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La gifle au roi


sovenka

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Membre, Oiseau de nuit, pays Union européenne, 43ans Posté(e)
sovenka Membre 8 563 messages
43ans‚ Oiseau de nuit, pays Union européenne,
Posté(e)

L'Akîtu était la fête du nouvel an mésopotamien. Comme chez nous, c'était l'occasion de libations mais avec en plus de pompeuses célébrations religieuses.

Les réjouissances duraient toute la semaine à compter du premier jour du premier mois de l'année lunaire.

A Assur, le roi renouvelait son serment d'allégeance au dieu Assur qui attendait de lui le témoignage d'un règne mené avec force et mansuétude sur ses sujets et son royaume.

Assur était la divinité tutélaire de la ville d'Assur et de l'Assyrie.

Le caractère propre de cette divinité est difficile à définir, peut-être initialement une divinité de la fertilité ? Peut-être aussi la divinisation de l'éperon rocheux sur lequel sont bâtis la cité-Etat assyrienne et son temple ?

Voici ce que nous en dit WIKIPEDIA:

Dès les premiers temps, dans la première moitié du IIe millénaire av. J.-C., Assur est présenté comme le véritable roi de la ville, le souverain humain n'étant qu'un prince (rubūm), ou, plus révélateur, le vicaire d'Assur=iššiak Aššur. Si à partir de la seconde moitié du IIe millénaire les rois assyriens prennent le titre de roi=šarru, cette relation ne change pas, comme le marque le fait que, à chaque couronnement d'un nouveau roi, on proclame « Assur est roi ! », pour signaler que le dieu est le véritable maître du royaume. Ainsi, l'hymne de couronnement d'Assurbanipal précise « Assur est roi ! C’est Assur qui est roi ! Assurbanipal est le vicaire d’Assur, la créature de ses mains. ».

Il existe donc une relation particulière entre le dieu et l'Assyrie. Le roi n'est que l'exécutant des volontés d'Assur, et effectue les conquêtes pour la gloire de ce dieu, souvent sous ses injonctions, et bien sûr sous sa protection. Assur est donc devenu une sorte de divinité impérialiste au fur et à mesure que l'Assyrie a affirmé ses ambitions à la domination universelle.

Mais retournons à la fête et à ses cotillons:

Lors d'une cérémonie au temple, le grand prêtre incarnant Assur assénait une gifle magistrale au roi, et alors la joue de celui-ci devait se couvrir de larmes : c'était un excellent présage. Dans le cas contraire c'était une annonce de grand malheur.

Donc si le roi avait pleuré tout le monde était content: il avait assuré le roi d'Assur.

Et comme en ces temps-là une fête religieuse ne pouvait se passer d'un sacrifice, un bélier décapité était jeté regard tourné vers le couchant dans le fleuve pour que ses flots emportent tous les péchés de l'année passée. C'était seulement après que l'an nouveau pouvait débuter avec la promesse que l'abondance serait au rendez-vous et que tout le monde aurait à manger et à boire.

L'akîtu, fête très ancienne, était également célébrée dans les autres cités royales mésopotamiennes, chacune honorant sa divinité tutélaire et l'accompagnant d'un rituel d'humiliation du roi pour assurer le pardon des péchés de son peuple.

A Babylone, on fêtait donc l'akîtu mais le dieu à l'honneur était Marduk. Le roi était dépouillé de ses symboles royaux -sceptre, tiare, cercle et chauve-souris-, puis giflé par le prêtre qui ensuite le tirait par l'oreille et le trainait à genoux jusque dans le sanctuaire de Marduk. Là le souverain devait rendre compte de sa bonne conduite religieuse, demander pardon pour ses péché. Après quoi ses accessoires royaux lui était restitués, il était renommé roi pour la nouvelle année qui commençait.

Mais le rituel d'humiliation n'était pas terminé pour autant: le prêtre sacrificateur continuait à le frapper au visage jusqu'à ce qu'en implorant dieu il éclate en larmes. Quand il se mettait à pleurer c'était le signe que Marduk avait accepté son repentir. Si le roi ne pleurait pas c'était de mauvais augure et il pouvait prévoir d'être tué par ses ennemis.

