La détransition de genre

il y a 1 minute, Répy a dit :

un hermaphrodite ne change pas de genre, il est les deux comme beaucoup de mollusques.  C'est fréquent aussi chez beaucoup d'insectes comme les pucerons. Dans d'autres espèces, l'évolution d ela température ou du régime alimentaire favorise un changement de sexe.

mais c'est chez les humains occidentaux qu'actuellement on entend le plus parler de genre et de changement de genre.

Je parlais de changement de sexe.

Le genre est une création sociale humaine.

il y a une heure, Pheldwyn a dit :

Je parlais de changement de sexe.

Le genre est une création sociale humaine.

oui tu as raison.

Mais c'est pour renforcer l'interrogation nouvelle sur le genre très à la mode actuellement en "occident qui j'ai confondu sexe et genre.

Le sexe se présente sans aucune ambiguïté pour une immense majorité des humains. Un ou deux individus pour mille seulement  ont un sexe mal déterminé. C'était pour cette raison que lors du "conseil de révision" on examinait complètement nus les jeunes de 20 ans, avant de les incorporer dans les régiments. C'est une contingence biologique

En revanche le genre est bien une création sociale puisque pour environ 1à 2 % des hommes ou femmes se pensent appartenir au genre opposé. Le revendiquer est tout à fait récent. C'est une contingence psychologique

Bien sûr il ne faut pas confondre le genre avec l'homosexualité. Elle est  plus nombreuse (environ 5% hors milieux artistiques ou du showbizz), qui consiste à vivre en couple avec une personne du même sexe. Là c'est un choix de mode de vie sociale et affective.

il y a 33 minutes, Répy a dit :

En revanche le genre est bien une création sociale puisque pour environ 1à 2 % des hommes ou femmes se pensent appartenir au genre opposé. Le revendiquer est tout à fait récent. C'est une contingence psychologique

Et tout un tas ne se sentent pas répondre aux stéréotypes de genre. Car ce n'est que cela le genre, des stéréotypes sociaux. Et sans pour autant remettre en cause la réalité de leur sexe.

Par contre, depuis quelques années maintenant, les instances internationales ne considèrent plus la dysmorphie de genre comme un trouble psychologique ou mental. 

Je ne sais pas comment ils font la distinction, mais on a repéré ce trouble chez de jeunes enfants (donc que l'on considère, j'imagine, préservés de la notion de genre) qui démontraient des comportements de mal-être par rapport à leur sexe (mais on devrait plutôt parler de dysmorphie sexuelle du coup).

Ou qui voulaient être habillés comme l'autre sexe (mais du coup on retombe dans du genre, donc effectivement, je ne vois pas comment on échappe au social, et donc au psychologique).

Bref, je trouve que ces questions sont au final assez peu débattues, ainsi que les diagnostics médicaux à leur sujet.

Je n'arrête pas de lire l'expression " ne pas être dans le corps du bon sexe", mais elle ne veut rien dire en soit en l'absence d'explications psychologiques ou biologiques sur les termes (et pour préciser, je ne comprends pas non plus l'idée qui consisterait à se sentir du bon sexe). 

C'est encore plus flou lorsque l'on introduit le genre, car je ne vois pas trop sa place médicalement parlant.

Il y a 23 heures, BadKarma a dit :

Un non-sujet qui tente avec maladresse de nous faire passer les vessie de cas particuliers pour les lanternes de la généralité en toute conscience d'une opinion tapie en compagnie de ces troubles arrières-pensées  ...

D' arrière pensées qu'il tente de mettre en avant  !

Il y a 3 heures, Pheldwyn a dit :

Et tout un tas ne se sentent pas répondre aux stéréotypes de genre. Car ce n'est que cela le genre, des stéréotypes sociaux. Et sans pour autant remettre en cause la réalité de leur sexe.

Par contre, depuis quelques années maintenant, les instances internationales ne considèrent plus la dysmorphie de genre comme un trouble psychologique ou mental. 

Je ne sais pas comment ils font la distinction, mais on a repéré ce trouble chez de jeunes enfants (donc que l'on considère, j'imagine, préservés de la notion de genre) qui démontraient des comportements de mal-être par rapport à leur sexe (mais on devrait plutôt parler de dysmorphie sexuelle du coup).

Ou qui voulaient être habillés comme l'autre sexe (mais du coup on retombe dans du genre, donc effectivement, je ne vois pas comment on échappe au social, et donc au psychologique).

Bref, je trouve que ces questions sont au final assez peu débattues, ainsi que les diagnostics médicaux à leur sujet.

 

Je n'arrête pas de lire l'expression " ne pas être dans le corps du bon sexe", mais elle ne veut rien dire en soit en l'absence d'explications psychologiques ou biologiques sur les termes (et pour préciser, je ne comprends pas non plus l'idée qui consisterait à se sentir du bon sexe). 

C'est encore plus flou lorsque l'on introduit le genre, car je ne vois pas trop sa place médicalement parlant.

 

et pour cause il n'y a pas de critères diagnostiques répondant aux normes de l'EBM pour cette problématique.

 (EBM = evidence based medicine

https://www.msdmanuals.com/fr/professional/sujets-spéciaux/prise-de-décision-clinique/médecine-basée-sur-les-preuves-et-lignes-directrices-cliniques