Mal-être

L’oublié : c’est dur d’être celui à qui l’on se confie, sans jamais pouvoir sois même se confier, c’est dur d’être celui que l’on croit heureux à longueur de journée, mais qui au fond est blessé, c’est dur d’encaisser, sans jamais pouvoir le montrer, c’est dur de se rentrer dans la tête que l’humain nous déçoit, c’est dur de ne pas entériner toutes ses pensées, alors on les combat par des joies éphémères. C’est dur de trop penser, de toujours se questionner, de ne pas accepter la réalité. C’est dur d’accepter. C’est dur de comprendre. C’est dur de passer à autre chose. 

Alors que nous reste-t-il ? 

Se morfondre sur son sort ?

Aller de l’avant ? 

Continuer de faire semblant ?

Mais comment faire pour aller de l’avant quand autant de peine, de rage, d’incompréhension règne en nous ? 

je veut noyer cette peine, ne plus à faire aux autres, m’isoler loin de tout, combattre ce que je ressens, mais dans ma tête, dans mon cœur, c’est le flou, j’ai du mal à savoir où j’ai mal, ce qui me fait mal, l’impression que tout se mélange, qu’un flou se créer, l’impression de ne pas comprendre ce monde, de ne pas comprendre ces gens, l’impression d’être différent, l’impression de ne pas être à sa place, l’impression d’être étranger, l’impression d’être incompris, l’impression de ne jamais pouvoir être écouté et que même si je le pouvait, je ne serai que dire, je ne serai par où commencer ni par où terminer, l’impression d’être perdu et de ne savoir où aller, alors le temps me traîne, m’amène, et moi je me laisse porter, et puis de toute façon je verrai bien où il va me mener, mais avant tout, je pense qu’il essaye de me montrer, que le combat que je dois mener, est celui de mes plaies. 

il y a 34 minutes, aentroppenser a dit :

 

L’oublié : c’est dur d’être celui à qui l’on se confie, sans jamais pouvoir sois même se confier, c’est dur d’être celui que l’on croit heureux à longueur de journée, mais qui au fond est blessé, c’est dur d’encaisser, sans jamais pouvoir le montrer, c’est dur de se rentrer dans la tête que l’humain nous déçoit, c’est dur de ne pas entériner toutes ses pensées, alors on les combat par des joies éphémères. C’est dur de trop penser, de toujours se questionner, de ne pas accepter la réalité. C’est dur d’accepter. C’est dur de comprendre. C’est dur de passer à autre chose. 

Alors que nous reste-t-il ? 

Se morfondre sur son sort ?

Aller de l’avant ? 

Continuer de faire semblant ?

Mais comment faire pour aller de l’avant quand autant de peine, de rage, d’incompréhension règne en nous ? 

je veut noyer cette peine, ne plus à faire aux autres, m’isoler loin de tout, combattre ce que je ressens, mais dans ma tête, dans mon cœur, c’est le flou, j’ai du mal à savoir où j’ai mal, ce qui me fait mal, l’impression que tout se mélange, qu’un flou se créer, l’impression de ne pas comprendre ce monde, de ne pas comprendre ces gens, l’impression d’être différent, l’impression de ne pas être à sa place, l’impression d’être étranger, l’impression d’être incompris, l’impression de ne jamais pouvoir être écouté et que même si je le pouvait, je ne serai que dire, je ne serai par où commencer ni par où terminer, l’impression d’être perdu et de ne savoir où aller, alors le temps me traîne, m’amène, et moi je me laisse porter, et puis de toute façon je verrai bien où il va me mener, mais avant tout, je pense qu’il essaye de me montrer, que le combat que je dois mener, est celui de mes plaies. 

coucou

on est dans un monde de fous ... regarde les dirigeants de ce monde ... le top 5 actuellement c'est  Trump poutine Israël la chine l’Iran ... 3/4 des pays sont des dictatures ...

au niveau individuel on se sépare pour des broutilles ou quand on échappe a la mort lors d'une violence conjugale ... on as des chauffards qui brisent des vies quotidiennement ... 1/3 des femmes ont subis des agressions sexuelles ...et j'en passe

ce qui compte en fait c'est toi ...qu'es ce que tu fais ? ... dans ce monde de fou aimer ...vraiment aimer ... c'est l'acte le plus révolutionnaire que tu peux faire ... et aimer c'est être tendre et bienveillance avec tous ... et en plus c'est un booster et un bon moyen d'avoir une estime de soi

par contre tu as raison ... très peu te soutiendrons ...j'ai appris perso a être la quand plus personne ne l'ait ... mais je l'ais appris sur le tard ..pas a mes 20 ans ... tu peux pas demander a des jeune d’être mature ... c'est triste mais c'est la réalité ... 

Il y a 9 heures, aentroppenser a dit :

 

L’oublié : c’est dur d’être celui à qui l’on se confie, sans jamais pouvoir sois même se confier, c’est dur d’être celui que l’on croit heureux à longueur de journée, mais qui au fond est blessé, c’est dur d’encaisser, sans jamais pouvoir le montrer, c’est dur de se rentrer dans la tête que l’humain nous déçoit, c’est dur de ne pas entériner toutes ses pensées, alors on les combat par des joies éphémères. C’est dur de trop penser, de toujours se questionner, de ne pas accepter la réalité. C’est dur d’accepter. C’est dur de comprendre. C’est dur de passer à autre chose. 

Alors que nous reste-t-il ? 

Se morfondre sur son sort ?

Aller de l’avant ? 

Continuer de faire semblant ?

Mais comment faire pour aller de l’avant quand autant de peine, de rage, d’incompréhension règne en nous ? 

je veut noyer cette peine, ne plus à faire aux autres, m’isoler loin de tout, combattre ce que je ressens, mais dans ma tête, dans mon cœur, c’est le flou, j’ai du mal à savoir où j’ai mal, ce qui me fait mal, l’impression que tout se mélange, qu’un flou se créer, l’impression de ne pas comprendre ce monde, de ne pas comprendre ces gens, l’impression d’être différent, l’impression de ne pas être à sa place, l’impression d’être étranger, l’impression d’être incompris, l’impression de ne jamais pouvoir être écouté et que même si je le pouvait, je ne serai que dire, je ne serai par où commencer ni par où terminer, l’impression d’être perdu et de ne savoir où aller, alors le temps me traîne, m’amène, et moi je me laisse porter, et puis de toute façon je verrai bien où il va me mener, mais avant tout, je pense qu’il essaye de me montrer, que le combat que je dois mener, est celui de mes plaies. 

La vie est un combat. On peut trébucher ou même tomber mais toujours essayer de se relever. Ce n'est pas simple parfois je te l'accorde mais c'est ainsi. 

Il y a 12 heures, aentroppenser a dit :

L’oublié : c’est dur d’être celui à qui l’on se confie, sans jamais pouvoir sois même se confier,

Pourquoi cette impossibilité à pouvoir se confier? d'où vient cet empêchement? n'est-ce pas celui que l'on s'impose tout simplement?

Il y a 11 heures, Danoketian a dit :

La vie est un combat. On peut trébucher ou même tomber mais toujours essayer de se relever. Ce n'est pas simple parfois je te l'accorde mais c'est ainsi. 

Complètement. Plus ou moins dur le combat mais vrai pour tout le monde quand même. Et j'ajoute qu'on essaye pas de se relever, on a juste pas d'autre choix !

C'est très important de ne pas perdre ça de vue, ça aide !