Pensez-vous que nous ne sommes déjà plus des animaux ?

il y a 59 minutes, brooder a dit :

Effectivement l'homme se cherche une identification sinon une reconnaissance. C'est le mythe de Narcisse qui ayant vue son image s'y perd. Il ne nous est donné que de s'identifier à l'animal.

 

Je n'ai jamais parlé du besoin de reconnaissance, c'est un jugement de valeur sans fondement, tout du moins, tel que je l'entends, c'est alors mettre la charrue avant les bœufs, comme on dit, d'autant lorsque le mythe de Narcisse, est limité au sens anecdotique, excluant ici le tableau mythologique présenté aux prémisses de la psychanalyse, mis en scène, et légué par toute l'étendue de l'ignorance de l'humanité, pour les contemporains que nous sommes, le nous ici, sans l'intimité, unissant ici l'individualisme, tel que l'on pourrait le définir présentement, parce qu'il s'agit seulement là, d'un entre-soi . 

Il y a 1 heure, Noah le seul et unik a dit :

Je n'ai jamais parlé du besoin de reconnaissance, c'est un jugement de valeur sans fondement, tout du moins, tel que je l'entends, c'est alors mettre la charrue avant les bœufs, comme on dit, d'autant lorsque le mythe de Narcisse, est limité au sens anecdotique, excluant ici le tableau mythologique présenté aux prémisses de la psychanalyse, mis en scène, et légué par toute l'étendue de l'ignorance de l'humanité, pour les contemporains que nous sommes, le nous ici, sans l'intimité, unissant ici l'individualisme, tel que l'on pourrait le définir présentement, parce qu'il s'agit seulement là, d'un entre-soi . 

C'est pour le moins une réponse à tiroirs !

Si nous formons société c'est bien pour se choisir des maitres. Ceux-ci s'étant inspirés d'autres aieuls suivant des principes qu'ils s'étaient fait leurs. Que ceux-la soit issus de mythes ou d'autres disciplines, leurs choix relevaient de jugements et pas forcement de valeurs. C'est bien en cela, l'héritage, que nous continuons d'évoluer. Est-ce de l'ignorance que de faire soi des principes appris ou faut t-il l'expérience pour en juger leurs fondements. Toujours est t-il qu'entre deux individualités, il y a toujours un pont à bâtir.

il y a 3 minutes, brooder a dit :

C'est pour le moins une réponse à tiroirs !

Si nous formons société c'est bien pour se choisir des maitres. Ceux-ci s'étant inspirés d'autres aieuls suivant des principes qu'ils s'étaient fait leurs. Que ceux-la soit issus de mythes ou d'autres disciplines, leurs choix relevaient de jugements et pas forcement de valeurs. C'est bien en cela, l'héritage, que nous continuons d'évoluer. Est-ce de l'ignorance que de faire soi des principes appris ou faut t-il l'expérience pour en juger leurs fondements. Toujours est t-il qu'entre deux individualités, il y a toujours un pont à bâtir.

 

Le langage évolue par l'homme, son discours également, l'eau évolue là où elle peut évoluer, la fluidité me manque, si je pouvais lire convenablement ta réponse, je dialoguerais volontiers avec toi, cela dit, je dois admettre que descendant de la montagne, le cours d'eau se divise parfois en plusieurs affluent, pour se jeter dans la civilisation, colorant, voire polluant ainsi l'eau, certains cours, il n'est désormais plus possible de s'y baigner, comme ce fût le cas une époque, que je n'ai jamais eu la chance de connaître ... 

il y a 3 minutes, Noah le seul et unik a dit :

Le langage évolue par l'homme, son discours également, l'eau évolue là où elle peut évoluer, la fluidité me manque, si je pouvais lire convenablement ta réponse, je dialoguerais volontiers avec toi, cela dit, je dois admettre que descendant de la montagne, le cours d'eau se divise parfois en plusieurs affluent, pour se jeter dans la civilisation, colorant, voire polluant ainsi l'eau, certains cours, il n'est désormais plus possible de s'y baigner, comme ce fût le cas une époque, que je n'ai jamais eu la chance de connaître ... 

