Qu'est-ce que le voyage?

bonsoir

pourquoi partir si c'est pour revenir ? car il semble que l'on reviens toujours à ce que l'on est ?

ayant été dans d'autre situations dans d'autres endroits , j'ai réagis en m'adaptant , mais revenus dans des situations normales , je me suis retrouvé .

pour chercher à se comprendre , il faut peut-être se comparer aux autres mais là , nous ne nous retrouvons plus . il restera peut-être une part de mystère en nous  , sur ce que nous somme ou croyons être et sur ce que les autres croient ce que nous sommes ?

bonne soirée

Le 17/12/2019 à 20:05, Guillaume_des_CS a dit :

Que mettez-vous dans "ses"? "Ses", à qui? À quoi? À soi-même? Alors revient ma question. Comment pouvez-vous penser "ses" limites sans d'abord penser "soi-même"? Pardonnez-moi mais je ne comprends pas.

Soi est une chose simple, et les choses à soi, ses, mes, etc est aussi une chose simple.

Soi ou moi, ou toi, non dans le sens des psychanalystes mais dans la chose simple, correspond à ce que je pense de moi, de soi, de toi, car je n'ai rien à penser inintéressant de la personne physique, ni de la mienne, ni de la votre, une personne physique est une quantité, on peut la réduire, couper une jambe ou retirer un rein, ça n'a pas d'importance, ce n'est toujours qu'une question de quantité, la quantité dépend des inventaires et des balances à peser, le reste, ce qui n'est pas physique est mental, plus précisément penser,  le penser peut présenter un intérêt ou pas, cela dépendra de ce qu'on peut y trouver,  mais ce qui me semble évident, c'est que tout ce que je considère comme existant en moi est contenu dans mon penser, conscient et inconscient, bien que j'utilise normalement très peu mon inconscient, je ne vais pas tout de même faire comme s'il n'était pas, d'autant que puisque je suis capable d'y penser, et que "je" ou toutes les autres "personnes" qui sont en mon mental sont capables d'y penser, l'inconscient existe par ce fait même que j'y pense, et peut-être que mon conscient existe par le seul fait que l'inconscient qui est en moi y pense.

Vous n'avez d'existence en moi uniquement par ce que je suis "capable" de penser de vous, ce "je" n'a d'existence en ce "moi" que parce que tous les personnages qui m'habitent sont en mesure de penser quelque chose de ce soi, ce moi, ce je, etc.

Il y a 5 heures, ÈléonoreK a dit :

Soi est une chose simple, et les choses à soi, ses, mes, etc est aussi une chose simple.

Soi ou moi, ou toi, non dans le sens des psychanalystes mais dans la chose simple, correspond à ce que je pense de moi, de soi, de toi, car je n'ai rien à penser inintéressant de la personne physique, ni de la mienne, ni de la votre, une personne physique est une quantité, on peut la réduire, couper une jambe ou retirer un rein, ça n'a pas d'importance, ce n'est toujours qu'une question de quantité, la quantité dépend des inventaires et des balances à peser, le reste, ce qui n'est pas physique est mental, plus précisément penser,  le penser peut présenter un intérêt ou pas, cela dépendra de ce qu'on peut y trouver,  mais ce qui me semble évident, c'est que tout ce que je considère comme existant en moi est contenu dans mon penser, conscient et inconscient, bien que j'utilise normalement très peu mon inconscient, je ne vais pas tout de même faire comme s'il n'était pas, d'autant que puisque je suis capable d'y penser, et que "je" ou toutes les autres "personnes" qui sont en mon mental sont capables d'y penser, l'inconscient existe par ce fait même que j'y pense, et peut-être que mon conscient existe par le seul fait que l'inconscient qui est en moi y pense.

Vous n'avez d'existence en moi uniquement par ce que je suis "capable" de penser de vous, ce "je" n'a d'existence en ce "moi" que parce que tous les personnages qui m'habitent sont en mesure de penser quelque chose de ce soi, ce moi, ce je, etc.

