les boites à livres

Il y a 20 heures, soisig a dit :

Et pour ma part, j'achète tous mes livres et je les conserve tous ! 

Je comprends que l’on puisse associer une relative valeur sentimentale, forme d’attachement à des œuvres qui ont touché ou ayant été offertes.

Il y a aussi le côté « fétichiste » du bouquin : le papier ac son odeur, son grain, la beauté de la couverture, de la reliure, de la mise en page, etc… que l’on veut garder à soi comme un trésor.

Néanmoins j’aime bcp cette idée de transmission sans aucun critère de sélection, une offre dépourvue d’intérêt, par simple générosité -la gratuité est tellement rare- hormis l’aspect évident de désencombrement chez soi.
Je trouve ça joli, y a un côté poétique…

Tout ce qui peut permettre d’accéder à la culture, d’assouvir son appétence de lecture, sa soif de connaissances : c’est gagnant-gagnant pour la personne qui se débarrasse et pour celle qui va pouvoir en profiter. 

il y a 10 minutes, Elisa* a dit :

Je comprends que l’on puisse associer une relative valeur sentimentale, forme d’attachement à des œuvres qui ont touché ou ayant été offertes.

Il y a aussi le côté « fétichiste » du bouquin : le papier ac son odeur, son grain, la beauté de la couverture, de la reliure, de la mise en page, etc… que l’on veut garder à soi comme un trésor.

Néanmoins j’aime bcp cette idée de transmission sans aucun critère de sélection, une offre dépourvue d’intérêt, par simple générosité -la gratuité est tellement rare- hormis l’aspect évident de désencombrement chez soi.
Je trouve ça joli, y a un côté poétique…

Tout ce qui peut permettre d’accéder à la culture, d’assouvir son appétence de lecture, sa soif de connaissances : c’est gagnant-gagnant pour la personne qui se débarrasse et pour celle qui va pouvoir en profiter. 

Et puis il y a un Petit côté découverte, justement on ne va pas forcément trouver les livres qu'habituellement on lit. On peut choisir de partir à l'aventure et de sortir de sa zone de confort. Au pire, on le remet dans la boîte.

il y a 1 minute, Axo lotl a dit :

Et puis il y a un Petit côté découverte, justement on ne va pas forcément trouver les livres qu'habituellement on lit. On peut choisir de partir à l'aventure et de sortir de sa zone de confort. Au pire, on le remet dans la boîte.

Absolument, c’est assez excitant ! 

il y a 22 minutes, Elisa* a dit :

Je comprends que l’on puisse associer une relative valeur sentimentale, forme d’attachement à des œuvres qui ont touché ou ayant été offertes.

Il y a aussi le côté « fétichiste » du bouquin : le papier ac son odeur, son grain, la beauté de la couverture, de la reliure, de la mise en page, etc… que l’on veut garder à soi comme un trésor.

Néanmoins j’aime bcp cette idée de transmission sans aucun critère de sélection, une offre dépourvue d’intérêt, par simple générosité -la gratuité est tellement rare- hormis l’aspect évident de désencombrement chez soi.
Je trouve ça joli, y a un côté poétique…

Tout ce qui peut permettre d’accéder à la culture, d’assouvir son appétence de lecture, sa soif de connaissances : c’est gagnant-gagnant pour la personne qui se débarrasse et pour celle qui va pouvoir en profiter. 

Je suis d'accord pour la transmission, mais je transmettrais à mes descendants, comme j'ai reçu de mes ascendants.

En fait, il fut une époque où je prêtais des livres. Soit ils ne revenaient pas, soit on me les rendait en mauvais état. On, comme tu l'as si bien décrit, pour moi un livre a une grande valeur, au delà du contenu. De plus, c'est quelque chose qui se perdra avec le temps, le numérique effaçant le papier. Or effectivement, un livre a une odeur, un toucher, une reliure ... c'est pour moi une œuvre aussi précieuse à transmettre qu'un service en porcelaine qui traverse les générations. 

il y a 4 minutes, soisig a dit :

Je suis d'accord pour la transmission, mais je transmettrais à mes descendants, comme j'ai reçu de mes ascendants.

En fait, il fut une époque où je prêtais des livres. Soit ils ne revenaient pas, soit on me les rendait en mauvais état. On, comme tu l'as si bien décrit, pour moi un livre a une grande valeur, au delà du contenu. De plus, c'est quelque chose qui se perdra avec le temps, le numérique effaçant le papier. Or effectivement, un livre a une odeur, un toucher, une reliure ... c'est pour moi une œuvre aussi précieuse à transmettre qu'un service en porcelaine qui traverse les générations. 

Je l’entends même si je ne partage pas : une forme de sacralisation qui t’appartient.