Déconstruction de la pensée nazie.

En vous proposant cette conférence qui nous mène dans le détail de l'élaboration de la pensée nazie sous la forme d'une "révolution culturelle" s'opposant aux révolutions européennes. Bon visionnage...

Les théories de Johann Chapoutot sont assez intéressantes, surtout quand il évoque l'influence du nazisme sur le management moderne. Au fond les nazis seraient des néo-libéraux avant la lettre...

A travers cet éclairage on comprend mieux certains aspects du monde d'aujourd'hui; car le IIIe Reich, bien loin de la légendaire "organisation allemande", c'était quand même un univers où régnait le chaos.

Il n'est pas si facile de se faire une idée des aspects économiques du nazisme, parce qu'il y a très peu de documentation là-dessus. On a l'impression que l'histoire économique et financière de la Seconde Guerre mondiale reste à écrire.

Ce n'est qu'au détour d'un ouvrage consacré à tout autre chose qu'on comprend que les bourses de l'Allemagne et des pays occupés fonctionnaient "presque" normalement, mais pour trouver des détails là-dessus, bonne chance! A croire que 75 ans après la fin du conflit, c'est encore un sujet tabou.

il y a 42 minutes, Gouderien a dit :

Les théories de Johann Chapoutot sont assez intéressantes, surtout quand il évoque l'influence du nazisme sur le management moderne. Au fond les nazis seraient des néo-libéraux avant la lettre...

A travers cet éclairage on comprend mieux certains aspects du monde d'aujourd'hui; car le IIIe Reich, bien loin de la légendaire "organisation allemande", c'était quand même un univers où régnait le chaos.

Il n'est pas si facile de se faire une idée des aspects économiques du nazisme, parce qu'il y a très peu de documentation là-dessus. On a l'impression que l'histoire économique et financière de la Seconde Guerre mondiale reste à écrire.

Ce n'est qu'au détour d'un ouvrage consacré à tout autre chose qu'on comprend que les bourses de l'Allemagne et des pays occupés fonctionnaient "presque" normalement, mais pour trouver des détails là-dessus, bonne chance! A croire que 75 ans après la fin du conflit, c'est encore un sujet tabou.

Les aspects économiques du nazisme sont explicités en réponse à une question à la fin de la conférence : spoliation et pillage systématique.

il y a une heure, Gouderien a dit :

Les théories de Johann Chapoutot sont assez intéressantes, surtout quand il évoque l'influence du nazisme sur le management moderne. Au fond les nazis seraient des néo-libéraux avant la lettre...

A travers cet éclairage on comprend mieux certains aspects du monde d'aujourd'hui; car le IIIe Reich, bien loin de la légendaire "organisation allemande", c'était quand même un univers où régnait le chaos.

Il n'est pas si facile de se faire une idée des aspects économiques du nazisme, parce qu'il y a très peu de documentation là-dessus. On a l'impression que l'histoire économique et financière de la Seconde Guerre mondiale reste à écrire.

Ce n'est qu'au détour d'un ouvrage consacré à tout autre chose qu'on comprend que les bourses de l'Allemagne et des pays occupés fonctionnaient "presque" normalement, mais pour trouver des détails là-dessus, bonne chance! A croire que 75 ans après la fin du conflit, c'est encore un sujet tabou.

Je savais que cette conférence et ce type n'étaient pris au sérieux que par les gauchiste comme @soloandsolo du coup je n'avais pas le gout de perdre 2 heures de ma vie pour écouter ça. Lire le résumé me confirme mon impression...

Le nazisme, ce néo libarlisme qui a influencé tous les mangers. Les bourses fonctionnaient normalement. Je serais curieux que tu me dise les passages pour que j''entende les argumentaires de ces inépties débiles typique de la gauchiasserie indigente française comme seule nos université sont capable de produire

Merci.

il y a une heure, Gouderien a dit :

Les théories de Johann Chapoutot sont assez intéressantes, surtout quand il évoque l'influence du nazisme sur le management moderne. Au fond les nazis seraient des néo-libéraux avant la lettre...

A travers cet éclairage on comprend mieux certains aspects du monde d'aujourd'hui; car le IIIe Reich, bien loin de la légendaire "organisation allemande", c'était quand même un univers où régnait le chaos.

