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Par précepte du positif et selon précepte de l'indolore


Boutetractyxreqs

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Boutetractyxreqs Membre 5 959 messages
Baby Forumeur‚
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Par précepte du positif selon précepte de l'indolore

    L'existence avec ou sans début et fin, avec limite ou sans limite soit l'illimité, car début et fin s'obligent.

    L'existence de chaque existence est sans début ni fin, de par l'existence de la capacité de ce qui est grand.

    L'existence sans début ni fin, avec ce qui est grand, estime son existence avec perception de l'existence et est donc d’existence capable.

    L'existence de chaque existence est susceptible d'exister avec l'existence sans début ni fin, et de ce qui est grand et est capable de se créer elle même agissant selon par l'évidence qu'elle soit avec ou sans le choix donc l'existence avec ou sans volonté.

    Le mal c'est la douleur. Le bien c'est l'inexistence de la douleur.

    Par l'existence capable de l'existence sans début ni fin, avec ce qui est grand, l'existence est à être le bien.

    Il n'y a plus de fin au delà de la fin de l'existence, sans fin, l'infini, et l'illimité sans limite car aussi au delà du début de l'existence il n'y a plus de début, alors au delà de l'existence est l'inexistence.

    L'inexistence, aussi, donc de la douleur. La douleur opposable à sa propre inexistence car l'inexistence c'est avant tout l'inexistence de la douleur puisque l'inexistence de l'indolore c'est l'existence de la douleur et que l'indolore c'est l'inexistence de la douleur alors l'inexistence c'est l'inexistence donc de la douleur.

    L'inexistence qui est, involontaire car l'existence au delà du début et de la fin est l'inexistence donc de la volonté, l'inexistence qui est aussi involontaire que l'existence qui provient de sa propre inexistence passant d'inexistence à existence involontairement et qui alors se crée alors elle-même son existence.

    L'existence a un début comme une fin, alors chaque existence n'existait pas avant d'exister pour vouloir exister, l'existence est involontaire.

    Alors chaque existence n'a pas le choix. Comme par exemple lorsque chaque existence fait le choix de la douleur c'est que chaque existence n'avait pas le choix de l'indolore pour faire le choix de l'indolore. Et même lorsque chaque existence a le choix de l'indolore pour faire le choix de l'indolore c'est que chaque existence n'a pas le choix de la douleur pour faire le choix de la douleur.

    Et cela est agir par évidence. C'est à dire que la conséquence des actes est causée par ce qui perçu.

    La perception de la douleur cause l'acte à conséquence douloureuse et la perception de l'indolore cause l'acte à conséquence indolore.

    L'indolore est estimé indolore, la douleur est estimée  douloureuse.

    Est opposé douleur et indolore.

    Selon ce précepte l'indolore est à être perçu causant l'acte à conséquence indolore à être perçue.

    Chaque existence de l'existence sans douleur et avec indolore, de par l'existence de la capacité de ce qui est grand avec l'indolore et sans douleur qui alors rapetisse l'existence de la douleur.

    L'existence de la fin sans douleur et avec indolore et car sans fin avec douleur et sans indolore soit infini sans douleur et avec indolore. Et l'existence de la fin avec douleur et sans indolore car sans fin sans douleur et avec indolore soit infinie sans indolore et avec douleur.

    L'indolore est estimé positif et la douleur est estimée négative.

    Infinie sans douleur et avec indolore et infinie sans indolore et avec douleur s'opposent de positif et de négatif.

    L'existence de l'assemblage, du négatif et du positif assemblés, est d'une inexistence donc de la douleur qui est indolore car l'inexistence de la douleur c'est l'existence de l'indolore.

    L'existence de l'infini de ce qui est grand sans douleur avec l'indolore et est estimé positif à être perçu, par ce précepte, causant l'acte à conséquence positive à être perçue par l'existence de chaque existence.

    L'indolore est à être perçu causant l'acte à conséquence indolore à être perçue.

    Est opposé douleur et indolore qui sont perceptibles parce que chaque existence perçoit. Et chaque existence perçoit car chaque existence agit par évidence. chaque existence agit par évidence car chaque existence n'a pas le choix. Puisque l'existence est involontaire, puisque chaque existence n'existait pas avant d'exister. Car l'existence a un début comme une fin.

    L'existence, avec un début comme une fin, pleine de sagesse et d'évidence.

    Chaque existence est indépendante des autres puisque chaque existence provient de sa propre inexistence et chaque existence interagit avec son existence, d'autres que la sienne, seule réelle dépendance entre existences, avec douleur et sans indolore ou sans douleur et avec indolore qui son existence est tout aussi indépendante car son existence provient de sa propre inexistence.

    Chaque existence provient de sa propre inexistence involontairement. Chaque existence se crée elle même involontairement. Alors chaque existence a son assemblage involontaire interactif de différentes existences.

    Chaque existence ne créé que la sienne puisque chaque existence provient de sa propre inexistence, et chaque existence interagit, avec douleur et sans indolore ou sans douleur et avec indolore, avec l'assemblage involontaire interactif des différentes existences de son existence, d'autres que la sienne.

    Chaque existence s'est créée elle même et est susceptible de se percevoir, d'en percevoir d'autres, pour percevoir l'indolore mais la douleur aussi s'est créé elle même et est susceptible de se percevoir causant l'acte à conséquence douloureuse.

    Alors la douleur est à ne pas se percevoir et l'indolore est à être perçu causant l’acte à conséquence indolore à être perçue.