Non, désolé, je ne vous comprends pas. Pour moi, votre raisonnement est mystique (oxymore?, a minima, incohérent a maxima). D'un côté vous me dites: "soi" n'est pas à considérer sous l'angle de la psychanalyse (donc de la psychiatrie et de la psychologie, nous sommes bien d'accord? Sinon expliquez-moi...), de l'autre vous me dites: "soi" est la conscience de soi! Ou l'inconscience de soi! 

Pardonnez-moi mais, moi qui suis un peu habitué à raisonner de façon un peu complexe, là, je peine...

Si j'en reviens à nos moutons, pour moi, voyager reste toujours une tentative nouvelle de découverte d'une réalité figée dans l'espace-temps, et qui probablement est illusoire: moi! Et dans mon cas, cela passe par l'écriture. Je sais que je serai autre dans une milliseconde! Et pourtant je porte ce désir ardent de me comprendre, de me simplifier? De me représenter dans une image figée, observable, tangible?

Je crois (intuition) sincèrement que le jour où j'arriverai à me comprendre, je serai mort. Je crois que le voyage est la vie... Et je me dis que sur ce point, peut-être, nous pourrions nous rejoindre...?

il y a une heure, Guillaume_des_CS a dit :

Non, désolé, je ne vous comprends pas. Pour moi, votre raisonnement est mystique (oxymore?, a minima, incohérent a maxima). D'un côté vous me dites: "soi" n'est pas à considérer sous l'angle de la psychanalyse (donc de la psychiatrie et de la psychologie, nous sommes bien d'accord? Sinon expliquez-moi...), de l'autre vous me dites: "soi" est la conscience de soi! Ou l'inconscience de soi! 

Pardonnez-moi mais, moi qui suis un peu habitué à raisonner de façon un peu complexe, là, je peine...

Si j'en reviens à nos moutons, pour moi, voyager reste toujours une tentative nouvelle de découverte d'une réalité figée dans l'espace-temps, et qui probablement est illusoire: moi! Et dans mon cas, cela passe par l'écriture. Je sais que je serai autre dans une milliseconde! Et pourtant je porte ce désir ardent de me comprendre, de me simplifier? De me représenter dans une image figée, observable, tangible?

Je crois (intuition) sincèrement que le jour où j'arriverai à me comprendre, je serai mort. Je crois que le voyage est la vie... Et je me dis que sur ce point, peut-être, nous pourrions nous rejoindre...?

Raisonner de façon un peu complexe ? C'est bien imprudent.

Je répète donc mais en plus concis, et moins... comment dites-vous? ah oui ! Mystique !

Parce que c'est mystique que de dire qu'en dehors de ce que je suis en mesure de penser, il n'existe rien.

il y a 1 minute, ÈléonoreK a dit :

Raisonner de façon un peu complexe ? C'est bien imprudent.

Je répète donc mais en plus concis, et moins... comment dites-vous? ah oui ! Mystique !

Parce que c'est mystique que de dire qu'en dehors de ce que je suis en mesure de penser, il n'existe rien.

 

Non, vous me faites là un procès d'intention... Si vous me lisez un peu, à droite à gauche, vous comprendrez facilement je pense que votre procès est "infondable"...

à l’instant, Guillaume_des_CS a dit :

Non, vous me faites là un procès d'intention... Si vous me lisez un peu, à droite à gauche, vous comprendrez facilement je pense que votre procès est "infondable"...

Que me chantez-vous là, je ne fais de procès à personne.

Lorsque vous me prenez pour une mystique, ou du-moins lorsque vous dites que mon raisonnement est mystique, là, il s'agit bien d'un procès.

il y a 2 minutes, ÈléonoreK a dit :

Que me chantez-vous là, je ne fais de procès à personne.

Lorsque vous me prenez pour une mystique, ou du-moins lorsque vous dites que mon raisonnement est mystique, là, il s'agit bien d'un procès.

