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Paroles de chanson

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Jawohl !

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Membre, 25ans Posté(e)
Marcuse Membre 844 messages
Mentor‚ 25ans‚
Posté(e)

Le fossé qui se creuse toujours plus immense

Entre celles et ceux qui peinent à trouver leur pitance

Et ceux qui font bombance à s’éclater la panse

Refrain : Des cris étouffés emmurés de silence (x2)

Le silence est d'or mais bien souvent souffrance

La banque mondiale : des technocrates exigeant leur créance

Politiciens informes reniflant la finance

Refrain : Des cris étouffés emmurés de silence (x2)

Des lois qui se font dures ; seule vaut l’obéissance

Des marchands de foi ne prêchant que patience

Pauvreté provoquée qu'on appelle malchance

Refrain : Des cris étouffés emmurés de silence (x2)

 

El Hadj N'Diaye - Sans voix

 

 

 

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Membre, 71ans Posté(e)
Popy Membre 826 messages
Forumeur expérimenté‚ 71ans‚
Posté(e)

 

Paroles
 
Elle est à toi cette chanson
Toi l'Auvergnat qui, sans façon
M'as donné quatre bouts de bois
Quand dans ma vie il faisait froid
Toi qui m'as donné du feu quand
Les croquantes et les croquants
Tous les gens bien intentionnés
M'avaient fermé la porte au nez
Ce n'était rien qu'un feu de bois
Mais il m'avait chauffé le corps
Et dans mon âme, il brûle encore
À la manière d'un feu de joie
Toi, l'Auvergnat quand tu mourras
Quand le croc-mort t'emportera
Qu'il te conduise à travers ciel
Au père éternel
Elle est à toi cette chanson
Toi l'hôtesse qui, sans façon
M'as donné quatre bouts de pain
Quand dans ma vie il faisait faim
Toi qui m'ouvris ta huche quand
Les croquantes et les croquants
Tous les gens bien intentionnés
S'amusaient à me voir jeuner
Ce n'était rien qu'un peu de pain
Mais il m'avait chauffé le corps
Et dans mon âme, il brûle encore
À la manière d'un grand festin
Toi, l'hôtesse quand tu mourras
Quand le croc-mort t'emportera
Qu'il te conduise à travers ciel
Au père éternel
Elle est à toi cette chanson
Toi l'étranger qui, sans façon
D'un air malheureux m'as souri
Lorsque les gendarmes m'ont pris
Toi qui n'as pas applaudi quand
Les croquantes et les croquants
Tous les gens bien intentionnés
Riaient de me voir emmené
Ce n'était rien qu'un peu de miel
Mais il m'avait chauffé le corps
Et dans mon âme, il brûle encore
À la manière d'un grand soleil
Toi, l'Étranger quand tu mourras
Quand le croc-mort t'emportera
Qu'il te conduise à travers ciel
Au père éternel
Source : Musixmatch
Paroliers : Georges Charles Brassens
Paroles de Chanson pour l’Auvergnat © Editions Musicales Ray Ventura, Soc Ventura
 
 
 
 

 

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