 

 

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Membre, forumeuse acharnée, Posté(e)
querida13 Membre 48 906 messages
forumeuse acharnée,
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Par saint Denis, ça me rappelle quelque chose!

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MembreR, 24ans Posté(e)
arrial MembreR 1 904 messages
Forumeur vétéran‚ 24ans‚
Posté(e)

Fête des Fous

La fête des Fous, ou fête des Innocents, était une mascarade, organisée en principe les 26, 27 et 28 décembre, à laquelle les ecclésiastiques participaient activement. Organisée par le clergé en Europe et attestée dans beaucoup de villes du Nord de la France dès le XIIe siècle, cette pratique s'est étendue du clergé dans la rue, favorisant la création de troupes d'écoliers dans les collèges et de basochiens dans les milieux juridiques, et perdure jusqu'au XVIIe siècle. Dérivées des Saturnales romaines, ces fêtes paillardes sont reliées aux traditions populaires rurales par les folkloristes à la fin du XIXe siècle, et les historiens voient dans ces parodies liturgiques une des origines médiévales du théâtre.

On l'appelait aussi : fête de l'âne, des Sous-Diacres, des Diacres-Saouls, des Cornards, des Libertés de décembre, etc. Les personnes qui y participaient se voyaient affubler des noms de pape des fous, évêque-fou ou abbé des fous.

Elle avait pour objet d'honorer l'âne qui porta Jésus lors de son entrée à Jérusalem, était répandue dans toute la France au Moyen Âge et se célébrait le jour de la Circoncision de Jésus en janvier. On chantait un office et on dansait.

Ces divertissements avaient ordinairement l'église pour théâtre et les ecclésiastiques pour acteurs. Dans certaines églises, pendant les 3 jours de Saint Étienne, de Saint Jean et des Innocents (26, 27 et 28 décembre), un jeune clerc décoré du titre d’évêque des fous, Episcopus stultorum, occupait le siège épiscopal revêtu des ornements pontificaux à l'exception de la mitre, qui était remplacée par une sorte de bourrelet. À la fin de l'office, il recevait les mêmes honneurs que le prélat véritable, et son aumônier prononçait une bénédiction, dans laquelle il demandait pour les assistants le mal de foie, une banne de pardons, vingt bannes de maux de dents, et deux doigts de teigne sous le menton.

La fête des Fous, dit Aubin Louis Millin de Grandmaison, donnait lieu à des cérémonies extrêmement bizarres. On élisait un évêque, et même dans quelques églises un pape des fous. Les prêtres, barbouillés de lie, masqués et travestis de la manière la plus folle, dansaient en entrant dans le chœur et y chantaient des chansons obscènes, les diacres et les sous-diacres mangeaient des boudins et des saucisses sur l'autel, devant le célébrant, jouaient sous ses yeux aux cartes et aux dés, et brûlaient dans les encensoirs de vieilles savates. Ensuite, on les charriait tous par les rues, dans des tombereaux pleins d'ordures, où ils prenaient des poses lascives et faisaient des gestes impudiques.

Ce n'étaient pas seulement dans les cathédrales et dans les collégiales que ces joyeusetés se célébraient : elles étaient aussi pratiquées dans les monastères des deux sexes.

Les jeunes personnes qu'on pouvait surprendre au lit le jour des Innocents, 28 décembre, recevaient sur le derrière quelques claques, et quelquefois un peu plus, quand le sujet en valait la peine. La coutume de donner les innocents n'est pas un de ces usages isolés qui ne puisse être comparé à aucun autre. Dans diverses villes, les chanoines, les ecclésiastiques, et quelquefois, les séculiers étaient, à certains jours de l'année, pris le matin, dans leur lit et dans un état complet de nudité, conduits par les rues, dans les églises jusque sur l'autel, où on les arrosait d'eau. Des indécences du même genre avaient aussi trouvé leur place parmi les folies que les ecclésiastiques se permettaient le jour des Innocents. Ils allaient jusqu'à promener par la ville et exposer sur des théâtres des hommes entièrement nus.

Des mesures furent prises pour mettre fin à ces désordres. La toute première condamnation fut proclamée vers 1198 à la demande d'Odon de Sully. La suivante émane du Concile de Bâle en 1431, lors duquel un ban fut publié le 31 décembre 1519.

