Refoulement des émotions

il y a 33 minutes, Damm a dit :

Pourquoi?

Tu veux dire que je fais une demande paradoxale? (l'image d'un appel à l'aide et refus de s'en sortir)?

Très franchement ... je n'en sais rien ..  

Oui peut être ..

ou alors cela résonne en moi pour une autre expérience .. ce qui ne serait guère étonnant ..

Comme toi je bloque sur des trucs .. (parfois futiles ) je ne dis pas que je les rumine mais que je les tournent en boucles parfois sans répi .. jusqu'a oublier d'avancer .. 

Depuis le début ton fil me met mal à l'aise .. je n'ai pas défini si c'est ton attitude ambiguë vis à vis de ta demande  ou si c'est plus perso ..

Bref .. ça tourne en arrière plan .. pourvu que cela ne vienne pas en bug ..

il y a 40 minutes, Damm a dit :

Pourquoi?

Tu veux dire que je fais une demande paradoxale? (l'image d'un appel à l'aide et refus de s'en sortir)?

bonjour 

OUI ? ce que tu décrit peut paraître paradoxale ?

ou bien tu joue avec les réponses des intervenants , ou bien , les fonctions de t'on cerveau sont déjouées par des réactions bio ou chimiques comme nous tous par moment ?

ce n'est pas une conclusion , mais une remarque ?

bonne journée

Il y a 21 heures, le merle a dit :

bonjour 

OUI ? ce que tu décrit peut paraître paradoxale ?

ou bien tu joue avec les réponses des intervenants , ou bien , les fonctions de t'on cerveau sont déjouées par des réactions bio ou chimiques comme nous tous par moment ?

ce n'est pas une conclusion , mais une remarque ?

bonne journée

Bonjour,

Je ne fais que répondre simplement aux intervenants, et pour ta remarque sur mon cerveau, je pense peut être que j'ai des réactions bio ou chimique comme les autres mais sauf que j'ai un autisme en plus quoi.

Je te souhaite une bonne journée 

il y a 35 minutes, Damm a dit :

Bonjour,

Je ne fais que répondre simplement aux intervenants, et pour ta remarque sur mon cerveau, je pense peut être que j'ai des réactions bio ou chimique comme les autres mais sauf que j'ai un autisme en plus quoi.

Je te souhaite une bonne journée 

Tu as répondu, il me semble à @querida13 qui soulevait le problème que tu n'avais pas le temps d'investiguer sur cette hypothèse .. 

Maintenant tu le tiens pour acquis ..

Désole ce n'est pas @querida13 mais @Mite_Railleuse .. 

Le 02/01/2022 à 11:44, Mite_Railleuse a dit :

Veux pas faire de la psycho de bazar, ni minimiser ton ressenti, mais si une simple altercation somme toute assez anodine et courante te met dans un tel état, la cause est peut-être à chercher ailleurs.

Tu dis que tu as été diagnostiqué Asperger "léger". Ne faudrait-il pas voir de ce côté ?

Le 02/01/2022 à 17:14, Damm a dit :

Oui mais pas le temps de le faire

un psychologue

Par contre je ne pratique en aucun cas l'automutilation juste je rumine

Le 04/01/2022 à 08:27, Sittelle a dit :

Maintenant tu le tiens pour acquis ..

Salut Sitelle,

Désole de ne pas t'avoir répondu mais qu'est ce que je tiens pour acquis? le problème que je n'ai pas le temps d'investiguer sur l’hypothèse de mon autisme, ou mes ruminations mentales?

Bonne journée

Le 06/01/2022 à 07:45, Damm a dit :

Salut Sitelle,

Désole de ne pas t'avoir répondu mais qu'est ce que je tiens pour acquis? le problème que je n'ai pas le temps d'investiguer sur l’hypothèse de mon autisme, ou mes ruminations mentales?

Bonne journée

Ni l'un ni l'autre en fait.

