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L’émerger accorde sa faveur au se-cacher


Invité Groenland

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il y a 37 minutes, Plouj a dit :

A une époque cela égalait à une motte fort garnie.

 

Celle-ci non plus :pardon:

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Ambre Agorn Membre 2 169 messages
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Il y a 21 heures, Groenland a dit :

Je m’imagine une femme attrayante (en robe rouge !) que je pourrais rencontrer et discuter avec. Je me rends compte alors qu’une telle rencontre m’est très énigmatique dans le sens où j’aurai en face de moi une femme qui m’attire beaucoup et dont je voudrais savoir tout sur elle, je voudrais lui poser plein de questions… C’est une femme non-voilée qui « se dévoile » en face de moi en me permettant de l’aborder gentiment.

Maintenant je m’imagine la même femme mais cette fois elle porte un voile : Lorsque je la croise, même si je peux la trouver toujours charmante elle ne m’est plus aussi énigmatique. En effet son voile est un symbole qui a une signification particulière (par exemple qu’elle est une personne croyante, pratiquante etc. etc.). Cette femme voilée, introvertie et même semblant timide, elle ne m’est plus aussi énigmatique que lorsqu’elle était non-voilée.

Pour le dire plus brièvement, une jolie passante qui vous adresse un petit sourire en vous croisant ne vous est pas plus énigmatique que si elle passait simplement son chemin sans même vous regarder… ?

Le « dévoilement » apporte avec lui une part de « voilement », exactement comme la femme dévoilée qui nous est plus énigmatique que si elle était voilée. C’est ainsi que les anciens ont pu dire : « La nature aime à se cacher » ou encore « plus je sais plus je sais que je ne sais rien ».

Bon, puisque tout le monde a l'air d'accord, je vais nager à contre courant.

Pour paraître plus crédible, je vais me mettre dans ma peau et imaginer voir un homme torse nu...et un homme en doudoune!

Non, vraiment ça ne marche pas! Je ne suis pas curieuse plus si l'homme est dévoilé ou pas! Je ne m'intéresse pas aux apparences, même si je ne peux que réagir aux apparences. J'ai l'impression que vous avez là donné un aperçu du fantasme masculin. Ce sujet est encore plus insipide que celui que vous aviez ouvert sur l'aletheia, le dévoilement. Si ce que vous expliquez est correct, alors il n'y aurait plus de divorces, car, la femme (ou l'homme) que l'on connaît de mieux en mieux, que l'on dévoile au fil de la relation, serait alors un gage de pérennité, parce que dévoilement est excitant de mystère!... Ca sonne faux!

Bon, je n'ai sûrement pas compris ce que vous avez pu lire: je n'y ai pas accès, et je ne me base qua sur ce que vous en dites, et ça sonne faux.

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Invité Groenland
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il y a 10 minutes, Ambre Agorn a dit :

Bon, puisque tout le monde a l'air d'accord, je vais nager à contre courant.

Pour paraître plus crédible, je vais me mettre dans ma peau et imaginer voir un homme torse nu...et un homme en doudoune!

Non, vraiment ça ne marche pas! Je ne suis pas curieuse plus si l'homme est dévoilé ou pas! Je ne m'intéresse pas aux apparences, même si je ne peux que réagir aux apparences. J'ai l'impression que vous avez là donné un aperçu du fantasme masculin. Ce sujet est encore plus insipide que celui que vous aviez ouvert sur l'aletheia, le dévoilement. Si ce que vous expliquez est correct, alors il n'y aurait plus de divorces, car, la femme (ou l'homme) que l'on connaît de mieux en mieux, que l'on dévoile au fil de la relation, serait alors un gage de pérennité, parce que dévoilement est excitant de mystère!... Ca sonne faux!

Bon, je n'ai sûrement pas compris ce que vous avez pu lire: je n'y ai pas accès, et je ne me base qua sur ce que vous en dites, et ça sonne faux.

L'exemple que j'ai choisi dans le sujet était en effet un peu risqué car ça part un peu dans tous les sens. Mais concentrons nous sur celui-ci : une jeune femme qui en croisant dans la rue un homme, lui adresse un gentille sourire. Il y a là un dévoilement, le petit sourire de la jeune femme créer une ouverture laissant passer de la lumière du point du vue de l'homme. Mais cette ouverture (ce sourire) engendre toute une série de questionnement, de mystères et d'énigmes voir de l'obscur. On voit donc qu'ici le dévoilement apporte de l'obscurité avec lui.

