Une vie bouleversée

Extraits :

Je ne vois pas d’autre issue que chacun de nous fasse un retour sur lui-même et extirpe et anéantisse en lui tout ce qu’il croit devoir anéantir chez les autres. Et soyons bien convaincus que le moindre atome de haine que nous ajoutons à ce monde nous le rend plus inhospitalier qu’il ne l’est déjà.

___________________________________________________________________________________________________________________________________________

Les hommes se servent de l’autre pour se laisser persuader d’une chose à laquelle au fond de leur cœur  ils ne croient pas.

On cherche dans l’autre un instrument pour couvrir le son de sa voix intérieure.

Si chacun de nous écoutait un peu plus sa voix intérieure, s’il essayait de la faire retentir en soi-même, alors il y aurait beaucoup moins de chaos dans le monde. 

___________________________________________________________________________________________________________

« LA SALOPERIE DES AUTRES EST AUSSI EN NOUS. ET JE NE VOIS PAS D’AUTRE SOLUTION QUE DE RENTRER EN SOI-MÊME ET D’EXTIRPER DE SON ÂME TOUTE CETTE POURRITURE. JE NE CROIS PLUS QUE NOUS PUISSIONS CORRIGER QUOI QUE CE SOIT DANS LE MONDE EXTÉRIEUR, QUE NOUS N’AYONS D’ABORD CORRIGÉ EN NOUS. »

Histoire de paille et de poutre?

il y a 59 minutes, Fraternellement a dit :

Les hommes se servent de l’autre pour se laisser persuader d’une chose à laquelle au fond de leur cœur  ils ne croient pas.

On cherche dans l’autre un instrument pour couvrir le son de sa voix intérieure.

Si chacun de nous écoutait un peu plus sa voix intérieure, s’il essayait de la faire retentir en soi-même, alors il y aurait beaucoup moins de chaos dans le monde.

C'est exactement ce que je t'explique sur le bonheur. Le bonheur est d'abord intérieur, il est une prédisposition et pas une conséquence. 

Sujet intéressant.

Ceci dit  outremultiplier le fruit de nos amours rend le monde encore plus inhospitalier qu'il ne l'a jamais été en transformant des plaines où florissait la vie et la biodiversité en jungles de béton et de macadam...ou en monocultures intensives ou en batteries de volailles qui n'ont jamais vu la lumière du jour...

Comme quoi peace and  too much love ont  aussi leurs limites, sur terre.

Il y a 1 heure, Fraternellement a dit :

 

 

Extraits :

Je ne vois pas d’autre issue que chacun de nous fasse un retour sur lui-même et extirpe et anéantisse en lui tout ce qu’il croit devoir anéantir chez les autres. Et soyons bien convaincus que le moindre atome de haine que nous ajoutons à ce monde nous le rend plus inhospitalier qu’il ne l’est déjà.

___________________________________________________________________________________________________________________________________________

Les hommes se servent de l’autre pour se laisser persuader d’une chose à laquelle au fond de leur cœur  ils ne croient pas.

On cherche dans l’autre un instrument pour couvrir le son de sa voix intérieure.

Si chacun de nous écoutait un peu plus sa voix intérieure, s’il essayait de la faire retentir en soi-même, alors il y aurait beaucoup moins de chaos dans le monde. 

___________________________________________________________________________________________________________

« LA SALOPERIE DES AUTRES EST AUSSI EN NOUS. ET JE NE VOIS PAS D’AUTRE SOLUTION QUE DE RENTRER EN SOI-MÊME ET D’EXTIRPER DE SON ÂME TOUTE CETTE POURRITURE. JE NE CROIS PLUS QUE NOUS PUISSIONS CORRIGER QUOI QUE CE SOIT DANS LE MONDE EXTÉRIEUR, QUE NOUS N’AYONS D’ABORD CORRIGÉ EN NOUS. »

Bonjour,

Oui, il y a des forces et des flux invisibles, comme la confiance dans la bourse, l'attractivité de l'offre,...

Mais il y a également des forces morales invisibles comme la communion lors d'un soir de finale, ou d'un autre spectacle.