 Mais plutôt la corrélations entre tes colères refoulées et ton autisme.

 On sais que à priori tous les autistes rumines ( souvent des détails insignifiants d'ailleurs), comme si la fonction RESET était altérée.. et toi tu semble particulièrement le faire avec des colères liées à la frustration.

 D'un coté tu viens en parler comme si tu voulais déposer quelque chose qui te pèse et l'instant d'après tu clames que non tu ne cherches pas à vouloir faire évoluer tes rancœurs et tu affirmes ne pas en souffrir.

 Ma question était plus du genre : Est ce que tu considères que c'est peine perdue de tenter d’améliorer tes ruminations par ce que ce pourrait être structurel et faisant forcement partie de ton autisme ?

Il y a 9 heures, Sittelle a dit :

Est ce que tu considères que c'est peine perdue de tenter d’améliorer tes ruminations par ce que ce pourrait être structurel et faisant forcement partie de ton autisme ?

Oui je le reconnais, il me semble que j'avais dit, au début de mon sujet que je ne cherchais pas de solutions en particulier.

Je crois effectivement que c'est peine perdue de tenter d'améliorer mes ruminations, j'ai arrêté par le passé ma thérapie car je ne voulais pas me sentir mieux, je pense que moi aussi je doit avoir un bénéfice quelconque (inconscient bien sur).

Il y a 9 heures, Sittelle a dit :

 On sais que à priori tous les autistes rumines ( souvent des détails insignifiants d'ailleurs), comme si la fonction RESET était altérée.. et toi tu semble particulièrement le faire avec des colères liées à la frustration.

Oui ça c'est juste, la preuve je ne peux presque pas me lever le matin sans penser à ce type qui ne veut pas me laisser passer parce que je fais de la trottinette sur le trotoir, ou à l'autre qui me dis que je fais chier avec ma trotinette...

En tout cas je te remercie de m'avoir répondu et te souhaite une bonne journée

il y a 53 minutes, Damm a dit :

Oui je le reconnais, il me semble que j'avais dit, au début de mon sujet que je ne cherchais pas de solutions en particulier.

Je crois effectivement que c'est peine perdue de tenter d'améliorer mes ruminations, j'ai arrêté par le passé ma thérapie car je ne voulais pas me sentir mieux, je pense que moi aussi je doit avoir un bénéfice quelconque (inconscient bien sur).

Oui ça c'est juste, la preuve je ne peux presque pas me lever le matin sans penser à ce type qui ne veut pas me laisser passer parce que je fais de la trottinette sur le trotoir, ou à l'autre qui me dis que je fais chier avec ma trotinette...

 

En tout cas je te remercie de m'avoir répondu et te souhaite une bonne journée

Alors je comprends que l'autre discute sur la RTN  te concerne personnellement ..

Alors oui si tu arrives à comprendre quel est ton bénéfice .. ce serait peu être plus facile ..

Bonne journée aussi ..

il y a une heure, Sittelle a dit :

Alors je comprends que l'autre discute sur la RTN  te concerne personnellement ..

Bon disons que j'ai fait une RTN par absence de transformation (ce cas de figure marche aussi comme l'aggravation dans le traitement) mais je n'ai pas dit que cela me concerne personnellement.

bonjour

la psychologie est très particulière , même , parfois , pour les gens dit normaux .

parfois , dans certaines situations ,notre " logique " vacille " , elle à des problèmes à double ou triple solutions qui ne sont pas forcément complémentaires et souvent contradictoire ,

en fait , t'on problème serait peut-être une sorte de débat en opposition avec t'à raison qui va du " bon au mauvais " ou entre les deux , sans jamais que les unes ou les autres ne prennent le dessus sur l'ensemble ?

ce n'est qu'une hypothèse ,

bonne journée

Il y a 1 heure, Damm a dit :

Bon disons que j'ai fait une RTN par absence de transformation (ce cas de figure marche aussi comme l'aggravation dans le traitement) mais je n'ai pas dit que cela me concerne personnellement.