 

 

 

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Membre, 51ans Posté(e)
épixès Membre 1 815 messages
Forumeur alchimiste ‚ 51ans‚
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J'ai cherché en vain une phrase compréhensible, c'est un sujet parfait pour la rubrique philosophie.

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Membre, Posté(e)
Boutetractyxreqs Membre 5 959 messages
Baby Forumeur‚
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Il y a 1 heure, épixès a dit :

J'ai cherché en vain une phrase compréhensible, c'est un sujet parfait pour la rubrique philosophie.

Le sujet aborde la création comme raison de l'existence, la rubrique religion me paraissait plus appropriée pour éviter le hors sujet.

 

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Membre, Talon 1, 79ans Posté(e)
Talon 1 Membre 24 135 messages
79ans‚ Talon 1,
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Il y a 10 heures, Boutetractyxreqs a dit :

Le sujet aborde la création comme raison de l'existence, la rubrique religion me paraissait plus appropriée pour éviter le hors sujet.

 

Tiens, là j'ai compris le langage boutetractsoin tsoin.

"A ceux qui font des lectures et des discussions d'apparat.

Écoute ce que dit Socrate : « Il ne conviendrait pas à mon âge, hommes, de venir à vous comme un jeune homme qui fabrique des discours. » Comme un jeune homme dit-il. Car c'est en réalité un petit art fort élégant de choisir des petits mots, de les arranger, de venir les lire gracieusement et d'ajouter, pendant la lecture : « sur votre vie, il en est peu qui puissent comprendre ces choses-là. »

Le style épidictique est le style propre aux discours d'apparat ; le ressort en est l'éloge ou le blâme, et non la persuasion.

La persuasion est du style protreptique.

La réfutation est du style réfutatif.

L'enseignement est du style didactique."

Epictète

 

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Boutetractyxreqs Membre 5 959 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Il y a 8 heures, Talon 1 a dit :

Tiens, là j'ai compris le langage boutetractsoin tsoin.

"A ceux qui font des lectures et des discussions d'apparat.

Écoute ce que dit Socrate : « Il ne conviendrait pas à mon âge, hommes, de venir à vous comme un jeune homme qui fabrique des discours. » Comme un jeune homme dit-il. Car c'est en réalité un petit art fort élégant de choisir des petits mots, de les arranger, de venir les lire gracieusement et d'ajouter, pendant la lecture : « sur votre vie, il en est peu qui puissent comprendre ces choses-là. »

Le style épidictique est le style propre aux discours d'apparat ; le ressort en est l'éloge ou le blâme, et non la persuasion.

La persuasion est du style protreptique.

La réfutation est du style réfutatif.

L'enseignement est du style didactique."

Epictète

 

Certainement tous sont applicables dans le cas du discours du sujet.

Epidictique ; l'éloge de l'indolore ou le blame de la douleur et non la persuasion avec la douleur si ce n'est le mot douleur, douloureux, douloureuse ... qui sont indolores car ils servent à définir sans douleur ce qui est douloureux soit la douleur, douloureuse.

Protreptique ; persuasion sans douleur à être indolore mais le discours dans le cas de la persuasion à être indolore, n'est que la propre persuasion de soi, par le discours "proposé" sans douleur et non imposé par la douleur ou plutot plus imposé par l'indolore et à moins d'être un peu pervers soit sado-maso, la persuasion est rapide car la valeur indolore est une valeur forte.

Réfutatif ; Est réfutée toute estimation affirmant que la douleur est estimée indolore ou l'indolore estimé douloureux car selon le contexte du discours ses estimations sont que la douleur est estimé douloureuse et l'indolore indolore. Et est réfutée l'affirmation contraire de l'opposition qui découle de ces estimations, donc dans le contexte du discours, soit que l'opposition est celle de la douleur et de l'indolore. Et alors, et cela ne peut que rendre heureux, sauf en cas de perversion, que c'est l'indolore qui est à être perçu causant exclusivement la conséquence des actes qui lui est relative soit l'indolore.

Didactique ; certainement tout discours est didactique car un enseignement peut en être extirpé ou plutot une expérience.

 

 

 

 

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  • 2 semaines après...
Membre, Posté(e)
Boutetractyxreqs Membre 5 959 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

 

Par précepte du positif selon précepte de l'indolore

    L'existence avec ou sans début et fin, avec limite ou sans limite soit l'illimité, car début et fin s'obligent.

    L'existence de chaque existence est sans début ni fin, de par l'existence de la capacité de ce qui est grand.

    L'existence sans début ni fin, avec ce qui est grand, estime son existence avec perception de l'existence et est donc d’existence capable.

    L'existence de chaque existence est susceptible d'exister avec l'existence sans début ni fin, et de ce qui est grand et est capable et se créée elle même agissant selon par l'évidence qu'elle soit avec ou sans le choix donc l'existence avec ou sans volonté.

    Le mal c'est la douleur. Le bien c'est l'inexistence de la douleur.

    Par l'existence capable de l'existence sans début ni fin, avec ce qui est grand, l'existence est à être le bien.

    Il n'y a plus de fin au delà de la fin de l'existence, sans fin, l'infini, et l'illimité sans limite car aussi au delà du début de l'existence il n'y a plus de début, alors au delà de l'existence est l'inexistence.

    L'inexistence, aussi, donc de la douleur. La douleur opposable à sa propre inexistence car l'inexistence c'est avant tout l'inexistence de la douleur puisque l'inexistence de l'indolore c'est l'existence de la douleur et que l'indolore c'est l'inexistence de la douleur alors l'inexistence c'est l'inexistence donc de la douleur.