Votre discours évoque bien ces forces invisibles, comme une osmose d'informations et d'impressions qui circuleraient autour de nous.

La réciprocité, ou la projection de ses propres défauts sur l'autre est fréquent.

Mais tout dépend de votre intégrité morale et votre crédibilité intellectuelle :

L'empathie, ce n'est pas uniquement "se mettre à la place de l'autre", c'est aussi de penser à sa place.

Mais je pense comme vous que l'introspection doit précéder le jugement envers les autres.

C'est le "connais-toi toi-même" de Socrate.

Cordialement, Fraction.

il y a 14 minutes, Name a dit :

C'est exactement ce que je t'explique sur le bonheur. Le bonheur est d'abord intérieur, il est une prédisposition et pas une conséquence. 

Sujet intéressant.

Je pense avoir largement répondu. Le bonheur est d'abord une chance selon l'étymologie : il nous vient ou il ne nous vient pas. 

Heureusement (c'est le cas de le dire), le bonheur qui ne nous est pas venu, nous pouvons le transformer en bonheur : bonheur de surmonter la malchance, bonheur d'en tirer une force, bonheur de se découvrir capable d'accepter positivement ce qui nous arrive. C'est une construction largement décrite par la philosophie antique, les stoïciens en particulier.

Ainsi, le bonheur devient une construction intérieure, même quand rien ne nous y prédisposait des événements de la vie. 

Ce bonheur est donc accessible aux malheureux comme aux heureux. A ceux qui y sont prédisposés comme aux autres.

Mais ce bonheur intérieur a des limites : d'une part il peut être détruit par inattention, par fragilité ; d'autre part il ne suffit pas à faire le bonheur, qui est la réunion heureuse de l'intérieur et de l'extérieur.

Etty Illesum s'était construit ce qu'elle appelait "sa chambre haute" : le lieu du divin en elle. Pour y arriver, elle a dû comme elle dit "corriger en elle" les défauts et même les horreurs qu'elle voyait dans le monde.

Elle a travailler à mettre à jour et trouver la beauté en elle, pour parvenir à la trouver autour d'elle, jusque dans les camps de concentration où elle est morte.

Elle indique en quoi consiste ce travail intérieur :

"Notre unique obligation morale, c'est de défricher en nous-même de vastes clairières de paix et de les étendre de proche en proche, jusqu'à ce que cette paix irradie vers les autres."

il y a 21 minutes, querida13 a dit :

Ceci dit  outremultiplier le fruit de nos amours rend le monde encore plus inhospitalier qu'il ne l'a jamais été en transformant des plaines où florissait la vie et la biodiversité en jungles de béton et de macadam...ou en monocultures intensives ou en batteries de volailles qui n'ont jamais vu la lumière du jour...

Comme quoi peace and  too much love ont  aussi leurs limites, sur terre.

Je doute fort que les jungles de macadam et de béton ou encore les monocultures ou les batteries de volailles soient" les fruits de nos amours." 

Juste les conséquences de notre avidité aveugle.

il y a 3 minutes, Fraction a dit :

Mais je pense comme vous que l'introspection doit précéder le jugement envers les autres.

Objectivement parlant on ne peut se rendre compte de ses propres défauts qu'une fois qu'on les a vu chez les autres... sinon, on ne peut pas se rendre compte du fait que nos propres comportements sont mauvais... autrement dit faut le voir pour croire !

il y a une heure, Fraternellement a dit :

Je pense avoir largement répondu. Le bonheur est d'abord une chance selon l'étymologie : il nous vient ou il ne nous vient pas. 

Heureusement (c'est le cas de le dire), le bonheur qui ne nous est pas venu, nous pouvons le transformer en bonheur : bonheur de surmonter la malchance, bonheur d'en tirer une force, bonheur de se découvrir capable d'accepter positivement ce qui nous arrive. C'est une construction largement décrite par la philosophie antique, les stoïciens en particulier.

Ainsi, le bonheur devient une construction intérieure, même quand rien ne nous y prédisposait des événements de la vie. 

Ce bonheur est donc accessible aux malheureux comme aux heureux. A ceux qui y sont prédisposés comme aux autres.