Ton exemple concernant le couple et le divorce est intéressant mais je dirais philosophiquement que le couple au fur et à mesure du temps qui passe ne se dévoile pas, au contraire, le quotidien, la routine et l'inauthentique voile l'Être du couple. Heidegger le dit bien, ce qui nous est proche nous est également le plus voilé, alors que l'Être se dévoile dans ce qui nous est éloigné. Le problème du couple est un problème de proximité où justement l'étant voile ou couvre l'Être, d'où le divorce...

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Mite_Railleuse Membre 41 541 messages
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il y a 56 minutes, Groenland a dit :

L'exemple que j'ai choisi dans le sujet était en effet un peu risqué car ça part un peu dans tous les sens. Mais concentrons nous sur celui-ci : une jeune femme qui en croisant dans la rue un homme, lui adresse un gentille sourire. Il y a là un dévoilement, le petit sourire de la jeune femme créer une ouverture laissant passer de la lumière du point du vue de l'homme. Mais cette ouverture (ce sourire) engendre toute une série de questionnement, de mystères et d'énigmes voir de l'obscur. On voit donc qu'ici le dévoilement apporte de l'obscurité avec lui.

C'est l'interprétation que l'on fait de ce sourire, qui crée "l'énigme". Pas le sourire en lui-même.

Et la froideur ou l'indifférence supposée, peut interroger tout autant.

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il y a 8 minutes, Mite_Railleuse a dit :

C'est l'interprétation que l'on fait de ce sourire, qui crée "l'énigme". Pas le sourire en lui-même.

Et la froideur ou l'indifférente supposée, peut interroger tout autant.

Pas d'accord.

Le sourire est du domaine du langage. Il n'a de sens que dans un monde interprété par l'humain. Un sourire en tant que tel n'a aucune signification, il a besoin d'être interprété, les animaux ou les plantes ne sourient pas par exemple.

La froideur ou l'indifférence d'une passante qui vous croise dans la rue est plutôt la règle, c'est le quotidien, la routine bref le normal comme on a l'habitude de le dire. Notre société est basée sur la doctrine : "vivons cachés vivons bien"... tout le monde se cache pour être justement moins énigmatique et avoir moins de problèmes. 

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Membre, Grégairophobe..., Posté(e)
Mite_Railleuse Membre 41 541 messages
Grégairophobe...,
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il y a 2 minutes, Groenland a dit :

Le sourire est du domaine du langage. Il n'a de sens que dans un monde interprété par l'humain. Un sourire en tant que tel n'a aucune signification, il a besoin d'être interprété, les animaux ou les plantes ne sourient pas par exemple.

Oui, c'est que je dis...

il y a 3 minutes, Groenland a dit :

La froideur ou l'indifférence d'une passante qui vous croise dans la rue est plutôt la règle, c'est le quotidien, la routine bref le normal comme on a l'habitude de le dire. Notre société est basée sur la doctrine : "vivons cachés vivons bien"... tout le monde se cache pour être justement moins énigmatique et avoir moins de problèmes. 

Pourquoi l'apparente froideur ou indifférence ne serait-elle pas elle aussi, sujette à interprétation ?

 

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Membre, 35ans Posté(e)
Ambre Agorn Membre 2 169 messages
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il y a 4 minutes, Groenland a dit :

L'exemple que j'ai choisi dans le sujet était en effet un peu risqué car ça part un peu dans tous les sens. Mais concentrons nous sur celui-ci : une jeune femme qui en croisant dans la rue un homme, lui adresse un gentille sourire. Il y a là un dévoilement, le petit sourire de la jeune femme créer une ouverture laissant passer de la lumière du point du vue de l'homme. Mais cette ouverture (ce sourire) engendre toute une série de questionnement, de mystères et d'énigmes voir de l'obscur. On voit donc qu'ici le dévoilement apporte de l'obscurité avec lui.

Je vais te montrer une autre façon de voir les choses.

Quand il y a sourire, il y a un langage qui n'est pas accessible à notre intellect. Nous réagissons tout de même car c'est un langage qui est universel et qui nous "parle" sans mot et sans référence intellectuelle, mais souvent pour ne pas dire tout le temps, nous ne sommes même pas conscient de ce qui se passe réellement. Par contre, notre intellect, ne veut pas être mis de côté et calcule, interprète ce qui s'est passé en se faisant un film. En réalité tout s'est déjà passé, et la seconde réaction (l'analyse lente et interprétative de notre rationalité) est celle que tu vois parce que c'est celle à laquelle on fait le plus attention ordinairement.

