Un Grand Amour

Un Grand Amour

(Chanson)

Tu t'es payé un grand amour

Comme on se paye des vacances,

Depuis je cherche nos "toujours"

Dans le creux noir de ton absence...

Les cyniques riront de moi

Tu leur avais fourbi des armes

M'en fous, je pleure et ris pour toi

Et ce soir je ris jusqu'aux larmes...

Quelques semaines en pointillé

De joie de peine en double face

Nos mains nos corps vont s'oublier

L'été se meurt, l'hiver s'efface...

Tu t'es payé un grand amour

Comme on se paye des vacances

Depuis je cherche nos "toujours"

Dans le creux noir de ton absence...

(Toute ressemblance... etc. etc. serait purement exagérée...)

Il y a 5 heures, Blaquière a dit :

Un Grand Amour

(Chanson)

J'aimerais bien que tu fasses encore un effort, prend ta guitare et fait nous écouter ta chanson.
 

il y a 6 minutes, riad** a dit :

J'aimerais bien que tu fasses encore un effort, prend ta guitare et fait nous écouter ta chanson.
 

C'est pas l'envie qui m'en manque !...

Un jour peut-être sûrement...

il y a 3 minutes, Blaquière a dit :

C'est pas l'envie qui m'en manque !...

Un jour peut-être sûrement...

D'accord, promis C'est Juré.

Il y a 6 heures, Blaquière a dit :

Un Grand Amour

(Chanson)

 

Tu t'es payé un grand amour

Comme on se paye des vacances,

Depuis je cherche nos "toujours"

Dans le creux noir de ton absence...

 

Les cyniques riront de moi

Tu leur avais fourbi des armes

M'en fous, je pleure et ris pour toi

Et ce soir je ris jusqu'aux larmes...

 

Quelques semaines en pointillé

De joie de peine en double face

Nos mains nos corps vont s'oublier

L'été se meurt, l'hiver s'efface...

 

Tu t'es payé un grand amour

Comme on se paye des vacances

Depuis je cherche nos "toujours"

Dans le creux noir de ton absence...

 

 

(Toute ressemblance... etc. etc. serait purement exagérée...)

Il faut un refrain à toute chanson... Tu as oublié le refrain !

il y a 22 minutes, sera-angel a dit :

Il faut un refrain à toute chanson... Tu as oublié le refrain !

Je ne suis pas poète comme Blaquière...

Mais je me suis dis, tiens si je m'essayais à écrire le refrain en lien avec l'impression générale du poème :

 Voila le travail ! 

Je cherchais en vain une poupée,

Pour assouvir un désir de bête,

Nos mains, nos corps se sont croisées,

Depuis lors,je n’ai que toi en tête.

à l’instant, Enchantant a dit :

Je ne suis pas poète comme Blaquière...

Mais je me suis dis, tiens si je m'essayais à écrire le refrain en lien avec l'impression générale du poème :

 Voila le travail ! 

Je cherchais en vain une poupée,

Pour assouvir un désir de bête,

Nos mains, nos corps se sont croisées,

Depuis lors,je n’ai que toi en tête.

Arrête pour une fois que @Blaquière était dans le super sérieux.. même pas une petite contrepèterie rien

il y a 9 minutes, Enchantant a dit :

Je ne suis pas poète comme Blaquière...

Mais je me suis dis, tiens si je m'essayais à écrire le refrain en lien avec l'impression générale du poème :

 Voila le travail ! 

Je cherchais en vain une poupée,

Pour assouvir un désir de bête,

Nos mains, nos corps se sont croisées,

Depuis lors,je n’ai que toi en tête.

Excellent !!! N empêche.. 

moi je verrais après les 2 premières strophes :

ces larmes, moi, troubadour

Je les ai versées alentours

tout est chargé de tes contours

Et depuis, j imagine ton retour

ensuite les deux strophes suivantes et :

cette grande absence, oh ma Florence

trahie chaque jour mon impatience

qui est chargée de ton absence

et déplore tant ton indifférence.

il y a 29 minutes, sera-angel a dit :

moi je verrais après les 2 premières strophes :

P'taing...on sent les pros à l'oeuvre, c'est impressionnant ! 