Mais ce bonheur intérieur a des limites : d'une part il peut être détruit par inattention, par fragilité ; d'autre part il ne suffit pas à faire le bonheur, qui est la réunion heureuse de l'intérieur et de l'extérieur.

Etty Illesum s'était construit ce qu'elle appelait "sa chambre haute" : le lieu du divin en elle. Pour y arriver, elle a dû comme elle dit "corriger en elle" les défauts et même les horreurs qu'elle voyait dans le monde.

Elle a travailler à mettre à jour et trouver la beauté en elle, pour parvenir à la trouver autour d'elle, jusque dans les camps de concentration où elle est morte.

Elle indique en quoi consiste ce travail intérieur :

"Notre unique obligation morale, c'est de défricher en nous-même de vastes clairières de paix et de les étendre de proche en proche, jusqu'à ce que cette paix irradie vers les autres."

 

Je doute fort que les jungles de macadam et de béton ou encore les monocultures ou les batteries de volailles soient" les fruits de nos amours." 

Juste les conséquences de notre avidité aveugle.

Eh bien non, plus nous sommes et plus il faut nous loger et comme la terre n'est pas extensible on nous entasse, plus nous sommes  et plus il faut produire en masse en tuant et exterminant ce qui est étranger à notre nourriture ou ce qui est son prédateur direct (oiseau, insecte..), plus nous sommes et plus la tension sur les espèces vivrières s'accroit.D'ailleurs les espèces qui ne nous servent pas subissent des crises d'extinction massive car elles sont chassées des habitats naturels sur lesquels notre espèce les supplante.,L'avidité est dans la nature de l'homme* depuis toujours mais en multipliant les hommes comme nous l'avons fait durant ce siècle, nous  aussi avons multiplié les avidités diverses… Et toutes ces cabanes qui rongent la nature vivante sont remplies d'objets morts…(souvent à peu de choses près les mêmes: des lits, des tables, des chaises, des objets, vêtements et parures, de la vaisselle, des outils…)multipliés à l'infini...

Le déséquilibre intérieur  (l'avidité)rejaillit donc sur la nature extérieure et finit par la transformer radicalement.

 C'est ainsi que les espaces contenant des arbres générateurs d'oxygène deviennet des espaces producteurs de C02 et accessoirement des espaces dont le nom -bien mérité- est "des foyers".

il y a 4 minutes, Groenland a dit :

Objectivement parlant on ne peut se rendre compte de ses propres défauts qu'une fois qu'on les a vu chez les autres... sinon, on ne peut pas se rendre compte du fait que nos propres comportements sont mauvais... autrement dit faut le voir pour croire !

Les mauvais exemples auraient donc leur utilité, un rôle de repère à jouer (?)

Probablement, mais je sais qu'en s'auto-administrant une certaine rigueur, on peut approcher l'objectivité en s'en imposant les codes et le langage.

il y a 2 minutes, querida13 a dit :

Eh bien non, plus nous sommes et plus il faut nous loger et comme la terre n'est pas extensible on nous entasse, plus nous sommes  et plus il faut produire en masse en tuant et exterminant ce qui est étranger à notre nourriture ou ce qui est son prédateur direct (oiseau, insecte..), plus nous sommes et plus la tension sur les espèces vivrières s'accroit.D'ailleurs les espèces qui ne nous servent pas subissent des crises d'extinction massive car elles sont chassées des habitats naturels sur lesquels notre espèce les supplante.,L'avidité est dans la nature de l'homme* depuis toujours mais en multipliant les hommes comme nous l'avons fait durant ce siècle, nous  aussi avons multiplié les avidités diverses… Et toutes ces cabanes qui rongent la nature vivante sont remplies d'objets morts…(souvent à peu de choses près les mêmes: des lits, des tables, des chaises, des objets, vêtements et parures, de la vaisselle, des outils…)

Je ne vois nulle part ici le "fruit de nos amours"... Juste l'avidité aveugle, toujours...

J'ajoute qu'il n'y a aucune fatalité dans les solutions apportées ici à la surpopulation.

Mais on sort du sujet il me semble...

