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Agressée par son ex-compagnon à Blois: le voisin qui a prévenu les secours témoigne


Plouj

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Membre, Créateur de la marionnette, 80ans Posté(e)
Gepetto Membre 11 242 messages
Maitre des forums‚ 80ans‚ Créateur de la marionnette,
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il y a 54 minutes, PASCOU a dit :

Oui, c'est  ça. 

Merci de m'approuver , monsieur pascoun.....;)

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
à l’instant, Gepetto a dit :

Merci de m'approuver , monsieur pascoun.....;)

De rien , j' ai deux Pinocchio à  la maison. :)

 

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Membre, Créateur de la marionnette, 80ans Posté(e)
Gepetto Membre 11 242 messages
Maitre des forums‚ 80ans‚ Créateur de la marionnette,
Posté(e)
il y a 1 minute, PASCOU a dit :

De rien , j' ai deux Pinocchio à  la maison. :)

 

C'est à dire ? :rolle:

je croyais que tu m'avais plus reconnu d'ou ce silence infâme à mon égard , car je te sentais un peu vexé :D

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 7 minutes, Gepetto a dit :

C'est à dire ? :rolle:

je croyais que tu m'avais plus reconnu d'ou ce silence infâme à mon égard , car je te sentais un peu vexé :D

Non, pas du tout, vexé  pour quoi?
Tout va bien.  :)

Je suis plus intimidé  par Gepetto que par Pinocchio.. :DD
 

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Membre, Voyageur, 71ans Posté(e)
Plouj Membre 113 163 messages
71ans‚ Voyageur,
Posté(e)
Il y a 3 heures, Natouxelle a dit :

Je sais, c'est un autre problème en plus...elles ne veulent pas partir à cause des enfants, par manque de moyen ou x autre raison... C'est pour ça que je dis que ce n'est pas simple. Il faut juste savoir que ce n'est pas facile de quitter un homme violant, il y a tout un environnement psychologique, des chaînes invisibles, qui ne sont pas facile à briser... Même si on leur donne la possibilité de s'en sortir... certaines retournent vers leur bourreau... comme font les animaux maltraités...

C'est pourquoi il est facile de blâmer la police, les centres , les femmes, l'entourage... souvent tout cela ne suffit pas pour aider...tant qu'il n'y a pas un déclic.

Tout à fait, pourtant Il y a des gens qui connaissent tout et qui donnent des leçons à ceux qui ont un vécu.

Il y a 5 heures, January a dit :

La première chose c'est la prévention, la deuxième c'est l'écoute et la troisième c'est la logistique et la justice. La prévention ? Inexistante. L'écoute ?  Quand ils ont mis en ligne la plateforme générale, elle a sauté. Ils nous la baillent belle avec les 600 appels, il y a eu (et il y a encore) un minimum de 30% de non décrochés : il n'y a pas les gens en face. Là je parle de la plateforme générale, qui redirige les appels, dont le 3919. Mais dans le lot il doit y en avoir des non-décrochés. Ils font quoi pour ça ? Rien. Ils laissent le boulot aux assos. Les plus riches peuvent salarier, mais la grande majorité non, les écoutants sont bénévoles, il serait temps que l'état emploient des gens et se chargent aussi du coût des formations. 

Il faut du temps ? Soit. Mais ils/elles sont où les campagnes de prévention, les campagnes de recrutement, les programmes de formation ? 

Types d'infos rarement dénoncées, dommage !

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Membre, Voyageur, 71ans Posté(e)
Plouj Membre 113 163 messages
71ans‚ Voyageur,
Posté(e)

La victime, âgée de 24 ans, est entre la vie et la mort. Le policier qui n’avait pas pris la plainte la semaine dernière de cette femme, violemment agressée quelques heures plus tard par son ex-compagnon à Blois, a été suspendu à titre conservatoire, a-t-on appris mercredi de source policière. La jeune femme avait été invitée à se représenter plus tard au commissariat.

Cette décision, prise par le directeur général de la police nationale (DGPN), Frédéric Veaux, intervient après son audition mardi par l’Inspection générale de la police nationale (IGPN), dans le cadre d’une enquête administrative, a-t-on ajouté de même source, confirmant une information de BFMTV.

https://www.20minutes.fr/faits_divers/4015777-20221221-blois-policier-pris-plainte-femme-agressee-ex-suspendu

 

L'agent de police n'a pas fit son boulot, c'est clair !

Question :

S'il avait pris la plainte, il semblerait qu'il faille une décision d'un magistrat pour une éventuelle protection.

La plainte déposée, le jeune femme serait donc rentrée chez elle..

Que se serait-il passé ?

 

Même résultat ?  A quel niveau faut-il alors intervenir ? 

Aurait-elle dû appeler le 17, mais quand ?

