, zenalpha a dit :

Il n'y a jamais eu autant de lanceurs d'alertes, de principes de précaution et de causes particulières de radicalisation qu'aujourd'hui 

C'est un système défensif dans le système lui-même dont personne n'en a compris la véritable nature

Ce que tu ressens est une échappatoire, une soupape.

Comme la démocratie ou personne ne sait travailler ensemble mais ou tout le monde est contre son bouc émissaire préféré est une aussi une soupape d'illusion de gouvernance.

La gouvernance du peuple par le peuple, certains y croient dur comme fer

Le malaise vient du fait qu'entre la véritable révolte et la résignation, tu n'as absolument aucune incarnation d'un système révolutionnaire 

Tu es le système néo

 

Du coup doit on se résigner, laisser faire et renoncer ??? À quoi sert il de se réveiller dans la matrice si c’est juste pour continuer à jouer le jeu de celle-ci ? Existe t’il un groupe de résistance conscient de ces faits, ou sommes-nous condamnés à accepter cette fatalité sans broncher ni même rechigner ? Ton avis m’intéresse. 

à l’instant, G6K972 a dit :

Du coup doit on se résigner, laisser faire et renoncer ??? À quoi sert il de se réveiller dans la matrice si c’est juste pour continuer à jouer le jeu de celle-ci ? Existe t’il un groupe de résistance conscient de ces faits, ou sommes-nous condamnés à accepter cette fatalité sans broncher ni même rechigner ? Ton avis m’intéresse. 

Excellente question

Aujourd'hui même je vais brancher mon ordinateur, me connecter, régler certains problèmes qui vont permettre à ma compagnie de financer son développement et satisfaire ses actionnaires 

Dans le même temps un salaire honnête et aucun problème de logistique vital et un petit patrimoine me met dans une relative confortable situation dans laquelle j'essaie de rendre heureux ma femme, ma famille et mes amis

J'ai quelques engagements associatifs qui me donnent un certain contentement moral

Je suis allé à l'église et m'y suis marié

Oui, j'ai choisi la résignation 

Je pense même être une forme de modèle dans ce modèle 

Et parfois je philosophe en connaissance de cause en me disant ça

Dans la résignation ce qui te sauvera mon ami c'est de trouver ta foi et de t'y engager corps et âmes, ne pas flotter au gré des courants

Dans la révolte, j'attends une incarnation qui est un véritable projet de vie et une aventure excitante et conforme à mes valeurs fondamentales. Un génie pour l'humanité. Un prophète ? Appelle le comme tu voudras

J'étais jeune et téméraire et mes larges épaules ne sont pas assez larges pour ce rôle 

A toi de choisir ta vie, c'est la seule chose que tu maîtrises

Et tu la maîtrises

il y a 8 minutes, zenalpha a dit :

Excellente question

Aujourd'hui même je vais brancher mon ordinateur, me connecter, régler certains problèmes qui vont permettre à ma compagnie de financer son développement et satisfaire ses actionnaires 

Dans le même temps un salaire honnête et aucun problème de logistique vital et un petit patrimoine me met dans une relative confortable situation dans laquelle j'essaie de rendre heureux ma femme, ma famille et mes amis

J'ai quelques engagements associatifs qui me donnent un certain contentement moral

Je suis allé à l'église et m'y suis marié

Oui, j'ai choisi la résignation 

Je pense même être une forme de modèle dans ce modèle 

Et parfois je philosophe en connaissance de cause en me disant ça

Dans la résignation ce qui te sauvera mon ami c'est de trouver ta foi et de t'y engager corps et âmes, ne pas flotter au gré des courants

Dans la révolte, j'attends une incarnation qui est un véritable projet de vie et une aventure excitante et conforme à mes valeurs fondamentales. Un génie pour l'humanité. Un prophète ? Appelle le comme tu voudras

J'étais jeune et téméraire et mes larges épaules ne sont pas assez larges pour ce rôle 

A toi de choisir ta vie, c'est la seule chose que tu maîtrises

Et tu la maîtrises

J’avoue que ta resignation me touche autant que ta claire voyance. Perso je suis encore border line et je ne sais toujours pas pour quel côté je vais opter. Du coup je continue à vivre les choses au jour le jour sans trop me poser de questions,  mais j’ai bien conscience qu’au fil du temps qui passe un choix se dessine malgré tout pour moi. En attendant c’est de plus en plus chiant d’accepter extérieurement ce que l’on refuse et réfute intérieurement. 

il y a 8 minutes, G6K972 a dit :

J’avoue que ta resignation me touche autant que ta claire voyance. Perso je suis encore border line et je ne sais toujours pas pour quel côté je vais opter. Du coup je continue à vivre les choses au jour le jour sans trop me poser de questions,  mais j’ai bien conscience qu’au fil du temps qui passe un choix se dessine malgré tout pour moi. En attendant c’est de plus en plus chiant d’accepter extérieurement ce que l’on refuse et réfute intérieurement. 

Si tu cherches une philosophie je t'en propose une qui m'a ouvert les yeux

Le cycle camusien te fait comprendre qu'il y a avant toute chose l'absurdité du monde si tu n'es pas croyant 

C'est le mythe de Sisyphe

Tu en es la

Puis il y a ensuite le besoin de révolte, je n'ai pas toujours été résigné...

C'est le mythe de Prométhée

Mais...Le ŕevolté se transforme en justicier pire que ce qu'il dénonce...

Regarde l'histoire des révolutions...