    L'inexistence qui est, involontaire car l'existence au delà du début et de la fin est l'inexistence donc de la volonté, l'inexistence qui est aussi involontaire que l'existence qui provient de sa propre inexistence passant d'inexistence à existence involontairement et qui alors se crée alors elle-même son existence.

    L'existence a un début comme une fin, alors chaque existence n'existait pas avant d'exister pour vouloir exister, l'existence est involontaire.

    Alors chaque existence n'a pas le choix. Comme par exemple lorsque chaque existence fait le choix de la douleur c'est que chaque existence n'avait pas le choix de l'indolore pour faire le choix de l'indolore. Et même lorsque chaque existence a le choix de l'indolore pour faire le choix de l'indolore c'est que chaque existence n'a pas le choix de la douleur pour faire le choix de la douleur.

    Et cela est agir par évidence. C'est à dire que la conséquence des actes est causée par ce qui perçu.

    La perception de la douleur cause l'acte à conséquence douloureuse et la perception de l'indolore cause l'acte à conséquence indolore.

    L'indolore est estimé indolore, la douleur est estimée  douloureuse.

    Est opposé douleur et indolore.

    Selon ce précepte l'indolore est à être perçu causant l'acte à conséquence indolore à être perçue.

    L'existence de chaque existence sans douleur et avec indolore, de par l'existence de la capacité de ce qui est grand avec l'indolore et sans douleur qui alors rapetisse l'existence de la douleur.

    L'existence de la fin sans douleur et avec indolore et car sans fin avec douleur et sans indolore soit infinie sans douleur et avec indolore. Et l'existence de la fin avec douleur et sans indolore car sans fin sans douleur et avec indolore soit infinie sans indolore et avec douleur.

    L'indolore est estimé positif et la douleur est estimée négative.

    Infinie sans douleur et avec indolore et infinie sans indolore et avec douleur s'opposent de positif et de négatif.

    L'existence de l'assemblage, du négatif et du positif assemblés, est d'une inexistence donc de la douleur qui est indolore car l'inexistence de la douleur c'est l'existence de l'indolore.

    L'existence de l'infini de ce qui est grand sans douleur avec l'indolore est estimé positif à être perçu, par ce précepte, causant l'acte à conséquence positive à être perçue par l'existence de chaque existence.

    L'indolore est à être perçu causant l'acte à conséquence indolore à être perçue.

    Est opposé douleur et indolore qui sont perceptibles parce que chaque existence perçoit. Et chaque existence perçoit car chaque existence agit par évidence. chaque existence agit par évidence car chaque existence n'a pas le choix. Puisque l'existence est involontaire, puisque chaque existence n'existait pas avant d'exister. Car l'existence a un début comme une fin.

    L'existence, avec un début comme une fin, pleine de sagesse et d'évidence.

    Chaque existence est indépendante des autres puisque chaque existence provient de sa propre inexistence et chaque existence interagit avec son existence, d'autres que la sienne, seule réelle dépendance entre existences, avec douleur et sans indolore ou sans douleur et avec indolore qui son existence est tout aussi indépendante car son existence provient de sa propre inexistence.

    Chaque existence provient de sa propre inexistence involontairement. Chaque existence se crée elle même involontairement. Alors chaque existence a et est son assemblage involontaire interactif de différentes existences.

    Chaque existence ne créé que la sienne puisque chaque existence provient de sa propre inexistence, et chaque existence interagit, avec douleur et sans indolore ou sans douleur et avec indolore, avec l'assemblage involontaire interactif des différentes existences de son existence, d'autres que la sienne.

    Chaque existence s'est créée elle même et est susceptible de se percevoir, d'en percevoir d'autres, pour percevoir l'indolore mais la douleur aussi s'est créé elle même et est susceptible de se percevoir causant l'acte à conséquence douloureuse.

    Alors la douleur est à ne pas être perçue et l'indolore est à se percevoir causant l’acte à conséquence indolore à être perçue.

 

L'univers mutant absolument indolore

Est explicable que l'espace quel qu'il soit vide soit espace, et plein soit matière alors que l'opposition est d'indolore et de douleur.
Un espace plein d'indolore est vide en douleur, et un espace plein de douleur est vide d'indolore, la matière ou le plein, alors que le vide d'un espace fait que le plein d'indolore est le vide de douleur, et le plein de douleur fait le vide d'indolore.
C'est pourquoi le plein ou la matière de l'univers.

Avant le début de l'existence de l'univers, soit néant alors inexistence donc de la volonté et inexistence donc de la douleur qui est indolore soit l'indolore dont est suivie l'existence qui d'inexistence qui involontaire à existence qui est tout aussi involontaire en tant qu'univers. Et avec fin soit au delà, de sa fin, l'inexistence donc de la douleur qui est elle aussi l'indolore et les trous noirs vus comme l'indolore ou plutot l'inexistence donc de la douleur. L'univers peut être aussi vu comme l'existence soit l'ensemble de toutes les différentes existences, exceptée celle de l'existence de la douleur, qui sont indolores car exceptionnellement toutes sans douleur.

 L'univers a son début et donc sa fin, son existence comme toute autre dépend d'un début, donc son existence est involontaire à lui d'être indolore puisque sans douleur.
Comme toute existence qui n'existe pas car l'univers existe mais juste car elle a un début à son existence dont le but est sans douleur.
Comme toute science s'essaie à observer et à déduire la réalité ( l'ether, l'etre, l'essence de l'existence (sans douleur soit l'indolore) ) pour qu'il n'y ait pas d'interaction douloureuse avec.