 

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Membre, 50ans Posté(e)
MarcThor Membre 2 219 messages
Forumeur vétéran‚ 50ans‚
Posté(e)
il y a 1 minute, Plouj a dit :

La victime, âgée de 24 ans, est entre la vie et la mort. Le policier qui n’avait pas pris la plainte la semaine dernière de cette femme, violemment agressée quelques heures plus tard par son ex-compagnon à Blois, a été suspendu à titre conservatoire, a-t-on appris mercredi de source policière. La jeune femme avait été invitée à se représenter plus tard au commissariat.

Cette décision, prise par le directeur général de la police nationale (DGPN), Frédéric Veaux, intervient après son audition mardi par l’Inspection générale de la police nationale (IGPN), dans le cadre d’une enquête administrative, a-t-on ajouté de même source, confirmant une information de BFMTV.

https://www.20minutes.fr/faits_divers/4015777-20221221-blois-policier-pris-plainte-femme-agressee-ex-suspendu

 

L'agent de police n'a pas fit son boulot, c'est clair !

Question :

S'il avait pris la plainte, il semblerait qu'il faille une décision d'un magistrat pour une éventuelle protection.

La plainte déposée, le jeune femme serait donc rentrée chez elle..

Que se serait-il passé ?

 

Même résultat ?  A quel niveau faut-il alors intervenir ? 

Aurait-elle dû appeler le 17, mais quand ?

 

La victime, âgée de 24 ans, est entre la vie et la mort. Le policier qui n’avait pas pris la plainte la semaine dernière de cette femme, violemment agressée quelques heures plus tard par son ex-compagnon à Blois, a été suspendu à titre conservatoire, a-t-on appris mercredi de source policière. La jeune femme avait été invitée à se représenter plus tard au commissariat.

Cette décision, prise par le directeur général de la police nationale (DGPN), Frédéric Veaux, intervient après son audition mardi par l’Inspection générale de la police nationale (IGPN), dans le cadre d’une enquête administrative, a-t-on ajouté de même source, confirmant une information de BFMTV.

https://www.20minutes.fr/faits_divers/4015777-20221221-blois-policier-pris-plainte-femme-agressee-ex-suspendu

 C’est un minimum. Et qu’ensuite une enquête minutieuse établisse les responsabilités…Puis que cette enquête aboutisse à un protocole de prévention avec des moyens humains et matériels permettant d’éviter au mieux de tels drames.



L'agent de police n'a pas fit son boulot, c'est clair !
Question :
S'il avait pris la plainte, il semblerait qu'il faille une décision d'un magistrat pour une éventuelle protection.

 Je ne suis pas spécialiste mais, pour une mesure d’éloignement en particulier, c’est clair. Il faut tenir compte de la présomption d’innocence sinon c’est la porte ouverte à tout. Ensuite, il y a protection et protection : sans mettre un policier à ses côtés  H24, il aurait pu contacter un centre d’accueil pour femmes battues (qui ont le mérite d’exister) pour la prendre en charge informellement le temps d’avancer sur un plan judiciaire ou s’assurer du fait qu’elle soit hébergée chez des personnes de confiance, hors de portée du potentiel agresseur…

 

La plainte déposée, le jeune femme serait donc rentrée chez elle..

 C’est exactement ce qu’il aurait fallu éviter…

 

Que se serait-il passé ?
Même résultat ?  A quel niveau faut-il alors intervenir ? 

Oui, même résultat si elle rentre…Il faudrait (en plus d’enregistrer systématiquement la plainte, en plus de tout un système de prévention) un protocole sûr et systématique de mise hors de danger (conduite vers un centre d’accueil, intervention psy…) déclenché automatiquement après la plainte, un traitement en urgence de la plainte, une décision rapide de mise hors de portée du plaignant ou de la plaignante pour un retour à la vie normale de cette potentielle victime… Toute une structure à mettre en place et des moyens alloués…

 

Aurait-elle dû appeler le 17, mais quand ?

 Le 3919 et bien plus tôt pour commencer…mais, comme toute victime, homme ou femme, elle était sans doute sous emprise.

Difficile de répondre pour le 17 : ce jour-là, s’enfermer dans une pièce et faire le 17 dès qu’il est dans l’appartement...mais faire cela dès la première fois , les premiers coups...

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Membre, Voyageur, 71ans Posté(e)
Plouj Membre 113 163 messages
71ans‚ Voyageur,
Posté(e)
il y a 13 minutes, MarcThor a dit :

La victime, âgée de 24 ans, est entre la vie et la mort. Le policier qui n’avait pas pris la plainte la semaine dernière de cette femme, violemment agressée quelques heures plus tard par son ex-compagnon à Blois, a été suspendu à titre conservatoire, a-t-on appris mercredi de source policière. La jeune femme avait été invitée à se représenter plus tard au commissariat.