Au final...Le seul devoir de l'homme est celui d'aimer

Le mythe de Némésis

Je t'avoue l'avoir appliqué en lui apportant le devoir de connaître et d'exercer de compassion...avec les apports de Karl Yung

Appelle ça la voie du juste milieu 

Connais ta part d'ombre et ne la laisse pas dans l'ombre...

Mais pour mieux aimer

Je te link deux vidéos à prendre où à laisser

J'espère qu'elles t'inspireront

il y a une heure, zenalpha a dit :

Si tu cherches une philosophie je t'en propose une qui m'a ouvert les yeux

Le cycle camusien te fait comprendre qu'il y a avant toute chose l'absurdité du monde si tu n'es pas croyant 

C'est le mythe de Sisyphe

Tu en es la

Puis il y a ensuite le besoin de révolte, je n'ai pas toujours été résigné...

C'est le mythe de Prométhée

Mais...Le ŕevolté se transforme en justicier pire que ce qu'il dénonce...

Regarde l'histoire des révolutions...

Au final...Le seul devoir de l'homme est celui d'aimer

Le mythe de Némésis

Je t'avoue l'avoir appliqué en lui apportant le devoir de connaître et d'exercer de compassion...avec les apports de Karl Yung

Appelle ça la voie du juste milieu 

Connais ta part d'ombre et ne la laisse pas dans l'ombre...

Mais pour mieux aimer

Je te link deux vidéos à prendre où à laisser

J'espère qu'elles t'inspireront

 

Je connaissais l’étranger que j’ai relu ya pas longtemps. J'ai entendu parler du mythe de sisyphe, mais je ne connaissais pas cette trilogie, qui du coup m’intéresse. Merci pour les liens. C’est vrai que l’amour est finalement le seul espoir de guérison de cette société malade et mourante. Je le dis souvent à mes enfants, mais, j’avoue avoir tendance à l’oublier pour moi même... Je me reconnais moins dans le second lien,  puisque j’ai cette fâcheuse tendance naturelle à être trop gentil, mais il est vrai que parfois il faut être en mesure de riposter face aux agressions injustifiées et trop souvent gratuites de cette vie. Je ne dis pas que demain je vais me transformer en loup et égorger puis dévorer de l’agneau à gogo ; Mais je vais tâcher d’être un peu plus conséquent avec moi même comme bon nombre de mes proches me le suggèrent. Merci pour cette échange, et on se retrouve sur d’autres sujets sulfureux, mais o combien enrichissant pour les adeptes de richesses philosophiques et intellectuelles.

il y a 9 minutes, G6K972 a dit :

Je connaissais l’étranger que j’ai relu ya pas longtemps. J'ai entendu parler du mythe de sisyphe, mais je ne connaissais pas cette trilogie, qui du coup m’intéresse. Merci pour les liens. C’est vrai que l’amour est finalement le seul espoir de guérison de cette société malade et mourante. Je le dis souvent à mes enfants, mais, j’avoue avoir tendance à l’oublier pour moi même... Je me reconnais moins dans le second lien,  puisque j’ai cette fâcheuse tendance naturelle à être trop gentil, mais il est vrai que parfois il faut être en mesure de riposter face aux agressions injustifiées et trop souvent gratuites de cette vie. Je ne dis pas que demain je vais me transformer en loup et égorger puis dévorer de l’agneau à gogo ; Mais je vais tâcher d’être un peu plus conséquent avec moi même comme bon nombre de mes proches me le suggèrent. Merci pour cette échange, et on se retrouve sur d’autres sujets sulfureux, mais o combien enrichissant pour les adeptes de richesses philosophiques et intellectuelles.

Oui

J'ai peut-être suivi l'évolution inverse en fonçant un peu trop rapidement dans le tas

Je pense que ma prise de conscience a été quand je suis descendu de ma voiture pour secouer un camioneur qui avait failli me rentrer dedans en me cherchant vraiment et non par accident 

Je le secouait et dans le même temps vu qu'il était 3 fois comme moi je me disais...bin la je vais morfler sévère...

Il a rien fait je pense que lorsqu'un taré te secoue tu as une espèce de léthargie 

Ma femme et mes enfants dans la voiture...

J'ai du apprendre à me calmer

Il y a 2 heures, zenalpha a dit :

Oui

J'ai peut-être suivi l'évolution inverse en fonçant un peu trop rapidement dans le tas

Je pense que ma prise de conscience a été quand je suis descendu de ma voiture pour secouer un camioneur qui avait failli me rentrer dedans en me cherchant vraiment et non par accident 

Je le secouait et dans le même temps vu qu'il était 3 fois comme moi je me disais...bin la je vais morfler sévère...

Il a rien fait je pense que lorsqu'un taré te secoue tu as une espèce de léthargie 

Ma femme et mes enfants dans la voiture...

J'ai du apprendre à me calmer

Moi aussi j’ai dû apprendre à me calmer. Cette prise de conscience je ĺai eu quand je me suis laissé emporter un derrière fois par ma colère,  il y a déjà huit ans de cela, et que je me suis cassé le pied en shootant dans un pot de fleur, que je n’ai même pas réussi à briser d’ailleurs... Mais ce jour là j’ai compris, que si me mettre en colère pouvait me faire physiquement du mal sans même le vouloir, alors je pourrais, de la même manière sans le vouloir blesser un de mes enfants ou, ma compagne que j’adore, pour rien en plus, si ce n'est que par orgueil de ne pas refléter l’autorité du père que je pouvais me représenter à cette époque... ce déclic fut ma dernière mise en colère. Ainsi, j’ai compris que l’amour qui nous uni est plus puissant que l’amour qui nous divise, ceci à tous les niveaux du rapport humain. Désormais je reste zen en toutes circonstances.