Prenons une sphère avec, tout autour de la limite de sa surface, des points et, un point au centre de cette sphère pour exemple d'éloignement entre tous les amas de galaxie qui sont les différents points. L'éloignement à même vitesse et en même temps des différents points vers l'extérieur de cette sphère prouvent bien que les différents points autour de la limite de sa surface s'éloignent mais qu'alors le point au centre ne peut qu'inévitablement se rapprocher d'un des autres.

Alors l'éloignement entre amas de galaxie ne peut être prouvable ou alors inconcevable sans d'autres éléments de réflexions.


Prenons plusieurs sphères et toutes rapetissent à la même vitesse et en même temps soit de manière proportionnelle alors proportionnellement la distance entres elles s'agrandit. Avec un effet de rapetissement on a un éloignement prouvable entre les différentes sphères qui représentent alors les amas de galaxie qui s'éloignent entre eux.


 Selon l'éloignement entre amas de galaxie, on en déduit que l'univers est en expansion depuis l'explosion du big bang.
Partant de ce postulat l'univers croit, dans un espace plus grand car il serait inconcevable autrement, qu'il soit en croissance.
L'infiniment grand existe, donc il existe une infinité de possibilités, pour qu'y existe un voir plusieurs univers.
Si on part du postulat que parce que les amas de galaxie s'éloignent les un des autres, il se peut que cela est, parce qu'inversement il ne serait pas question d'expansion précédée d'une explosion, le big bang mais, plutôt un effondrement de l'infiniment grand sur lui même soit la course de la matière vers l'infiniment petit, précédé par une implosion, le big bang.
Dans tout les cas tout concorde vers l'infiniment grand.

Infini, sans fin avec douleur, alors infini. Grand avec l'indolore soit agrandissement de l'indolore alors rapetissement sans douleur donc aussi de la douleur.


Exceptée l'existence de la douleur, comme chaque existence est sans douleur alors le big bang peut être vu comme le point commun de départ de l'univers soit le début de ce qui est commun a chaque existence, l'indolore. Car toutes sans la douleur sont indolores soit l'indolore et peut être vu comme comme explosion alors que peut être vu comme implosion.


Chaque existence étant indolore partant d'une implosion, implosion qui n'est que le point commun soit l'indolore et la fin puis qu'indolore alors l'indolore a pour point commun aussi comme trous noirs qui apparaissent vides qui se remplissent de l'indolore, ou plus précisément de l'indolore de la fin sans douleur de chaque existence et alors trous noirs qui s'agrandissent sans douleur car remplis d'indolore et qui rapetissent sans douleur donc aussi la douleur.


Et ce même effet peut être d'agrandissement, d'expansion comme argument d'explosion lors du big bang, n'est que l'agrandissement, la grandeur de l'indolore qui alors ne peut avoir d'autre argument, qui ait une issue possible de réflexion, que le rapetissement sans douleur donc aussi de la douleur.


Enfin, cette variation, entre agrandissement et rapetissement, a peut être un rapport à, l'inexistence donc de la douleur, au delà de la fin de chaque existence et, la fin ou limite de la grandeur indolore et qui ne peut qu'avoir une limite sans douleur quant à sa grandeur qui n'a donc pas de limite douloureuse, est sans limite, aucune avec douleur, soit l'illimité, qui ne peut qu'avoir une fin sans douleur, qui n'a donc pas de fin douloureuse, est sans fin, aucune avec douleur, soit l'infini, l'infiniment grand.

 

Arthur sans douleur. Et Excalibur indolore ; " Le positif, le grand indolore, la grandeur de l'indolore, l'agrandissement sans douleur soit le rapetissement sans douleur donc aussi de la douleur. Perçois le choix qui se perçoit soit l'inexistence donc de la douleur que soi perçoit indolore. Soit soi indolore soit l'indolore. L'existence quelle qu'elle soit qui provient de sa propre inexistence donc de la douleur, alors lis sans douleur l'illimité indolore à limite sans douleur. Soit aies foi en l'infini indolore à fin sans douleur et dis sans douleur le but indolore à début sans douleur".

 

Le 16/05/2020 à 00:04, .Lowy a dit :

 

L’idéalisation : un mécanisme de défense indolore qui remplace ce qui fait souffrir soit la douleur par une croyance indolore qui déforme celle de la douleur la rendant indolore, et donc facilement sans douleur à contrôler

La sublimation: transformation de tendances ou d'instincts inférieurs avec douleur en sentiments supérieurs et élevés sans douleur.

La substitution: Le  renversement de valeurs avec douleur qui se fait sans fracas avec douleur donc avec fracas sans douleur mais contamine d'indolore et se sécrète dans toute la société qu'elle soit avec ou sans douleur.

Les maux de notre société?

 

Le 17/05/2020 à 14:03, Boutetractyxreqs a dit :

Les maux de notre société ; la douleur, mais on a apparemment des systèmes psychologiques pour y palier comme l'idéalisation, la sublimation, la substitution qui ne sont que les revers d'une même médaille.

 

 

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  • 2 semaines après...
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Boutetractyxreqs Membre 5 959 messages
Baby Forumeur‚
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Le 14/06/2020 à 18:39, Boutetractyxreqs a dit :

L’idéalisation : un mécanisme de défense indolore qui remplace ce qui fait souffrir soit la douleur par une croyance indolore qui déforme celle de la douleur la rendant indolore, et donc facilement sans douleur à contrôler.