Cette décision, prise par le directeur général de la police nationale (DGPN), Frédéric Veaux, intervient après son audition mardi par l’Inspection générale de la police nationale (IGPN), dans le cadre d’une enquête administrative, a-t-on ajouté de même source, confirmant une information de BFMTV.

https://www.20minutes.fr/faits_divers/4015777-20221221-blois-policier-pris-plainte-femme-agressee-ex-suspendu

 C’est un minimum. Et qu’ensuite une enquête minutieuse établisse les responsabilités…Puis que cette enquête aboutisse à un protocole de prévention avec des moyens humains et matériels permettant d’éviter au mieux de tels drames.



L'agent de police n'a pas fit son boulot, c'est clair !
Question :
S'il avait pris la plainte, il semblerait qu'il faille une décision d'un magistrat pour une éventuelle protection.

 Je ne suis pas spécialiste mais, pour une mesure d’éloignement en particulier, c’est clair. Il faut tenir compte de la présomption d’innocence sinon c’est la porte ouverte à tout. Ensuite, il y a protection et protection : sans mettre un policier à ses côtés  H24, il aurait pu contacter un centre d’accueil pour femmes battues (qui ont le mérite d’exister) pour la prendre en charge informellement le temps d’avancer sur un plan judiciaire ou s’assurer du fait qu’elle soit hébergée chez des personnes de confiance, hors de portée du potentiel agresseur…

 

La plainte déposée, le jeune femme serait donc rentrée chez elle..

 C’est exactement ce qu’il aurait fallu éviter…

 

Que se serait-il passé ?
Même résultat ?  A quel niveau faut-il alors intervenir ? 

Oui, même résultat si elle rentre…Il faudrait (en plus d’enregistrer systématiquement la plainte, en plus de tout un système de prévention) un protocole sûr et systématique de mise hors de danger (conduite vers un centre d’accueil, intervention psy…) déclenché automatiquement après la plainte, un traitement en urgence de la plainte, une décision rapide de mise hors de portée du plaignant ou de la plaignante pour un retour à la vie normale de cette potentielle victime… Toute une structure à mettre en place et des moyens alloués…

 

Aurait-elle dû appeler le 17, mais quand ?

 Le 3919 et bien plus tôt pour commencer…mais, comme toute victime, homme ou femme, elle était sans doute sous emprise.

Difficile de répondre pour le 17 : ce jour-là, s’enfermer dans une pièce et faire le 17 dès qu’il est dans l’appartement...mais faire cela dès la première fois , les premiers coups...

En moyenne, le nombre de femmes âgées de 18 à 75 ans qui, au cours d’une année, sont victimes de violences physiques et/ou sexuelles commises par leur conjoint ou ex-conjoint, est estimé à 213 000 femmes.

Parmi ces femmes victimes, 18% déclarent avoir déposé une plainte en gendarmerie ou en commissariat de police suite à ces violences.

https://arretonslesviolences.gouv.fr/je-suis-professionnel/chiffres-de-reference-violences-faites-aux-femmes

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Membre, 50ans Posté(e)
MarcThor Membre 2 219 messages
Forumeur vétéran‚ 50ans‚
Posté(e)
il y a une heure, Plouj a dit :

En moyenne, le nombre de femmes âgées de 18 à 75 ans qui, au cours d’une année, sont victimes de violences physiques et/ou sexuelles commises par leur conjoint ou ex-conjoint, est estimé à 213 000 femmes.

Parmi ces femmes victimes, 18% déclarent avoir déposé une plainte en gendarmerie ou en commissariat de police suite à ces violences.

https://arretonslesviolences.gouv.fr/je-suis-professionnel/chiffres-de-reference-violences-faites-aux-femmes

En moyenne, le nombre de femmes âgées de 18 à 75 ans qui, au cours d’une année, sont victimes de violences physiques et/ou sexuelles commises par leur conjoint ou ex-conjoint, est estimé à 213 000 femmes.

 

Je préfère les données plus complètes liées aux grandes études victimisation Cadre de Vie et de Sécurité menées par l' ONDRP et l'INSEE et plus universalistes, n'invisibilisant aucun groupe de victimes. Elles  seraient en fait quelque 258000 (68% du total des victimes) pour quelque 122000 hommes battues(32% du total des victimes) , deux tristes nombres même si  le nombre total de ces violences a diminué de manière sensible ces dernières années.

