La facilité comme ennemie de l’intelligence

Des chercheurs en neurologie ont découvert un phénomène très étrange.

Certains patients soumis à une charge mentale insurmontable finissent par adopter un comportement social particulier.

Cet automatisme mental se manifeste de façon systématique face à la contradiction :

« Tu n’as qu’à taxer les riches ! »

Il s’agit là d’une variante inquiétante du syndrome de Gilles de la Tourette.

Outre son caractère obsessionnel, ce comportement mental semble difficile à contrecarrer intellectuellement :

_ « La France a 3 000 milliards de dette.

_ Tu n’as qu’à taxer les riches !

_ Les caisses de solidarité sont déficitaires.

_ Tu n’as qu’à taxer les riches !

_ Les océans s’acidifient.

_ Tu n’as qu’à taxer les riches !

_ La mère Michelle a perdu son chat.

_ Tu n’as qu’à taxer les riches ! »

Etc…

Ça semble imparable, et les chercheurs butent sur l’improbabilité d’une thérapie cognitive.

Il y a 1 heure, Fraction a dit :

Des chercheurs en neurologie ont découvert un phénomène très étrange.

Certains patients soumis à une charge mentale insurmontable finissent par adopter un comportement social particulier.

Cet automatisme mental se manifeste de façon systématique face à la contradiction :

« Tu n’as qu’à taxer les riches ! »

Il s’agit là d’une variante inquiétante du syndrome de Gilles de la Tourette.

 

Outre son caractère obsessionnel, ce comportement mental semble difficile à contrecarrer intellectuellement :

_ « La France a 3 000 milliards de dette.

_ Tu n’as qu’à taxer les riches !

_ Les caisses de solidarité sont déficitaires.

_ Tu n’as qu’à taxer les riches !

_ Les océans s’acidifient.

_ Tu n’as qu’à taxer les riches !

_ La mère Michelle a perdu son chat.

_ Tu n’as qu’à taxer les riches ! »

Etc…

Ça semble imparable, et les chercheurs butent sur l’improbabilité d’une thérapie cognitive.

Certes ton sujet et son introduction m'a déclenché un fou sourire (fou rire d'humour subtil) mais je propose cette réponse politique sincère et désabusée :

ce "tu n'as qu'a taxé les riches", vient comme une pente après la cote symétrique faire du relief avec "taxons les plutôt pauvres et moyennement riches tellement qu'ils sont propriétaires d'une Clio voire pire car ils sont nombreux et sur vibreur". Vu que le ruissellement a déjà produit tout son jus,  revoyons les principes de la mécanique des fluides pour ne pas couler avec orchestre. Si la mère Michel coule même les premières classes la suivront dans le naufrage, l'orchestre n'y pourra rien.

il y a 1 minute, dbm27 a dit :

Certes ton sujet et son introduction m'a déclenché un fou sourire (fou rire d'humour subtil) mais je propose cette réponse politique sincère et désabusée :

ce "tu n'as qu'a taxé les riches", vient comme une pente après la cote symétrique faire du relief avec "taxons les plutôt pauvres et moyennement riches tellement qu'ils sont propriétaires d'une Clio voire pire" car ils sont nombreux et sur vibreur. Vu que le ruissellement a déjà produit tout son jus,  renvoyons les principes de la mécanique des fluides pour ne pas couler avec orchestre. Si la mère Michel coule même les premières classes la suivront dans le naufrage, l'orchestre n'y pourra rien.

Notre économie est mondialisée.

Et notre dette publique, notre déficit public, sont conditionnés par notre quantité de travail, et notre qualité de travail.

Alors certes, nos gains de productivité nous permettent de travailler moins.

Mais cette sous-production se fera au détriment de notre solvabilité mondiale.

Je fais le vœu d'une France forte.

Mais pour cela, j'ai besoin de penser contre moi-même.

Si les français travaillent moins, alors la France s'affaiblira.

Et les français deviendront des sous-traitants, puis des subordonnés, puis des dépendants, puis des esclaves modernes.

Les entreprises du CAC40 embauchent très peu, par rapport à leur chiffre d'affaire.

Mais elles nous garantissent que la France ne deviendra jamais un pays de sous-traitants.

Aussi, nous avons besoin d'entrepreneurs bien financés.