Le sourire est un dévoilement si tu veux, mais il n'est pas là où tu penses. Toi, tu te cramponnes à la surface, au visuel, à l'évidence première, alors que le sourire invite à autre chose. Le dévoilement dont tu parles est superficiel. Pourquoi un sourire serait un dévoilement? Parce qu'en fait les "dévoilement" il y en a tout le temps, en tout moment, et à longueur de vie si je puis dire. Mais le pourquoi de ce dévoilement, le pourquoi du pouvoir du sourire? Le pourquoi c'est ce qui amène au "second niveau".

Mais peut-être que ton sujet était juste le fait de dire que lorsqu'on prend conscience d'une réponse, alors on prend conscience du même coup qu'elle nous était jusqu'à présent cachée.

il y a 4 minutes, Groenland a dit :

Ton exemple concernant le couple et le divorce est intéressant mais je dirais philosophiquement que le couple au fur et à mesure du temps qui passe ne se dévoile pas, au contraire, le quotidien, la routine et l'inauthentique voile l'Être du couple. Heidegger le dit bien, ce qui nous est proche nous est également le plus voilé, alors que l'Être se dévoile dans ce qui nous est éloigné. Le problème du couple est un problème de proximité où justement l'étant voile ou couvre l'Être, d'où le divorce...

Ce n'est pas tellement le problème de dévoilement ou d'"en-voilement", c'est parce que la vie en commun nous donne accès à tout un tas de codes que nous connaissons mais qui ne sont pas interprétés correctement par notre conscient. Le "moi" veut avoir sa version à lui de ce qui se passe, celle où il tient le beau rôle. Plus on est proche d'une personne plus on lui superpose des interprétations qui faussent la réalité de l'autre et devient notre réalité. Heidegger s'est sans doute mal exprimé (ou tu transmets mal) parce que je dirai ça autrement: ce qui nous est proche nous  apparaît comme le plus voilé, parce qu c'est aussi ce qui se dévoile le plus, alors on prend conscience de tout ce qui était caché et ce qui reste encore caché. C'est l'endurance alors qui va faire défaut dans un couple: on se contente d'un stade qui nous est confortable et où la remise en question est mal venue. Un stade où nous ne voyons plus clair entre ce qui est et la réalité que notre "moi" s'est créé.

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il y a 14 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Oui, c'est que je dis...

Pourquoi l'apparente froideur ou indifférence ne serait-elle pas elle aussi, sujette à interprétation ?

 

Parce que l'indifférence ou la froideur (d'un passant) sont la règle dans la société c'est le quotidien le normal quoi !

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Membre, Grégairophobe..., Posté(e)
Mite_Railleuse Membre 41 541 messages
Grégairophobe...,
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il y a 11 minutes, Groenland a dit :

Parce que l'indifférence ou la froideur (d'un passant) sont la règle dans la société c'est le quotidien le normal quoi !

Balade-toi le sourire aux lèvres et tu changeras peut-être d'avis...

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Membre, 35ans Posté(e)
Ambre Agorn Membre 2 169 messages
Mentor‚ 35ans‚
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il y a 27 minutes, Groenland a dit :

Pas d'accord.

Le sourire est du domaine du langage. Il n'a de sens que dans un monde interprété par l'humain. Un sourire en tant que tel n'a aucune signification, il a besoin d'être interprété, les animaux ou les plantes ne sourient pas par exemple.

Ne parle pas de ce que tu ne connais pas: les animaux sourient, renseigne-toi.

Le sourire est un signe universel et fait partie des signes dont tout le monde connaît la signification parce que ça ne passe pas par le conscient, c'est traité au niveau de l'inconscient. C'est l'interprétation qu'on en fait qui n'est pas universelle et qui te fait dire qu'il n'a de sens que pour l'humain. Le sourire a une géométrie qui est appliquée partout autour de nous et même dans le monde animal. On réagit à un sourire non pas parce que ça invite à la découverte d'une gonzesse, mais parce que nous avons réagit au signal, exactement comme on réagirait à un signe de menace.

C'est justement parce qu'il est interprété qu'il est plié à notre bon vouloir ou mauvais vouloir et que nous agissons comme si c'était la magie de notre interprétation qui rendait ce sourire tout à fait humain

il y a 27 minutes, Groenland a dit :

La froideur ou l'indifférence d'une passante qui vous croise dans la rue est plutôt la règle, c'est le quotidien, la routine bref le normal comme on a l'habitude de le dire. Notre société est basée sur la doctrine : "vivons cachés vivons bien"... tout le monde se cache pour être justement moins énigmatique et avoir moins de problèmes. 

On ne voit que ce qu'on veut voir. Je n'ai jamais rencontré quelqu'un d'indifférent ou de froid. Et toi, tu veux te persuader que ce que tu dis est vrai et tu cherches notre approbation pour installer ta réalité.