La sublimation: transformation sans douleur de l'interaction avec douleur de tendances ou d'instincts inférieurs et de sentiments supérieurs et élevés en interaction sans douleur


La substitution: Le renversement sans douleur de valeurs d'interaction avec douleur qui se fait interaction sans fracas avec douleur donc avec fracas sans douleur mais contamine sans douleur d'indolore et se sécrète dans toute la société qu'elle soit avec ou sans douleur.

Les maux de notre société ; la douleur, mais on a apparemment des systèmes psychologiques pour y palier comme l'idéalisation, la sublimation, la substitution qui ne sont que les revers d'une même médaille.

 

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Boutetractyxreqs Membre 5 959 messages
Baby Forumeur‚
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Précepte du bien

 

L'infiniment grand tenant pour vrai son infinité, aussi en possibilités, fait sa foi que tout est possible le rendant ainsi omnipotent.

Tout est susceptible d'exister en lui dont la création, l'esprit en action, le souffle, l'énergie qui se cristallise en matière, à la fois à l'image et fruit de sa méditative imagination, se mouvant à chaque instant selon sa volonté.

Le mal c'est la souffrance soit la douleur physique, mentale, émotionnelle. Le bien c'est l'absence de souffrance soit le bonheur, le bien être, le plaisir.

Par l'omnipotence de l'infiniment grand tout doit se réaliser selon le bien.

 

Précepte du positif

 

Chaque possibilité est une composante de l'infiniment grand donc l'infiniment grand c'est l'infinité de possibilités qui est donc l'infiniment grand.

L'infiniment grand est infini en temps, il est éternel donc il existe qu'il le veuille ou non, son existence est involontaire.

Alors l'on n'a pas réellement le choix. Comme par exemple lorsqu'on fait un choix et que l'on ne peut pas changer d'avis. Ou alors lorsqu'on fait le mauvais choix c'est que l'on n'avait pas réellement le choix car l'on n'avait pas tous les éléments en mains pour faire le bon choix. Et même si on avait tous les éléments en main pour faire le bon choix l'on n'aurait pas de choix si ce n'est de faire le bon choix.

Et cela s'appelle agir par évidence, c'est à dire que la conséquence des actes est causée par ce qui est perçu.

La perception du négatif cause l'acte à conséquence négative et la perception du positif cause l'acte à conséquence positive.

L'indolore est estimé positif, la douleur est estimée négative.

L'infiniment grand est composé d'une infinité de possibilités négatives et d'une infinité de possibilités positives. L'infiniment grand ne s'oppose que de positif et de négatif. De leur opposition autant de positif que de négatif additionnés s'annulent soit une inexistence qui est indolore car l'inexistence de la douleur c'est l'indolore.

L'infiniment grand est donc positif à être perçu, selon ce précepte, causant l'acte à conséquence positive et rendant chaque possibilité positive car chaque possibilité est une composante de l'infiniment grand.

L'infiniment grand est donc positif à être perçu.

Car l'inexistence est indolore puisque l'inexistence de la douleur c'est l'indolore et car l'infiniment grand c'est l'addition soit une infinité de possibilités positives et négatives qui s'annulent.

Est opposé douleur estimée négative et indolore estimé positif qui sont perceptibles parce qu'on perçoit.

On perçoit car on agit par évidence, on agit par évidence car on n'a pas le choix puisque l'existence est involontaire. Puisque l'infiniment grand existe qu'il le veuille ou non car éternel puis-qu'infini en temps car c'est l'infiniment grand.


L'infiniment grand, éternel plein de sagesse et d'évidence, de qui en absolu provient sérénité.

 

Précepte de l'indolore

 

Chaque existence provient de sa propre inexistence. Car chaque existence n'existait pas avant d'exister puisque chaque existence a un début comme une fin. L'inexistence est involontaire car quand on n'existe pas on ne peut pas vouloir. Alors d'inexistence qui est involontaire à existence qui est aussi involontaire. Chaque existence s'est créée elle même involontairement.

La douleur aussi provient de sa propre inexistence et en est opposable. Puisque l'inexistence c'est avant tout l'inexistence de la douleur. Car l'inexistence de l'indolore c'est l'existence de la douleur et que l'indolore c'est l'inexistence de la douleur alors l'inexistence c'est l'inexistence donc de la douleur. 

Chaque existence est indépendante des autres puisque chacune provient de sa propre inexistence. Et chaque existence interagit avec son existence, d'autres que la sienne, seule réelle dépendance entre existences, avec ou sans douleur qui son existence est tout aussi indépendante puisque son existence provient de sa propre inexistence.

Chaque existence provient de sa propre inexistence involontairement. Alors chaque existence se crée elle même involontairement et a et est son assemblage involontaire interactif de différentes existences.

Chaque existence ne crée que la sienne puisque chaque existence provient de sa propre inexistence, et chaque existence interagit, avec ou sans douleur avec l'assemblage involontaire interactif des différentes existences de son existence, d'autres que la sienne.

L'existence a un début comme une fin, alors on existait pas avant d'exister pour vouloir exister, l'existence est involontaire.

Alors on n'a pas le choix. Comme par exemple lorsqu'on fait le choix de la douleur c'est qu'on n'avait pas le choix de l'indolore pour faire le choix de l'indolore. Et même si on avait le choix de l'indolore pour faire le choix de l'indolore c'est qu'on n'avait pas le choix de la douleur pour faire le choix de la douleur.