Il n'est pas si facile de se faire une idée des aspects économiques du nazisme, parce qu'il y a très peu de documentation là-dessus. On a l'impression que l'histoire économique et financière de la Seconde Guerre mondiale reste à écrire.

Ce n'est qu'au détour d'un ouvrage consacré à tout autre chose qu'on comprend que les bourses de l'Allemagne et des pays occupés fonctionnaient "presque" normalement, mais pour trouver des détails là-dessus, bonne chance! A croire que 75 ans après la fin du conflit, c'est encore un sujet tabou.

au passage

https://www.amazon.fr/exec/obidos/ISBN=2251381163?tag=liberauxorg-21

Livre plutot convaincu quoique un peu trop sur l'économie justement, sans contextualiser le contexte politique, social. Sinon le tout est extremement cohérent.

En tout cas je suis persuadé que économiquement, ça tient bien mieux la route que les "théories" de monsieur chapoutot

il y a 1 minute, Constantinople a dit :

Je savais que cette conférence et ce type n'étaient pris au sérieux que par les gauchiste comme @soloandsolo du coup je n'avais pas le gout de perdre 2 heures de ma vie pour écouter ça. Lire le résumé me confirme mon impression...

Le nazisme, ce néo libarlisme qui a influencé tous les mangers. Les bourses fonctionnaient normalement. Je serais curieux que tu me dise les passages pour que j''entende les argumentaires de ces inépties débiles typique de la gauchiasserie indigente française comme seule nos université sont capable de produire

Merci.

Si tu veux entendre tu enclenches la vidéo et tu prends ton temps, dans le cas inverse tu en restes là.

il y a 2 minutes, soloandsolo a dit :

Si tu veux entendre tu enclenches la vidéo et tu prends ton temps, dans le cas inverse tu en restes là.

2 heures, non. Mais si tu veux résumer les principaux acxiomes et leur justifications nazisme = néolibéralisme et nazisme = management selon l'ami @Gouderien je sens que ça peut être divertissant.

il y a 5 minutes, Constantinople a dit :

au passage

https://www.amazon.fr/exec/obidos/ISBN=2251381163?tag=liberauxorg-21

Livre plutot convaincu quoique un peu trop sur l'économie justement, sans contextualiser le contexte politique, social. Sinon le tout est extremement cohérent.

Il y a des dizaines de milliers de livres sur l'aspect militaire, que je connais par cœur. Par contre les bouquins sur l'économie allemande (et l'économie en général dans la guerre 39-45) sont rares, donc merci.

il y a 1 minute, Constantinople a dit :

2 heures, non. Mais si tu veux résumer les principaux acxiomes et leur justifications nazisme = néolibéralisme et nazisme = management selon l'ami @Gouderien je sens que ça peut être divertissant.

Alors dans ce cas tu demandes à @Gouderien c'est lui qui a avancé cet argument pas la conférence que tu n'as pas écouté.

il y a 6 minutes, Gouderien a dit :

Il y a des dizaines de milliers de livres sur l'aspect militaire, que je connais par cœur. Par contre les bouquins sur l'économie allemande (et l'économie en général dans la guerre 39-45) sont rares, donc merci.

De rien et vous avez raison, on parle rarement de la situation économique et sociale extrêmement complexe dans l'allemagne des années 30.

il y a 6 minutes, soloandsolo a dit :

Alors dans ce cas tu demandes à @Gouderien c'est lui qui a avancé cet argument pas la conférence que tu n'as pas écouté.

Je me disais, on ne peut pas être assez pitre pour faire ce genre de raccourcis quand on se prétends hisstorien.;

il y a 2 minutes, Constantinople a dit :

De rien et vous avez raison, on parle rarement de la situation économique et sociale extrêmement complexe dans l'allemagne des années 30.

 

Il en est fait état dans la conférence.

il y a 1 minute, soloandsolo a dit :

Il en est fait état dans la conférence.

Et si tu nous faisait un résumé plutot que poster une vidéo de deux heures ? Franchement, au moins pour nous donner une idée de l'argumentaire déployé car des théses sur la nature du nazisme, il y en a des centaines.

