L'inexistence

L'inexistence est involontaire car quand on inexiste on ne peut pas vouloir.

Toutes existences proviennent de l'inexistence, l'existence du bien comme du mal.

Et elles en proviennent involontairement.

Alors on pourrait dire que dommage que de l'inexistence involontaire ne provient pas involontairement que le bien. D'autres diront heureusement qu'il n'en provient pas involontairement que le mal. 
 

Quoique s'il n'en proviendrait que le bien, on se sentirait bien sans en avoir conscience. Et si que le mal on se sentirait mal sans en prendre conscience. Ce qui ne serait pas aussi mal que cela. Comme quelqu'un qui n'aurait jamais connu le bonheur et donc ne peut se plaindre de son malheur.

Mais l'inexistence est bornée, d'elle provient tout involontairement, bornée car il ne sert a rien de raisonner ce qui n'existe pas et qu'en plus est involontaire.

Si ce serait quelque chose qui existe comme quelqu'un comme un dieu qui en plus faussement fait ce qu'il veut car tout puissant,  alors on ne s'en sort pas.

Tout ce qu'il reste c'est qu'avec le bien involontaire faire inexister le mal involontaire. Bien et mal qui proviennent involontairement de l'inexistence.

il y a 12 minutes, Boutetractyxreqs a dit :

Toutes existences proviennent de l'inexistence,

A partir du néant, rien ne se crée. 

il y a 13 minutes, Boutetractyxreqs a dit :

Mais l'inexistence est bornée, d'elle provient tout involontairement, bornée car il ne sert a rien de raisonner ce qui n'existe pas et qu'en plus est involontai

Si elle est bornée, c'est qu'on peut voir ses limites, et donc qu'elle est réelle.

"L'idée de l'Indéfini est l'idée d'une chose dont nous ne voyons point les bornes. L'idée de l'Infini est une chose qu'on voit n'avoir point de bornes." Montesquieu

il y a 17 minutes, Boutetractyxreqs a dit :

Bien et mal qui proviennent involontairement de l'inexistence.

Un rien vous fait souffrir ? Douillet.

il y a 5 minutes, Talon 1 a dit :

A partir du néant, rien ne se crée. 

 

 

Pourtant avant d'exister tu n'existais pas. Donc tu proviens de l'inexistence.

il y a 22 minutes, Boutetractyxreqs a dit :

L'inexistence est involontaire car quand on inexiste on ne peut pas vouloir.

Mais quand on inexiste est ce qu'on peut ne pas vouloir avoir envie de vouloir ? C'est une question qui me turlupine depuis que mon frère inexistant n'a pas voulu avoir envie de vouloir me la poser !

il y a 1 minute, Boutetractyxreqs a dit :

Pourtant avant d'exister tu n'existais pas. Donc tu proviens de l'inexistence.

Non, j'étais une infime portion de mes géniteurs. Vous croyez sortir de la cuisse de Jupiter ?

"Rien ne se crée à partir de rien. Et si une chose est créée à partir de quelque chose, c'est qu'elle était dans cette chose." Tchouang Tseu

il y a 8 minutes, Talon 1 a dit :

 

 

Si elle est bornée, c'est qu'on peut voir ses limites, et donc qu'elle est réelle.

 

Par bornée je signifiais têtue. 

TRAITE DE LA PRODUCTION ABSOLUE ET DE LA DESTRUCTION DES CHOSES

Il faut rechercher si une chose quelconque ne vient pas toujours d'une autre chose d'où elle sort : comme, par exemple, du malade vient le bien portant, et du bien portant vient le malade.

Si l'on admet une production absolue, alors que l'être vienne absolument du non-être, du néant, de telle sorte qu'il serait vrai d'affirmer que le néant appartient à certains êtres.

Une production relative peut bien venir d'un non-être relatif, et par exemple, le blanc peut venir du non-blanc, ou le beau vient du non-beau.

Mais la production absolue doit venir de l'absolu non-être.

Si réellement quelque chose vient à se produire et à naître, il est évident qu'il doit y avoir une certaine substance qui est au moins en puissance, si elle n'est pas en réalité et en entéléchie (état de perfection, de parfait accomplissement de l'être), d'où sortira la production de la chose, et dans laquelle la chose devra se changer de toute nécessité, quand elle est détruite.

Si cet être n'est aucune chose en réalité, mais qu'il soit toutes choses en puissance, le non-être ainsi compris peut avoir une existence séparée ; et alors on en arrive à cette conséquence, qu'ont redoutée les premiers philosophes, de faire naître les choses du pur néant.

Les hommes définissent, en général, l'être et le non-être, selon qu'ils sentent la chose ou ne la sentent pas ; de même qu'ils prennent pour l'être ce qu'on connaît, et pour le non-être ce qu'on ignore. Mais alors, c'est la sensibilité qui remplit la fonction de la science.

Il y a altération quand le sujet demeurant le même et étant toujours sensible (perçu par les sens), il subit un changement dans ses propriétés spéciales. Ainsi, le corps est bien portant, et ensuite malade tout en restant le même.

Aristote

il y a 2 minutes, Talon 1 a dit :

Non, j'étais une infime portion de mes géniteurs. Vous croyez sortir de la cuisse de Jupiter ?