Et cela est agir par évidence. C'est à dire que la conséquence des actes est causée par ce qui perçu.

La perception de la douleur cause l'acte à conséquence douloureuse et la perception de l'indolore cause l'acte à conséquence indolore.

L'indolore est estimé indolore, la douleur est estimée douloureuse.

Est opposé douleur et indolore.

Selon ce précepte l'indolore est à être perçu causant l'acte à conséquence indolore à être perçue.

L'indolore est à être perçu causant l'acte à conséquence indolore à être perçue.

Est opposé douleur estimée douloureuse et indolore estimé indolore qui sont perceptibles parce qu'on perçoit.

On perçoit car on agit par évidence, on agit par évidence car on n'a pas le choix puisque l'existence est involontaire. Puisqu'on n'existait pas avant d'exister pour vouloir exister car l'existence a un début comme une fin.

L'existence, avec un début comme une fin, pleine de sagesse et d'évidence.

Chaque existence s'est créée elle même et est susceptible de se percevoir, d'en percevoir d'autres, pour percevoir l'indolore mais la douleur s'est aussi créée elle même et est susceptible d'être perçue causant l'acte à conséquence douloureuse à être perçue.

Alors la douleur est à ne pas être perçue et l'indolore est à se percevoir causant l'acte à conséquence indolore à être perçue.

 

Précepte du bien par précepte du positif selon précepte de l'indolore


    L'existence avec ou sans début et fin, avec limite ou sans limite soit l'illimité, car début et fin s'obligent.


    L'existence de chaque existence est sans début ni fin, de par l'existence de la capacité de ce qui est grand.
    L'existence sans début ni fin, avec ce qui est grand, estime son existence avec perception de l'existence et est donc d’existence capable.


    L'existence de chaque existence est susceptible d'exister avec l'existence sans début ni fin, et l'existence de ce qui est grand et est capable. Et aussi se créée elle même agissant selon par l'évidence qu'elle soit avec ou sans le choix donc l'existence avec ou sans volonté.


    Le mal c'est la douleur. Le bien c'est l'inexistence de la douleur.
    Par l'existence capable de l'existence sans début ni fin, avec ce qui est grand, l'existence est à être le bien.


    Il n'y a plus de fin au delà de la fin de l'existence, sans fin, l'infini, et l'illimité sans limite car aussi au delà du début de l'existence il n'y a plus de début, alors au delà de l'existence est l'inexistence.


    L'inexistence, aussi, donc de la douleur.  La douleur opposable à sa propre inexistence car l'inexistence c'est avant tout l'inexistence de la douleur puisque l'inexistence de l'indolore c'est l'existence de la douleur et que l'indolore c'est l'inexistence de la douleur alors l'inexistence c'est l'inexistence donc de la douleur.


    L'inexistence qui est, involontaire car l'inexistence au delà du début et de la fin est l'inexistence donc de la volonté, l'inexistence qui est aussi involontaire que l'existence qui provient de sa propre inexistence passant d'inexistence à existence involontairement et qui alors se crée alors elle-même son existence.


    L'existence a un début comme une fin, alors chaque existence n'existait pas avant d'exister pour vouloir exister, l'existence est involontaire.


    Alors chaque existence n'a pas le choix. Comme par exemple lorsque chaque existence fait le choix de la douleur c'est que chaque existence n'avait pas le choix de l'indolore pour faire le choix de l'indolore. Et même lorsque chaque existence a le choix de l'indolore pour faire le choix de l'indolore c'est que chaque existence n'a pas le choix de la douleur pour faire le choix de la douleur.


    Et cela est agir par évidence. C'est à dire que la conséquence des actes est causée par ce qui perçu.


    La perception de la douleur cause l'acte à conséquence douloureuse et la perception de l'indolore cause l'acte à conséquence indolore.


    L'indolore est estimé indolore, la douleur est estimée  douloureuse.


    Est opposé douleur et indolore.


    Selon ce précepte l'indolore est à être perçu causant l'acte à conséquence indolore à être perçue.


    L'existence de chaque existence sans douleur et avec indolore, de par l'existence de la capacité de ce qui est grand avec l'indolore et sans douleur qui alors rapetisse, sans douleur et avec l'indolore, donc aussi l'existence de la douleur.


    L'existence de la fin sans douleur et avec indolore et car sans fin avec douleur et sans indolore soit infinie sans douleur et avec indolore. Et l'existence de la fin avec douleur et sans indolore car sans fin sans douleur et avec indolore soit infinie sans indolore et avec douleur.


    L'indolore est estimé positif et la douleur est estimée négative.


    Infinie sans douleur et avec indolore et infinie sans indolore et avec douleur s'opposent de positif et de négatif.


    L'existence de l'assemblage, du négatif et du positif assemblés, est d'une inexistence donc de la douleur qui est indolore car l'inexistence de la douleur c'est l'existence de l'indolore.


    L'existence de l'infini de ce qui est grand sans douleur et avec l'indolore est estimé positif à être perçu, par ce précepte, causant l'acte à conséquence positive à être perçue par l'existence de chaque existence.


    L'indolore est à être perçu causant l'acte à conséquence indolore à être perçue.


    Est opposé douleur et indolore qui sont perceptibles parce que chaque existence perçoit. Et chaque existence perçoit car chaque existence agit par évidence. Chaque existence agit par évidence car chaque existence n'a pas le choix. Puisque l'existence est involontaire, puisque chaque existence n'existait pas avant d'exister. Car l'existence a un début comme une fin.