Mais si le personnage a disparu des comptes de la ville, le subside habituel y est continué au vicaire de l'église Saint-Pierre et à ses suppôts. Le prélat des fols réapparaît encore en 1525 et 1526. La dernière mention en est faite au compte de 1526 : Aux vicaires et suppos du prélat des folz de Saint Pierre en support de spris par eulx donnés à ceulx qui, en decorant la procession, ont joué plusieurs belles et honourables histoires rommaines, XII livres. Le ban d'interdiction fut alors renouvelé. La fête fut progressivement interdite par les instances religieuses et civiles (Richelieu).

On peut notamment retenir les villes de Dijon avec l'Infanterie dijonnaise, de Ham qui avait un prince des fous, de Sens.

 

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Membre, Posté(e)
le merle Membre 21 605 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

bonsoir 

par comparaison , notre Président n'à pas pleuré ? mauvais présage pour le pays peut-être?

bonne soirée

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Membre, forumeuse acharnée, Posté(e)
querida13 Membre 48 906 messages
forumeuse acharnée,
Posté(e)

En ce qui concerne les nudités on n'a que l'embarras du choix mais cette année, on va sélectionne celle de la scupturale Masiero...

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 4 heures, sovenka a dit :

L'Akîtu était la fête du nouvel an mésopotamien. Comme chez nous, c'était l'occasion de libations mais avec en plus de pompeuses célébrations religieuses.

Les réjouissances duraient toute la semaine à compter du premier jour du premier mois de l'année lunaire.

A Assur, le roi renouvelait son serment d'allégeance au dieu Assur qui attendait de lui le témoignage d'un règne mené avec force et mansuétude sur ses sujets et son royaume.

Assur était la divinité tutélaire de la ville d'Assur et de l'Assyrie.

Le caractère propre de cette divinité est difficile à définir, peut-être initialement une divinité de la fertilité ? Peut-être aussi la divinisation de l'éperon rocheux sur lequel sont bâtis la cité-Etat assyrienne et son temple ?

Voici ce que nous en dit WIKIPEDIA:

Dès les premiers temps, dans la première moitié du IIe millénaire av. J.-C., Assur est présenté comme le véritable roi de la ville, le souverain humain n'étant qu'un prince (rubūm), ou, plus révélateur, le vicaire d'Assur=iššiak Aššur. Si à partir de la seconde moitié du IIe millénaire les rois assyriens prennent le titre de roi=šarru, cette relation ne change pas, comme le marque le fait que, à chaque couronnement d'un nouveau roi, on proclame « Assur est roi ! », pour signaler que le dieu est le véritable maître du royaume. Ainsi, l'hymne de couronnement d'Assurbanipal précise « Assur est roi ! C’est Assur qui est roi ! Assurbanipal est le vicaire d’Assur, la créature de ses mains. ».

Il existe donc une relation particulière entre le dieu et l'Assyrie. Le roi n'est que l'exécutant des volontés d'Assur, et effectue les conquêtes pour la gloire de ce dieu, souvent sous ses injonctions, et bien sûr sous sa protection. Assur est donc devenu une sorte de divinité impérialiste au fur et à mesure que l'Assyrie a affirmé ses ambitions à la domination universelle.

Mais retournons à la fête et à ses cotillons:

Lors d'une cérémonie au temple, le grand prêtre incarnant Assur assénait une gifle magistrale au roi, et alors la joue de celui-ci devait se couvrir de larmes : c'était un excellent présage. Dans le cas contraire c'était une annonce de grand malheur.

Donc si le roi avait pleuré tout le monde était content: il avait assuré le roi d'Assur.

Et comme en ces temps-là une fête religieuse ne pouvait se passer d'un sacrifice, un bélier décapité était jeté regard tourné vers le couchant dans le fleuve pour que ses flots emportent tous les péchés de l'année passée. C'était seulement après que l'an nouveau pouvait débuter avec la promesse que l'abondance serait au rendez-vous et que tout le monde aurait à manger et à boire.

L'akîtu, fête très ancienne, était également célébrée dans les autres cités royales mésopotamiennes, chacune honorant sa divinité tutélaire et l'accompagnant d'un rituel d'humiliation du roi pour assurer le pardon des péchés de son peuple.

