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À propos de aentroppenser

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  1. L’oublié : c’est dur d’être celui à qui l’on se confie, sans jamais pouvoir sois même se confier, c’est dur d’être celui que l’on croit heureux à longueur de journée, mais qui au fond est blessé, c’est dur d’encaisser, sans jamais pouvoir le montrer, c’est dur de se rentrer dans la tête que l’humain nous déçoit, c’est dur de ne pas entériner toutes ses pensées, alors on les combat par des joies éphémères. C’est dur de trop penser, de toujours se questionner, de ne pas accepter la réalité. C’est dur d’accepter. C’est dur de comprendre. C’est dur de passer à autre chose. Alors que nous reste-t-il ? Se morfondre sur son sort ? Aller de l’avant ? Continuer de faire semblant ? Mais comment faire pour aller de l’avant quand autant de peine, de rage, d’incompréhension règne en nous ? je veut noyer cette peine, ne plus à faire aux autres, m’isoler loin de tout, combattre ce que je ressens, mais dans ma tête, dans mon cœur, c’est le flou, j’ai du mal à savoir où j’ai mal, ce qui me fait mal, l’impression que tout se mélange, qu’un flou se créer, l’impression de ne pas comprendre ce monde, de ne pas comprendre ces gens, l’impression d’être différent, l’impression de ne pas être à sa place, l’impression d’être étranger, l’impression d’être incompris, l’impression de ne jamais pouvoir être écouté et que même si je le pouvait, je ne serai que dire, je ne serai par où commencer ni par où terminer, l’impression d’être perdu et de ne savoir où aller, alors le temps me traîne, m’amène, et moi je me laisse porter, et puis de toute façon je verrai bien où il va me mener, mais avant tout, je pense qu’il essaye de me montrer, que le combat que je dois mener, est celui de mes plaies.
  2. Le bonheur, la joie à quoi cela correspond-il, est on en réalité vraiment heureux ? Je pense que le bonheur est la pire des émotions. Le bonheur est éphémère, c’est parce que le bonheur ne dure pas que l’on se sent triste, c’est par ce que le bonheur existe que la tristesse existe, le bonheur conditionne la tristesse. A près tout il s’agit de la nature humaine, l’homme recherche continuellement le bonheur, l’homme vit pour le bonheur, l’homme vit pour ce que procure le bonheur, cette insatiabilité nous pousse à ne jamais nous satisfaire, ce qui amène à la tristesse. La tristesse d’un homme pourrait être le bonheur d’un autre. Je suis jeune, en bonne santé, ayant réussi son parcours scolaire, aucun « problèmes », une famille aimante, des amis sincères et présents mais pourtant je manque de quelque chose, je ne ne ressens pas le bonheur. Alors qu’un autre trouverait son bonheur dans ma situation, ce dernier est alors subjectif, présent mais alors pourquoi je ne le trouve pas, d’où vient ce manque, d’où provient ce sentiment de solitude, pourquoi, pourquoi, pourquoi ? Tant d’insomnies, tant de questionnements, tant de recherche sans réellement trouver des explications et cela commence à devenir lassant. Assez perturbant quand on remarque que la plupart sont heureux, jouent t-il un rôle eux aussi ? certains oui d’autres non, et je pense que les plus heureux sont ceux qui ne réfléchissent pas ou peu, les plus heureux sont bêtes, les plus heureux ne se questionnent pas, les plus heureux ne sont pas emprisonnés par leurs pensées, les plus heureux ont cette chance. Comment est-il possible de ressentir continuellement le bonheur lorsque l’on se questionne, cela relève de la folie, l’homme ne peut pas être heureux en se questionnant jour et nuit. Le bonheur ne m’habite donc pas, il ne m’habitera jamais, je préfère être curieux est triste que bête et heureux.
  3. Bienvenue sur ForumFr aentroppenser :)

     

  4. Je ne veut pas m’attacher, je ne veut plus m’attacher. J’ai l’impression de toujours vouloir fuir la réalité, peut être que je ne suis pas assez fort pour la confronter alors je préfère m’isoler, je préfère l’ignorer. Certains appelleront ça de la lâcheté, il n’ont peu être pas tort, ils ont même sûrement raison mais la peur prend le dessus sur la raison. Elle, ne veut pas confronter ce qui auparavant l’a fait souffert, alors elle choisi le choix de la facilité, mettre de côté ce qui lui fait peur, éviter le moindre rapprochement, souvenir avec ce qu’il a déjà fait pleurer. La raison elle, préfère s’enivrer, elle préfère prétexter qu’elle ne souffre pas avec des semblants de bonheur, la raison ment, mais elle le fait avec sincérité, la raison pleure mais elle le fait avec joie, la raison saigne mais elle pense être soignée.
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