Campagne de Macron : perquisitions fin janvier chez des dirigeants et ex-dirigeants de McKinsey Par Le Figaro avec AFP

Ces perquisitions ont été menées dans le cadre de deux informations judiciaires ouvertes en octobre par le parquet national financier (PNF) pour tenue non conforme de comptes de campagne et une autre pour favoritisme et recel de favoritisme. En décembre, c'est le siège français de la société de conseil et ceux du parti d'Emmanuel Macron, Renaissance, et de l'association de financement de Renaissance qui avaient été perquisitionnés par les enquêteurs.

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Il y a 1 heure, PASCOU a dit :

Ces perquisitions ont été menées dans le cadre de deux informations judiciaires ouvertes en octobre par le parquet national financier (PNF) pour tenue non conforme de comptes de campagne et une autre pour favoritisme et recel de favoritisme. En décembre, c'est le siège français de la société de conseil et ceux du parti d'Emmanuel Macron, Renaissance, et de l'association de financement de Renaissance qui avaient été perquisitionnés par les enquêteurs.

 

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https://www.lefigaro.fr/actualite-france/campagne-de-macron-perquisitions-fin-janvier-chez-des-dirigeants-et-ex-dirigeants-de-mckinsey-20230217

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Citation

Alexandre

le 17/02/2023 à 16:20

Quand on pense que l'on a descendu Fignon pour quelques costumes !

C'était, bien sur, un bon descendeur. Là ce n'est pas lui qui pédale!

il y a 27 minutes, hybridex a dit :

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C'était, bien sur, un bon descendeur. Là ce n'est pas lui qui pédale!

Ce n'est  pas de l'ingérence ?

Pour revenir au sujet:

https://www.marianne.net/societe/police-et-justice/campagne-de-macron-le-pnf-a-perquisitionne-les-domiciles-de-consultants-et-ex-consultants-de-mckinsey

Le petit ascensoriste..

Des candidats à l'élection présidentielle ainsi que des membres de l'opposition ont réclamé des comptes à Emmanuel Macron et au gouvernement sur leur large recours au cabinet de conseil américain McKinsey . Il n'aurait selon le Sénat payé aucun impôt sur les sociétés en France en dix ans. Invité sur Europe Matin mardi, Éric Zemmour est revenu sur ce "scandale" et a estimé que le chef de l'Etat a "renvoyé l'ascenseur" au groupe.