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De l'Instant Zéro

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Invité JOSEPH DELETRE

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 895 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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à l’instant, JOSEPH DELETRE a dit :

En conclusion, et dans tous les cas, et particulièrement dans celui d'une matière qui serait toujours là, il serait donc nécessaire de poser la question de ce qui est de nature substantielle : ce qui est toujours par soi pour avoir jamais d’autre cause que soi (où « jamais » est utilisé sans négation « ne » au sens de « à quelque moment que ce soit »).

 

Ou on peut se demander comment eviter de tirer de mauvaises conclusions de la mécanique quantique faute de la connaître 

Et vous voyez bien l'écart entre connaître et "prendre conscience de l'existence de..."

Ou pas

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Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)

En conséquence de quoi, il n'est possible d'exister toujours qu'en étant jamais que par soi.

Puisque même dans l'hypothèse où la matière serait toujours là, elle ne pourrait avoir jamais d'autre cause qu'elle même.

Si bien que même une ligne suggérant l'éternité en serait ramenée qu'à un point par récursion dans la mesure où tout point considéré aurait jamais de point précédent, en guise de cause antérieure, que lui-même.

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Membre, 153ans Posté(e)
Annalevine Membre 3 528 messages
Mentor‚ 153ans‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, zenalpha a dit :

Je connais bien les œuvres de Kant

Ici, Étienne Klein évoque le temps chez Kant (donc la causalité) comme "une condition subjective de notre intuition dans lequel s’ordonne les sensations" en reprenant la formulation de Kant

Mais en fait, je reprends les termes precis de Kant qui ont ce malheur d’être enfouies dans mon cerveau

Vous retrouverez ces mêmes termes d'a priori de notre sensibilité chez Jostien Gaarder 

Vous le retrouvez ici également 

https://www.les-philosophes.fr/kant-critique-de-la-raison-pure/Page-10.html

Extrait

"Qu’en déduire ? Cela signifie que l’espace est l’une des formes a priori de notre sensibilité (ou de notre intuition). Impossible en effet d’intuitionner quelque chose sans recourir aux formes de notre intuition. C’est pour cela que nous ne pouvons pas imaginer intuitionner quelque chose sans recourir à l’espace."

Vous n’avez manifestement pas lu Kant dans le texte, vous l’appréhendez à travers des commentaires, notamment ceux de votre prophète, Klein. 
Faites l’effort de lire Kant dans le texte sans l’intermédiaire d’un prophète, et nous pourrons alors dialoguer.

  • Haha 1
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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 895 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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à l’instant, Annalevine a dit :

Vous n’avez manifestement pas lu Kant dans le texte, vous l’appréhendez à travers des commentaires, notamment ceux de votre prophète, Klein. 
Faites l’effort de lire Kant dans le texte sans l’intermédiaire d’un prophète, et nous pourrons alors dialoguer.

Puisque je l'ai lu et que je le comprends entre autres, comme klein, il existe une autre alternative 

Vous en avez lu une très petite partie et n'en avez rien compris.

Mais bon, ce ne serait pas comme si c'était la première fois non plus...

Lisez en paix mon frère 

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
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Posté(e)

Triste monde lorsque la paix et la fraternité sont tournées avec ironie.

Voilà donc l'issue de n'être qu'un sac de billes sans raison: d'éprouver certainement plus d'empathie à l'égard d'une pierre, qu'à l'égard de l'autre qui est comme soi.

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)

Au-delà des considérations évoquées plus haut au sujet de la matière _ bien évidemment maintenues en dehors de tout contre-argument ou de toute explication autres que des collages dépitant ou des avis sectaires consistant à dire qu’un raisonnement est faux au motif qu’il soit dit de manière péremptoire qu'il est faux _  il convient tout de même de s’interroger sur le sentiment.

Si tout est fondamentalement de la matière tangible, le sentiment serait-il alors un tas de particules bien agencées, bien localisées ?

Dans ce cas, gageons qu’un jour nous parviendrons à synthétiser l’amour pour en faire un marché. Après avoir mis en ligne notre conscience bien sûr. Avant de n’être plus du tout lorsqu'en vertu de l'expansion, toute particule _ aussi tangible qu'elle soit _ deviendra inéluctablement sa propre ligne d'horizon.

L’avenir, sans raison d’être si ce n'est de n'être qu'un sac de billes, ça promet !

  

 

Modifié par JOSEPH DELETRE
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Invité lumic
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Invité lumic
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Posté(e)
Il y a 10 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Car s'il en était autrement, que serait l’alternative ?