"Rien ne se crée à partir de rien. Et si une chose est créée à partir de quelque chose, c'est qu'elle était dans cette chose." Tchouang Tseu

Et tu t'en rappelles car c'est facile de faire croire une chose dont il n'y a pas de preuve. Avant tu n'existais pas, peut être les parties de tes geniteurs oui mais toi non. Même ta conscience a un début qui lui est propre, les premiers souvenirs et audela, il n'y a rien.

il y a 2 minutes, Talon 1 a dit :

TRAITE DE LA PRODUCTION ABSOLUE ET DE LA DESTRUCTION DES CHOSES

Il faut rechercher si une chose quelconque ne vient pas toujours d'une autre chose d'où elle sort : comme, par exemple, du malade vient le bien portant, et du bien portant vient le malade.

Si l'on admet une production absolue, alors que l'être vienne absolument du non-être, du néant, de telle sorte qu'il serait vrai d'affirmer que le néant appartient à certains êtres.

Une production relative peut bien venir d'un non-être relatif, et par exemple, le blanc peut venir du non-blanc, ou le beau vient du non-beau.

Mais la production absolue doit venir de l'absolu non-être.

Si réellement quelque chose vient à se produire et à naître, il est évident qu'il doit y avoir une certaine substance qui est au moins en puissance, si elle n'est pas en réalité et en entéléchie (état de perfection, de parfait accomplissement de l'être), d'où sortira la production de la chose, et dans laquelle la chose devra se changer de toute nécessité, quand elle est détruite.

Si cet être n'est aucune chose en réalité, mais qu'il soit toutes choses en puissance, le non-être ainsi compris peut avoir une existence séparée ; et alors on en arrive à cette conséquence, qu'ont redoutée les premiers philosophes, de faire naître les choses du pur néant.

Les hommes définissent, en général, l'être et le non-être, selon qu'ils sentent la chose ou ne la sentent pas ; de même qu'ils prennent pour l'être ce qu'on connaît, et pour le non-être ce qu'on ignore. Mais alors, c'est la sensibilité qui remplit la fonction de la science.

Il y a altération quand le sujet demeurant le même et étant toujours sensible (perçu par les sens), il subit un changement dans ses propriétés spéciales. Ainsi, le corps est bien portant, et ensuite malade tout en restant le même.

Aristote

Le bien devient mauvais a cause du mal qui proviennent de l'inexistence. Comme la bonne santé et la maladie. Comme tout ce qu'il reste face au mal involontaire de le faire inexister par le bien involontaire et le malade redevient sain.

il y a 3 minutes, Boutetractyxreqs a dit :

Et tu t'en rappelles car c'est facile de faire croire une chose dont il n'y a pas de preuve. Avant tu n'existais pas, peut être les parties de tes geniteurs oui mais toi non. Même ta conscience a un début qui lui est propre, les premiers souvenirs et audela, il n'y a rien.

Absurde. Je ne suis jamais allé aux Etats Unis, mais je suis certains que ce pays existe.

à l’instant, Talon 1 a dit :

Absurde. Je ne suis jamais allé aux Etats Unis, mais je suis certains que ce pays existe.

Donc si je te dis que tu etais un méchant dans une autre vie je peux te faire du mal. Parce qu'il est la le piège de j'existai avant d'exister alors que pas de preuves. Et surtout si tu existais avant d'exister cela signifie que tu pouvais vouloir vivre dans un monde ou le mal existe. Tu te rends complice du mal.

Achille s'il existait pas , faudrait l'inventer

Il y a 17 heures, Boutetractyxreqs a dit :

Donc si je te dis que tu etais un méchant dans une autre vie je peux te faire du mal. Parce qu'il est la le piège de j'existai avant d'exister alors que pas de preuves. Et surtout si tu existais avant d'exister cela signifie que tu pouvais vouloir vivre dans un monde ou le mal existe. Tu te rends complice du mal.

Je vais faire comme si vous n'existiez pas.

il y a une heure, Talon 1 a dit :

Je vais faire comme si vous n'existiez pas.

Je ne sais pas j'ai l'impression que provenir de l'inexistence c'est quelque chose de mal et que ca rend malade. Mais dire que l'on provient de l'existence n'est pas spécialement plus bon. Car si on existe avant d'exister c'est qu'on a voulu le malheur qui nous arrive pendant l'existence présente. Donc ca pousserait les gens a dire qu'ils n'en ont rien a faire de ton malheur puisque tu en es complice et que tu n'avais qu'a vouloir exclusivement ton bonheur puisque toi tu as la chance d'exister avant d'exister et donc la possibilité de vouloir que ton existence ne soit que bonheur. Et donc le malheur n'existerai pour personne, alors que ce n'est pas le cas, le bonheur et le malheur existent et ce indépendamment de la volonté car ils sont involontaires car ils proviennent de l'inexistence qui est involontaire.

Donc au plus réaliste ce qu'il se passe c'est qu'avec le bien involontaire on fait inexister le mal involontaire.

Il y a 19 heures, Talon 1 a dit :

 

Un rien vous fait souffrir ? Douillet.

Quand on sait que c'est a cause de l'inexistence parcequ'involontaire que le mal existe malgré que le bien existe aussi involontairement. Alors celui qui est torturé par la pire des tortures est aussi un douillet a qui un rien le fait souffrir. Car sans ce rien, cette inexistence involontaire il n'existerai pas le mal involontaire de la torture et si le mal n'existe pas pendant la torture cela n'en est plus. Donc oui tout le malheur du monde existe pour un rien ce qui fait de tous même de toi quelqu'un de douillet dont un rien le fait souffrir. Comme aussi un rien rend heureux car le bien existe aussi involontairement par la provenance de l'inexistence involontaire, ce rien, involontaire.