Non effectivement dans le fil sue les RTN tu ne dis pas que c'est le cas .. mais dans celui ci oui ..

Il y a 4 heures, Damm a dit :

Oui je le reconnais, il me semble que j'avais dit, au début de mon sujet que je ne cherchais pas de solutions en particulier.

Je crois effectivement que c'est peine perdue de tenter d'améliorer mes ruminations, j'ai arrêté par le passé ma thérapie car je ne voulais pas me sentir mieux, je pense que moi aussi je doit avoir un bénéfice quelconque (inconscient bien sur).

Oui ça c'est juste, la preuve je ne peux presque pas me lever le matin sans penser à ce type qui ne veut pas me laisser passer parce que je fais de la trottinette sur le trotoir, ou à l'autre qui me dis que je fais chier avec ma trotinette...

 

En tout cas je te remercie de m'avoir répondu et te souhaite une bonne journée

Il y a 2 heures, le merle a dit :

en fait , t'on problème serait peut-être une sorte de débat en opposition avec t'à raison qui va du " bon au mauvais " ou entre les deux , sans jamais que les unes ou les autres ne prennent le dessus sur l'ensemble ?

J'ai pas vraiment compris cela

il y a une heure, Sittelle a dit :

Non effectivement dans le fil sue les RTN tu ne dis pas que c'est le cas .. mais dans celui ci oui ..

Bon je crois que c'est une RTN car c'était de la résistance à la guérison avec absence de transformation (dans mon cas: ni aggravation ni amélioration)

il y a 28 minutes, Damm a dit :

J'ai pas vraiment compris cela

 

Bon je crois que c'est une RTN car c'était de la résistance à la guérison avec absence de transformation (dans mon cas: ni aggravation ni amélioration)

En fait tu prends ce qui t'arrange .. 

Bon ben .. 

Le 30/12/2021 à 08:15, Damm a dit :

Bonjour (ou bon matin)

Je voudrais parler de quelque chose qui m'embête mais je ne sais pas trop comment présenter les choses. En fait je crois que je refoule mes émotions, la colère en particulier, je n'en parle à personne par conséquent je ne m'en libère pas. Étant atteint d'autisme asperger (léger et presque invisible) je ressens encore l'évènement qui à provoqué cet émotion (bien que je l'ai exprimé une fois) je le revis et le revis quasi en permanence (bien sur en le cachant aux autres et affichant un moi heureux) mais je pense que, en fait, je ne veux pas libérer ces émotions. Je n'ai jamais envisagé de thérapie ni de psychiatre ni de psy car cela coute non seulement de l'argent mais surtout la volonté de s'en sortir et de s'en libérer. Alors je lis des conseils sur internet qu’évidemment je n'applique pas car je pense que je ne l'ai pas cette volonté de m'en libérer. Bon je reconnais que j'ai étais suivi il y a longtemps par un psy mais on à décidé d'arrêter l'accompagnement, en effet dans mon cas ce n'étais pas productif et ça ne servait à rien car tout le temps ça tournait autour de cet évènement désagréable, donc on en arrive à la conclusion classique de "je ne peux pas  t'aider si tu ne veux pas t'en sortir".  Je rumine des évènement très loin dans le passé qui ont provoqué de la colère sans m'en libérer car je crois que je ne le veux pas.

Voila désolé pour ce sujet pas très joyeux , je voudrais savoir si il y a une explication à tout cela et si quelqu'un est dans le même cas que moi

Merci d'avance à ceux qui me liront.

 

 

 

 

tu es le ou la seul(e) à pouvoir décider de t'en libérer, personne ne peut le décider à ta place. Tant que tu considéreras cette épreuve comme un drame, une malédiction etc, à cause d'un autre, tu te positionneras en victime.

