Qui pourrait me corriger sur mon commentaire littéraire d'un poème ?

Bonjour le forum :). Je suis en seconde et je m'entraîne pour mon devoir sur le commentaire littéraire de jeudi prochain. Le contrôle va être tout simplement une analyse d'un poème sur le thème de la mort, avec des question que je devrait mettre sous forme de commentaire.

Alors j'ai décidé de m'entraîner sur du Victor Hugo en recherchant "poème sur la mort" et en le déchirant, je me suis entraîne sur "Ce que c'est que la mort" et j'en est fait, sans intro puisque je débute dans le commentaire littéraire et donc je ne maîtrise pas encore toutes méthodes, un commentaire, ou plutôt deux commentaires et une conclusion 

Le poème prend de la place donc je suis navré mais il faudra mètre sur Google "Ce que c'est que c'est que la mort" de Victor Hugo dur Google, désolé, mais j'espère quand même de l'aide :

Mes commentaires : 

 le poète, Victor Hugo, mais dans un pied d'égalité chaque être humain face à la mort. Pour cela, on retrouve de nombreuses figure de style de l'Égalité dans ce poème, comme une énumération constante de l'Égalité, en accumulant tout ce qu'on a en commun (" on se rue aux plaisir, aux tourbillons, aux fêtes[...] on marche, on court, on rêve, on souffre...") l'anaphore et le parallélisme de l'Égalité ne sont pas à découvert, car elle permet de mettre en interaction l'égalité des hommes avec celui du poète (" On...On....On" =Anaphore, " on est l'homme mauvais que je suis, que vous êtes" = parallélisme"). Cette égalité montre entre tous les hommes que nous faisons le "mal" (" la sombre égalité du mal")  et que chaque homme "souffre".  on le repère par le champ lexical du malheur "mal", "souffre", "larme". 

Victor Hugo nous montre en quelques sortes du "Ce que c'est que la mort". Avant que le poète nous emporte dans cette atmosphère, on voit une énumération permettant de résumer la vie d'un homme :" on marche, on marche, on court, on rêve, on souffre, on pencher, on tombe, on monte" ou le mot "monte" correspond à la mort. Après ce procédé, le poète veut nous emporté "vers la mort" , il dit "Dans la mort. Viens !". Le point d'exclamation insiste à nous faire monter vers la mort. Ainsi suite à ces deux phrases, le poète fais une description en deux sous-parties de la mort, avec pour commencer une description très funèbres, sombre ( à nouveau toujours renforcer par une énumération) : " on on tremble, on se voit nu, impur, hideux [...] noui des mille nœuds funèbres". Puis une description plus joyeuse :"L'amour [...] la voix qui chante" (il personnifie l'amour), "On arrive homme, deuil","Du monstre qui devient la lumière d'un ange". Les antithèses sont donc nombreuses entre ces deux sous parties opposées , comme "Funèbres-amour" ou "monstre-lumière d'un ange". 

En conclusion victor hugo veut nous ramener où nous insister à aller vers la "paix". Il met dans un pied d'égalité chaque homme qui fait du mal aux autres et qui souffre à l'intérieur et à l'intérieur. Puis on nous en insistant à aller vers la mort pour ensuite être en paix. 

Ce travail est-il quand même correcte ou bon pour une personne en début de seconde en découverte du commentaire ? 

Merci d'avance 

Tu peux le dire si ce que j'ai fais c'est vraiment nul 

il y a une heure, ForbagROYALle a dit :

En conclusion victor hugo veut nous ramener où nous insister à aller vers la "paix". Il met dans un pied d'égalité chaque homme qui fait du mal aux autres et qui souffre à l'intérieur et à l'intérieur. Puis on nous en insistant à aller vers la mort pour ensuite être en paix. 

 

Le coronavirus serait donc un bienfait. La paix est recherchée par le sage. Le sage est le philosophe qui a trouvé. Trouvé quoi ? Là est la vraie question.

Heu... 

il y a 40 minutes, ForbagROYALle a dit :

Heu... 

 

Bien, vous avez l'élément principal pour faire l'omelette.

Je pense qu'il serait judicieux d'indiquer  au prof quel est le titre du poème que tu commentes. Tu nous l'as dit à nous mais pas à lui. 

A partir de là, je vais corriger ton orthographe phrase à phrase:

 phrase 1/ écrire " met sur " au lieu de "mais dans "

Phrase 4 :  corrige: l'égalité des hommes avec celle du poète.

Premiière ligne du deuxième paragraphe: en quelque sorte (sans S)

 Troisième ligne du deuxième paragraphe: conjugue convenablement le verbe pencher et corrige: veut nous emportER.

 Le poète faiT une description de la mort en deux sous-parties. 

Dernière phrase puis il "nous insistant"...Non, puis il "nous incite".

 Pour ma part, même si ton analyse commence bien, tu passes complètement à côté du sens du poème: pour Victor Hugo, la mort est une porte ouverte vers l'au delà où il va rencontrer le divin (la voix qui chante) qui va le transfigurer. Pour Victor Hugo donc la mort est la libération d'une chair qui pourrit. c'est la chenille qui devient papillon en quelque sorte. Il oppose le sort commun à tous les hommes  à la métamorphose  supposée qui l'attend dans l'au-delà. (Si tu connais le mythe de la caverne de Platon, cette vision de la mort relève de la  même démarche intellectuelle et des mêmes  systèmes de croyances).

Mais je l'ai dit "Ce que c'est la mort" de Victor Hugo, et pourquoi au prof ? C'est un entraînement que je vient de faire pas un dm

D'accord merci pour ton aide !!!! 

Bon je vois sur je n'ai toujours pas le niveau, mais C'est rageant en plus, j'essaye de m'entraîner et à chaque fois je me foire, c'est le poème de trop qui fait déborder mon cerveau

Continue de t'entraîner, comme on dit: c'est en forgeant que l'on devient forgeron, allez, courage!