Mettons de côté les dernières conclusions de la physique quantique. Oublions, en effet, que le photon n'est que le produit d'une constante par une fréquence qui n'est autre qu'un certain multiple de périodes ondulatoires par unité de durée. Oublions aussi qu'en vertu du principe d'indétermination, une particule n'ait ni position, ni vitesse et qu'il ne soit possible de l’appréhender que de manière probabiliste par sa fonction d'onde. Oublions encore qu'une particule relève de la dualité onde-corpuscule par nature et que les dernières conclusions la définissent davantage comme une onde de probabilité. Oublions toujours qu’avant mesure de son vecteur d’état, une particule soit dans un état de superposition non mesurable pour n’être qu’une potentialité non avérée. Oublions enfin qu’en vertu de l’intrication quantique, la notion même de distance en devienne caduque.

Quittons donc ce monde farfelu de physiciens pour en revenir à des choses bien plus correctes et sérieuses pour ceux qui existent sans raison. Et faisons l’hypothèse que nos particules soient, en effet, des petites billes parfaitement localisées dans un espace infini.

Dès lors, qu’y aurait-il à l’intérieur de ces petites billes ? Et bien, d’autres petites billes bien sûr dans une récursion sans fin si bien que la notion même de particule ne pourrait plus être déterminée.

Mais passons outre. Et disons qu’à l’intérieur de ces petites billes, il n’y aurait rien. Parfait, dans ce cas, faut-il entendre le néant ou le rien sans négation « ne » au sens de « quoi que ce soit » ? Dans le premier cas, le néant serait-il alors l’aporie d’un milieu ontologisant duquel la matière naîtrait ? Dans le second, d’où viendrait le rien ? Du néant ? De lui-même ?

Mais passons encore et admettons que ces particules magiques seraient toujours là. Dès lors, elles seraient nécessairement leur propre cause. Si bien que pour exister toujours, il faille nécessairement avoir jamais d’autre cause que soi.

 

En fait par néant ou par rien il ne s ' agit pas forcément d ' imaginer ce rien par du vide de vide si je puis dire ...

D ' ailleurs ce rien est un abus de langage , il aurait été sans doute  plus approprié de dire que au delà du champ de connaissance , il y ' a matière à réflexion ...

Ce par quoi et comment on court toujours après quelque chose en y mettant le mot rien en attendant mieux comme " explication " ...

Par contre on ne dira peut être jamais que c ' est nous mêmes qui par causalité  créons ce questionnement tout à fait naturellement ...

Si donc nous créons quelque chose par causalité , nous empruntons , envisageons dans ce questionnement tous les chemins possibles ...

La tendance est de toujours imaginer quelque chose qui soit extérieur à nous mêmes alors que tout vient bien aussi de l ' intérieur de toute chose dont  nous mêmes , c ' est un tout ...

Esprit , matière c ' est du pareil au même et l ' art de naviguer entre , le subtil ...

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
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Posté(e)

Puisque si la matière existe toujours _ en faisant, là encore, abstraction d'un point essentiel pour satisfaire aux tenants d'une approche exclusivement matérialiste de l'existence *_ la question du milieu sous-jacent dans lequel la matière existerait demeure.

Dès lors, il ne s'agirait que de repousser la question de l'origine de la matière à celle de son espace sous-jacent dans une récursion sans fin sauf à faire du néant l'aporie d'un milieu ontologisant.

*Puisqu'exister toujours par soi requiert nécessairement d'avoir jamais d'autre cause que soi. Si bien qu'envisager l'éternité ne soit possible qu'en raison de ce qui est de nature substantielle.

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Invité lumic
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Invité lumic
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il y a 12 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Puisque si la matière existe toujours _ en faisant, là encore, abstraction d'un point essentiel pour satisfaire aux tenants d'une approche exclusivement matérialiste de l'existence *_ la question du milieu sous-jacent dans lequel la matière existerait demeure.

Dès lors, il ne s'agirait que de repousser la question de l'origine de la matière à celle de son espace sous-jacent dans une récursion sans fin sauf à faire du néant l'aporie d'un milieu ontologisant.

*Puisqu'exister toujours implique nécessairement d'avoir jamais d'autre cause que soi. Si bien qu'envisager l'éternité ne soit possible qu'en raison de ce qui est de nature substantielle.

La matière existe dans l ' état des choses en ce moment là , ici ou ailleurs ou dans d ' autres moments ...