Déjà il faut commencer par identifier la blessure (rejet, abandon, humiliation, trahison ou injustice) et se positionner par rapport à cette blessure (culpabilité personnelle ?).

Il faut prendre conscience de la blessure et l'accepter.(attention il ne faut pas tout accepter, face à un abus, une agression morale il faut se protéger et exprimer ses ressentis, tu es et reste une VICTIME.)

Il faut essayer de se distancier du fait et surtout cesser de s'infliger cette blessure constamment, en boucle.

Cesser d'en vouloir à celui ou celle qui a provoqué ta colère, c'est déjà commencer à te débarrasser de ta blessure. Sinon on continue à le laisser prendre possession de notre énergie personnelle et à laisser l'emprise à l'autre. 

Tu peux utiliser ce qu'on appelle un "langage d'âme à âme) : 

tu peux faire ça seul(e) en imaginant que tu convoques la personne t'ayant fait du mal, tu l'imagines en face de toi et tu dis à haute voix tout ce que tu as envie de lui dire, tout ce qu'elle ou qu'il t'a fait vivre,  tout ce que tu as sur le coeur, fais lui toutes les reproches que tu as envie de lui faire, et tu lui dis que tu décides de te libérer de tout le mal qu'il t' a fait ressentr.. Qu'il n'a plus aucun poids sur toi, que vous n'avez plus aucun lien à partir de ce moment, que tu ne ressens plus aucune souffrance mais beaucoup de paix.

Tu peux utiliser des ciseaux imaginaires et couper tous les liens d'un geste pour bien marquer la fin entre vous. Normalement tu devrais commencer à ressentir un grand soulagement sur l'instant. Essaye et dis m'en des nouvelles.

Il y a 2 heures, MelleNoir a dit :

tu es le ou la seul(e) à pouvoir décider de t'en libérer, personne ne peut le décider à ta place. Tant que tu considéreras cette épreuve comme un drame, une malédiction etc, à cause d'un autre, tu te positionneras en victime.

Déjà il faut commencer par identifier la blessure (rejet, abandon, humiliation, trahison ou injustice) et se positionner par rapport à cette blessure (culpabilité personnelle ?).

Il faut prendre conscience de la blessure et l'accepter.(attention il ne faut pas tout accepter, face à un abus, une agression morale il faut se protéger et exprimer ses ressentis, tu es et reste une VICTIME.)

Il faut essayer de se distancier du fait et surtout cesser de s'infliger cette blessure constamment, en boucle.

Cesser d'en vouloir à celui ou celle qui a provoqué ta colère, c'est déjà commencer à te débarrasser de ta blessure. Sinon on continue à le laisser prendre possession de notre énergie personnelle et à laisser l'emprise à l'autre. 

Tu peux utiliser ce qu'on appelle un "langage d'âme à âme) : 

tu peux faire ça seul(e) en imaginant que tu convoques la personne t'ayant fait du mal, tu l'imagines en face de toi et tu dis à haute voix tout ce que tu as envie de lui dire, tout ce qu'elle ou qu'il t'a fait vivre,  tout ce que tu as sur le coeur, fais lui toutes les reproches que tu as envie de lui faire, et tu lui dis que tu décides de te libérer de tout le mal qu'il t' a fait ressentr.. Qu'il n'a plus aucun poids sur toi, que vous n'avez plus aucun lien à partir de ce moment, que tu ne ressens plus aucune souffrance mais beaucoup de paix.

Tu peux utiliser des ciseaux imaginaires et couper tous les liens d'un geste pour bien marquer la fin entre vous. Normalement tu devrais commencer à ressentir un grand soulagement sur l'instant. Essaye et dis m'en des nouvelles.

Intéressant, je ne sais pas comment en être  capable. En même temps je ne vis pas les choses comme @Damm je ne sais rien des colères qu'il décrit.

Alexithymique, je ne suis pas dans mes émotions, je ne les comprends pas.. et je vis très mal cela . Peut être qu' en découpant les liens comme vous dites, en transperçant les bulles émotionnelles, elles éclateraient avant de me submerger.

