40 50 ans en arrière Votre enfance, votre jeunesse, c'était comment?

C'était comment la vie ?


Pour moi qui avais une dizaine d'années c'était la liberté de courrir partout dans le village. C'était les bonbons chez Hermild. La messe du dimanche matin dans ma plus jolie robe, le cinéma de l'AM avec sa boule de glace. Les amis toujours présents dans ma vie aujourd'hui. Les cours de danse classique les mercredis. Les livreurs d'épicerie dans leur camion à domicile. Il y avait le tram qui traversait le village. A chaque carnaval je me déguisais en princesse. Il y avait l'école qui distribuait encore des livres en fin d'année à ses meilleures élèves.
Les garçons jouaient aux billes et au foot. Les filles sautaient à l'élastique et jouaient à cache cache.
Avec mes fréres et ma soeur nous étions des enfants heureux.

Les choses ont beaucoup changé c'est vrai nous étions des frêles oiseaux libres et nous ne courrions pas les dangers que nos enfants et petits enfants rencontrent aujourd 'hui comme la violence et autres dérives. C'était le bon vieux temps que la jeunesse ne s'imagine pas actuellement 
Nous savions encore jouer avec une caisse à savon. Je me souviens que le village avait organiser des concours de patin à roulette chaque année. C'était mieux avant pour la jeunesse

Nous avons eue la même enfance. J'avais oublier de parler de l'utilisation de l'ardoise à l'école. Les bons points que distribuait la maîtresse pour une bonne action ou un beau travail. La distribution des taches comme effacer le tableau ou distribuer les cahiers. Et puis il y avait aussi pour moi les images de Barbie à coller livre que je trainais partout pour échanger mes images

grand sourire" C'était quand même bien nos jeunes années Quand j'ai raconté cela à mes enfants ils n'y croyaient pas. Ils ont comparé leur enfance et ont retrouvé quelques similitudes que je leur ai donnée dans leur éducation.

Ma poupée s'appelait Fanchon et était aussi grande que moi Je n'ais pas de photo de moi à te montrer mais j'étais boullotte avec de longues tresses noires. J'habitais dans un quartier italien et on me prenais pour une italienne

Je me souviens à l'école il y avais les cahiers d'écriture. Il fallait écrire en majuscule les lettres avec une plume et son encrier.

Et puis il y avait les plumiers en bois.

C'était  bien ,  nous n'étions pas trop riches  ( nous n'attachions pas notre chien avec des saucisses ) mais rien ne manquait , dans l'après guerre  c'était de grandes ballades avec les copains , dans la campagne autour de Nantes ; j'ai aimé cette période , qui a prit fin brusquement  pour  mes 12 ans , nous avons quitté la région et tous mes amis d'enfance !

Il y a 11 heures, zeyas a dit :

C'était comment la vie ?


Pour moi qui avais une dizaine d'années c'était la liberté de courrir partout dans le village. C'était les bonbons chez Hermild. La messe du dimanche matin dans ma plus jolie robe, le cinéma de l'AM avec sa boule de glace. Les amis toujours présents dans ma vie aujourd'hui. Les cours de danse classique les mercredis. Les livreurs d'épicerie dans leur camion à domicile. Il y avait le tram qui traversait le village. A chaque carnaval je me déguisais en princesse. Il y avait l'école qui distribuait encore des livres en fin d'année à ses meilleures élèves.
Les garçons jouaient aux billes et au foot. Les filles sautaient à l'élastique et jouaient à cache cache.
Avec mes fréres et ma soeur nous étions des enfants heureux.

Les choses ont beaucoup changé c'est vrai nous étions des frêles oiseaux libres et nous ne courrions pas les dangers que nos enfants et petits enfants rencontrent aujourd 'hui comme la violence et autres dérives. C'était le bon vieux temps que la jeunesse ne s'imagine pas actuellement 
Nous savions encore jouer avec une caisse à savon. Je me souviens que le village avait organiser des concours de patin à roulette chaque année. C'était mieux avant pour la jeunesse

Nous avons eue la même enfance. J'avais oublier de parler de l'utilisation de l'ardoise à l'école. Les bons points que distribuait la maîtresse pour une bonne action ou un beau travail. La distribution des taches comme effacer le tableau ou distribuer les cahiers. Et puis il y avait aussi pour moi les images de Barbie à coller livre que je trainais partout pour échanger mes images

grand sourire" C'était quand même bien nos jeunes années Quand j'ai raconté cela à mes enfants ils n'y croyaient pas. Ils ont comparé leur enfance et ont retrouvé quelques similitudes que je leur ai donnée dans leur éducation.