Dans tous les cas il s ' agit , s ' agira d ' une projection dans l ' observation des évènements et de leur nature ...

Il n ' y a aucune raison de séparer matière , esprit , spiritualité , ça découle de soi ...

 

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
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Le point essentiel étant de comprendre qu'exister toujours par soi n'est possible qu'en ayant jamais d'autre cause que soi.

Par conséquent, l'éternité est un concept secondaire en référence à ce qui ne peut être successif pour être continûment.

A l'image de la faculté de ressentir commune à la nature et à l'homme qui ne connaît jamais rien pour connaître toujours quelque chose, de l'ignorance d'être soi, à soi, en passant par le rien.

 

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 895 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Il y a 6 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Le point essentiel étant de comprendre qu'exister toujours par soi n'est possible qu'en ayant jamais d'autre cause que soi.

Rien de connu, de vérifié n'existe toujours et par soi.

Et être sa propre cause est une proposition autoreferentielle donc réfutée par la logique 

Reste une science illogique de ce qui n'est pas.

On va loin avec ça

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
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Car c'est bien là, la conclusion, éludée jusqu'ici, qu'il faut tirer du fait d'établir que la matière serait toujours là.

En effet, la matière serait alors sa propre cause.

Si bien que pour pouvoir exister toujours, il faille nécessairement avoir jamais d'autre cause que soi.

Ramenant encore la question, en partant cette fois-ci de la matière qui serait toujours là, à ce qui est de nature substantielle.

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 895 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a une heure, JOSEPH DELETRE a dit :

Car c'est bien là, la conclusion, éludée jusqu'ici, qu'il faut tirer du fait d'établir que la matière serait toujours là.

En effet, la matière serait alors sa propre cause.

Si bien que pour pouvoir exister toujours, il faille nécessairement avoir jamais d'autre cause que soi.

Ramenant encore la question, en partant cette fois-ci de la matière qui serait toujours là, à ce qui est de nature substantielle.

 

conclusion éludée ou conclusion erronée ?

Le concept de matière est... "traditionnellement" associé à un volume et à une masse.

Un peu comme si la matière remplissait un vide de sa présence

Mais en réalité, nous avons découvert

- que la matière est essentiellement constituée de.... vide

- que ce qui lie les particules entre elles (ce qui lie les baryons) pour rendre consistante à nos sens la matière sont des échanges de particules de force dites bosoniques qui peuvent avoir elles mêmes de la masse / énergie

- que la masse n'est pas une propriété primaire des particules mais est essentiellement (et pas seulement) une propriété secondaire liée a la présence du champ de higgs qui confère par interaction une masse aux constituants élémentaires des protons et des neutrons par le mécanisme de Brout Englert Higgs

- que le vide n'est pas strictement vide mais contient des champs dans leur état fondamental de plus basse énergie régis par le principe d'indétermination dont les fluctuations font émerger des particules réelles à partir de particules virtuelles qui empruntent leur énergie durant un très court instant et directement proportionnel à la masse de la particule réelle créée temporairement

Le vide est donc un quasi milieu bouillonnant d'activité dont les effets se font ressentir notamment par l'effet casimir

- qu'une particule baryonique considérée comme substrat de la matière est tout autant qu'une particule bosonique (messagère des 4 forces identifiées) une particule quantique, particule quantique qui n'a pas d'existence propre intrinsèque dans son état fondamental mais qui est une excitation locale d'un champ quantique d'ailleurs spécifique à chaque particule, toujours des champs vectoriels pour les particules  du modèle standard a contrario du champ scalaire pour le champ du boson de Higgs

- Que l'espace et le temps ont tout autant très probablement une structure quantique donc qu'il existerait des quanta d'espace temps discontinus formant une mousse de spin en intéraction aux champs quantique fondamentaux (encore spéculatif, gravitation quantique à l'ébauche)

Dans ce contexte scientifique de ce qui est connu et vérifié, même si ça parait dingue je te l'accorde volontiers.

Qu'est ce qui est la cause de soi même précisément mon Joseph ?

Est-ce que nous sommes dingues de modéliser la matière comme ça et d'en sortir des technologies ou est ce que tu es dingue de la concevoir comme tu la conçois et de n'en sortir que le néant ?

