Les folies du confinement ?

Il y a 6 heures, Abu nuwas a dit :

Bsr Versys, 

 

Le malheur des uns fait le bonheur des autres. Les producteurs locaux doivent se frotter les mains, d'une part parce qu'il écoulé leur produit bien plus facilement, d'autre part parce qu'ils sont en train de se constituer une nouvelle clientèle. C'est toujours ça qui aura été relocalise. 

 

a+

Hélas, Abu… comme dans beaucoup de secteurs, la production locale ne parviendra jamais à satisfaire la demande...

Le Marché Hallucinogène dépasse largement la capacité des "circuits courts".... 

Confinement : la violence intrafamiliale, une «priorité nationale» pour les policiers et la justice

15.04.2020

Les appels de détresse pour violences infantiles ont augmenté de 20%, et ceux pour les violences domestiques de plus de 30%. Le renforcement des dispositifs d’aide et d’alerte, la mobilisation des forces de l’ordre et de la Justice peuvent-ils enrayer le phénomène ?

La police craignait leur augmentation dès les premiers jours du confinement et ses craintes se sont confirmées. Selon le ministère de l’Intérieur, les violences domestiques auraient augmenté de 36% en zone gendarmerie et de 32% dans celle de la préfecture de police. Les chiffres précis n’ont pas été avancés, mais selon nos propres estimations, suivant les chiffres de l'année 2019, plus 24.000 femmes ont pu être victimes de violence (tous degrés confondus), depuis le 15 mars. Un chiffre a minima, sachant que la plupart d'entre elles n'osent pas se manifester auprès de la police.

La presse régionale se fait ainsi l’écho des «faits divers» les plus tragiques. Le 5 avril, une mère et deux de ses enfants étaient poignardés à mort dans le Pas-de-Calais. Le 7 à Saint-Quentin (Aisne), une femme d’une quarantaine d’années était étranglée par son mari, ivre. Le 8 à Verneuil (Eure), un homme de 90 ans tuait sa femme avant de retourner l’arme contre lui. Le 9 à Amiens (Somme), une femme de vingt ans à peine était poignardée par son compagnon. Le 12 à Saint-Didier (Haute-Marne), scénario inverse: c’est cette fois une femme de 45 ans qui s’est retrouvée en garde à vue pour avoir grièvement poignardé son mari au niveau de la carotide.

Les gendarmes disent recevoir trois à quatre fois plus de signalements qu’à l’accoutumée. Fin mars, les violences intrafamiliales représentaient par exemple 40% des gardes à vue à Reims, souvent entre personnes en instance de séparation, qui «ne s’entendaient plus», selon le procureur Mathieu Bourette, et malgré tout contraintes à vivre en huis clos. Le 114, un dispositif d’alerte SMS lancé le 1er avril, a enregistré 300 alertes.

Violences intrafamiliales: trois à quatre fois plus de signalements aux gendarmes
Le phénomène des tensions intrafamiliales a été observé aux quatre coins du globe, alors que trois milliards d’individus sont aujourd’hui confinés. Ainsi, Antonio Guterres, Secrétaire général des Nations unies, a-t-il lancé sur Twitter un «appel à la paix dans les foyers». Un acte pour le moins symbolique.

[...]

https://fr.sputniknews.com/actualite/202004151043558286-confinement-la-violence-intrafamiliale-une-priorite-nationale-pour-les-policiers-et-la-justice/

Il y a 11 heures, versys a dit :

Hélas, Abu… comme dans beaucoup de secteurs, la production locale ne parviendra jamais à satisfaire la demande...

Le Marché Hallucinogène dépasse largement la capacité des "circuits courts".... 

Bsr Versys, 

Vous l'aurez compris il y avait une part d'ironie sur mon post. Après je vous rejoins la production locale de cannabis, comme la production locale de masque, parviendra jamais à satisfaire la demande . 

Cepandant, j'en pense pas moins que ce confinement va transformer la demande de cannabis. 

a+

il y a 20 minutes, Abu nuwas a dit :

Bsr Versys, 

 

Vous l'aurez compris il y avait une part d'ironie sur mon post. Après je vous rejoins la production locale de cannabis, comme la production locale de masque, parviendra jamais à satisfaire la demande . 

Cepandant, j'en pense pas moins que ce confinement va transformer la demande de cannabis. 

 

a+

Heureusement qu'il nous reste l'ironie dans le contexte dramatique (et parfois haineux) qui nous accable...

Ce contexte va sûrement "transformer la demande de cannabis", mais il va aussi transformer l'offre, car nombre de confinés aujourd'hui vont profiter de ces loisirs forcés pour planter autre chose dans leur petit bout de jardin que des tomates cerises.... 

Comment faites-vous lorsque vous êtes une femme avec enfants et que votre mari est violent avec vous ?

Partir ! Oui mais où ?

Portez plainte ! Oui et après, vous devez retourner chez vous et je ne vous parle pas des violences pires encore !