Ma poupée s'appelait Fanchon et était aussi grande que moi Je n'ais pas de photo de moi à te montrer mais j'étais boullotte avec de longues tresses noires. J'habitais dans un quartier italien et on me prenais pour une italienne

Je me souviens à l'école il y avais les cahiers d'écriture. Il fallait écrire en majuscule les lettres avec une plume et son encrier.

Et puis il y avait les plumiers en bois.

 

 

 

J'étais pas né à l'époque

il y a une heure, Papy_voyeur a dit :

J'étais pas né à l'époque

Facile celle-là !

Ils sortent d'où tes smileys que l'on discerne peu ? Tu ne veux ou ne peux utiliser ceux proposés par ce forum ?

Il y a 1 heure, ouaif a dit :

Facile celle-là !

Ils sortent d'où tes smileys que l'on discerne peu ? Tu ne veux ou ne peux utiliser ceux proposés par ce forum ?

Je ne sais pas comment les utiliser j'utilise deux de mon tel. 

Tu fais comment ? 

il y a 12 minutes, Papy_voyeur a dit :

Je ne sais pas comment les utiliser j'utilise deux de mon tel. 

Tu fais comment ? 

Ah désolé, je ne peux te répondre, je n’utilise pas le téléphone pour venir sur ce forum.

Mais certainement que si tu poses la question tu trouveras la réponse auprès d'autres participant(e)s du forum.

15 ans, premier amour, elle avait un rouge à lèvre au goût de framboise...je m'en souviens encore.

mes souvenirs de la petite enfance avec l'odeur du fromage basque dans un garage et le fracas lumineux des orages en pleine nuit derrière des volets rouges .

Triste ! L'école et les livres étaient mes échappatoires.

55 ans.

Rien à voir avec l'éducation d'aujourd'hui où je vois des enfants dehors du matin jusqu'à plus de 22h le soir, livrés à eux-mêmes...

Les parents copains de leurs enfants qui leurs passent tout, par peur de perdre leur amour, car divorcés. Du coup, ces enfants sans cadre ni repaires sont des enfants roi. On les voit dans super nanny, l'émission de télé. Plus tard dans Pascal le grand frère, en dernier lieu, en prison.

Les enfants doivent être cadrés dès le plus jeune âge, ça les rassure et avec de bonnes habitudes et des valeurs ils grandissent bien et améliorent le monde, sont bien dans leur peau car adultes équilibrés.

Depuis que le gouvernement a mi la femme au travail, elle n'a pas le temps de s'occuper de l'éducation des enfants. Surtout depuis les allocs où elle est devenue indépendante.

De mon temps la mère s'occupait du foyer, de la maison, des enfants, du mari, des finances, elle était l'intendante de la maison. Elle instruisant ses enfants en plus de l'école, leur apprenait la sagesse, les valeurs, le solfège la musique par un enseignant, et un sport le jeudi, jour pas classe.

Le mari ramenait les sous à la maison.

Les enfants étaient écoutés, compris, défendus, protégés, éduqués. On leur mettait des limites. La mère jusqu'à 7 ans avait un rôle nourricier, puis le père prenait la relève et emmenait l'enfant dans le vaste monde. La mère gardait un rôle nourricier.

L'enfant se sentait soutenu, était instruit, éduqué, protégé.

L'instituteur comme le e professeur étaient très considérés, les enfants avaient beaucoup de respect et d'admiration pour tout ce savoir transmis. On avait souvent des discussions passionnantes et on aimait rester après la fin des cours, contrairement à aujourd'hui où les élèves fuient les cours et maltraitent et insultes " " " les profs " comme ils les appellent.

La façon d'apprendre n'était pas la même non plus. On partait en forêt avec la classe sciences de la vie, pour ne citer qu'elle. La classe était vivante. Contrairement aujourd'hui où c'est devenu un univers carcéral. On ne peut plus aller au toilettes, ni entrer, ni sortir, c'est devenu une prison dans laquelle les élèves sont contraints de rester les pieds sous la table du matin au soir. Normal qu'ils soient violents aujourd'hui. Sans compter les enfants enfermés dans la religion qui sont tous gentils sur le lieu de culte, et en sortant, fini. On les a perdus...!