Je ne sais pas, c'est dingue tout ça... bienvenue en philosophie des sciences

Modifié par zenalpha
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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
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Par conséquent, la causalité elle-même défait l'existentialisme puisque même la matière, qui serait toujours là, ne saurait se soustraire à la considération d'avoir jamais d'autre cause qu'elle même si bien qu'il faudrait encore poser la question de ce qui est de nature substantielle in fine.

Si bien que tout doive être ramené à l'essence pour comprendre la raison de l'existence.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 895 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a 2 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Par conséquent, la causalité elle-même défait l'existentialisme puisque même la matière, qui serait toujours là, ne saurait se soustraire à la considération d'avoir jamais d'autre cause qu'elle même si bien qu'il faudrait encore poser la question de ce qui est de nature substantielle in fine.

Si bien que tout doive être ramené à l'essence pour comprendre la raison de l'existence.

L'existentialisme n'est pas un modèle physique... ce n'est même pas un modèle épistémologique... c'est un modèle purement... philosophique

ça explique qu'il n'y a pas de sens de considérer l'homme par son essence (que tu n'as jamais été fichue de définir...) puisqu'a contrario d'une chaise dont l'existence de chaise pour l'homme est déjà contenue dans son essence de chaise (ses caractéristiques initiales de chaise conditionnent son existence de chaise), l'homme n'a de sens que si on le considère par ce qu'il devient et non par ce qu'il est au départ (disons un mioche qu'on torche)

On retourne le fait d'être un homme à ce libre arbitre qui nous différencie de l'animal

Que décides tu de devenir philosophiquement et pour toi même Joseph ?

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
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Ce que traduit d'ailleurs le fait que toute chose existante soit naturellement assujettie par la pensée au verbe substantif, être, sans lequel rien ne saurait être défini.

Et non l'inverse.

Si bien qu'il faille nécessairement poser le primat de ce qui est sur ce qui existe conceptuellement.

Or, l'essence d'une chose, en tant que racine première de toute vérité, ne saurait être spatialisée.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 895 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a 11 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Ce que traduit d'ailleurs le fait que toute chose existante soit naturellement assujettie par la pensée au verbe substantif, être, sans lequel rien ne saurait être défini.

Et non l'inverse.

Si bien qu'il faille nécessairement poser le primat de ce qui est sur ce qui existe conceptuellement.

Or, l'essence d'une chose, en tant que racine première de toute vérité, ne saurait être spatialisée.

Non, l'existence est ETYMOLOGIQUEMENT tiré de ex sistere qui n'a pas de rapport direct à l'être

La notion d'assujettissement n'a aucun sens dans une construction grammaticale, rien ne domine, rien n'est dominé, tout est défini par une fonction ou par une relation à l'intérieure d'une construction qu'est la phrase

Le langage est d'ailleurs affaire de convenance formel

En mathématiques, le signe il existe est ... existant

Le signe être ... n'existe pas

Est-ce que vous y voyez l'écrasante domination de l'existence sur l'être ?

Modifié par zenalpha
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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
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Posté(e)

Puisqu'il faut bien comprendre que définir une chose revienne jamais qu'à ajouter des mots complémentaires à ce qu'est une chose.

De sorte qu'il soit possible de définir l'existence comme étant le fait d'avoir un corps au sens d'extension spatiale.

Or, le sentiment ne peut être spatialisé si bien qu'il ne puisse qu'être.

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zenalpha Membre 22 895 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Il y a 5 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Puisqu'il faut bien comprendre que définir une chose revienne jamais qu'à ajouter des mots complémentaires à ce qu'est une chose.

Cette définition est celle du bavardage qui est à mesurer avec un pipotron.

Plus il y a de mots plus c'est pipeau

une définition, c'est une opération qui consiste à déterminer le contenu d'un concept en énumérant ses caractéristiques signifiantes.

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Invité lumic
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Invité lumic
Invité lumic Invités 0 message
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Il y a 7 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Par conséquent, la causalité elle-même défait l'existentialisme puisque même la matière, qui serait toujours là, ne saurait se soustraire à la considération d'avoir jamais d'autre cause qu'elle même si bien qu'il faudrait encore poser la question de ce qui est de nature substantielle in fine.

Si bien que tout doive être ramené à l'essence pour comprendre la raison de l'existence.

Ramener à l ' essence c ' est encore postuler quelque chose qui n ' existe que dans la croyance , l ' esprit , la pensée mais pourquoi pas ...

C ' est en fait ,  amener ou se faire une raison , ce qui n ' en fait pourtant pas la raison de l ' existence puisque celle ci EST , ce que nous y sommes aussi ...

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