J'ai pour l'habitude dire que si nous sommes issus d'un pluriel conjugué, nous finissons au singulier. C'est pour cela que faire société m'est important. Etre issu plus ou moins d'une union "difficile" est surement pour l'individu sa plus grande difficulté à vivre. Voilà pourquoi l'identité et la reconnaissance est pour tout humain une quête !

Il y a 3 heures, brooder a dit :

J'ai pour l'habitude dire que si nous sommes issus d'un pluriel conjugué, nous finissons au singulier. C'est pour cela que faire société m'est important. Etre issu plus ou moins d'une union "difficile" est surement pour l'individu sa plus grande difficulté à vivre. Voilà pourquoi l'identité et la reconnaissance est pour tout humain une quête !

 

La quête de quoi ...? 

Le 06/09/2021 à 03:01, Noah le seul et unik a dit :

La quête de quoi ...? 

Toute quête est une quête de sens.

Tu dois probablement parler des sensations, non des sens, à moins que tu doutes du simple fait de ton existence, alors, tu chercheras toujours et encore ... 

il y a 24 minutes, Noah le seul et unik a dit :

Tu dois probablement parler des sensations, non des sens, à moins que tu doutes du simple fait de ton existence, alors, tu chercheras toujours et encore ... 

... il y en a qui paye pour se faire tirer les cartes

Il y a 1 heure, brooder a dit :

... il y en a qui paye pour se faire tirer les cartes

 

Ce que tu crois .... 

il y a 24 minutes, Noah le seul et unik a dit :

Ce que tu crois .... 

Il peut y avoir des preuves de croyances comme celles d'être !

j 'ai un odorat très développé  , 

il y a 1 minute, brooder a dit :

Il peut y avoir des preuves de croyances comme celles d'être !

 

L'être et l'avoir, ne font jamais bon ménage, tu manipules ton discours, par rapport à l'image que tu veux donner, c'est pas naturel, tu essayes de comprendre une dimension, qui n'est jamais du domaine de l'entendement, ni de la raison, sauf que là, t'as les yeux plus gros que ton Zébulon, lequel te fait office de baromètre, les dés sont pipés ici, mais c'est bien, je vois que tu commences enfin à t'émanciper, le hic, c'est pendant que tu perds ton temps, je le prends ... 

il y a 3 minutes, G2LLOQ a dit :

j 'ai un odorat très développé  , 

Les pieds dans le plat ...? 

il y a 26 minutes, Noah le seul et unik a dit :

L'être et l'avoir, ne font jamais bon ménage, tu manipules ton discours, par rapport à l'image que tu veux donner, c'est pas naturel, tu essayes de comprendre une dimension, qui n'est jamais du domaine de l'entendement, ni de la raison, sauf que là, t'as les yeux plus gros que ton Zébulon, lequel te fait office de baromètre, les dés sont pipés ici, mais c'est bien, je vois que tu commences enfin à t'émanciper, le hic, c'est pendant que tu perds ton temps, je le prends ... 

Les pieds dans le plat ...? 

Je dirais plutôt "à jouer au con, on trouve toujours son maitre"

il y a 34 minutes, brooder a dit :

Je dirais plutôt "à jouer au con, on trouve toujours son maitre"

 

Oui, dans ta tête .... Pour les points manquants

il y a 17 minutes, Noah le seul et unik a dit :

Oui, dans ta tête .... Pour les points manquants

C'est bien tu fais pas ton age

Le 03/09/2021 à 21:24, brooder a dit :

Nous prenons en témoignage de notre animalité l'exemple des autres espèces. Mais que reste t-il dans notre comportement et dans notre mode de vie, d'animal ?

Nous ne pouvons plus nous passer pour notre survie des machines. Que cela soit dans l'utilisation de notre corps ou dans notre façon de penser, nous nous référons d'avantage à des schémas artificiels que par des modes de vie naturels.

L'animal est pour nous et depuis longtemps synonyme de rabaissement. Pourtant nous ne cessons de redécouvrir nos racines bestiales !