Je ne vous ai pas prise (jugée) comme "mystique": j'ai écrit, précautionneusement, "Pour moi..." (ma lecture, ma responsabilité...)

il y a 7 minutes, Guillaume_des_CS a dit :

c'est mystique que de dire qu'en dehors de ce que je suis en mesure de penser, il n'existe rien.

Par contre, vous écrivez ceci en me l'attribuant implicitement... 

à l’instant, Guillaume_des_CS a dit :

Je ne vous ai pas prise (jugée) comme "mystique": j'ai écrit, précautionneusement, "Pour moi..." (ma lecture, ma responsabilité...)

Trop de précaution ôte la simplicité, mais je peux vous comprendre, nous vivons une drôle d'époque.

Avez-vous compris ce que je voulais dire, qui n'est pas autre chose que ce que je peux vivre ?

il y a 4 minutes, ÈléonoreK a dit :

Trop de précaution ôte la simplicité, mais je peux vous comprendre, nous vivons une drôle d'époque.

Avez-vous compris ce que je voulais dire, qui n'est pas autre chose que ce que je peux vivre ?

La "simplicité" semble vous obséder au même point que la "complexité" m'obsède. Que mettez-vous dans ce mot? 

La complexité, je la décris dans chacun de mes posts sur ce forum (et ailleurs...). 

La simplicité me pose un vrai problème, car nous sommes dans un mode d'une complexité inouïe, et la simplicité ne peut jamais résoudre la complexité (en systémique entendons-nous, mais je ne crois pas qu'elle aie davantage de chances en philosophie...?)

il y a 11 minutes, Guillaume_des_CS a dit :

La "simplicité" semble vous obséder au même point que la "complexité" m'obsède. Que mettez-vous dans ce mot? 

La complexité, je la décris dans chacun de mes posts sur ce forum (et ailleurs...). 

La simplicité me pose un vrai problème, car nous sommes dans un mode d'une complexité inouïe, et la simplicité ne peut jamais résoudre la complexité (en systémique entendons-nous, mais je ne crois pas qu'elle davantage de chances en philosophie...?)

Le monde est complexe, c'est vrai, il est complexe dans sa richesse et diversité, mais il est aussi fort simple, infiniment simple, la simplicité ne s'oppose pas à la complexité, elle s'oppose à la complication, souffrez-vous d'une confusion des termes complexe et compliqué  ?

Nous vivons une époque où tout est compliqué, mais seulement dans les esprits, de complication il n'est pas dans ce monde, il n'en n'est que dans les esprits. Lorsque j'entends dire que l'on pense de façon complexe, c'est comme si j'entendais crépiter le feu sous le bûcher de celui qui sait les choses simples.

Rien n'a de sens, et nous parlons. Rien n'a de sens et il nous faut parler.

Parler se peut à partir de penser, mais parler reste une tentative orgueilleuse et absurde, il n'est rien à dire, et pourtant, nous y sommes obligés, alors ne compliquons pas les choses simples, disons des évidences, tout ce à quoi je peux penser qui se réfère à moi, à vous, à chacun, est ce que nous appelons soi. Lorsque le loup se lèche les babines en surveillant sa proie, il pense "manger", "survivre", etc. Ce qu'il pense n'est pas lui, il n'y a pas de "lui", de "soi", de "moi", il n'y a rien de tout cela en dehors de la pensée, comme il n'y a pas de dehors de la pensée sans penser.

il y a 22 minutes, ÈléonoreK a dit :

Le monde est complexe, c'est vrai, il est complexe dans sa richesse et diversité, mais il est aussi fort simple, infiniment simple, la simplicité ne s'oppose pas à la complexité, elle s'oppose à la complication, souffrez-vous d'une confusion des termes complexe et compliqué  ?

