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Paroles de chanson

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Jawohl !

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Membre, 25ans Posté(e)
Marcuse Membre 1 231 messages
Mentor‚ 25ans‚
Posté(e)

Le fossé qui se creuse toujours plus immense

Entre celles et ceux qui peinent à trouver leur pitance

Et ceux qui font bombance à s’éclater la panse

Refrain : Des cris étouffés emmurés de silence (x2)

Le silence est d'or mais bien souvent souffrance

La banque mondiale : des technocrates exigeant leur créance

Politiciens informes reniflant la finance

Refrain : Des cris étouffés emmurés de silence (x2)

Des lois qui se font dures ; seule vaut l’obéissance

Des marchands de foi ne prêchant que patience

Pauvreté provoquée qu'on appelle malchance

Refrain : Des cris étouffés emmurés de silence (x2)

 

El Hadj N'Diaye - Sans voix

 

 

 

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Membre, 71ans Posté(e)
Popy Membre 5 137 messages
Maitre des forums‚ 71ans‚
Posté(e)

 

Paroles
 
Elle est à toi cette chanson
Toi l'Auvergnat qui, sans façon
M'as donné quatre bouts de bois
Quand dans ma vie il faisait froid
Toi qui m'as donné du feu quand
Les croquantes et les croquants
Tous les gens bien intentionnés
M'avaient fermé la porte au nez
Ce n'était rien qu'un feu de bois
Mais il m'avait chauffé le corps
Et dans mon âme, il brûle encore
À la manière d'un feu de joie
Toi, l'Auvergnat quand tu mourras
Quand le croc-mort t'emportera
Qu'il te conduise à travers ciel
Au père éternel
Elle est à toi cette chanson
Toi l'hôtesse qui, sans façon
M'as donné quatre bouts de pain
Quand dans ma vie il faisait faim
Toi qui m'ouvris ta huche quand
Les croquantes et les croquants
Tous les gens bien intentionnés
S'amusaient à me voir jeuner
Ce n'était rien qu'un peu de pain
Mais il m'avait chauffé le corps
Et dans mon âme, il brûle encore
À la manière d'un grand festin
Toi, l'hôtesse quand tu mourras
Quand le croc-mort t'emportera
Qu'il te conduise à travers ciel
Au père éternel
Elle est à toi cette chanson
Toi l'étranger qui, sans façon
D'un air malheureux m'as souri
Lorsque les gendarmes m'ont pris
Toi qui n'as pas applaudi quand
Les croquantes et les croquants
Tous les gens bien intentionnés
Riaient de me voir emmené
Ce n'était rien qu'un peu de miel
Mais il m'avait chauffé le corps
Et dans mon âme, il brûle encore
À la manière d'un grand soleil
Toi, l'Étranger quand tu mourras
Quand le croc-mort t'emportera
Qu'il te conduise à travers ciel
Au père éternel
Source : Musixmatch
Paroliers : Georges Charles Brassens
Paroles de Chanson pour l’Auvergnat © Editions Musicales Ray Ventura, Soc Ventura
 
 
 
 

 

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Membre, `, Posté(e)
Tequila Moor Membre 16 594 messages
`,
Posté(e)

Je n'ai pas attendu
Les jours de canicule
Pour sentir nos corps qui brûlent
Nos langues en feu
Mon prince, mon dieu
J'entends nos membres qui crépitent
Du feu... de la dynamite

Chaque jour, je guette l'apothéose
J'ai faim et soif de bien des choses
Je t'effleurerai jusqu'à l'usure
Mains ondoyantes sur nos fourrures

Je vois tes veines qui palpitent
Un fleuve invisible s'agite
Dans l'alcôve s'imbriquent
Tous nos fluides magnétiques

Mes péchés s'accumulent
Et nos corps s'entremêlent

Je te palpe, tu te donnes
Autour de nous, tout nous échappe
Nos démons bouillent, on se dilate
Le pouls rapide, nos yeux clignotent
Au dessus des parcelles de peau
Qu'on examine les yeux mi-clos
Dix mille secousses au crépuscule
En vagues soyeuses nous inondent
J'entends nos cellules qui frémissent
Nos vies en un éclair s'éclipsent
S'éclipsent...

Je n'ai pas attendu
Les jours de canicule
Pour sentir nos corps qui brûlent
Nos langues en feu
Mon prince, mon dieu
J'entends nos membres qui crépitent
Du feu... de la dynamite

 

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Membre, 25ans Posté(e)
Marcuse Membre 1 231 messages
Mentor‚ 25ans‚
Posté(e)

Le Fond et la forme - Lofofora

 
Le fond et la forme, déforment et défont.
De vices de forme en lames de fond la folie des hommes chante à l'unisson,
fait des bulles comme dans l'eau d'un poisson voient dans les nuages de sombres images.
Comme la terre est ronde, comme l'eau est profonde, comme la route est longue.
Quand la lune est pleine d'ici on devine les plantes des arbres la cime.
Comme un sortilège parfois se dessine une forme aérienne nouée d'une ligne,
le visage d'un ange au sourire étrange.
Les gens du village ne laissent pas faire les vauriens qui crachent devant le cimetière.
Et comme des lâches ils jettent des pierres sur les trains qui passent avant la frontière.
On aime son prochain tous les dimanches matins.
Dans la grande ville le bruit du moteur d'une chape grise étouffe nos coeurs,
reste une valise, le regard moqueur, des phares qui scintillent , n'a plus de couleur.
Tout s'emballe d'un voile sale. Le brouillard nous avale.
 
 
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