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Invités, Posté(e)
Invité Groenland
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il y a 14 minutes, Ambre Agorn a dit :

Je vais te montrer une autre façon de voir les choses.

Quand il y a sourire, il y a un langage qui n'est pas accessible à notre intellect. Nous réagissons tout de même car c'est un langage qui est universel et qui nous "parle" sans mot et sans référence intellectuelle, mais souvent pour ne pas dire tout le temps, nous ne sommes même pas conscient de ce qui se passe réellement. Par contre, notre intellect, ne veut pas être mis de côté et calcule, interprète ce qui s'est passé en se faisant un film. En réalité tout s'est déjà passé, et la seconde réaction (l'analyse lente et interprétative de notre rationalité) est celle que tu vois parce que c'est celle à laquelle on fait le plus attention ordinairement.

Le sourire est un dévoilement si tu veux, mais il n'est pas là où tu penses. Toi, tu te cramponnes à la surface, au visuel, à l'évidence première, alors que le sourire invite à autre chose. Le dévoilement dont tu parles est superficiel. Pourquoi un sourire serait un dévoilement? Parce qu'en fait les "dévoilement" il y en a tout le temps, en tout moment, et à longueur de vie si je puis dire. Mais le pourquoi de ce dévoilement, le pourquoi du pouvoir du sourire? Le pourquoi c'est ce qui amène au "second niveau".

Mais peut-être que ton sujet était juste le fait de dire que lorsqu'on prend conscience d'une réponse, alors on prend conscience du même coup qu'elle nous était jusqu'à présent cachée.

C'est une manière bien cartésienne que de voir les choses comme tu les vois. Effectivement tu te bornes à séparer en l'homme ce qui est du domaine des sentiments (langage) et ce qui est du domaine de l'intellect. Mais je te rappelle que le dévoilement (alètheia) est un thème présocratique et il faut donc l'attaquer avec la vision que les présocratiques en avaient. C'est d'ailleurs pour cela que ça te parait un peu superficiel ou archaïque mais ça ne l'est pas en réalité.

Pour comprendre l'alètheia il faut accepter de voir l'homme comme "Dasein" c'est à dire l'être-là, l'ouverture sur le monde. Le Dasein est un ensemble indivisible et non séparé en partie sensible et partie intelligente. En considérant que l'homme est une ouverture sur le monde, effectivement nous arrivons à dire que pour lui tout est dévoilement. C'est comme si l'homme regardait par une petite fenêtre son monde environnant, depuis cette fenêtre le monde lui est dévoilé donc oui tout est dévoilement. Mais il y a une nuance dans l'alètheia et c'est qu'on parle ici de l'Être , il s'agit du dévoilement de l'Être.

Ce qui fait que j'arrive moi-même à la conclusion que le sourire de la jeune femme a un lien avec l'Être . Car ce sourire est "dévoilement", il dévoile l'être de la jeune femme. Cela commence aller dans le sens du poétique mais justement ce n'est pas anodin de dire que cela devient poétique... Car le langage poétique est le seul qui est capable de dévoiler l'Être comme le dit Heidegger d'ailleurs.

il y a 34 minutes, Ambre Agorn a dit :

Ce n'est pas tellement le problème de dévoilement ou d'"en-voilement", c'est parce que la vie en commun nous donne accès à tout un tas de codes que nous connaissons mais qui ne sont pas interprétés correctement par notre conscient. Le "moi" veut avoir sa version à lui de ce qui se passe, celle où il tient le beau rôle. Plus on est proche d'une personne plus on lui superpose des interprétations qui faussent la réalité de l'autre et devient notre réalité. Heidegger s'est sans doute mal exprimé (ou tu transmets mal) parce que je dirai ça autrement: ce qui nous est proche nous  apparaît comme le plus voilé, parce qu c'est aussi ce qui se dévoile le plus, alors on prend conscience de tout ce qui était caché et ce qui reste encore caché. C'est l'endurance alors qui va faire défaut dans un couple: on se contente d'un stade qui nous est confortable et où la remise en question est mal venue. Un stade où nous ne voyons plus clair entre ce qui est et la réalité que notre "moi" s'est créé.

D'où la nécessité d'un "retrait" pour mieux voir : Le retrait de l'ombre de l'étant, l'ombre qui voile l'Être. Parlant du "moi" qui se crée, ça me fait penser à ce que dit Heidegger sur l'angoisse, dans l'état d'angoisse notre moi devient conscient de lui-même ce qui fait que dans l'angoisse notre monde nous est dévoilé, nous sommes alors dans ce stade ou nous voyons plus clair (la réalité).