A Babylone, on fêtait donc l'akîtu mais le dieu à l'honneur était Marduk. Le roi était dépouillé de ses symboles royaux -sceptre, tiare, cercle et chauve-souris-, puis giflé par le prêtre qui ensuite le tirait par l'oreille et le trainait à genoux jusque dans le sanctuaire de Marduk. Là le souverain devait rendre compte de sa bonne conduite religieuse, demander pardon pour ses péché. Après quoi ses accessoires royaux lui était restitués, il était renommé roi pour la nouvelle année qui commençait.

Mais le rituel d'humiliation n'était pas terminé pour autant: le prêtre sacrificateur continuait à le frapper au visage jusqu'à ce qu'en implorant dieu il éclate en larmes. Quand il se mettait à pleurer c'était le signe que Marduk avait accepté son repentir. Si le roi ne pleurait pas c'était de mauvais augure et il pouvait prévoir d'être tué par ses ennemis.

 

 

Tu es chaldeenne ? Le nouvel an Assyrien c'est en avril 

C'est les premiers chrétiens 

Y en a dans mon quartier 

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Membre, 55ans Posté(e)
guernica Membre 22 528 messages
Maitre des forums‚ 55ans‚
Posté(e)
Il y a 4 heures, sovenka a dit :

L'Akîtu était la fête du nouvel an mésopotamien. Comme chez nous, c'était l'occasion de libations mais avec en plus de pompeuses célébrations religieuses.

Les réjouissances duraient toute la semaine à compter du premier jour du premier mois de l'année lunaire.

A Assur, le roi renouvelait son serment d'allégeance au dieu Assur qui attendait de lui le témoignage d'un règne mené avec force et mansuétude sur ses sujets et son royaume.

Assur était la divinité tutélaire de la ville d'Assur et de l'Assyrie.

Le caractère propre de cette divinité est difficile à définir, peut-être initialement une divinité de la fertilité ? Peut-être aussi la divinisation de l'éperon rocheux sur lequel sont bâtis la cité-Etat assyrienne et son temple ?

Voici ce que nous en dit WIKIPEDIA:

Dès les premiers temps, dans la première moitié du IIe millénaire av. J.-C., Assur est présenté comme le véritable roi de la ville, le souverain humain n'étant qu'un prince (rubūm), ou, plus révélateur, le vicaire d'Assur=iššiak Aššur. Si à partir de la seconde moitié du IIe millénaire les rois assyriens prennent le titre de roi=šarru, cette relation ne change pas, comme le marque le fait que, à chaque couronnement d'un nouveau roi, on proclame « Assur est roi ! », pour signaler que le dieu est le véritable maître du royaume. Ainsi, l'hymne de couronnement d'Assurbanipal précise « Assur est roi ! C’est Assur qui est roi ! Assurbanipal est le vicaire d’Assur, la créature de ses mains. ».

Il existe donc une relation particulière entre le dieu et l'Assyrie. Le roi n'est que l'exécutant des volontés d'Assur, et effectue les conquêtes pour la gloire de ce dieu, souvent sous ses injonctions, et bien sûr sous sa protection. Assur est donc devenu une sorte de divinité impérialiste au fur et à mesure que l'Assyrie a affirmé ses ambitions à la domination universelle.

Mais retournons à la fête et à ses cotillons:

Lors d'une cérémonie au temple, le grand prêtre incarnant Assur assénait une gifle magistrale au roi, et alors la joue de celui-ci devait se couvrir de larmes : c'était un excellent présage. Dans le cas contraire c'était une annonce de grand malheur.

Donc si le roi avait pleuré tout le monde était content: il avait assuré le roi d'Assur.

Et comme en ces temps-là une fête religieuse ne pouvait se passer d'un sacrifice, un bélier décapité était jeté regard tourné vers le couchant dans le fleuve pour que ses flots emportent tous les péchés de l'année passée. C'était seulement après que l'an nouveau pouvait débuter avec la promesse que l'abondance serait au rendez-vous et que tout le monde aurait à manger et à boire.