Un PDG, c'est un homme qui multiplie le chiffre d'affaire, et ça rend service à tout le monde.

Alors qu'un financier, un actionnaire, c'est un homme qui rentabilise la valeur de l'action, du titre.

Il ne faut donc pas confondre un PDG et un actionnaire.

L'inculture d'extrême gauche a une certaine tendance à confondre les deux.

Appelé aussi le syndrome de Robin des Bois, cette curieuse folie consiste à voler les riches pour donner aux pauvres. En passant par les poches de quelques intermédiaires un peu prévaricateurs sur les bords.

il y a 6 minutes, Fraction a dit :

Notre économie est mondialisée.

Et notre dette publique, notre déficit public, sont conditionnés par notre quantité de travail, et notre qualité de travail.

Alors certes, nos gains de productivité nous permettent de travailler moins.

Mais cette sous-production se fera au détriment de notre solvabilité mondiale.

 

Je fais le vœu d'une France forte.

Mais pour cela, j'ai besoin de penser contre moi-même.

Si les français travaillent moins, alors la France s'affaiblira.

Et les français deviendront des sous-traitants, puis des subordonnés, puis des dépendants, puis des esclaves modernes.

 

Les entreprises du CAC40 embauchent très peu, par rapport à leur chiffre d'affaire.

Mais elles nous garantissent que la France ne deviendra jamais un pays de sous-traitants.

Aussi, nous avons besoin d'entrepreneurs bien financés.

 

Un PDG, c'est un homme qui multiplie le chiffre d'affaire, et ça rend service à tout le monde.

Alors qu'un financier, un actionnaire, c'est un homme qui rentabilise la valeur de l'action, du titre.

Il ne faut donc pas confondre un PDG et un actionnaire.

L'inculture d'extrême gauche a une certaine tendance à confondre les deux.

On peut toujours affirmer que les règles imposées par la mondialisation auront toujours forcément raison et que les règles financières devenues matricielles dicteront tous les développements durables de l'écosystème. Sauf que les ressources limitées et la réalité physico-chimique resteront, même politiquement  reines. Alors la finance internationale qu'elle soit ou non conforme à la morale devra aussi se plier à ce pouvoir.

On peut toujours faire une échelle selon le mérite entre le PDG qui apporte des compétences rares et les actionnaires qui ne proposent que leurs financements, mais si on continue à faire fi du dérèglement climatique et social, le naufrage aspirera toute l'humanité sans distinction. C'est la course généralisée et aveugle aux profits les plus rapides possibles qui nous conduit à ce naufrage. De nouveaux paradigmes de développement durable à la fois en termes de production et de répartition des richesses vont devenir nécessaires. Ou tout le monde, même les plus riches, crévera. C'est un choix mondialisé à faire dès aujourd'hui.

C'est déjà le déluge, et on est tous dans la même arche. 

il y a 11 minutes, dbm27 a dit :

On peut toujours affirmer que les règles imposées par la mondialisation auront toujours forcément raison et que les règles financières devenues matricielles dicteront tous les développements durables de l'écosystème. Sauf que les ressources limitées et la réalité physico-chimique resteront, même politiquement  reines. Alors la finance internationale qu'elle soit ou non conforme à la morale devra aussi se plier à ce pouvoir.

On peut toujours faire une échelle selon le mérite entre le PDG qui apporte des compétences rares et les actionnaires qui ne proposent que leurs financements, mais si on continue à faire fi du dérèglement climatique et social, le naufrage aspirera toute l'humanité sans distinction. C'est la course généralisée et aveugle aux profits les plus rapides possibles qui nous conduit à ce naufrage. De nouveaux paradigmes de développement durable à la fois en termes de production et de répartition des richesses vont devenir nécessaires. Ou tout le monde, même les plus riches, crévera. C'est un choix mondialisé à faire dès aujourd'hui.

C'est déjà le déluge, et on est tous dans la même arche. 

Une aide-soignante qui assiste une vieille dame dans ses derniers jours n'a pas beaucoup de valeur ajoutée.

Mais pourtant, elle joue un rôle fondamental dans la société.

C'est notre définition de la valeur ajoutée qui mérite d'être actualisée, humanisée.

La valeur ajoutée ne devrait pas se mesurer en terme marchand, mais plutôt en terme humain.

Parce que l'humain c'est le point de chute, c'est le consommateur final.