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Membre, 153ans Posté(e)
Annalevine Membre 3 528 messages
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il y a 57 minutes, Groenland a dit :

 

Pour comprendre l'alètheia il faut accepter de voir l'homme comme "Dasein" c'est à dire l'être-là, l'ouverture sur le monde. Le Dasein est un ensemble indivisible et non séparé en partie sensible et partie intelligente. En considérant que l'homme est une ouverture sur le monde, effectivement nous arrivons à dire que pour lui tout est dévoilement. C'est comme si l'homme regardait par une petite fenêtre son monde environnant, depuis cette fenêtre le monde lui est dévoilé donc oui tout est dévoilement. Mais il y a une nuance dans l'alètheia et c'est qu'on parle ici de l'Être , il s'agit du dévoilement de l'Être.

Ce qui fait que j'arrive moi-même à la conclusion que le sourire de la jeune femme a un lien avec l'Être . Car ce sourire est "dévoilement", il dévoile l'être de la jeune femme. Cela commence aller dans le sens du poétique mais justement ce n'est pas anodin de dire que cela devient poétique... Car le langage poétique est le seul qui est capable de dévoiler l'Être comme le dit Heidegger d'ailleurs.

D'où la nécessité d'un "retrait" pour mieux voir : Le retrait de l'ombre de l'étant, l'ombre qui voile l'Être. Parlant du "moi" qui se crée, ça me fait penser à ce que dit Heidegger sur l'angoisse, dans l'état d'angoisse notre moi devient conscient de lui-même ce qui fait que dans l'angoisse notre monde nous est dévoilé, nous sommes alors dans ce stade ou nous voyons plus clair (la réalité).

Je me demande pourquoi vous vous sentez obligé d’aller chercher Heidegger pour étayer votre philosophie. 
Vous avez votre philosophie, pourquoi pas, mais laisser entendre que votre philosophie est étayée par celle de Heidegger dévoile pour le coup votre manque d’assurance. 
Car vous prêtez à Heidegger une philosophie qui n’est pas la sienne. Peut être que Heidegger produit sur vous une émotion puissante, il vous virilise ? Soyez viril sans le secours de Heidegger, affirmez vous. 

Vous faites de nombreux contresens. Dans l’angoisse notre monde ne nous est pas dévoilé, ce que dévoile  l’angoisse c’est le néant. 
« Le néant se dévoile dans l’angoisse » page 51, qu’est ce que la métaphysique ? Éditeur Nathan. Mais ce dévoilement n’est pas ce que vous croyez. Ce n’est pas un voile qui se retire et qui permet de voir, le dévoilement, le dévoilement est la révélation d’une existence, dont je ne sais toujours rien, que je ne peux toujours pas voir, au sens de votre voir, mais dont je sais l’existence par son action. L’action du néant, c’est le fameux néantir. Le néantir est une action dont l’effet est de faire glisser le monde, de le faire disparaître non en l’anéantissant mais en l’expulsant. C’est cette expulsion du monde dans son ensemble qui angoisse, et cette expulsion est une action dont Heidegger infére ou induit que l’agent de l’action peut être nommé : néant. 

Tenez, je rajoute cette vidéo. Vous faites une erreur. Votre dévoilement est celui de l’étant, c’est à dire de quelque chose ou de quelqu’un. L’aletheia c’es tout autre chose. Ferry l’explique bien.

 

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Membre, 35ans Posté(e)
Ambre Agorn Membre 2 169 messages
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il y a une heure, Groenland a dit :

C'est une manière bien cartésienne que de voir les choses comme tu les vois. Effectivement tu te bornes à séparer en l'homme ce qui est du domaine des sentiments (langage) et ce qui est du domaine de l'intellect. Mais je te rappelle que le dévoilement (alètheia) est un thème présocratique et il faut donc l'attaquer avec la vision que les présocratiques en avaient. C'est d'ailleurs pour cela que ça te parait un peu superficiel ou archaïque mais ça ne l'est pas en réalité.

Pour comprendre l'alètheia il faut accepter de voir l'homme comme "Dasein" c'est à dire l'être-là, l'ouverture sur le monde. Le Dasein est un ensemble indivisible et non séparé en partie sensible et partie intelligente. En considérant que l'homme est une ouverture sur le monde, effectivement nous arrivons à dire que pour lui tout est dévoilement. C'est comme si l'homme regardait par une petite fenêtre son monde environnant, depuis cette fenêtre le monde lui est dévoilé donc oui tout est dévoilement. Mais il y a une nuance dans l'alètheia et c'est qu'on parle ici de l'Être , il s'agit du dévoilement de l'Être.

