Avez vous une morale ou seulement une éthique ?

il y a 1 minute, Passiflore a dit :

 

C'est votre point de vue, non le mien ; la moralité et l'éthique ne sont pas à géométrie variable, "élastiques" comme vous dites ; elles sont ou ne sont pas, point.

C est faux

Elle le sont  quand cela arrange tes affaires 

Les idéaux sont bons  pour les peureux et pour éduquer la masse

Ou pour avoir bonne conscience 

L'infiniment grand est indolore soit positif à être perçu car l'inexistence de la douleur c'est l'indolore soit une inexistence qui est indolore et car l'infiniment grand c'est l'addition d'autant soit une infinité de possibilités positives et négatives qui s'annulent. On oppose douleur estimée négative et indolore estimé positif qui n'existent que parce l'on perçoit et on perçoit car on agit par évidence et on agit par évidence car on n'a pas réellement le choix puisque l'infiniment grand existe qu'il le veuille ou non car son existence est involontaire car il est éternel soit infini en temps car c'est l'infiniment grand.

Pour discerner il faudrait comprendre en quoi elles sont discernables, l'éthique et la morale, quant à leur usage pour ne pas les confondre et les appliquer sans qu'il n'y ait de douleur au final.

il y a 1 minute, Boutetractyxreqs a dit :

L'infiniment grand est indolore soit positif à être perçu car l'inexistence de la douleur c'est l'indolore soit une inexistence qui est indolore et car l'infiniment grand c'est l'addition d'autant soit une infinité de possibilités positives et négatives qui s'annulent. On oppose douleur estimée négative et indolore estimé positif qui n'existent que parce l'on perçoit et on perçoit car on agit par évidence et on agit par évidence car on n'a pas réellement le choix puisque l'infiniment grand existe qu'il le veuille ou non car son existence est involontaire car il est éternel soit infini en temps car c'est l'infiniment grand.

Pour discerner il faudrait comprendre en quoi elles sont discernables, l'éthique et la morale, quant à leur usage pour ne pas les confondre et les appliquer sans qu'il n'y est de douleur au final.

Tu recommences toi !

Il y a quelques années une femme a dit ici qu'elle n'avait aucune morale mais que selon elle tout le monde avaient une éthique ( a part les fous il va sans dire).

C'était une femme cash et des plus honnêtes, et je lui donne raison aujourd'hui en précisant toutefois ceci:

Il y a des personnes qui ont une morale relative héritée de l'éducation et du milieu ambiant, une morale empruntée; et selon moi des personnes qui possèdent une morale non relative ( absolue ? ) qui a toujours fait partie d'eux-mêmes.

Avec de la lucidité et de la franchise on peut s'affranchir de la première, mais jamais de la seconde (dans ce cas on ne pourra d'ailleurs pas parler d'affranchissement ).

On peut donc dire qu'il y a les personnes sans morale en propre ( influençables, retournables ) donc amorales en définitive, les personnes immorales ( morale en propre mais pervertie ) et les personnes morales.

Comment reconnaître les personnes amorales ( au fond ) ?  Selon moi ce sont les personnes qui sont accessibles, séduites et en définitive conquises seulement par la sensualité ( on pourra penser aux femmes qui tombent amoureuses des serials killers  ( totalement immoraux ) dans les prisons.

Et combien d'intellectuel(les) et de personnes bien sous tout rapport qui tombent amoureuses d'individus totalement non recommandables ?

Une autre anecdote:

Sur un autre forum ( de rencontre ) une femme m'a dit un jour: " sauve moi de cet homme".

Moi qui parlait beaucoup de spiritualité et d'âme, elle cherchait refuge en moi par rapport a un autre homme qu'elle savait totalement immoral mais qui l'attirait fortement.

Et c'était une femme trés intelligente, cultivée, raffinée...