    L'existence, avec un début comme une fin, pleine de sagesse et d'évidence.


    Chaque existence est indépendante des autres puisque chaque existence provient de sa propre inexistence et chaque existence interagit avec son existence, d'autres que la sienne, seule réelle dépendance entre existences, avec douleur et sans indolore ou sans douleur et avec indolore qui son existence est tout aussi indépendante car son existence provient de sa propre inexistence.


    Chaque existence provient de sa propre inexistence involontairement. Chaque existence se crée elle même involontairement. Alors chaque existence a et est son assemblage involontaire interactif de différentes existences.
    Chaque existence ne crée que la sienne puisque chaque existence provient de sa propre inexistence, et chaque existence interagit, avec douleur et sans indolore ou sans douleur et avec indolore, avec l'assemblage involontaire interactif des différentes existences de son existence, d'autres que la sienne.


    Chaque existence s'est créée elle même et est susceptible de se percevoir, d'en percevoir d'autres, pour percevoir l'indolore mais la douleur aussi s'est créée elle même et est susceptible d'être perçue causant l'acte à conséquence douloureuse à être perçue.


    Alors la douleur est à ne pas être perçue et l'indolore est à se percevoir causant l’acte à conséquence indolore à être perçue.


L'univers mutant absolument indolore


 Est explicable que l'espace quel qu'il soit vide soit espace, et plein soit matière alors que l'opposition est d'indolore et de douleur.
 Un espace plein d'indolore est vide en douleur, et un espace plein de douleur est vide d'indolore, la matière ou le plein, alors que le vide d'un espace fait que le plein d'indolore est le vide de douleur, et le plein de douleur fait le vide d'indolore.
 C'est pourquoi le plein ou la matière de l'univers.


 Avant le début de l'existence de l'univers, soit néant alors inexistence donc de la volonté et inexistence donc de la douleur qui est indolore soit l'indolore dont est suivie l'existence qui d'inexistence qui involontaire à existence qui est tout aussi involontaire en tant qu'univers. Et avec fin soit au delà, de sa fin, l'inexistence donc de la douleur qui est elle aussi l'indolore et les trous noirs vus comme l'indolore ou plutôt l'inexistence donc de la douleur. L'univers peut être aussi vu comme l'existence soit l'ensemble de toutes les différentes existences, exceptée celle de l'existence de la douleur, qui sont indolores car exceptionnellement toutes sans douleur.


 L'univers a son début et donc sa fin, son existence comme toute autre dépend d'un début, donc son existence est involontaire à lui d'être indolore puisque sans douleur.


Comme toute existence qui n'existe pas car l'univers existe mais juste car elle a un début à son existence dont le but est sans douleur.
Comme toute science s'essaie à observer et à déduire la réalité ( l'ether, l'être, l'essence de l'existence (sans douleur soit l'indolore) ) pour qu'il n'y ait pas d'interaction douloureuse avec.


 Prenons une sphère avec, tout autour de la limite de sa surface, des points et, un point au centre de cette sphère pour exemple d'éloignement entre tous les amas de galaxie qui sont les différents points. L'éloignement à même vitesse et en même temps des différents points vers l'extérieur de cette sphère prouvent bien que les différents points autour de la limite de sa surface s'éloignent mais qu'alors le point au centre ne peut qu'inévitablement se rapprocher d'un des autres.


Alors l'éloignement entre amas de galaxie ne peut être prouvable ou alors inconcevable sans d'autres éléments de réflexions.


 Prenons plusieurs sphères et toutes rapetissent à la même vitesse et en même temps soit de manière proportionnelle alors proportionnellement la distance entres elles s'agrandit. Avec un effet de rapetissement on a un éloignement prouvable entre les différentes sphères qui représentent alors les amas de galaxie qui s'éloignent entre eux.


 Selon l'éloignement entre amas de galaxie, on en déduit que l'univers est en expansion depuis l'explosion du big bang.
 Partant de ce postulat l'univers croit, dans un espace plus grand car il serait inconcevable autrement, qu'il soit en croissance.
 L'infiniment grand existe, donc il existe une infinité de possibilités, pour qu'y existe un voir plusieurs univers.
 Si on part du postulat que parce que les amas de galaxie s'éloignent les un des autres, il se peut que cela est, parce qu'inversement il ne serait pas question d'expansion précédée d'une explosion, le big bang mais, plutôt un effondrement de l'infiniment grand sur lui même soit la course de la matière vers l'infiniment petit, précédé par une implosion, le big bang.
 Dans tout les cas tout concorde vers l'infiniment grand.


 Infini, sans fin avec douleur, alors infini. Grand avec l'indolore soit agrandissement de l'indolore alors rapetissement sans douleur donc aussi de la douleur.


 Exceptée l'existence de la douleur, comme chaque existence est sans douleur alors le big bang peut être vu comme le point commun de départ de l'univers soit le début de ce qui est commun a chaque existence, l'indolore. Car toutes sans la douleur sont indolores soit l'indolore et peut être vu comme comme explosion alors que peut être vu comme implosion.
 Chaque existence étant indolore partant d'une implosion, implosion qui n'est que le point commun soit l'indolore et la fin puis qu'indolore alors l'indolore a pour point commun aussi comme trous noirs qui apparaissent vides qui se remplissent de l'indolore, ou plus précisément de l'indolore de la fin sans douleur de chaque existence et alors trous noirs qui s'agrandissent sans douleur car remplis d'indolore et qui rapetissent sans douleur donc aussi la douleur.