 SOURCE : RA ONDRP page 88

https://www.ihemi.fr/sites/default/files/publications/files/2019-12/RA_ONDRP_2019.pdf

 EXTRAITS :« …Une nouvelle baisse est à relever en 2018. Le nombre de victimes estimées a diminué que ce soit pour les violences physiques ou les violences sexuelles passant de 425000 en 2017 à 380000en 2018. Cette dernière baisse est principalement due à la diminution du nombre de victimes de violences sexuelles dans le ménage au moment des faits… ÉLÉMENTS DE PROFIL DES VICTIMES Les femmes sont les principales victimes des violences commises par une personne habitant avec elles au moment des faits. En effet, plus des deux tiers des victimes sont des femmes (68%). Proportionnellement, en moyenne 1,2% des femmes et 0,6% des hommes en sont victimes chaque année, entre 2011 et 2018… »

 

Parmi ces femmes victimes, 18% déclarent avoir déposé une plainte en gendarmerie ou en commissariat de police suite à ces violences.


 C'est évidemment trop peu.

Pour les hommes victimes, c'est cependant bien plus bas (3 à 4 % des hommes battus déclarant le drame qu'ils vivent en gendarmerie ou en commissariat de police suite à ces violences).
 Bien que représentant 32% des victimes, il y a 0% des centres d’accueil pour eux( donc 0% des centres accueillant père battu avec enfants) , 0% des centres d’éloignement de leur compagne-bourreau, 0% de centrales d’appel pour eux.
Ils ne sont quasiment jamais évoqués dans l’espace public à propos des violences conjugales qui ne seraient que des « violences faites aux femmes » ( comme c'est le cas dans la source que tu as proposée). Tout ceci ajouté notamment à la peur de ne plus voir leur enfant s'ils parlaient du fait du sexisme anti-père, pour les hommes battus ayant des enfants (la majorité des cas) et au " qu'en dira-t-on", explique cette grande différence qui fait que davantage d'hommes en proportion  restent confinés dans le silence.

Il faudrait davantage de centres, mis en place par l'état-et non par délégation ( avec des places pour les hommes battus, y compris avec enfants), permanents, pérennes, sur lesquels s'adosserait un protocole , avec un personnel compétent et en nombre suffisant, engagés par l'état, et en plus de la prévention, pour traiter plus sérieusement ce lourd sujet.

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Membre, Posté(e)
garthriter Membre 6 872 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Citation

S'il a décidé de s'exprimer, c'est pour rappeler quelques faits utiles. "Mon client est présumé innocent", lance Stéphane Rapin, avocat pénaliste au barreau de Blois.

 

Citation

L'avocat constate que la détention provisoire de son client est "justifiée, c'est une mesure de sûreté, il était en fuite". Il estime cependant qu'elle pourrait avoir "des effets négatifs et contre-productifs sur sa personnalité".

L'homme de 27 ans est mis en examen pour tentative de meurtre par une personne ayant été le concubin de la victime. S'il reconnaît les faits de violence, il nie l'intention de tuer son ex-compagne.

Son avocat qui estime que sa détention provisoire pourrait avoir des effets négatifs et contre-productifs sur sa personnalité...

Il a essayé de tuer cette femme en lui écrasant la tête au sol...et n'est pas à sa première violence envers les femmes. Qu'est-ce qu'on a encore à foutre des effets négatifs sur sa personnalité ? L'idéal serait qu'il pourrisse en prison  et ne sorte jamais.

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Membre, 42ans Posté(e)
avenir1789 Membre 1 565 messages
Forumeur vétéran‚ 42ans‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, garthriter a dit :

 

Son avocat qui estime que sa détention provisoire pourrait avoir des effets négatifs et contre-productifs sur sa personnalité...

Il a essayé de tuer cette femme en lui écrasant la tête au sol...et n'est pas à sa première violence envers les femmes. Qu'est-ce qu'on a encore à foutre des effets négatifs sur sa personnalité ? L'idéal serait qu'il pourrisse en prison  et ne sorte jamais.

Et que son avocat soit interdit d'exercer pendant 1 an.

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Membre, Voyageur, 71ans Posté(e)
Plouj Membre 113 163 messages
71ans‚ Voyageur,
Posté(e)
Il y a 2 heures, avenir1789 a dit :

Et que son avocat soit interdit d'exercer pendant 1 an.

Le métier d'avocat de la défense porte bien son nom !

Le rôle d'un avocat de la défense consiste à user de tous les moyens légaux possibles pour obtenir l'acquittement de son client devant la justice.

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Membre, 42ans Posté(e)
avenir1789 Membre 1 565 messages
Forumeur vétéran‚ 42ans‚
Posté(e)
Il y a 3 heures, Plouj a dit :

Le métier d'avocat de la défense porte bien son nom !

Le rôle d'un avocat de la défense consiste à user de tous les moyens légaux possibles pour obtenir l'acquittement de son client devant la justice.

"User de tous les moyens légaux .." Là, je dirais que c'est plutôt  abuser !

TOUTE personne en détention provisoire pourrait subir des effets négatifs et contre-productifs. Donc personne ne devrait faire de la prison préventive.

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