Montjoie Saint Denis !

https://www.breizh-info.com/2023/12/01/227474/temoignage-je-prefere-etre-celui-qui-butte-un-salopard-que-de-finir-dans-une-marche-blanche-cedric-a-repousse-des-emeutiers-qui-etaient-chez-lui-avec-une-epee-medievale/
"Témoignage : « Je préfère être celui qui butte un salopard que de finir dans une marche blanche » Cédric a repoussé des émeutiers qui étaient chez lui avec… une épée médiévale. Un extrait d’Envoyé Spécial ci-dessous"

https://www.fdesouche.com/2023/11/30/temoignage-je-prefere-etre-celui-qui-butte-un-salopard-que-de-finir-dans-une-marche-blanche-cedric-a-repousse-des-emeutiers-qui-etaient-chez-lui-avec-une-epee-mediev/
 

Celle de Charlemagne se nommait JOYEUSE , celle de Roland  DURANDAL  , pour Charles Martel  on ne sait pas ....CARTE DE SEJOUR  , peut ètre  ?   (hypothèse)

Oh ça me fait trop penser au roman "Fantasma". 

Bon j'ai lu le bouquin. Pour les détails, soit le film, soit le livre.

il y a une heure, Pirene a dit :

https://www.breizh-info.com/2023/12/01/227474/temoignage-je-prefere-etre-celui-qui-butte-un-salopard-que-de-finir-dans-une-marche-blanche-cedric-a-repousse-des-emeutiers-qui-etaient-chez-lui-avec-une-epee-medievale/
"Témoignage : « Je préfère être celui qui butte un salopard que de finir dans une marche blanche » Cédric a repoussé des émeutiers qui étaient chez lui avec… une épée médiévale. Un extrait d’Envoyé Spécial ci-dessous"

https://www.fdesouche.com/2023/11/30/temoignage-je-prefere-etre-celui-qui-butte-un-salopard-que-de-finir-dans-une-marche-blanche-cedric-a-repousse-des-emeutiers-qui-etaient-chez-lui-avec-une-epee-mediev/
 

Excellent!

''Ma joie rue Saint-Denis !'' pourrait-on tout autant déclamer ...

Les émeutiers : - "Fils de p, tu vas voir on va t'retrouver !"

Le proprio : - "ben oui connard, t'es chez moi là !"

mdr sa réponse !!

Ca se passe en Bretagne ? Un descendant du combat des trente sans aucun doute ! 

"na douch ket d'am bretagn !" 

Une vieille épée même rouillée , ça fait toujours de l'effet , à taper dans le tas , c'est radical .

Ardez, mes preux !