Ça m'apprendra !

Toujours la même sensation .. je n'en démords pas ! 

Juste .. ENCORE !!!

Il y a 1 heure, sera-angel a dit :

Toujours la même sensation .. je n'en démords pas ! 

 

Juste .. ENCORE !!!

C'est gentil , merci ! Tiens, une de saison...

 C'est pas gai !!! Limite lugubre !

 Mais comme disait un poète espagnol, Machado, je crois :  "cantando la pena, la pena se olvida  !"

Peut-être la plus "belle" musique que j'ai écrite ?... La musique est un peu forte, mais c'est enregistré à l'arrache...

Le 05/12/2019 à 19:37, riad** a dit :

D'accord, promis C'est Juré.

Première étape, trouver une mélodie.

J''ai harmonisé simple : trombone, piano contre basse. (Les sons qui à l'ordi donnent pas trop mal.)

ça a des accents un peu jazz...

J'en connais une qui va critiquer !  "et gna gna gna que c'est de la musique "infirmatique" !

M'en fous c'est de la musique !  Y'avais rien, maintenant y'a ça !

'j'ai mis deux couplets :

tutes2.mid.mp3

il y a 22 minutes, Blaquière a dit :

Première étape, trouver une mélodie.

J''ai harmonisé simple : trombone, piano contre basse. (Les sons qui à l'ordi donnent pas trop mal.)

ça a des accents un peu jazz...

J'en connais une qui va critiquer !  "et gna gna gna que c'est de la musique "infirmatique" !

M'en fous c'est de la musique !  Y'avais rien, maintenant y'a ça !

'j'ai mis deux couplets :

tutes2.mid.mp3 1.22 Mo · 2 downloads

 

Excellant, la deuxième étape est que tu la chantes avec ta voix.
 

Il y a 8 heures, riad** a dit :

Excellant, la deuxième étape est que tu la chantes avec ta voix.
 

Évidemment !

Le 05/12/2019 à 23:18, Blaquière a dit :

 

 

Pour l'hommage ému, la reprise de notre copain :

Il y a 17 heures, Elfière a dit :

 

Excellent ce Jean !

Il y a 20 heures, Elfière a dit :

 

Je ne sais pas si Jean G. t'avait donné sa traduction en espagnol  de ton poème...

 Je vais essayer de l'écrire en bien écoutant...

Ta Peau

Ta peau se raconte à mes mains
En houle de velours
En remous de satin
Elle vogue l'amour
Sous mes doigts de marin
Cherchant à ses détours
Les îles et les chemins… .
Ils content à mon rebours
Leurs creux sous les embruns
Récifs au petit jour
Pour naufrager ta faim
Qui mendie un retour.

Sans rêve, trêve, sans recours
Les paumes de mes mains
Te racontent le cours
D'un océan sans grain
Et tu lis son parcours
En respirant sans fin
A mes lèvres un discours
A mes joues un parfum
Et tes yeux soudain sourds
S’ancrent vers un lointain
Une issue sans secours
Où la raison s’éteint.

(Toi!)

Traduction de Jean Gutierrez :

Piel Tuya

Tu piel se cuenta a mis manos
En olas de terciopelo
Y alborotos de satén
Hacia Amor navegan
Bajo mis dedos de marinero
Buscando al rodeo
Las islas y los caminos.
A mi arisco cuentan
Los huecos bajo las brumas,
Recife a la madrugada
Naufragar en tu hambre
Que mendiga un retorno.


Sin sueño, tregua, ni recurso
Las palmas de mis manos
Te cuantan el curso
De un oceano calma.
Y leyiendo el parcurso,
Respirando sin fin,
A mis labios un discurso
A mis mejillas un perfume
Tu ojos repentinamente
Afianzados a un lejano
Sin salida de secorro
Donde la razón se apaga