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« Les dessous de la statue de la Liberté » et « L’Empire State Building » : deux monuments new-yorkais passés au scanner


Petit ours

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Membre, Raphaël 🇦🇲🇵🇸, 21ans Posté(e)
Petit ours Membre 5 438 messages
Maitre des forums‚ 21ans‚ Raphaël 🇦🇲🇵🇸,
Posté(e)

https://www.lemonde.fr/culture/article/2019/12/05/les-dessous-de-la-statue-de-la-liberte-et-l-empire-state-building-deux-monuments-new-yorkais-passes-au-scanner_6021834_3246.html

Quand les nouvelles technologies se mettent au service des anciennes… 

Cadeau des Français aux Américains pour marquer le centenaire de l’indépendance des Etats-Unis, en 1876, La Liberté éclairant le monde est universellement connue. L’identité en revanche de celle qui aurait inspiré son sculpteur, l’Alsacien Frédéric Auguste Bartholdi, reste incertaine. Les hypothèses les plus couramment évoquées sont Charlotte Bartoldi, sa mère, sa femme Jeanne-Emilie, ou Charles, son frère. Le recours à un « superprofileur » de la police américaine, « plus efficace qu’un logiciel de reconnaissance facial » va être déterminante, même si elle prête surtout à sourire.

Plus sérieusement, le film s’attarde sur le choix de l’emplacement où la statue a été bâtie, à l’entrée de la rade de New York, près d’Ellis Island ; sur le rôle de cet ancien fort militaire de Fort Wood, en forme d’étoile à 11 branches ; et sur la présence d’un vaste lit de coquilles d’huître en soubassement.

Une charpente métallique d’Eiffel

Autre séquence intéressante, celle tournée à Rhodes, en Grèce, sur les traces de l’une des sept merveilles du monde antique aujourd’hui disparue – si tant est qu’elle ait existé –, et qui a largement inspiré le sculpteur français, passionné de statues colossales.

A la différence que la statue new-yorkaise demeure, elle, « debout ». Une résistance que le film explique par la charpente métallique d’Eiffel, « souple » en cas de tempête, mais aussi par la forme de sa toge, sous laquelle le scanner nous fait pénétrer, et par le cuivre qui la recouvre…

La même ingéniosité se retrouve dans la construction de l’Empire State Building, inauguré en 1931 à Manhattan, et qui conservera le titre de plus haut gratte-ciel au monde jusqu’en 1967. On y retrouve une structure métallique, à rivets, et une « colonne vertébrale » capable d’osciller par grands vents. La démonstration, aujourd’hui, de la difficulté pour poser un seul rivet « à chaud », laisse admiratif devant le travail réalisé il y a près d’un siècle par les ouvriers, au rythme d’un étage assemblé par jour.

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Membre, Talon 1, 79ans Posté(e)
Talon 1 Membre 24 187 messages
79ans‚ Talon 1,
Posté(e)

Oups, je range mes kleenex.

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