Ce qui fait que j'arrive moi-même à la conclusion que le sourire de la jeune femme a un lien avec l'Être . Car ce sourire est "dévoilement", il dévoile l'être de la jeune femme. Cela commence aller dans le sens du poétique mais justement ce n'est pas anodin de dire que cela devient poétique... Car le langage poétique est le seul qui est capable de dévoiler l'Être comme le dit Heidegger d'ailleurs.

D'où la nécessité d'un "retrait" pour mieux voir : Le retrait de l'ombre de l'étant, l'ombre qui voile l'Être. Parlant du "moi" qui se crée, ça me fait penser à ce que dit Heidegger sur l'angoisse, dans l'état d'angoisse notre moi devient conscient de lui-même ce qui fait que dans l'angoisse notre monde nous est dévoilé, nous sommes alors dans ce stade ou nous voyons plus clair (la réalité).

Vous pouvez dire ce que vous voulez. Que je suis cartésienne et que je ne comprends pas ou autre. Je conçois très bien mon ignorance: je ne sais rien de Descartes ou du dassein ou de Heidegger ou de l'alètheia ou encore de l'être. La seule chose que je vous dis, c'est ce que votre discours me fait paraître: et votre discourt sonne faux pour moi. Alors soit vous n'avez pas compris et je ne comprends donc pas, soit vous vous exprimez mal et je ne peux pas comprendre.

Faites-vous ce sujet pour mettre à l'épreuve ce que vous avancez? Si ça ne tient pas devant moi qui suis non initiée en savoirs livresques, est-ce que ça voudrait pas dire qu'il y a comme une erreur quelque part, qu'elle soit de ma part ou de la vôtre ou juste de ce qui est avancé? Si ce que vous dites n'a de résonance que pour ceux qui pensent comme vous...alors vous recruter pour votre paroisse, et vous vous êtes loupé sur mon recrutement.

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Membre, 35ans Posté(e)
Ambre Agorn Membre 2 169 messages
Mentor‚ 35ans‚
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il y a 43 minutes, Annalevine a dit :

Je me demande pourquoi vous vous sentez obligé d’aller chercher Heidegger pour étayer votre philosophie. 
Vous avez votre philosophie, pourquoi pas, mais laisser entendre que votre philosophie est étayée par celle de Heidegger dévoile pour le coup votre manque d’assurance. 
Car vous prêtez à Heidegger une philosophie qui n’est pas la sienne. Peut être que Heidegger produit sur vous une émotion puissante, il vous virilise ? Soyez viril sans le secours de Heidegger, affirmez vous. 

Vous faites de nombreux contresens. Dans l’angoisse notre monde ne nous est pas dévoilé, ce que dévoile  l’angoisse c’est le néant. 
« Le néant se dévoile dans l’angoisse » page 51, qu’est ce que la métaphysique ? Éditeur Nathan. Mais ce dévoilement n’est pas ce que vous croyez. Ce n’est pas un voile qui se retire et qui permet de voir, le dévoilement, le dévoilement est la révélation d’une existence, dont je ne sais toujours rien, que je ne peux toujours pas voir, au sens de votre voir, mais dont je sais l’existence par son action. L’action du néant, c’est le fameux néantir. Le néantir est une action dont l’effet est de faire glisser le monde, de le faire disparaître non en l’anéantissant mais en l’expulsant. C’est cette expulsion du monde dans son ensemble qui angoisse, et cette expulsion est une action dont Heidegger infére ou induit que l’agent de l’action peut être nommé : néant. 

Tenez, je rajoute cette vidéo. Vous faites une erreur. Votre dévoilement est celui de l’étant, c’est à dire de quelque chose ou de quelqu’un. L’aletheia c’es tout autre chose. Ferry l’explique bien.

Visiblement c'est un sujet qui me dépasse, bien que la vidéo m'ait aidé à comprendre ce qui est abordé.

J'avoue que j'ai cherché dans le concret ce qui pourrait me mettre sur la voie, et l'exemple concret de @Groenland m'a paru absurde. Je n'ai sans doute pas l'expérience de ce qui est discuté ici. Et apparemment je ne trouverai pas non plus les réponses que j'y cherchais. Je voulais juste comprendre, mais je n'ai sans doute pas les codes!!!

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Membre, 153ans Posté(e)
Annalevine Membre 3 528 messages
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il y a une heure, Ambre Agorn a dit :

Visiblement c'est un sujet qui me dépasse, bien que la vidéo m'ait aidé à comprendre ce qui est abordé.