Mais comment faire?

Je souffre d’angoisses que je ne perçois que trop tard et qui arrivent à me paralyser.

Il y a 12 heures, Sittelle a dit :

Intéressant, je ne sais pas comment en être  capable. En même temps je ne vis pas les choses comme @Damm je ne sais rien des colères qu'il décrit.

Alexithymique, je ne suis pas dans mes émotions, je ne les comprends pas.. et je vis très mal cela . Peut être qu' en découpant les liens comme vous dites, en transperçant les bulles émotionnelles, elles éclateraient avant de me submerger.

 

Mais comment faire?

Je souffre d’angoisses que je ne perçois que trop tard et qui arrivent à me paralyser.

Tu as eu un déficit de l'affect étant petite ?  C'est l'intelligence et la raison qui répriment l'émotion et le sentiment.

Est ce que tu as tendance à utiliser l'action pour éviter les conflits et les situations stressantes? (dans le style d'avoir une pensée utilitaire)

C'est drôle parce que là, tu te sens dans ton domaine, et tous les conseils que tu lui as donné sont spontanés, tu n'as aucune difficulté à trouver tes mots, aucune difficultés à faire des connexions entre émotions et idées ou pensées, quand tu parles à un autre. 

Pour toi tu ne sais pas identifier ou décrire ce que tu ressens, parce que tu as un déficit de reconnaissance envers toi, de pensées personnelles. 

Est ce que ta créativité a été bloquée quand tu étais petite ? On dirait que tes problèmes viennent de l'inexpression de créativité, une éducation stricte peut être où il n'était pas permis d'exprimer ses émotions, ou son verbe (attitude des parents que tu copiais par mimétisme ?) Interdiction de montrer ton intelligence ? ou rabaissement ? et qui ont eu raison de toi .. qui t'a convaincue de les cacher. 

Sur le forum, tu adoptes souvent une conduite de dépendance, une conduite addictive, tu te sens inférieure aux autres, sur ce fil c'est tout le contraire et ça fait plaisir de te lire.

Il pourrait y avoir chez toi un dilemne entre coeur et raison. Un gros manque de confiance en toi qui date peut être même d'un héritage émotionnel, de schémas qui se répètent de génération en génération, d'angoisses qui ne t'appartiennent même pas, mais que tu as reçues en héritage, de secrets familiaux. Ce pourrait être le corps de souffrance d'un autre que tu portes. 

Réfléchis sur tes entraves affectives et émotionnelles, de quand datent elles ? est ce que tu peux les nommer ? 

Tu pensais petite que tu ne valais rien ? que tu n'étais rien comparée à d'autre ? Tu te fixais des buts trop grands, par défi ? Ou d'autres t'en fixaient ?  

Ca peut venir d'une erreur d'interprétation de ta part également, tu pensais que c'était ce qu'on attendait de toi et que tu n'étais pas capable de faire. D'une discrétion qu'on te demandait ou que tu t'obligeais.

Est ce qu'il y a une gémellité? Tu as eu un ou une jumelle ou tu devais être deux normalement à la naissance?

Quand arrive tes angoisses , tu ne devrais pas lutter contre, mais au contraire , les accueillir, les laisser s'exprimer, essayer de comprendre ce que tu ressens, ce que cette angoisse a à te dire.  Chercher la sensation qui y est associée (tu as envie de crier, de pleurer, de faire quelque chose, de ne rien faire etc), mais ne rien faire , t'asseoir et laisser venir, monter en toi.

Tu fais comme si tu étais face à toi enfant, et tu te parles, tu te consoles, tu te dis que tu as le droit d'être angoissée, qu'il y a plein de bonnes raisons à cela, mais que toi, adulte tu es là maintenant, qu'il n'y a plus de craintes à avoir, que tu peux gérer.  Sois attentive et observe ce qui se passe. Tu peux proposer à ton enfant intérieur d'exprimer sa créativité, en simplement lui demander par ton intermédiaire de dessiner , d'écrire, de chanter, etc. 

