Il y a 3 heures, pentecote6703 a dit :

Mesurées.... À la mesure de ce dictateur..., qui défend les violeurs du Hamas...!

Tu sais plus tes accusations sont grotesques moins tu es crédible. Je viens de te mettre un lien vers ce que LFI défend réellement. Tu ne l'as surement même pas lu.

Il y a 4 heures, jimmy45 a dit :

Tu sais plus tes accusations sont grotesques moins tu es crédible. Je viens de te mettre un lien vers ce que LFI défend réellement. Tu ne l'as surement même pas lu.

En effet, j'avoue ne pas être suffisamment masochiste !!!

il y a 13 minutes, pentecote6703 a dit :

En effet, j'avoue ne pas être suffisamment masochiste !!!

Tout le monde comprend que c'est surtout de la paresse intellectuelle et aussi de la lâcheté.  Tu ne cherches pas à savoir ce qui est vrai, tu as bien conscience de dire des choses fausses, mais visiblement qqchose te pousse à insulter et dénigrer. Et de la lâcheté car tu as peur de te confronter à la réalité, mieux vaut mettre la tête dans le sable, tu risquerais de voir ton vrai visage, et tu sais à l'avance que c'est pas beau à voir.

il y a 21 minutes, jimmy45 a dit :

Tout le monde comprend que c'est surtout de la paresse intellectuelle et aussi de la lâcheté.

 

Arrêtez de vous prendre pour tout le monde..... Et de vous croire propriétaire de la vérité absolue !!!

Si ça se passe comme la dernière fois ça va aller vite : l'équipe municipale a été élue au 1er tour avec 100% des voix (y parait que Poutine en a fait une jaunisse)

P'tit détail : il n'y avait qu'une seule liste en lice 

« Enfin l’aventure commence » : Emmanuel Grégoire désigné, le PS se lance dans les municipales à Paris

Au terme d’une campagne longue et mouvementée, le député socialiste s’est imposé face à son adversaire, le sénateur Rémi Féraud. Le candidat va désormais s’atteler à mettre le parti en ordre de bataille. Récit d’une soirée de soulagements.

Emmanuel Grégoire l’a finalement emporté devant son rival, le sénateur Rémi Féraud, en recueillant près de 53 % des suffrages.

... « Quelle raclée dans le XIVe », persifle un camarade de la Rotonde. « C’est une journée jackpot, s’émeut un proche du candidat nouvellement investi. Après une campagne beaucoup trop longue, voulue par le camp d’en face, enfin l’aventure commence, on va pouvoir parler aux Parisiens et pas juste aux militants. Ça va être magnifique. »

https://www.leparisien.fr/elections/municipales/enfin-laventure-commence-emmanuel-gregoire-designe-le-ps-se-lance-dans-les-municipales-a-paris-01-07-2025-NWSL7R4AGND5LGJP5UCKSMYWHQ.php

C’est une modification majeure à moins d’un an des élections municipales. La réforme du mode de scrutin des villes de Paris, Lyon et Marseille, portée par les députés macronistes Sylvain Maillard et David Amiel, vient d’être définitivement adoptée par le Parlement, ce jeudi. Le texte, qui veut « faire en sorte que le principe démocratique qui s’applique dans les 35 000 communes de France puisse également s’appliquer dans ces trois métropoles afin qu’un Parisien égale une voix, qu’un Lyonnais égale une voix et qu’un Marseillais égale une voix », a été largement validé à l’Assemblée nationale, par 112 voix contre 28. Ce, grâce à une partie des bancs du camp présidentiel (EPR/MoDem) et de la Droite républicaine de Laurent Wauquiez, ainsi qu’au renfort des mélenchonistes de La France insoumise et des lepénistes du Rassemblement national. Le tout, malgré l’opposition farouche des socialistes.