J'avoue que j'ai cherché dans le concret ce qui pourrait me mettre sur la voie, et l'exemple concret de @Groenland m'a paru absurde. Je n'ai sans doute pas l'expérience de ce qui est discuté ici. Et apparemment je ne trouverai pas non plus les réponses que j'y cherchais. Je voulais juste comprendre, mais je n'ai sans doute pas les codes!!!

Je n’aime pas quand vous dites : je n’ai pas les codes. Cela met en exergue mon incapacité à vous « enseigner » enseigner dans le sens : transmettre une méthode de penser. Mon échec met en lumière un savoir faire encore imparfait dans l’art d’enseigner.

Luc Ferry est un pédagogue avéré. Mine de rien il démystifie les mots tels que « ontique » et « ontologique ».

Si vous écoutez bien Ferry vous voyez alors que l’ontique est relatif à l’étant. Les étants ce sont les choses. L’arbre, la montagne, le vent, vous, moi...en tant que « choses » qui sont là. Le caillou, la voiture, l’oiseau...les « choses » en tant qu’elles sont là, révélées à vous, par vos sens. Ce sont les étants. Les étants ne sont pas différenciés par leurs qualités. Vous, moi, l’arbre sont des étants en tant qu’ils sont là, qu’ils existent. Ensuite nous pouvons entrer dans les qualités des »choses » des étants. Vous,  femme ( enfin je le suppose, car parfois je me demande si ce n’est pas un homme qui me répond 😜), le caillou, une pierre dure de telle composition, etc. Donc les étants sont des étants en tant qu’ils existent, avant même de commencer à comprendre ce qu’ils sont. L’ontique c’est l’étude des étants en tant qu’ils existent.

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Membre, 35ans Posté(e)
Ambre Agorn Membre 2 169 messages
Mentor‚ 35ans‚
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il y a 15 minutes, Annalevine a dit :

Je n’aime pas quand vous dites : je n’ai pas les codes. Cela met en exergue mon incapacité à vous « enseigner » enseigner dans le sens : transmettre une méthode de penser. Mon échec met en lumière un savoir faire encore imparfait dans l’art d’enseigner.

Luc Ferry est un pédagogue avéré. Mine de rien il démystifie les mots tels que « ontique » et « ontologique ».

Si vous écoutez bien Ferry vous voyez alors que l’ontique est relatif à l’étant. Les étants ce sont les choses. L’arbre, la montagne, le vent, vous, moi...en tant que « choses » qui sont là. Le caillou, la voiture, l’oiseau...les « choses » en tant qu’elles sont là, révélées à vous, par vos sens. Ce sont les étants. Les étants ne sont pas différenciés par leurs qualités. Vous, moi, l’arbre sont des étants en tant qu’ils sont là, qu’ils existent. Ensuite nous pouvons entrer dans les qualités des »choses » des étants. Vous,  femme ( enfin je le suppose, car parfois je me demande si ce n’est pas un homme qui me répond 😜), le caillou, une pierre dure de telle composition, etc. Donc les étants sont des étants en tant qu’ils existent, avant même de commencer à comprendre ce qu’ils sont. L’ontique c’est l’étude des étants en tant qu’ils existent.

Ben voilà! C'est tout de suite plus clair! C'est vrai en plus: vous à mettez des mots sur ce qui n'était qu'ébauché dans mon esprit. Je n'ai aucune notion, alors je pars de loin! J'aime bien l'image d'avoir ou non les codes, et je trouve que c'est ce qui manque dans l'enseignement en général, c'est l'élève qui doit s'adapter à un cursus, à une machine enseignante, alors que je trouverai plus logique que celui qui sait devrait s'adapter et trouver les codes de compréhension de l'élève. Cela dit, je parlais des codes de Groenland, et non pas vos codes: je ne comprenais pas ce que lui voulait dire; peut-être faudrait-il que je relise depuis le début pour voir si je comprends mieux avec ce que vous m'expliquez!

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Annalevine Membre 3 528 messages
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il y a 23 minutes, Ambre Agorn a dit :

Ben voilà! C'est tout de suite plus clair! C'est vrai en plus: vous à mettez des mots sur ce qui n'était qu'ébauché dans mon esprit. Je n'ai aucune notion, alors je pars de loin! J'aime bien l'image d'avoir ou non les codes, et je trouve que c'est ce qui manque dans l'enseignement en général, c'est l'élève qui doit s'adapter à un cursus, à une machine enseignante, alors que je trouverai plus logique que celui qui sait devrait s'adapter et trouver les codes de compréhension de l'élève. Cela dit, je parlais des codes de Groenland, et non pas vos codes: je ne comprenais pas ce que lui voulait dire; peut-être faudrait-il que je relise depuis le début pour voir si je comprends mieux avec ce que vous m'expliquez!