La blessure de rejet : fait souvent rechercher la perfection dans tout, on se considère ou on se sent "à part", on choisit souvent la fuite face à une situation difficile. 

La blessure d'abandon : On cherche et demande des conseils que l'on ne suit pas nécessairement, on ne supporte pas la solitude, on est souvent très chaleureux avec son entourage.

La blessure d'humiliation ; on n'aime pas aller vite, on essaie d'être parfait pour éviter les critiques, on s'impose de toujours faire plus, plus pour faire plaisir aux autres, qu'à soi même et on se retrouve souvent avec le sentiment qu'on abuse de nous.

Blessure de trahison : on est intolérant aux problèmes des autres, on aime tout contrôler et on n'arrive pas à déléguer, on cherche sans cesse à impressionner, on comprend et agit , réagit vite.

La blessure d'injustice : on est très exigeant envers soi, on cherche la perfection, on pense qu'il n'y a aucun problème à se faire plaisir sans se sentir coupable.

En gros voilà les caractéristiques, mais attention, notre mental lutte pour essayer de nous éloigner de notre blessure pour nous protéger de la prise de conscience de celle ci, pour nous éviter de souffrir, et de voir la réalité en face, donc souvent les autres nous reconnaîtrons plus que nous ne nous reconnaitrons nous mêmes dans ces blessures.

Tu peux aussi faire un autre exercice simple, lis les 5 blessures.. puis fais autre chose pendant 10 minutes et ensuite , essaye de noter les 5 blessures de mémoire, celle qui va te manquer dans ta liste c'est souvent celle précisément qui t'appartient. Il peut y en avoir plusieurs aussi de blessures.

@MelleNoirEst ce qu'on pourrait se parler en priver s'il vous plaît?

je vous remercie et vous souhaite une bonne journée

Il y a 6 heures, MelleNoir a dit :

Tu as eu un déficit de l'affect étant petite ?  C'est l'intelligence et la raison qui répriment l'émotion et le sentiment.

Est ce que tu as tendance à utiliser l'action pour éviter les conflits et les situations stressantes? (dans le style d'avoir une pensée utilitaire)

C'est drôle parce que là, tu te sens dans ton domaine, et tous les conseils que tu lui as donné sont spontanés, tu n'as aucune difficulté à trouver tes mots, aucune difficultés à faire des connexions entre émotions et idées ou pensées, quand tu parles à un autre. 

Pour toi tu ne sais pas identifier ou décrire ce que tu ressens, parce que tu as un déficit de reconnaissance envers toi, de pensées personnelles. 

Est ce que ta créativité a été bloquée quand tu étais petite ? On dirait que tes problèmes viennent de l'inexpression de créativité, une éducation stricte peut être où il n'était pas permis d'exprimer ses émotions, ou son verbe (attitude des parents que tu copiais par mimétisme ?) Interdiction de montrer ton intelligence ? ou rabaissement ? et qui ont eu raison de toi .. qui t'a convaincue de les cacher. 

Sur le forum, tu adoptes souvent une conduite de dépendance, une conduite addictive, tu te sens inférieure aux autres, sur ce fil c'est tout le contraire et ça fait plaisir de te lire.

Il pourrait y avoir chez toi un dilemne entre coeur et raison. Un gros manque de confiance en toi qui date peut être même d'un héritage émotionnel, de schémas qui se répètent de génération en génération, d'angoisses qui ne t'appartiennent même pas, mais que tu as reçues en héritage, de secrets familiaux. Ce pourrait être le corps de souffrance d'un autre que tu portes. 

Réfléchis sur tes entraves affectives et émotionnelles, de quand datent elles ? est ce que tu peux les nommer ? 