Pour moi d'ailleurs, il n'y a tout simplement pas d'idéologie nazie sinon un fratras d'idées en vogue dont l'axiome central est la germanité.

il y a 2 minutes, Constantinople a dit :

Et si tu nous faisait un résumé plutot que poster une vidéo de deux heures ? Franchement, au moins pour nous donner une idée de l'argumentaire déployé car des théses sur la nature du nazisme, il y en a des centaines.

Pour moi d'ailleurs, il n'y a tout simplement pas d'idéologie nazie sinon un fratras d'idées en vogue dont l'axiome central est la germanité.

J'écoute pas mal de conférences, je n'en poste pas en forum toutes les 5 mn. La thèse du conférencier est cossue, elle procède d'une déconstruction de l'intérieur avec un fond documentaire de 100.000 pages annoncées, autant dire que ces deux heures sont simplement le générique de son travail que je n'ai jamais lu. Il recoupe les dimensions sociologiques, historiques et économiques mais ne parle pas de fatras, plutôt d'une logique qui se met à l'oeuvre suite à un ensemble d'éléments concordants pour cette société ultra-cultivée, ainsi nous comprenons que le nazisme n'est pas l'oeuvre d'un seul homme, Hitler, mais d'un reliquat intellectuel au plus haut niveau des strates de la société Allemande à cette époque dans un vivier européen qui porte en arrière fond de façon contradictoire l'universalisme et son contraire dans un climat politique singulier. On y retrouve l'axiome de la germanité sous la forme d'une révolution vers la "loi de la nature" (fantasmée), bien sûr, mais des liens avec la théorie des races portée par l'époque et ce sur un pan "scientifique" qui rentrait alors dans le pseudo-scientifique.

Ce n'est qu'un aperçu, les grandes lignes sont données dans la conférence, elles sont multiples, complexes et ne pourrait se résumer de façon simple sans entendre la logique que développe l'auteur en "se mettant à la place" de cette pensée qui a ravagé l'Europe.

@soloandsolo

Oh putaint, le premier résumé  que je trouve...Main got.

Le nazisme n’est pas un aérolithe tombé du ciel, aime à souligner l’historien Johann Chapoutot qui publie ces jours-ci Libres d’obéir sous titré "Le management du nazisme à aujourd’hui"* (Gallimard). Un livre remarquable qui nous dévoile la modernité du nazisme en matière d’organisation du travail et ce qu’il en reste aujourd’hui : le culte de la performance, l’obsession de la flexibilité, le mépris des fonctionnaires et de l’État. Un livre qui fait mal et nous montre combien notre relation au monde du travail est encore imprégnée de l’idéologie nazie hostile à la lutte des classes et thuriféraire d’une optimisation maximale des "ressources humaines". Nous avons demandé à l’auteur des explications.

Oh putain, aprés le débat marxiste contre super marxiste, voici l'historie supra marxiste qui nous livre son analyse sur le nazisme, le tout aprés ton explication totalement marxiste de la nature des problémes africains à ne pas arrpver à un décollage économique, politique et sociale.

Tu as une idée fixe décidemment.

DECROCHE DE BOURDIEU;

Je continue à citer le mec.

Johann Chapoutot : Dans le cas de France Telecom - cette entreprise qui devait opérer la transition des PTT, service public admirable et aimé des Français, à "Orange", entreprise capitaliste, qui devait assurer un profit -, l’objectif du "top management" était de liquider l’éthique du fonctionnaire, et les fonctionnaires avec. Très clairement, des dizaines de milliers d’employés de France Telecom étaient considérés comme "non rentables", "non productifs", "non performants". Un poids mort ou, comme disaient les nazis, un "ballast" qui devait être passé par-dessus bord. Ce qui fut fait. Didier Lombard, le PDG de France Télécom, estimait que les départs se feraient "par la fenêtre ou par la porte".
Il fut exaucé : il y eut bien des employés de son entreprise qui se sont jetés par la fenêtre, littéralement. Cette conception utilitariste, budgétariste et méprisante des êtres humains a abouti à 35 suicides pour les seules années 2008 et 2009. Fait intéressant : le cabinet de "conseil en management" payé par la direction de France Telecom enseignait à 4.000 "managers" censés effectuer la purge que la situation de l’entreprise était comparable à la guerre de 1940. Dans les documents distribués, on vantait l’"action opérationnelle planifiée avec précision" et l’"exécution conforme" des ordres par l’aviation nazie, la Luftwaffe, tout en soulignant la "finalité partagée", la "stimulation de l’autonomie" et "l’anticipation" de la Royal Air Force. Même s’il s’agit d’exalter les vainqueurs ici (les Britanniques), la fascination pour l’armée allemande est frappante. Par ailleurs, comparer une situation entrepreneuriale à une guerre mondiale est d’une puérilité, d’une immaturité et d’une obscénité confondantes. Les "managers" et leurs "consultants" sont-ils des incultes à ce point ?