Je me demande combien vous êtes à utiliser le même pseudo. Toute la communauté défile ?C’est intéressant pour moi de constater combien un enseignant, dans la réalité,  s’adapte à la personnalité de l’autre. Comme vous êtes plusieurs à répondre, parfois un homme, parfois une femme, je ne parviens pas à stabiliser ma pensée face à vous. C’est assez déroutant d’avoir affaire à des personnalités différentes sous un même nom. Faites attention au style. Il est unique. C’est pour cela que je détecte votre multiplicité.

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@Annalevine

Il n'y a pas de contresens dans ce que je dis. Je pars de l'hypothèse que le sourire d'une jeune femme à un passant est dévoilement c'est-à-dire alètheia. Et effectivement comme c'est très bien dit dans la vidéo de Luc Ferry, il s'agit là d'une "venue en présence", le sourire de la jeune femme est quelque chose qui arrive, qui vient comme une éclaircie de point de vue de l'homme à qui ce sourire est adressé. Par conséquent il y a bien dévoilement. Maintenant on a dit que le dévoilement est dévoilement de l'Être, mais est-ce que ce sourire est vraiment l'être de la jeune femme ? Et bien oui ! Vous savez que Heidegger a défini l'être de l'homme (de l'humain) comme étant le "souci", le souci dans le sens avoir des projets mais aussi dans le sens prendre soin de quelque chose. Or le sourire de la jeune femme à un passant peut très bien être considéré comme un "projet" ou de manière plus imminente comme le "souci de plaire".

@Ambre Agorn

Je vous croyais plus philosophe dans l'âme... mais ne vous en faites pas, si vous avez été à l'école en France c'est normal de penser comme vous le faîtes... c'est à dire en cartésien ! 

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Ambre Agorn Membre 2 169 messages
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Il y a 4 heures, Annalevine a dit :

Je me demande combien vous êtes à utiliser le même pseudo. Toute la communauté défile ?C’est intéressant pour moi de constater combien un enseignant, dans la réalité,  s’adapte à la personnalité de l’autre. Comme vous êtes plusieurs à répondre, parfois un homme, parfois une femme, je ne parviens pas à stabiliser ma pensée face à vous. C’est assez déroutant d’avoir affaire à des personnalités différentes sous un même nom. Faites attention au style. Il est unique. C’est pour cela que je détecte votre multiplicité.

Ha! Ha! Ha! Vous en revenez toujours au même: parfois un homme, parfois une femme. C'est votre parole contre la mienne, et la vôtre aura forcément plus de poids à vos yeux, alors, que vaut ma parole si je vous dis que je suis seule face à mon ordinateur à me torturer? Rien sans doute à vos yeux. Qu'importe, j'affirme que je suis seule à écrire sous ce pseudo. Cela dit, je suis contente, parce que si vous croyez ça, vous, c'est que je suis sur le bon chemin de la rationalité...le tout pour moi serait de repérer les endroits que vous sentez comme étant plus masculin! Ici, j'apprends et j'ai la capacité d'apprendre de chacun...je le fais plus ou moins bien, mais j'aime ce qui marque et qui est simple, là, maintenant. Et oui, je suis une femme et donc instable, et parfois j'envoie tout bouler, parfois je sors d'une confrontation avec mon homme, et là je suis plutôt tranchante et intransigeante, parfois je suis toute fleur bleue et j'ai toujours envie de croire que les autres sont mieux que ce qu'ils ne sont.

J'ai remarqué quand même, que, lorsque vous me "reprochez" d'être tantôt féminine, tantôt masculine, c'est lorsque je me confronte à plusieurs sujets à la fois et que la rage me tient en éveil. En ce moment j'écris sur plusieurs sujets et je suis confrontée à un tas de mâles plus ou moins en rut, et parfois j'utilise leur style pour mieux être protégée lors des attaques ou des joutes, ou utiliser des mots et tournures qui "marchent" ici (jolie, marquante ou simples). Je ne suis pas du tout froide, et suis incapable d'être indifférente, je suis aussi influençable. Le savoir me permet d'avoir un peu de recul...mais toujours trop tard, j'ai l'impression de ramer à mord!

Bon, trêve de bavardage et de hors sujet, vous ne changerez sans doute pas d'avis quoi que je dise et je m'en moque...non, c'est pas vrai, ça me perturbe et c'est même pas logique ou possible.

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