Ce vote final intervient au terme d’un parcours législatif semé d’embûches qui aura vu le Sénat rejeter par deux fois cette proposition de loi, invoquant à la fois sa trop grande proximité calendaire avec le scrutin de mars prochain, et le trop grand affaiblissement des mairies d’arrondissement ou de secteur. Pas de quoi convaincre pour autant l’Assemblée de renoncer : le Palais Bourbon a maintenu sa position pour la troisième fois depuis le début de l’année 2025 sur cette réforme voulue de longue date par le président de la République, Emmanuel Macron.

« Mettre fin à une anomalie démocratique »

Ce texte revient donc définitivement sur la « loi PLM », mise en place en 1982, et qui avait renforcé le poids des arrondissements dans le système électoral des villes de Paris, Lyon et Marseille. Dans sa nouvelle version, il prévoit donc d’instaurer deux scrutins : le premier pour élire les conseillers d’arrondissement ou de secteur, le second pour élire ceux du conseil municipal sur une circonscription unique - auquel s’en ajoute un troisième, à Lyon, pour la Métropole. Le texte prévoit par ailleurs, toujours pour les trois plus grandes villes de France, d’abaisser à 25 % la prime majoritaire pour la liste arrivée en tête (contre 50 % actuellement) afin d’éviter un phénomène d’écrasement de l’opposition municipale.

« Un mode d’élection plus transparent et plus démocratique », a défendu Sylvain Maillard, jeudi, à l’Assemblée nationale. « Une avancée vers une représentation proportionnelle des suffrages », s’est de son côté félicité l’Insoumis Bastien Lachaud.

Gauche parisienne et droite sénatoriale vent debout

La gauche socialiste, elle, s’est divisée. Une fois n’est pas coutume, la maire PS de Paris, Anne Hidalgo, a mené un combat commun avec une partie de la droite dans la capitale, farouchement opposée à cette réforme. Contrairement à son ex-premier adjoint Emmanuel Grégoire, député de la capitale officiellement désigné candidat depuis sa victoire à la primaire, qui n’a cessé de répéter, au cours des récents débats, que « jamais ce mode de scrutin n’a empêché les alternances et jamais un maire minoritaire en voix n’a été élu », sauf Gaston Defferre à Marseille en 1983. Une position qui n’a pas empêché deux de ses collègues présents dans l’Hémicycle, jeudi matin, de voter en faveur de cette réforme. Et pour cause, dans la Cité phocéenne, l’édile socialiste, Benoît Payan était ouvertement favorable à cette réforme, qui rendra selon lui « plus lisibles les choses ».https://www.lefigaro.fr/politique/municipales-2026-le-parlement-adopte-definitivement-la-reforme-du-mode-de-scrutin-a-paris-lyon-et-marseille-20250710

Municipales 2026 : à Paris, Renaissance va lâcher Dati pour Bournazel

Contre la ministre de la Culture, le parti de Gabriel Attal préfère ce proche d’Édouard Philippe, même si la maire du 7^e reste la mieux placée pour ravir l’Hôtel de Ville à la gauche.

Quelles que soient les élections, gardons présent à l'esprit ce principe universel. 

Quand on vote des corrompus on n'est pas victime, on est complice. 

« Une puissance de corruption » : comment la menace du narcotrafic pèse sur les municipales

Les acteurs de la lutte contre le narcotrafic redoutent les tentatives d’infiltration des mairies lors du scrutin de mars 2026. Face au risque d’ingérence, les candidats sont appelés à la prudence.

La menace du narcotrafic jusque dans les urnes. Début septembre, la Commission nationale des comptes de campagne (CNCCFP) tirait déjà la sonnette d’alarme : les candidats doivent « se prémunir de tout risque d’ingérence » à l’approche des municipales 2026. Dans ce contexte, les acteurs liés au trafic de drogue sont particulièrement surveillés.

Christian Charpy, président de la CNCCFP, alertait mi-septembre dans une interview au Monde sur une éventuelle emprise du narcotrafic sur le scrutin. « On a affaire à des réseaux criminels qui manipulent beaucoup d’argent avec une grande capacité de corruption, notamment par des dons en liquide ou des paiements en cryptomonnaies », estimait l’ancien président de chambre à la Cour des comptes.

