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Poème à clé


Plouj

Messages recommandés

Membre, Voyageur, 69ans Posté(e)
Plouj Membre 106 490 messages
69ans‚ Voyageur,
Posté(e)

La première fois quand je l'ai vue
J'ai tout de suite remarqué son regard
J'en étais complètement hagard

Dans ce jardin du Luxembourg
Je me suis dit : Faut que je l'aborde
Pour voir si tous deux on s'accorde

J'ai déposé mon baluchon
Alors j'ai vu tes gros yeux doux
J'en suis dev'nu un peu comme fou

Quand je t'ai dis que tu me plaisais
Que j'aimerai bien te revoir
Tu m'as donné rendez-vous le soir

Et je t'ai dis: Oh Pénélope
Que tu étais une sacrée belle fille
Que je t'aimerai toute ma vie

Quand dans ce lit de marguerites
Tu m'as caressé doucement la tête
Ma vie entière est une fête

Et sous les regards de la foule
J'ai posé ma main sur ta main
Vous voyez bien que ce n'est pas malsain

A l'ombre des eucalyptus
Je t'ai dit: Je veux que tu me suives
Je te sentais d'humeur lascive

Alors comme ça dans les tulipes
Tu m'as fait une petite promesse
Gage d'affection et de tendresse

Si notre amour devait céder
Je n'aurais plus qu'à me faire prêtre
Je ne pourrai jamais m'en remettre

Car si un jour notre amour rouille
Je m'en mordrai très fort les doigts
Chérie vraiment je n'aime que toi

 

Révélation

 

Changez le dernier mot du second vers de chaque strophe, de manière à ce qu'il rime avec le premier vers, plutôt qu'avec le troisième.

Ex : La première fois quand je l'ai vue
J'ai tout de suite remarqué son regard cul
J'en étais complètement hagard

 

 

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Invité PINOCCHIO
Invités, Posté(e)
Invité PINOCCHIO
Invité PINOCCHIO Invités 0 message
Posté(e)

Un poème de Fillion que tu nous sort , là ;)

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Membre, Talon 1, 78ans Posté(e)
Talon 1 Membre 22 889 messages
78ans‚ Talon 1,
Posté(e)

Vous êtes le Marius de V. Hugo.

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Membre, Le prendre au sérieux, nuit gravement à la santé, Posté(e)
azad2B Membre 5 932 messages
Le prendre au sérieux, nuit gravement à la santé,
Posté(e)
Il y a 3 heures, PINOCCHIO a dit :

Un poème de Fillion que tu nous sort , là ;)

@plouch

A coté de ce que tu nous fais lire, F.Fillion aurait le premier Prix de Poésie. Même un Sarko, ferait mieux !

 

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 11 heures, Plouj a dit :

Car si un jour notre amour rouille
Je m'en mordrai très fort les doigts
Chérie vraiment je n'aime que toi

 

Poète et contorsionniste !  :smile2:

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Membre, Voyageur, 69ans Posté(e)
Plouj Membre 106 490 messages
69ans‚ Voyageur,
Posté(e)
Il y a 3 heures, Lou ! a dit :
Il y a 14 heures, Plouj a dit :

Car si un jour notre amour rouille
Je m'en mordrai très fort les doigts
Chérie vraiment je n'aime que toi

 

Poète et contorsionniste !  

Vous avez de drôles d'idées..

Je m'en mordrai très fort les douilles (cheveux)

Mais à quoi pensiez-vous donc ?? :hum:

 

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Membre, Voyageur, 69ans Posté(e)
Plouj Membre 106 490 messages
69ans‚ Voyageur,
Posté(e)

Faux cul

Pourquoi m'as tu choisi toi si belle et si fière ?

Es-tu aussi amoureuse que tu en as l'air ?

Tu es la muse de mes nuits, ma femme et ma maîtresse,

Si croquante et sexy jusqu'à la croupe de tes fesses.

Stupide suis-je si je te pense épanouie avec moi

Ma belle, toi qui est toute refaite de haut en bas.

Chérie moi, mon amour, pour la vie pour toujours

Je serais à tes pieds te chérir à mon tour,

Ne me quitte pas, je ne le supporterais pas !

Te voir est mon bonheur jusqu'à mon trépas

Supporte ma jalousie au sein de notre toit

Plus rien ne saura me séparer de toi !

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

Je suis suspendue à tes lèvres

Ne doute jamais de ça et

Te suspendre à tes rêves

Désire le encore et

Plus que tout, désire nous .

Non ne sommes pas devenus étrangers

Plus je te lis plus les liens se nouent

Quelle subtil bonheur de ne pas se déranger

Chance d'une connivence à jamais scellée .

 

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Membre, Voyageur, 69ans Posté(e)
Plouj Membre 106 490 messages
69ans‚ Voyageur,
Posté(e)

Madame,
Je m'empresse de vous écrire pour vous déclarer
que vous vous trompez beaucoup si vous croyez
que vous êtes celle pour qui je soupire.
Il est bien vrai que pour vous éprouver
je vous ai fait mille aveux. Après quoi
vous êtes devenue l'objet de ma raillerie. Ainsi
ne doutez plus de ce que vous a dit ici celui
qui n'a eu que de l'aversion pour vous, et
qui aimerait mieux mourir que de vous quitter

Révélation

une sur deux

 

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