Nous vivons une époque où tout est compliqué, mais seulement dans les esprits, de complication il n'est pas dans ce monde, il n'en n'est que dans les esprits. Lorsque j'entends dire que l'on pense de façon complexe, c'est comme si j'entendais crépiter le feu sous le bûcher de celui qui sait les choses simples.

Rien n'a de sens, et nous parlons. Rien n'a de sens et il nous faut parler.

Parler se peut à partir de penser, mais parler reste une tentative orgueilleuse et absurde, il n'est rien à dire, et pourtant, nous y sommes obligés, alors ne compliquons pas les choses simples, disons des évidences, tout ce à quoi je peux penser qui se réfère à moi, à vous, à chacun, est ce que nous appelons soi. Lorsque le loup se lèche les babines en surveillant sa proie, il pense "manger", "survivre", etc. Ce qu'il pense n'est pas lui, il n'y a pas de "lui", de "soi", de "moi", il n'y a rien de tout cela en dehors de la pensée, comme il n'y a pas de dehors de la pensée sans penser.

 

Whaoo! Me permettez-vous de disséquer votre post à la façon dont je le fais systématiquement avec les posts de @Marzhin? Je veux dire de le reprendre mot-à-mot pour y répondre mot-à-mot? Car en effet, là, je me sens impuissant à vous répondre "globalement"... Je suis désarmé, sauf à rentrer dans l'antre (l'inconnu)... D'où ma demande. Ce lieu vous appartient, je n'ai pas prétention à le violer... Croyez en tout cas que j'y mettrai(s) le plus grand respect. Mais..., êtes-vous réellement prête à vous questionner? Pensez-y bien avant que de décider... 

il y a 40 minutes, ÈléonoreK a dit :

Le monde est complexe, c'est vrai, il est complexe dans sa richesse et diversité, mais il est aussi fort simple, infiniment simple, la simplicité ne s'oppose pas à la complexité, elle s'oppose à la complication, souffrez-vous d'une confusion des termes complexe et compliqué  ?

Nous vivons une époque où tout est compliqué, mais seulement dans les esprits, de complication il n'est pas dans ce monde, il n'en n'est que dans les esprits. Lorsque j'entends dire que l'on pense de façon complexe, c'est comme si j'entendais crépiter le feu sous le bûcher de celui qui sait les choses simples.

Rien n'a de sens, et nous parlons. Rien n'a de sens et il nous faut parler.

Parler se peut à partir de penser, mais parler reste une tentative orgueilleuse et absurde, il n'est rien à dire, et pourtant, nous y sommes obligés, alors ne compliquons pas les choses simples, disons des évidences, tout ce à quoi je peux penser qui se réfère à moi, à vous, à chacun, est ce que nous appelons soi. Lorsque le loup se lèche les babines en surveillant sa proie, il pense "manger", "survivre", etc. Ce qu'il pense n'est pas lui, il n'y a pas de "lui", de "soi", de "moi", il n'y a rien de tout cela en dehors de la pensée, comme il n'y a pas de dehors de la pensée sans penser.

 

Simplicité et profondeur font bon ménage. Etre simple signifie que l'on a su dénouer tous les inévitables nœuds et conflits qui habitent notre esprit.

Avec suffisamment de clarté, il est possible de concentré dans quelques mots un "paysage" plus complexe, une arborescence de sens, tout en sentant poindre, à l'instant où on les écrits, leurs obsolescentes valeurs.

il y a 3 minutes, Junayd a dit :

il est possible de concentré dans quelques mots un "paysage" plus complexe, une arborescence de sens, tout en sentant poindre, à l'instant où on les écrits, leurs obsolescentes valeurs

Je vous approuve. Je ne dis pas autre chose quand je dis que "je serai autre dans une milliseconde". Mais, pardonnez-moi, je n'approuve que cette partie de votre post. Tout le reste, je le désapprouve. 

il y a une heure, Guillaume_des_CS a dit :

Whaoo! Me permettez-vous de disséquer votre post à la façon dont je le fais systématiquement avec les posts de @Marzhin? Je veux dire de le reprendre mot-à-mot pour y répondre mot-à-mot? Car en effet, là, je me sens impuissant à vous répondre "globalement"... Je suis désarmé, sauf à rentrer dans l'antre (l'inconnu)... D'où ma demande. Ce lieu vous appartient, je n'ai pas prétention à le violer... Croyez en tout cas que j'y mettrai(s) le plus grand respect. Mais..., êtes-vous réellement prête à vous questionner? Pensez-y bien avant que de décider... 