 Et ce même effet peut être d'agrandissement, d'expansion comme argument d'explosion lors du big bang, n'est que l'agrandissement, la grandeur de l'indolore qui alors ne peut avoir d'autre argument, qui ait une issue possible de réflexion, que le rapetissement sans douleur donc aussi de la douleur.


 Enfin, cette variation, entre agrandissement et rapetissement, a peut être un rapport à, l'inexistence donc de la douleur, au delà de la fin de chaque existence et, la fin ou limite de la grandeur indolore et qui ne peut qu'avoir une limite sans douleur quant à sa grandeur qui n'a donc pas de limite douloureuse, est sans limite, aucune avec douleur, soit l'illimité, qui ne peut qu'avoir une fin sans douleur, qui n'a donc pas de fin douloureuse, est sans fin, aucune avec douleur, soit l'infini, l'infiniment grand.


 " Le positif, le grand indolore, la grandeur de l'indolore, l'agrandissement sans douleur soit le rapetissement sans douleur donc aussi de la douleur. Perçois le choix qui se perçoit soit l'inexistence donc de la douleur que soi perçoit indolore. Soit soi indolore soit l'indolore. L'existence quelle qu'elle soit qui provient de sa propre inexistence donc de la douleur, alors lis sans douleur l'illimité indolore à limite sans douleur. Soit aies foi en l'infini indolore à fin sans douleur et dis sans douleur le but indolore à début sans douleur".


Prédiction sans douleur à caractère positif


 Les mots indolores et même le mot douleur, douloureuse, douloureux ... sont indolores et servent à définir sans douleur ce qui est douloureux soit la douleur, douloureuse.
 C'est ce qui selon les seules estimations du précepte sera quand la fin de l'existence de la douleur fut, et ce qui était au passé et est au présent, et alors donc fut l'inexistence de la douleur.
 Soit, l'existence de chaque existence se percevant, percevant d'autres pour se percevoir sans douleur.
 Enfin soit, percevant son existence, d'autres que la sienne, sans douleur, donc l'existence indolore malgré que la douleur qui était alors susceptible d'être perçue et douleur qui était alors agréable à ne pas se percevoir.


 L’idéalisation : un mécanisme de défense indolore qui remplace ce qui fait souffrir soit la douleur par une croyance indolore qui déforme celle de la douleur la rendant indolore, et donc facilement sans douleur à contrôler.
 La sublimation : transformation sans douleur de l'interaction avec douleur de tendances ou d'instincts inférieurs et de sentiments supérieurs et élevés en interaction sans douleur
 La substitution : Le renversement sans douleur de valeurs d'interaction avec douleur qui se fait interaction sans fracas avec douleur donc avec fracas sans douleur mais contamine sans douleur d'indolore et se sécrète dans toute la société qu'elle soit avec ou sans douleur.


Le présent


 C'est pour quoi on est le jour que l'on est surtout quand il y a le soleil car le jour le soleil tape. Il tape mais la seule chose qu'il apprend c'est que la douleur n'a pas eu fin à son existence, elle n'est pas morte comme ce qui est estimé indolore indolore,  l'indolore.    
 C'est pourquoi l'ami fidèle soleil et autres étoiles sont là pour rappeler à savoir à quelle époque se situer douleur a son inexistence donc de la douleur. Et l'imposture ne peut être permise si ce n'est celle de la douleur à ne pas laisser l'imposture.   Car aussi le soleil bon conseilleur et aussi marrant taquine toujours de brûler autres sur place sans douleur.

 

 

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Boutetractyxreqs Membre 5 959 messages
Baby Forumeur‚
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Déclinaison féminine des préceptes ;

 

Cette série met en scène Evie (précepte de l'indolore) Ethel Garland, une jeune fille qui découvre pour son treizième anniversaire, que son père est un extraterrestre -du nom de Troy- qui vient de la planète Antareus. Il a épousé sa mère terrestre et "la fusion de vie" a créé Evie (précepte de l'indolore). La jeune fille, moitié extra-terrestre moitié humaine, a des capacités surnaturelles. La plupart des épisodes tournent autour d'Evie abusant de ses pouvoirs (précepte du positif) (comme arrêter le temps) et causant des problèmes, qu'elle passe le reste de l'épisode à résoudre. Seule sa famille connait l'existence de son père extraterrestre et de ses pouvoirs (précepte du positif), et de nombreux épisodes montrent Evie en train de cacher son secret aux autres. Elle communique avec son père grâce à un coquillage et une sorte de gros cristal (précepte du bien), qui sont "les précurseurs du portable".

https://fr.wikipedia.org/wiki/Loin_de_ce_monde

 

Déclinaison masculine des préceptes ;

 

 

 

De très anciens extraterrestres surpuissants ont créé et semé dans tous les univers des anneaux utilisant la « Force de Volonté » (précepte du positif), régénérés par la Lanterne Verte (précepte du bien). Ces bagues sont destinées à des êtres (préceptes de l'indolore) sachant surpasser la peur.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Green_Lantern

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Boutetractyxreqs Membre 5 959 messages
Baby Forumeur‚
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Superman indolore, l'homme indolore supérieur à la douleur, le super homme sans douleur. Superman sans douleur.

Et Flash, l'homme plus rapide qu'un éclair, la douleur n'ayant pas d'assemblage, donc pas d'espace alors tous espaces sont indolores. Soit l'espace sans douleur dont l'indolore est partout, omniprésent même pas besoin de se déplacer qu'il est déjà arrivé.

 

 

 

 

 

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