Et comment!

 Le trouble interne finit toujours par créer des conséquences sur l'environnement quel qu'il soit (affectif, familial, professionnel ou l'environnement en général…)

il y a 6 minutes, Fraternellement a dit :

Je pense avoir largement répondu. Le bonheur est d'abord une chance selon l'étymologie : il nous vient ou il ne nous vient pas. 

Et je t'ai répondu mais veux-tu l'entendre : l'augure et la chance n'ont rien à voir, la prédisposition et l'augure oui.

il y a 6 minutes, Fraternellement a dit :

Heureusement (c'est le cas de le dire), le bonheur qui ne nous est pas venu, nous pouvons le transformer en bonheur : bonheur de surmonter la malchance, bonheur d'en tirer une force, bonheur de se découvrir capable d'accepter positivement ce qui nous arrive. C'est une construction largement décrite par la philosophie antique, les stoïciens en particulier.

C'est donc bien une prédisposition intérieure qui nous fait apprécier l'événement extérieur comme bonheur.

il y a 6 minutes, Fraternellement a dit :

Ainsi, le bonheur devient une construction intérieure, même quand rien ne nous y prédisposait des événements de la vie. 

C'est au contraire soi qui prédispose la construction puisqu'elle est intérieure.

il y a 6 minutes, Fraternellement a dit :

Ce bonheur est donc accessible aux malheureux comme aux heureux. A ceux qui y sont prédisposés comme aux autres.

Le bonheur est accessible à tous, puisque chacun peut s'y prédisposer.

il y a 6 minutes, Fraternellement a dit :

Mais ce bonheur intérieur a des limites : d'une part il peut être détruit par inattention, par fragilité ; d'autre part il ne suffit pas à faire le bonheur, qui est la réunion heureuse de l'intérieur et de l'extérieur.

C'est le bonheur extérieur qui a des limites. La prédisposition intérieure, qui est anticipation, augure, surmonte le malheur. C'est l'étymologie de bon augure, prise au sens exact, qui nous l'indique.

il y a 6 minutes, Fraternellement a dit :

Etty Illesum s'était construit ce qu'elle appelait "sa chambre haute" : le lieu du divin en elle. Pour y arriver, elle a dû comme elle dit "corriger en elle" les défauts et même les horreurs qu'elle voyait dans le monde.

Elle a travailler à mettre à jour et trouver la beauté en elle, pour parvenir à la trouver autour d'elle, jusque dans les camps de concentration où elle est morte.

Elle indique en quoi consiste ce travail intérieur :

"Notre unique obligation morale, c'est de défricher en nous-même de vastes clairières de paix et de les étendre de proche en proche, jusqu'à ce que cette paix irradie vers les autres."

Je discuterai ça avec plaisir.

il y a 3 minutes, Name a dit :

Et je t'ai répondu mais veux-tu l'entendre : l'augure et la chance n'ont rien à voir, la prédisposition et l'augure oui.

Pour ce qui est d'entendre, je pense pouvoir te retourner tranquillement la question.

Euh sinon je ne comprends pas : augure ou pas augure ?

il y a 5 minutes, Name a dit :

C'est donc bien une prédisposition intérieure qui nous fait apprécier l'événement extérieur comme bonheur.

évidemment ! 

il y a 5 minutes, Fraction a dit :

Les mauvais exemples auraient donc leur utilité, un rôle de repère à jouer (?)

Probablement, mais je sais qu'en s'auto-administrant une certaine rigueur, on peut approcher l'objectivité en s'en imposant les codes et le langage.

 

"Ne fait pas aux autres ce que tu n'aimes pas qu'on te fasse"...

Il faut déjà avoir vu que ce dont on fait aux autres ça fait vraiment mal, ensuite il faut avoir l'intelligence de comprendre qu'il ne faut pas le faire à d'autres... mais bon tout ça c'est en théorie sinon ça aurait été le paradis sur terre 

il y a 5 minutes, Name a dit :

Citation

Ainsi, le bonheur devient une construction intérieure, même quand rien ne nous y prédisposait des événements de la vie. 

C'est au contraire soi qui prédispose la construction puisqu'elle est intérieure.