A ce niveau là ce n'est même plus de la propagande. Hallucinant.La privatisation, l'objectif de performance, tout ca C'EST NAZI !!!!!!!!

Guignol.

Le terme de totalitarisme sert de banc d’essai pour aligner, sur un même plan comparatif, les trois frères supposés que sont le fascisme, le nazisme et le stalinisme. Un des caractères supposément communs de ces trois phénomènes qu’il faut certes comparer, mais pas assimiler, comme le font les ignorants et les programmes de première depuis les années 1990, serait le culte absolu de l’Etat. Rien de plus faux dans le cas nazi. Il suffit de lire les sources (encore faut-il savoir les lire, en en maîtrisant la langue) pour se rendre compte de ce que les nazis en disent : la répudiation de l’Etat est manifeste dans le discours comme dans les actes. Tout est fait pour le détruire, non pas à long terme, comme dans le cas stalinien, où la société socialiste sans État ni classes est remise à un avenir indéfini, mais ici et maintenant. Les nazis détestent l’Etat qui est, à leurs yeux, une réalité allogène, anti-germanique, de facture latine, catholique, juive, française. C’est du reste pour cela qu’un fervent partisan de l’Etat comme Carl Schmitt (1888-1985) se fait rapidement dépasser sur sa droite, dès 1936, par des juristes de la SS comme Reinhard Höhn, qui pensent biologiquement et non politiquement.

Les nazis dévalorisent l'état donc tout ce qui dévalorise l'état est nazi. Alors on serait tenté de dire, le communisme adore l'état alors tout ce qui adore l'état est communiste ? Mais non, là ça ne marche pas il faut le savoir : l'URSS en fait, est un anti socialisme.

Quel pitre infâme.

il y a 2 minutes, Constantinople a dit :

@soloandsolo

Oh putaint, le premier résumé  que je trouve...Main got.

Le nazisme n’est pas un aérolithe tombé du ciel, aime à souligner l’historien Johann Chapoutot qui publie ces jours-ci Libres d’obéir sous titré "Le management du nazisme à aujourd’hui"* (Gallimard). Un livre remarquable qui nous dévoile la modernité du nazisme en matière d’organisation du travail et ce qu’il en reste aujourd’hui : le culte de la performance, l’obsession de la flexibilité, le mépris des fonctionnaires et de l’État. Un livre qui fait mal et nous montre combien notre relation au monde du travail est encore imprégnée de l’idéologie nazie hostile à la lutte des classes et thuriféraire d’une optimisation maximale des "ressources humaines". Nous avons demandé à l’auteur des explications.

Oh putain, aprés le débat marxiste contre super marxiste, voici l'historie supra marxiste qui nous livre son analyse sur le nazisme, le tout aprés ton explication totalement marxiste de la nature des problémes africains à ne pas arrpver à un décollage économique, politique et sociale.

Tu as une idée fixe décidemment.

DECROCHE DE BOURDIEU;

Je continue à citer le mec.