Tu pensais petite que tu ne valais rien ? que tu n'étais rien comparée à d'autre ? Tu te fixais des buts trop grands, par défi ? Ou d'autres t'en fixaient ?  

Ca peut venir d'une erreur d'interprétation de ta part également, tu pensais que c'était ce qu'on attendait de toi et que tu n'étais pas capable de faire. D'une discrétion qu'on te demandait ou que tu t'obligeais.

Est ce qu'il y a une gémellité? Tu as eu un ou une jumelle ou tu devais être deux normalement à la naissance?

Quand arrive tes angoisses , tu ne devrais pas lutter contre, mais au contraire , les accueillir, les laisser s'exprimer, essayer de comprendre ce que tu ressens, ce que cette angoisse a à te dire.  Chercher la sensation qui y est associée (tu as envie de crier, de pleurer, de faire quelque chose, de ne rien faire etc), mais ne rien faire , t'asseoir et laisser venir, monter en toi.

Tu fais comme si tu étais face à toi enfant, et tu te parles, tu te consoles, tu te dis que tu as le droit d'être angoissée, qu'il y a plein de bonnes raisons à cela, mais que toi, adulte tu es là maintenant, qu'il n'y a plus de craintes à avoir, que tu peux gérer.  Sois attentive et observe ce qui se passe. Tu peux proposer à ton enfant intérieur d'exprimer sa créativité, en simplement lui demander par ton intermédiaire de dessiner , d'écrire, de chanter, etc. 

La blessure de rejet : fait souvent rechercher la perfection dans tout, on se considère ou on se sent "à part", on choisit souvent la fuite face à une situation difficile. 

La blessure d'abandon : On cherche et demande des conseils que l'on ne suit pas nécessairement, on ne supporte pas la solitude, on est souvent très chaleureux avec son entourage.

La blessure d'humiliation ; on n'aime pas aller vite, on essaie d'être parfait pour éviter les critiques, on s'impose de toujours faire plus, plus pour faire plaisir aux autres, qu'à soi même et on se retrouve souvent avec le sentiment qu'on abuse de nous.

Blessure de trahison : on est intolérant aux problèmes des autres, on aime tout contrôler et on n'arrive pas à déléguer, on cherche sans cesse à impressionner, on comprend et agit , réagit vite.

La blessure d'injustice : on est très exigeant envers soi, on cherche la perfection, on pense qu'il n'y a aucun problème à se faire plaisir sans se sentir coupable.

En gros voilà les caractéristiques, mais attention, notre mental lutte pour essayer de nous éloigner de notre blessure pour nous protéger de la prise de conscience de celle ci, pour nous éviter de souffrir, et de voir la réalité en face, donc souvent les autres nous reconnaîtrons plus que nous ne nous reconnaitrons nous mêmes dans ces blessures.

Tu peux aussi faire un autre exercice simple, lis les 5 blessures.. puis fais autre chose pendant 10 minutes et ensuite , essaye de noter les 5 blessures de mémoire, celle qui va te manquer dans ta liste c'est souvent celle précisément qui t'appartient. Il peut y en avoir plusieurs aussi de blessures.

 

 

Je ne sais pas grand chose de tout ceci  sauf qu'il n'y a ni gémelite ni frein à ma créativité .. bien au contraire .je vais essayer de réfléchir a ce que vous écrivez ..

Même si je pense que mes angoices ont peu avoir avec l'enfance .. et moins encore avec les non dit générationnels ..

Il y a 18 heures, Damm a dit :

@MelleNoirEst ce qu'on pourrait se parler en priver s'il vous plaît?

je vous remercie et vous souhaite une bonne journée

Je t ai envoyé  un message privé,  mais je n avais pas regardé  avant ton nombre de messages et je ne sais si tu as pu le lire déjà ? Si ton ancienneté  sur ce forum le permettait?

Dans ce cas, dis le moi, sur ce fil et je mettrai ma réponse ici, pour que tu puisses la lire.