Le 13/04/2020 à 00:53, shyiro a dit :

Pour au moins une forumeuse d'ici, je craindrais plutôt pour son conjoint, si elle est en couple  

Celle la a carrément violé le confinement pour venir tuer son ex. Ils sont séparés depuis 5 mois. Elle est déjà connue de la justice pour des violences conjugales :

https://fr.sputniknews.com/france/202004201043607793-un-leader-des-gilets-jaunes-de-la-marne-tue-par-son-ex-compagne-sous-les-yeux-de-sa-fille/

20.04.2020

José Lortal, connu localement comme porte-parole des Gilets jaunes, est décédé vendredi 17 avril dans la soirée à son domicile de Fismes (Marne), après avoir reçu des coups de couteau à l'abdomen portés par son ex-compagne, rapporte Le Parisien.

Le drame s’est produit en fin d’après-midi, lorsque son ancienne compagne, âgée de trente ans et en compagnie de sa fille de huit ans, a décidé de lui rendre visite. Ils étaient séparés depuis près de cinq mois et elle voulait lui confier qu’elle entendait se remettre en couple avec le père de sa fille. C’est à ce moment que la situation a dégénéré.

(...) 

après avoir auditionné la petite fille, les enquêteurs ont découvert que sa mère avait frappé M.Lortal lorsque la dispute était déjà finie. Des faits qu’elle a reconnus plus tard.

(...) 

Connue de la justice, elle devait comparaître devant le tribunal de Reims le 23 mars dernier pour des violences commises sur José Lortal en avril 2019, mais le procès avait été renvoyé en raison de l'épidémie de Covid-19.

randonnée nocturne en plein confinement

25.04.2020

Deux jeunes, originaires de la région parisienne, lancés dans un «Tour de France du confinement», ont été secourus en pleine nuit vendredi dans les Pyrénées alors qu'ils étaient partis assister au coucher du soleil depuis un sommet et l'un d'eux est gravement blessé, a appris l’AFP auprès de la CRS des Hautes-Pyrénées.

«Ils ont vu le coucher de soleil puis sont redescendus, en sachant que pour s'éclairer, ils ne disposaient que d'une petite lampe à dynamo, que l'on active en tournant la manivelle, ce qui est très dangereux, surtout quand on est dans des pentes raides, hors sentiers, entrecoupées de barres rocheuses».

«Malheureusement, celui qui avait la lampe est tombé et a fait une chute de près de 150 mètres. Son ami est redescendu au village pour donner l'alerte en s'éclairant avec sa montre. L'accident a dû se produire entre 21h00 et 22h00 mais il n'est arrivé qu'à une heure du matin au village».

Un hélicoptère de la CRS 65 a aussitôt décollé pour tenter de localiser la victime, qui a été retrouvée vers 3h00 du matin. Le jeune hommes se trouvait en état d'hypothermie et souffrait de traumatismes sévères sur tout le corps ainsi que de plusieurs fractures.
Il a immédiatement été transporté à l'hôpital de Tarbes dans un état grave, puis transféré à Toulouse pour y être opéré. Son pronostic vital ne serait pas engagé.

«C'est un miraculé, assure le capitaine Passeron. À deux heures près, on ne le récupérait pas. S'il avait été inconscient, on n'aurait sans doute pas pu le retrouver», selon lui.

Les deux hommes ont expliqué qu'ils effectuaient «un confinement touristique, une sorte de Tour de France du confinement. Apparemment, ils étaient allés à la dune du Pilat (Gironde), puis à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques) et enfin à Gavarnie. Ils profitaient du confinement comme de vacances», relate le chef de la CRS 65.

Ils ont été verbalisés et ont écopé d'une amende de 135 euros chacun. «On met tout en œuvre pour secourir la victime, ce qui est de loin la priorité. Mais après, on est obligés moralement de les verbaliser», a-t-il conclu.

https://fr.sputniknews.com/france/202004251043650090-un-parisien-gravement-blesse-lors-dune-randonnee-nocturne-en-plein-confinement/

Une habitante de la Dordogne appelle la police pour annoncer qu'elle veut tuer son petit ami

10.05.2020

Une quadragénaire a appelé la police à 1h40 du matin ce dimanche pour annoncer qu’elle allait tuer son concubin avec un couteau. Les deux protagonistes ont été retrouvés chez eux, ivres et en train de se battre.

La police de la Dordogne a été alertée tôt le matin du 10 mai par une habitante de Boulazac. Elle a téléphoné pour annoncer son intention d’ôter la vie à son compagnon à l’aide d’un couteau, relate France Bleu.

Les fonctionnaires se sont immédiatement rendus à leur domicile. Sur place, ils ont constaté que la femme avait en effet sorti un couteau, apparemment pour frapper son compagnon de 43 ans. En se défendant, il aurait été blessé aux bras.
Des personnages connus de la police
La femme a pour sa part été blessée au nez. Les deux participants de la rixe étaient alcoolisés et avaient au moins un gramme d'alcool par litre de sang lors de l’incident.

Les policiers vont désormais enquêter sur les raisons de ce comportement de la femme. Les deux personnes étaient déjà connues des forces de l'ordre. Des auditions sont prévues pour ce dimanche.

https://fr.sputniknews.com/france/202005101043756963-une-habitante-de-la-dordogne-appelle-la-police-pour-annoncer-quelle-veut-tuer-son-petit-ami/