 

Johann Chapoutot : Dans le cas de France Telecom - cette entreprise qui devait opérer la transition des PTT, service public admirable et aimé des Français, à "Orange", entreprise capitaliste, qui devait assurer un profit -, l’objectif du "top management" était de liquider l’éthique du fonctionnaire, et les fonctionnaires avec. Très clairement, des dizaines de milliers d’employés de France Telecom étaient considérés comme "non rentables", "non productifs", "non performants". Un poids mort ou, comme disaient les nazis, un "ballast" qui devait être passé par-dessus bord. Ce qui fut fait. Didier Lombard, le PDG de France Télécom, estimait que les départs se feraient "par la fenêtre ou par la porte".
Il fut exaucé : il y eut bien des employés de son entreprise qui se sont jetés par la fenêtre, littéralement. Cette conception utilitariste, budgétariste et méprisante des êtres humains a abouti à 35 suicides pour les seules années 2008 et 2009. Fait intéressant : le cabinet de "conseil en management" payé par la direction de France Telecom enseignait à 4.000 "managers" censés effectuer la purge que la situation de l’entreprise était comparable à la guerre de 1940. Dans les documents distribués, on vantait l’"action opérationnelle planifiée avec précision" et l’"exécution conforme" des ordres par l’aviation nazie, la Luftwaffe, tout en soulignant la "finalité partagée", la "stimulation de l’autonomie" et "l’anticipation" de la Royal Air Force. Même s’il s’agit d’exalter les vainqueurs ici (les Britanniques), la fascination pour l’armée allemande est frappante. Par ailleurs, comparer une situation entrepreneuriale à une guerre mondiale est d’une puérilité, d’une immaturité et d’une obscénité confondantes. Les "managers" et leurs "consultants" sont-ils des incultes à ce point ?

A ce niveau là ce n'est même plus de la propagande. Hallucinant.La privatisation, l'objectif de performance, tout ca C'EST NAZI !!!!!!!!

Guignol.

Le terme de totalitarisme sert de banc d’essai pour aligner, sur un même plan comparatif, les trois frères supposés que sont le fascisme, le nazisme et le stalinisme. Un des caractères supposément communs de ces trois phénomènes qu’il faut certes comparer, mais pas assimiler, comme le font les ignorants et les programmes de première depuis les années 1990, serait le culte absolu de l’Etat. Rien de plus faux dans le cas nazi. Il suffit de lire les sources (encore faut-il savoir les lire, en en maîtrisant la langue) pour se rendre compte de ce que les nazis en disent : la répudiation de l’Etat est manifeste dans le discours comme dans les actes. Tout est fait pour le détruire, non pas à long terme, comme dans le cas stalinien, où la société socialiste sans État ni classes est remise à un avenir indéfini, mais ici et maintenant. Les nazis détestent l’Etat qui est, à leurs yeux, une réalité allogène, anti-germanique, de facture latine, catholique, juive, française. C’est du reste pour cela qu’un fervent partisan de l’Etat comme Carl Schmitt (1888-1985) se fait rapidement dépasser sur sa droite, dès 1936, par des juristes de la SS comme Reinhard Höhn, qui pensent biologiquement et non politiquement.

Les nazis dévalorisent l'état donc tout ce qui dévalorise l'état est nazi. Alors on serait tenté de dire, le communisme adore l'état alors tout ce qui adore l'état est communiste ? Mais non, là ça ne marche pas il faut le savoir : l'URSS ne favorise pas l'étatisme et en fait, est un anti socialisme.

Quel pitre infâme.

 

Bah tu es surtout très fermé un peu comme d'habitude, un conférence est proposée, tu ne l'ecoutes pas et tu vas voir chez google si un avis pourrait aller dans le sens de présupposé qui est le tien, tu es aussi pénible qu'un marxiste stalinien, juste en sens inverse. Mais je vais plutôt penser qu'après une rude journée de travail tu viens te défouler.

Pour la petite histoire, la conférence m'a été envoyé hier, je ne connaissais pas l'auteur, la personne qui m'a envoyé le lien voulait simplement mon avis.