 « Pour les dealers, un maire attentif à la tranquillité des quartiers, ce n’est pas la même chose qu’un maire très engagé dans la lutte contre le trafic de drogue. » Manière de dire qu’un édile a le pouvoir d’entraver les activités des dealers… ou de fermer les yeux.

Pour parvenir à leurs fins, les trafiquants disposeraient d’un large éventail de possibilités d’approches plus ou moins directes. « La première méthode, c’est l’entrisme : intégrer des associations de quartier, des partis politiques… Afin de se rapprocher de la municipalité », analyse le sénateur LR. Christian Charpy, interrogé par 20 Minutes, qui évoque les « services rendus » auprès des candidats, comme la sécurisation de meetings ou le tractage.

Avec le même objectif : caser des proches au conseil municipal, qui pourraient prendre des décisions favorables au maintien de leur business. Pour cela, les groupes criminels disposent d’une gigantesque force de frappe financière. Le chiffre d’affaires du trafic de drogue est estimé entre 3,5 et 6 milliards d’euros par an en France. Ce qui permettrait, en théorie, de financer des campagnes .

https://www.leparisien.fr/elections/municipales/une-puissance-de-corruption-comment-la-menace-du-narcotrafic-pese-sur-les-municipales-01-11-2025-WIB4XM5GMRED5LHQWFZP7YFBOI.php

Le 01/11/2025 à 16:32, menon a dit :

« Une puissance de corruption » : comment la menace du narcotrafic pèse sur les municipales

Les acteurs de la lutte contre le narcotrafic redoutent les tentatives d’infiltration des mairies lors du scrutin de mars 2026. Face au risque d’ingérence, les candidats sont appelés à la prudence.

La menace du narcotrafic jusque dans les urnes. Début septembre, la Commission nationale des comptes de campagne (CNCCFP) tirait déjà la sonnette d’alarme : les candidats doivent « se prémunir de tout risque d’ingérence » à l’approche des municipales 2026. Dans ce contexte, les acteurs liés au trafic de drogue sont particulièrement surveillés.

Christian Charpy, président de la CNCCFP, alertait mi-septembre dans une interview au Monde sur une éventuelle emprise du narcotrafic sur le scrutin. « On a affaire à des réseaux criminels qui manipulent beaucoup d’argent avec une grande capacité de corruption, notamment par des dons en liquide ou des paiements en cryptomonnaies », estimait l’ancien président de chambre à la Cour des comptes.

 « Pour les dealers, un maire attentif à la tranquillité des quartiers, ce n’est pas la même chose qu’un maire très engagé dans la lutte contre le trafic de drogue. » Manière de dire qu’un édile a le pouvoir d’entraver les activités des dealers… ou de fermer les yeux.

Pour parvenir à leurs fins, les trafiquants disposeraient d’un large éventail de possibilités d’approches plus ou moins directes. « La première méthode, c’est l’entrisme : intégrer des associations de quartier, des partis politiques… Afin de se rapprocher de la municipalité », analyse le sénateur LR. Christian Charpy, interrogé par 20 Minutes, qui évoque les « services rendus » auprès des candidats, comme la sécurisation de meetings ou le tractage.

Avec le même objectif : caser des proches au conseil municipal, qui pourraient prendre des décisions favorables au maintien de leur business. Pour cela, les groupes criminels disposent d’une gigantesque force de frappe financière. Le chiffre d’affaires du trafic de drogue est estimé entre 3,5 et 6 milliards d’euros par an en France. Ce qui permettrait, en théorie, de financer des campagnes .

 

https://www.leparisien.fr/elections/municipales/une-puissance-de-corruption-comment-la-menace-du-narcotrafic-pese-sur-les-municipales-01-11-2025-WIB4XM5GMRED5LHQWFZP7YFBOI.php

Autre article sur ce sujet.

https://www.publicsenat.fr/actualites/politique/municipales-2026-menacees-par-le-narcotrafic-la-capacite-corruptive-est-immense?at_content=link&at_term=publicsenat&at_campaign=facebook&at_medium=Social&at_source=nonli