À 80 ans, ce médecin parcourt les montagnes pour aider ses patients

https://www.nationalgeographic.fr/photographie/a-80-ans-ce-medecin-parcourt-les-montagnes-pour-aider-ses-patients

Pendant les hivers rudes des montagnes du Caucase, ce docteur répond toujours à l’appel pour venir en aide à ceux qui en ont besoin.

Pendant l’été et au début de l’automne, avant que la neige ne recouvre les pics des montagnes, Irakli Khvedaguridze rejoint ses patients sur son cheval blanc, Bichola. Plus tard dans la saison, quand la neige devient trop épaisse pour le faire galoper, Khvedaguridze transforme ses chaussures en skis en y fixant des planches de bois de bouleau. Quand la neige arrive à ses genoux, il doit faire le voyage à pied.

Quelles que soient les conditions météorologiques à braver, il ne rend jamais visite à un patient sans prendre un couteau, une boîte d’allumettes, de la nourriture pour au moins deux jours, et un fusil de chasse, en plus de son stéthoscope et du reste de son équipement médical. Telle est la vie de ce médecin des montagnes âgé de 80 ans.

« À chaque fois qu’on sort, quelles que soient la saison et la météo, on sait que tout peut arriver », confie Khvedaguridze, un homme costaud aux yeux d’un bleu laiteux et qui arbore une mèche de cheveux blancs qui ressort de sa casquette de baseball (qu’il ne retire presque jamais). « On peut tomber d’une falaise, se blesser. Cette nature est sauvage. »

Khvedaguridze, le seul médecin agréé à près de 1 000 kilomètres carrés à la ronde dans les terres montagneuses de cette région historique du nord-est de la Géorgie, est une bouée de sauvetage pour les communautés de plus en plus réduites qui choisissent de rester dans cette zone reculée de la Touchétie pendant les huit mois d’hiver.

Il y a 5 heures, Petit ours a dit :

https://www.nationalgeographic.fr/photographie/a-80-ans-ce-medecin-parcourt-les-montagnes-pour-aider-ses-patients

Pendant les hivers rudes des montagnes du Caucase, ce docteur répond toujours à l’appel pour venir en aide à ceux qui en ont besoin.

Pendant l’été et au début de l’automne, avant que la neige ne recouvre les pics des montagnes, Irakli Khvedaguridze rejoint ses patients sur son cheval blanc, Bichola. Plus tard dans la saison, quand la neige devient trop épaisse pour le faire galoper, Khvedaguridze transforme ses chaussures en skis en y fixant des planches de bois de bouleau. Quand la neige arrive à ses genoux, il doit faire le voyage à pied.

Quelles que soient les conditions météorologiques à braver, il ne rend jamais visite à un patient sans prendre un couteau, une boîte d’allumettes, de la nourriture pour au moins deux jours, et un fusil de chasse, en plus de son stéthoscope et du reste de son équipement médical. Telle est la vie de ce médecin des montagnes âgé de 80 ans.

« À chaque fois qu’on sort, quelles que soient la saison et la météo, on sait que tout peut arriver », confie Khvedaguridze, un homme costaud aux yeux d’un bleu laiteux et qui arbore une mèche de cheveux blancs qui ressort de sa casquette de baseball (qu’il ne retire presque jamais). « On peut tomber d’une falaise, se blesser. Cette nature est sauvage. »

Khvedaguridze, le seul médecin agréé à près de 1 000 kilomètres carrés à la ronde dans les terres montagneuses de cette région historique du nord-est de la Géorgie, est une bouée de sauvetage pour les communautés de plus en plus réduites qui choisissent de rester dans cette zone reculée de la Touchétie pendant les huit mois d’hiver.

quelle belle âme !

J'ai vu un documentaire où c'était une docteresse mongole qui parcourait les kilomètres sur une 125cm3. La Mongolie est un vaste état par rapport au nombre d'habitants.