Les belles histoires des Jeux olympiques.

Les JO a son lot de belles histoires.

J'ai vu la course de Darko Pesic. Cet athlète m'a mis une claque par son courage.

Le pied cassé, Darko Pešić court quand même le 100 m et franchit la ligne d'arrivée

Il lui aura fallu 11″85 secondes, soit 1 seconde 5 de plus que le premier, Davonte Howell. Mais le Monténégrin Darko Pešić a tout de même terminé ce tour préliminaire du 100 m, ce samedi 3 août 2024.

Et si on en parle, c’est parce que c’est un peu un exploit : celui qui, à la base, est engagé en décathlon, s’est cassé un os du pied cette semaine. Son 100 m, il l’a couru avec un gros bandage, et surtout, avec beaucoup de difficultés. 

Les dents serrées, il était quand même là, sur la piste de départ, et sur la piste d’arrivée. Officiellement, il n’est même pas dernier, dans la mesure où l’athlète du Mozambique, Steven Sabino, a été disqualifié pour faux départ. 

Invité pour l’universalité
À la base, Darko Pešić, c’est surtout un décathlonien. S’il participait au 100 m, c’est parce qu’il a été invité via le système des places d’universalité. En gros, il s’agit d’invitations pour les pays ayant emmené seulement une poignée d’athlètes, pour permettre d’avoir de la diversité dans les pays représentés dans les épreuves. 

C’est peut-être aussi pour y faire honneur que le Monténégrin a choisi de courir malgré sa blessure. Ce n’est pas la seule raison. Comme il l’a expliqué lui-même sur ses réseaux sociaux, il voulait aussi terminer cette course en hommage à son père, décédé en 2020.

Si vous avez d'autres belles histoires à partager.

Lui aussi je l'ai vu, j'ai adoré, extraordinaire

Un sous-officier de la gendarmerie turque devenue véritable star des réseaux sociaux

Yusuf Dikeç, ce nom ne vous dit sans doute rien mais il est en train de casser internet depuis son entrée en lice dans les Jeux olympiques de Paris 2024. Cet athlète de la délégation turque de 51 ans s’est fait remarquer par son flegme à toute épreuve et son attitude nonchalante durant l’épreuve mixte au pistolet à air comprimé 10 mètres. Celui-ci s’est présenté avec sa coéquipière dans un style qui détonne contrairement aux autres athlètes de sa discipline.

Exit les lunettes futuristes, les lentilles opaques, les casques antibruit et autres accessoires, Yusuf Dikeç n’a eu besoin que de sa paire de lunette de vue et deux bouchons d’oreilles. Main dans la poche et équipement très léger ont été les seuls ingrédients pour remporter la médaille d’argent. Une belle récompense pour cet ancien sous-officier à la retraite

J'ai bien aimé dernièrement les demandes en mariage entre athlètes, et plus loin dans le temps l'histoire d'Abebe Bikila, le coureur aux pieds nus Vainqueur éthiopien aux jo de Rome en 1960 

Le 04/08/2024 à 10:20, sovenka a dit :

J'ai bien aimé dernièrement les demandes en mariage entre athlètes, et plus loin dans le temps l'histoire d'Abebe Bikila, le coureur aux pieds nus Vainqueur éthiopien aux jo de Rome en 1960 

 

En 1960 , ou la France est revenue avec  0  médaille d'or  !!  certains pays en avaient révé  , la France l'a fait  !