Croyez-vous vraiment que je vous ai attendu pour me questionner, ou faîtes-vous de l'humour ?

Disséquez, je vous le permets, bien entendu, mais sachez reconstituer le corps comme à l'origine, vous avez à faire à une spécialiste des autopsies.

Citation

 

Je vous approuve. Je ne dis pas autre chose quand je dis que "je serai autre dans une milliseconde". Mais, pardonnez-moi, je n'approuve que cette partie de votre post. Tout le reste, je le désapprouve. 

 

Je n'ai pas à vous pardonner de rester fidèle à vous-même. Bien au contraire. De plus, je ne cherche pas l'approbation (ni l'a désapprobation).

Mais qui sait, dans une milliseconde vous approuverez peut-être. 

il y a 13 minutes, ÈléonoreK a dit :

Croyez-vous vraiment que je vous ai attendu pour me questionner, ou faîtes-vous de l'humour ?

Disséquez, je vous le permets, bien entendu, mais sachez reconstituer le corps comme à l'origine, vous avez à faire à une spécialiste des autopsies.

Vous ne pouvez pas fixer les règles de mon autopsie, réfléchissez encore...

il y a 1 minute, Guillaume_des_CS a dit :

Vous ne pouvez pas fixer les règles de mon autopsie, réfléchissez encore...

Je crois qu'on va finir par ne pas se comprendre.

il y a 28 minutes, Junayd a dit :

dans une milliseconde vous approuverez peut-être.

En tout cas, c'est un "possible" que je ne refuse jamais; je vous ai donc attentivement relu-e. Hélas (pour moi, j'adore découvrir, changer...), il ne s'est rien passé de magique. Cependant, me sachant "émotif-actif-secondaire" selon une certaine catégorisation psychologique, j'ai déjà constaté mille fois dans ma vie, qu'après une "bonne" nuit de sommeil... 

Peut-être demain? Allez savoir?...

Merci de cet échange en tout cas. Car c'est aussi cela le sens de ma présence ici (et de la vôtre probablement)...

il y a 12 minutes, ÈléonoreK a dit :

Je crois qu'on va finir par ne pas se comprendre.

Nous n'avons jamais commencé par nous comprendre je crois. Voulez-vous que je vous rappelle "nos débuts"?

il y a 25 minutes, Guillaume_des_CS a dit :

En tout cas, c'est un "possible" que je ne refuse jamais; je vous ai donc attentivement relu-e. Hélas (pour moi, j'adore découvrir, changer...), il ne s'est rien passé de magique. Cependant, me sachant "émotif-actif-secondaire" selon une certaine catégorisation psychologique, j'ai déjà constaté mille fois dans ma vie, qu'après une "bonne" nuit de sommeil... 

Peut-être demain? Allez savoir?...

Merci de cet échange en tout cas. Car c'est aussi cela le sens de ma présence ici (et de la vôtre probablement)...

Nous n'avons jamais commencé par nous comprendre je crois. Voulez-vous que je vous rappelle "nos débuts"?

Oui, c'est exact. Non, il n'y a pas eu de début par conséquent.

il y a 9 minutes, ÈléonoreK a dit :

Oui, c'est exact. Non, il n'y a pas eu de début par conséquent.

Positivons Madame, je salue votre grandeur d'âme. Puissiez-vous jamais la mettre au service de l'Humanité (en chair et en os)! Votre intelligence nous manque. Pensez-y...