Les arbres sont ils comme nous ?

Les troncs d'arbres qui ont séchés dans l'eau  (immergés)  sont plus solides que les autres en charpentes  !

il y a 30 minutes, G2LLOQ a dit :

Les troncs d'arbres qui ont séchés dans l'eau  (immergés)  sont plus solides que les autres en charpentes  !

mon grand'père qui était menuisier-charpentier refaisait régulièrement les roues de moulins à eau. Dès qu'il avait fini un chantier de moulin, il faisait abattre un chêne payé à moitié par le meunier. Ce tronc était immergé dans le bief du moulin en vue d'une réfection 25 à 30 ans plus tard !

Il y a 17 heures, Ptitissus a dit :

Donner raison à la mer subordonne toute coéfficience

Que sont les siècles pour la mer  ?...........................

Il y a 2 heures, G2LLOQ a dit :

Que sont les siècles pour la mer  ?...........................

Un goût amer se passe de reflets

Il y a 21 heures, Répy a dit :

Je n'ai jamais pensé à attribuer aux arbres des attitudes anthropomorphes.

Quand je suis dans une forêt j'admire le houpier d'un chêne, les cannelures du tronc de charme, l'écorce d'un bouleau ou d'un merisier, l'odeur des pins, le tronc orange du pin sylvestre. Et puis il y a les différentes saisons:  au printemps on admire le vert tendre des chênes mais sait-on que le vert le plus pâle n'est pas celui des jeunes feuilles mais celui des fleurs mâles. Au printemps quand toutes les feuilles sont épanouies, mettez l'oreille contre le tronc d'un gros chêne pour entendre la sève monter vers les feuilles à raison de 5 à 10 m par heure ! avec un stéthoscope, quel tintamarre !

si voulez savoir tout ça, lisez l'excellent livre de Catherine Lenne : "dans la peau d'un arbre"

J'aurais pu écrire ce texte. Le livre que vous conseillez est en effet incontournable.

En revanche, après réflexion, je déconseille Peter Wohlleben, hélas beaucoup plus connu que Catherine Lenne.

J'ai toujours aimé les arbres , depuis l'enfance , je ne sais pas pourquoi , et j'ai pu admirer de sacrés spécimens , mais parfois les noms m'échappent  ;  

J'ai mal pour l ' Amazonie  !

il y a 28 minutes, G2LLOQ a dit :

J'ai toujours aimé les arbres , depuis l'enfance , je ne sais pas pourquoi , et j'ai pu admirer de sacrés spécimens , mais parfois les noms m'échappent  ;  

J'ai mal pour l ' Amazonie  !

J'aime aussi les admirer.

Les arbres généalogiques sont exclus , évidemment ,  je dis cela avant que l'un de vous ne se méprenne  !

Le 13/11/2024 à 16:58, Ptitissus a dit :

Un goût amer se passe de reflets

Le 12/11/2024 à 20:29, Ptitissus a dit :

Donner raison à la mer subordonne toute coefficience.

J'ai mis un " Waouh " à cette formule. Je dis pourquoi. Je lis bien sûr " la Mère ", et je dis ce que j'entends par là. La Mère, et à chacun la Sienne suite à Sa psychogenèse, c'est donc un objet intégré, constitutif, inducteur, de chaque Sujet. L'homme est un animal qui n'a jamais été correctement sevré, d'où sexualité et/ou Amour (ici, le sentiment amoureux) et/ou jalousie, etc., les dérivés sont quasiment infinis. Le sevrage de l'homme (et de la femme, la langue française étant ce qu'elle est) consiste à couper ce Cordon à la fois sacré ET (en majuscule pour insister sur l'ambivalence) maudit. Ce qui n'est pas à la portée de tous les Sujets : suite aux psychogenèses, cet objet constitutif est extrêmement variable d'un Sujet à l'autre. Pour qu'un Sujet doive (et donc puisse) couper ce Cordon, il faut qu'il soit excessif, abusif. J'ai fait une fixation orale à 15 mois. Ça fige pas mal de choses. J'ai dit " excessif, abusif ", concrètement, dans mon cas, je suis passé de l'Amour fou, résultante du caractère " excessif ", au Matricide, résultante du caractère " abusif ", une pulsion matricide. A 15 mois, le Sujet ne sait même pas qu'il est complétement distinct, physiquement, de sa mère, à terme, c'est une Prison invivable. Et l'ambivalence a subsisté jusqu'à la fin : malgré une pulsion matricide aiguë, l'angoisse tout aussi aiguë, radicale, viscérale, suscitée par la perspective de cette Rupture perdure. C'est ce que vit Ulysse quand il quitte enfin " Calypso " pour échouer sur une plage des Phéaciens. Dans l'Odyssée, Homère, via Ulysse, affronte Sa Mer du Couchant, c'est la Sienne, son inconscient, sa psychogenèse, ses démons, ses désirs, etc. Mais Jacob traîne sa " boiterie ", il ne coupe pas le Cordon, ne sort pas du Cadre névrotique (où s'inscrit, se cramponne, caricaturalement le monothéisme des Livres). Vieux comme le monde. Le mourant, qui commence à délirer, peut appeler sa mère, même si elle est morte depuis des lustres, même s'il ne l'a jamais connu. Pourquoi ? Parce qu'il sait que la mort va le séparer de Sa Mère, l'objet intégré, constitutif, inducteur, et donc constamment projeté à l'extérieur, elle en teinte Son Monde et en constitue l'Horizon ultime. Il faut en sortir. Un mal pour un bien : comme c'était une question de vie ou de mort dans mon cas, j'ai été contraint de remettre tous mes fers au feu, pour le dire ainsi.

P.S. Je voulais poster ça sur le fil " L'inconscient ", mais à cause de la citation de Ptitissus, je n'ai pas réussi le copier / coller.

Le 15/11/2024 à 14:58, Ptitissus a dit :

Les arbres et les humains partagent plus de similitudes qu’on ne le pense : ils grandissent, interagissent avec leur environnement et communiquent même entre eux grâce à leurs racines et champignons souterrains. Leur rôle essentiel dans l’écosystème, en fournissant de l’oxygène et en absorbant le CO2, rappelle l’importance de l’interconnexion entre toutes les formes de vie. Si vous travaillez sur une dissertation en biologie, écologie ou philosophie, explorer ces parallèles peut être un sujet fascinant, et pour structurer et rédiger efficacement votre travail, https://proredaction.com/ peut être une aide précieuse !

Le 03/02/2025 à 15:55, ChrisBumstead a dit :

ils grandissent, interagissent avec leur environnement et communiquent même entre eux grâce à leurs racines et champignons souterrains. Leur rôle essentiel dans l’écosystème, en fournissant de l’oxygène et en absorbant le CO2, rappelle l’importance de l’interconnexion entre toutes les formes de vie.

Tous les êtres vivants ont ces propriétés, pas seulement les arbres.

Si tu veux d'autres points communs étonnants : le règne fungi ( en particulier les champignons supérieurs) ont davantage de ressemblance avec les animaux qu'avec les plantes ( spermatozoïdes, présence de chitine dans la paroi, certains mécanismes de dégradation du glucose (celui venant des arbres et échangé au niveau des mycorhizes)...