C'est exactement ce que je dis : même quand rien ne nous y prédisposait des événements de la vie. 

il y a 2 minutes, Groenland a dit :

bon tout ça c'est en théorie sinon ça aurait été le paradis sur terre 

Exact. 

@Name 

Vous mettez littéralement en pièces les propos de l'autre ! À regarder cela me donne vraiment mal au ventre ! Personne ne mérite tant de haine ... 

il y a 10 minutes, Name a dit :

Citation

Mais ce bonheur intérieur a des limites : d'une part il peut être détruit par inattention, par fragilité ; d'autre part il ne suffit pas à faire le bonheur, qui est la réunion heureuse de l'intérieur et de l'extérieur.

C'est le bonheur extérieur qui a des limites.

Le bonheur intérieur aussi est limité : pour les raisons que je donne ici et d'autres que j'ai déjà données dans mon Post dédié. 
De plus il est également limité par les limites du bonheur (et du malheur) extérieur, car  le bonheur  est la réunion heureuse de l'intérieur et de l'extérieur. Le bonheur intérieur aspire au bonheur complet.

il y a 9 minutes, Groenland a dit :

@Name 

Vous mettez littéralement en pièces les propos de l'autre ! À regarder cela me donne vraiment mal au ventre ! Personne ne mérite tant de haine ... 

Lol. Je ne vois aucune haine, ni d'ailleurs aucune mise en pièce. Je vois dites des choses que je dis moi-même, mais dites comme si elles me contredisaient, ou comme si je devrais ne pas être d'accord, et d'autres sur lesquelles il y a désaccord, que je relève donc. Le point important me semble que Name admet l'existence et la nécessité d'un travail intérieur, d'une construction, ce qui ne va pas sans recherches et exercices sur soi. Ce qui était le point essentiel de désaccord jusqu'ici.

il y a 1 minute, Groenland a dit :

@Name 

Vous mettez littéralement en pièces les propos de l'autre ! À regarder cela me donne vraiment mal au ventre ! Personne ne mérite tant de haine ... 

Aucune haine, j'estime que ma contradiction est fondée et argumentée. Prenons l'exemple de l'étymologie de "bonheur" expliquée comme une chance en y associant l'augure. Ça me paraît être objectivement faux, je le dis et donne une explication qui me paraît plus exacte. Ai-je tort ? J'en conviens, mais en tout bon adepte du dialogue platonicien, @Fraternellement devrait me contredire en argumentant, ce qui n'est pas le cas. Ce qui te semble un acharnement est une attente de réponse.

il y a 20 minutes, Fraternellement a dit :

Pour ce qui est d'entendre, je pense pouvoir te retourner tranquillement la question.

 

Euh sinon je ne comprends pas : augure ou pas augure ?

Augure, mais associé à predisposition, anticipation. Quel est le rapport entre augure et chance ?

il y a 20 minutes, Fraternellement a dit :

évidemment ! 

On danse encore

Sur les accords qu'on aimait tant.

il y a 6 minutes, Name a dit :

Prenons l'exemple de l'étymologie de "bonheur" expliquée comme une chance en y associant l'augure. Ça me paraît être objectivement faux

L’origine

Le mot bonheur est composé de bon, le contraire de mauvais, et de heur. Heur vient du latin augurium, « présage tiré de l’observation du vol des oiseaux », qui a aussi donné le mot augure.

L’heur, initialement, désigne un présage, qu’il soit bon ou mauvais.

Le bon heur, en deux mots, c’est donc le bon augure, le signe favorable.

Le premier sens de bonheur, en un mot, est donc « chance ».

il y a 8 minutes, Fraternellement a dit :

L’origine

Le mot bonheur est composé de bon, le contraire de mauvais, et de heur. Heur vient du latin augurium, « présage tiré de l’observation du vol des oiseaux », qui a aussi donné le mot augure.

L’heur, initialement, désigne un présage, qu’il soit bon ou mauvais.

Le bon heur, en deux mots, c’est donc le bon augure, le signe favorable.

Le premier sens de bonheur, en un mot, est donc « chance ».