 

Bonsoir,

Le rapport de l'homme à la technologie ne m'apparait pas significatif pour justifier une discrimination avec l'animal.

Ce ne sont pas les choses ni notre rapport aux choses qui fondent notre humanité : un manchot est un homme, un aveugle également.

Sur un plan juridique, une personne est responsable de ses actes, alors qu'un animal ne l'est pas.

Ceux qui ne comparaissent pas devant les tribunaux sont en quelques sortes des sous-hommes.

Mais sur le plan ontologique, la différence est probablement notionnelle, bien qu'aucune définition péremptoirement discriminatoire n'ait encore été offerte.

Les notions fondamentales sont récursives, et c'est probablement dans la totipotence et la rentabilité de cette récursivité qu'il faut chercher.

Ce faisant, il est à prévoir que l'humanité n'est pas innée, mais qu'elle s'acquiert.

Il est vrai que le comportement de certains humains basics ne se distingue pas fondamentalement du comportement animal.

Cordialement, Fraction

il y a 33 minutes, Fraction a dit :

Bonsoir,

Le rapport de l'homme à la technologie ne m'apparait pas significatif pour justifier une discrimination avec l'animal.

Ce ne sont pas les choses ni notre rapport aux choses qui fondent notre humanité : un manchot est un homme, un aveugle également.

 

Sur un plan juridique, une personne est responsable de ses actes, alors qu'un animal ne l'est pas.

Ceux qui ne comparaissent pas devant les tribunaux sont en quelques sortes des sous-hommes.

 

Mais sur le plan ontologique, la différence est probablement notionnelle, bien qu'aucune définition péremptoirement discriminatoire n'ait encore été offerte.

Les notions fondamentales sont récursives, et c'est probablement dans la totipotence et la rentabilité de cette récursivité qu'il faut chercher.

Ce faisant, il est à prévoir que l'humanité n'est pas innée, mais qu'elle s'acquiert.

Il est vrai que le comportement de certains humains basics ne se distingue pas fondamentalement du comportement animal.

Cordialement, Fraction

Si on se projette dans l'avenir et je ne pense pas trop m'avancer, notre humanité sera de plus en plus proche des machines. Elles nous serviront pas seulement d'auxiliaires mais aussi de miroir. Sans parler de hiérarchie, les rapports sociétaux seront de plus en plus soumis aux jugements "mécaniques" d'intelligences artificielles.

Comment va se faire l'acceptation et la transition vers un mode artificiel loin de touts repères naturels ?

il y a 1 minute, brooder a dit :

Si on se projette dans l'avenir et je ne pense pas trop m'avancer, notre humanité sera de plus en plus proche des machines. Elles nous serviront pas seulement d'auxiliaires mais aussi de miroir. Sans parler de hiérarchie, les rapports sociétaux seront de plus en plus soumis aux jugements "mécaniques" d'intelligences artificielles.

Comment va se faire l'acceptation et la transition vers un mode artificiel loin de touts repères naturels ?

 

Entre l'homme et la machine, je pronostique présomptueusement que chacun restera à sa place.

Même les machines les plus extrapolées n'ont ni idéologie, ni désir, ni douleur.

Leur qualité d'outil ne changera probablement pas, et le monde demeurera anthropocentrique.

Mais il est vrai que la supériorité calculatoire de la machine est sans appel, et va peu à peu conquérir tous les champs d'application.

Si "ce qui se conçoit bien s'énonce clairement", alors cela signifie que tout ce qui est formalisable est automatisable.

Mais personnellement, j'appartiens à un courant de pensée qui conçoit que les notions ne sont ni objectivables ni formalisables.

Ainsi, mêmes les machines les plus sophistiquées auront, dans les tâches les plus intuitives, besoin d'un utilisateur humain.

Or, la faculté de juger et de décider font appel à des déterminismes non-objectivables.

La Nature n'a pas vraiment de définition.

Est-ce que l'agriculture, c'est de la nature ou sa perversion ?

Ma propre définition de la Nature est anthropocentrique : c'est la "néguentropie inconsciente".

C'est-à-dire la faculté de la Nature à créer de l'énergie exploitable à partir d'énergie inexploitable, et de l'ordre à partir de désordre.