Bref...Je te laisse te défouler.

il y a 7 minutes, soloandsolo a dit :

J'écoute pas mal de conférences, je n'en poste pas en forum toutes les 5 mn. La thèse du conférencier est cossue, elle procède d'une déconstruction de l'intérieur avec un fond documentaire de 100.000 pages annoncées, autant dire que ces deux heures sont simplement le générique de son travail que je n'ai jamais lu. Il recoupe les dimensions sociologiques, historiques et économiques mais ne parle pas de fatras, plutôt d'une logique qui se met à l'oeuvre suite à un ensemble d'éléments concordants pour cette société ultra-cultivée, ainsi nous comprenons que le nazisme n'est pas l'oeuvre d'un seul homme, Hitler, mais d'un reliquat intellectuel au plus haut niveau des strates de la société Allemande à cette époque dans un vivier européen qui porte en arrière fond de façon contradictoire l'universalisme et son contraire dans un climat politique singulier. On y retrouve l'axiome de la germanité sous la forme d'une révolution vers la "loi de la nature" (fantasmée), bien sûr, mais des liens avec la théorie des races portée par l'époque et ce sur un pan "scientifique" qui rentrait alors dans le pseudo-scientifique.

Ce n'est qu'un aperçu, les grandes lignes sont données dans la conférence, elles sont multiples, complexes et ne pourrait se résumer de façon simple sans entendre la logique que développe l'auteur en "se mettant à la place" de cette pensée qui a ravagé l'Europe.

comme je le disais, le nazisme est un amas d'idées en vogue en allemagne depuis le XIX eme siecle et son essor (cela va de l'idéal athénien, à la germanité, la langue, le phénoméne wolkish, un certain socialisme national issu du cercle prodhon en france et du fascisme italien, les théses géopolitiques, j'en passe et des dizaines d'autres, un discours anti sémite/anticapitaliste/anti banque, un rejet de l'inneficacité de la démocratie parlementaire bourgeoise et sa corruption...Bref...

Le nazisme effectovemment ne nait pas ex nihilo, et n'a rien de propre à lui même sinon la figure messianique d'hitler.

Moi je suis pour la pensée naze, j' ai bon...?

il y a 1 minute, Constantinople a dit :

comme je le disais, le nazisme est un amas d'idées en vogue en allemagne depuis le XIX eme siecle et son essor (cela va de l'idéal athénien, à la germanité, la langue, le phénoméne wolkish, un certain socialisme national issu du cercle prodhon en france et du fascisme italien, les théses géopolitiques, j'en passe et des dizaines d'autres, un discours anti sémite/anticapitaliste/anti banque, un rejet de l'inneficacité de la démocratie parlementaire bourgeoise et sa corruption...Bref...

Le nazisme effectovemment ne nait pas ex nihilo, et n'a rien de propre à lui même sinon la figure messianique d'hitler.

Voilà, tu écouteras la conférence si ça te tente, il parle de tout cela aussi.

il y a 1 minute, soloandsolo a dit :

Voilà, tu écouteras la conférence si ça te tente, il parle de tout cela aussi.

Tout ceci n'a absolument aucun rapport avec le libéralisme, et surement pas le libéralisme post nazisme, encore moins le grand capital. Ce monsieur est peut être compétent pour parler des idées en vogue dans l'allemagne du xix eme et du xx eme siecle, mais sa maniére de lier ça au capitalisme et inguliérement au libéralisme de l'époque, sans parler de l'actuel, n'est pas le fait d'une incompétence mais d'une idéologie, et idieu sait que l'historiographie franaise en a souffert, particuliérement sur la deuxieme guerre mondiale.

il y a 1 minute, Constantinople a dit :

Tout ceci n'a absolument aucun rapport avec le libéralisme, et surement pas le libéralisme post nazisme, encore moins le grand capital. Ce monsieur est peut être compétent pour parler des idées en vogue dans l'allemagne du xix eme et du xx eme siecle, mais sa maniére de lier ça au capitalisme et inguliérement au libéralisme de l'époque, sans parler de l'actuel, n'est pas le fait d'une incompétence mais d'une idéologie, et idieu sait que l'historiographie franaise en a souffert, particuliérement sur la deuxieme guerre mondiale.

Je ne connais pas les développés de sa pensée sur ces sujets, j'ai posté une conférence qui cible sur un thème donné : le nazisme, dans le forum histoire, cette conférence me parait pertinente dans sa construction théorique et historique, écoute qui en a envie.

il y a 39 minutes, Constantinople a dit :

Et si tu nous faisait un résumé plutot que poster une vidéo de deux heures ? Franchement, au moins pour nous donner une idée de l'argumentaire déployé car des théses sur la nature du nazisme, il y en a des centaines.

C'est une conférence très intéressante.