L'akîtu, fête très ancienne, était également célébrée dans les autres cités royales mésopotamiennes, chacune honorant sa divinité tutélaire et l'accompagnant d'un rituel d'humiliation du roi pour assurer le pardon des péchés de son peuple.

A Babylone, on fêtait donc l'akîtu mais le dieu à l'honneur était Marduk. Le roi était dépouillé de ses symboles royaux -sceptre, tiare, cercle et chauve-souris-, puis giflé par le prêtre qui ensuite le tirait par l'oreille et le trainait à genoux jusque dans le sanctuaire de Marduk. Là le souverain devait rendre compte de sa bonne conduite religieuse, demander pardon pour ses péché. Après quoi ses accessoires royaux lui était restitués, il était renommé roi pour la nouvelle année qui commençait.

Mais le rituel d'humiliation n'était pas terminé pour autant: le prêtre sacrificateur continuait à le frapper au visage jusqu'à ce qu'en implorant dieu il éclate en larmes. Quand il se mettait à pleurer c'était le signe que Marduk avait accepté son repentir. Si le roi ne pleurait pas c'était de mauvais augure et il pouvait prévoir d'être tué par ses ennemis.

 

 

magnifique la civilisation assyrienne, elle a tout inventé. J'ai visité les ruines d'un village hittite en Turquie, et par la même occasion la grotte de Saint Pierre, creusée par les premiers chrétiens

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Invités, Posté(e)
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Invité Invités 0 message
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il y a 31 minutes, guernica a dit :

magnifique la civilisation assyrienne, elle a tout inventé. J'ai visité les ruines d'un village hittite en Turquie, et par la même occasion la grotte de Saint Pierre, creusée par les premiers chrétiens

Y en a dans ma ville ils ont tous des bars et des commerces 

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Membre, 55ans Posté(e)
guernica Membre 22 528 messages
Maitre des forums‚ 55ans‚
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il y a 5 minutes, Sarkozix a dit :

T'en connais des Assyriens ? 

j'ai parlé de la civilisation.... Sinon, tu as vu où ça se situe ? Alors oui, je dirais que je connais des descendants d'assyriens...

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Invités, Posté(e)
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Invité Invités 0 message
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il y a 1 minute, guernica a dit :

j'ai parlé de la civilisation.... Sinon, tu as vu où ça se situe ? Alors oui, je dirais que je connais des descendants d'assyriens...

ça se situe dans le kurdistan Irakien à la base.

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Membre, Oiseau de nuit, pays Union européenne, 43ans Posté(e)
sovenka Membre 8 563 messages
43ans‚ Oiseau de nuit, pays Union européenne,
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Il y a 2 heures, arrial a dit :

le jour des Innocents, 28 décembre

Autrefois c'était la journée des enfants. Au xvème siècle c'est progressivement devenu la fête des enfants de chœur qui élisaient alors leur évêque. Cette fête leur conférait des droits particuliers. Ils avaient le privilège d'enlever de force leur chapeau aux Juifs qui ne se découvraient pas devant la croix ou les processions religieuses chrétiennes et de leur infliger une amende. Dans le Comtat Venaissin tous ces gamins allaient humilier en bande les israélites dans ces quartiers que l'on appelait alors les juiveries. A Carpentras ils envahissaient la synagogue pour se livrer à un vacarme sans retenue.

Source: Histoire de l'enfance en Occident, volume de l'Antiquité au XVIIe siècle, collection histoire, édition Points

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Membre, 55ans Posté(e)
guernica Membre 22 528 messages
Maitre des forums‚ 55ans‚
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il y a 28 minutes, Sarkozix a dit :

ça se situe dans le kurdistan Irakien à la base.

 

carte_mesopotamie_v-1500.gif

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Membre, forumeuse acharnée, Posté(e)
querida13 Membre 48 906 messages
forumeuse acharnée,
Posté(e)

 

Les habitants de la ville ce sont les Assur people?:p

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Membre, Oiseau de nuit, pays Union européenne, 43ans Posté(e)
sovenka Membre 8 563 messages
43ans‚ Oiseau de nuit, pays Union européenne,
Posté(e)
Il y a 19 heures, querida13 a dit :

 

Les habitants de la ville ce sont les Assur people?:p

Assurément !

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