Les scientifiques rigoristes vous diront que la néguentropie n'est jamais que locale, et que son contraire, l'entropie, est strictement croissante.

En revanche, les notions humaines sont néguentropiques, encore faut-il que l'homme discipline son jugement et sa décision, ce qui n'est pas donné.

il y a 17 minutes, Fraction a dit :

Entre l'homme et la machine, je pronostique présomptueusement que chacun restera à sa place.

Même les machines les plus extrapolées n'ont ni idéologie, ni désir, ni douleur.

Leur qualité d'outil ne changera probablement pas, et le monde demeurera anthropocentrique.

 

Mais il est vrai que la supériorité calculatoire de la machine est sans appel, et va peu à peu conquérir tous les champs d'application.

Si "ce qui se conçoit bien s'énonce clairement", alors cela signifie que tout ce qui est formalisable est automatisable.

Mais personnellement, j'appartiens à un courant de pensée qui conçoit que les notions ne sont ni objectivables ni formalisables.

Ainsi, mêmes les machines les plus sophistiquées auront, dans les tâches les plus intuitives, besoin d'un utilisateur humain.

Or, la faculté de juger et de décider font appel à des déterminismes non-objectivables.

 

La Nature n'a pas vraiment de définition.

Est-ce que l'agriculture, c'est de la nature ou sa perversion ?

Ma propre définition de la Nature est anthropocentrique : c'est la "néguentropie inconsciente".

C'est-à-dire la faculté de la Nature à créer de l'énergie exploitable à partir d'énergie inexploitable, et de l'ordre à partir de désordre.

Les scientifiques rigoristes vous diront que la néguentropie n'est jamais que locale, et que son contraire, l'entropie, est strictement croissante.

En revanche, les notions humaines sont néguentropiques, encore faut-il que l'homme discipline son jugement et sa décision, ce qui n'est pas donné.

T'as foi en l'homme est louable ! Cependant il n'est qu'à voir la génération qui a toujours vécu avec l'informatique pour s'apercevoir qu'ils ne peuvent plus se passer de leurs portables. Et bien sûr, le système capitaliste mise sur cette accoutumance pour avoir le dessus sur les individus. La science et encore moins la technologie n'est pas neutre car elle est le support des projections intimes des êtres. En cela la technologie remplie sa fonction de media des égos.

à l’instant, brooder a dit :

T'as foi en l'homme est louable ! Cependant il n'est qu'à voir la génération qui a toujours vécu avec l'informatique pour s'apercevoir qu'ils ne peuvent plus se passer de leurs portables. Et bien sûr, le système capitaliste mise sur cette accoutumance pour avoir le dessus sur les individus. La science et encore moins la technologie n'est pas neutre car elle est le support des projections intimes des êtres. En cela la technologie remplie sa fonction de media des égos.

 

 

Je suis d'accord avec vous pour dire que la technologie n'est pas idéologiquement neutre.

Mais ce n'est qu'une induction.

La société de la surveillance policière est possible, et elle se fera.

Mais la démocratie aura toujours le choix du focus sécuritaire.

La génération Internet s'est laissée corrompre par la débauche et la violence.

Il m'est d'avis qu'il serait plus pertinent de la jeter du haut de la falaise.

Mais qui va payer nos retraites ? Soyons pragmatiques.

Voyez comme mon discours s'enchaîne :

Décadence versus sécurité.

Les antivirus ont gagné du terrain sur les virus, ces dernières années.

La NSA sait probablement que je suis alcoolique et obsédé sexuel.

La technologie policière est possible, il ne lui manque que l'aval politique.

Si la BCE arrêtait de produire du cash, c'est-à-dire des pièces de monnaie et des billets de banques, pour les remplacer par des monnaies électroniques, et donc traçables,

alors ce serait un moyen ultra-brutal pour empêcher la fraude fiscale, le travail aux noirs, et les trafics en tous genres.

Mais la voyoucratie est d'ordre cosmologique et divin, et vous ne verrez jamais un politique faire preuve d'autant de courage.