Aller au contenu

Commentaire, Acte I scène 1 Le mariage d Figaro


od08

Messages recommandés

Nouveau, 21ans Posté(e)
od08 Nouveau 1 message
Baby Forumeur‚ 21ans‚
Posté(e)

Bonjour.

Je suis en classe de première, et nous avons commencé à étudier l’œuvre Le mariage de Figaro par Beaumarchais.

Le professeur nous a demander d’écrire une introduction sur l’acte I scène 1, faire un plan et écrire l’une des sous partis de ce plan grâce à 3 outils.

Comme je suis pas très doué en français j’aimerais vous partager mon introduction ainsi que mon plan et ma sous partie pour que puissiez me reprendre:

 

Ce texte est un extrait de l’œuvre le mariage de Figaro de Beaumarchais apparu en 1784  suite au livre le barbier de Séville sortie neuf ans plutôt . Pierre Augustin Caron, nommé plus tard Beaumarchais, il est né le 24 janvier 1732, il est une figure emblématique du siècle des lumières. Cet extrait se situe au début de l’œuvre, à l’acte un scène un, qui correspond à la scène d’exposition du livre. Ce livre raconte l’histoire du mariage de Figaro, un valais, et Suzanne, une servante. Lors du passage nous assistons d’abord un badinage amoureux, au première ligne, puis à une dispute sur le droit de cuissage que va exercer le compte en échange de la dot. Suite à la lecture de l’extrait, il nous vient une problématique: Comment l’extrait nous montre-t-il des contraste entre les personnages, Suzanne et Figaro? Pour répondre à cette problématique, nous analyserons dans une première partie l’opposition des caractères de ces personnages, puis dans une deuxième partie nous traiterons la rencontre du sujet léger et du sujet grave.

Voici mon plan: 

I. L’opposition des caractères des personnages

   a) Suzanne

   b) Figaro

II. La rencontre du sujet léger et du sujet grave 

   a) Badinage

   b) Droit de cuissage

   c) Critique de l’inégalité sociale

Voici la rédaction de la sous partie choisi (badinage)

 l’amour une sans Susan et Figaro est au cœur de cette scène, qui est une scène de badinage amoureux. Les deux époux emploie tous les deux des surnoms affectifs qui montrent leur intimité: « ma charmante » (l.4), « belle fille » (l.5), « mon fils » (l.7), « ma petite Suzanne » (l.8). Cette amour tendre et sincère se montre également grâce à cette métonymie: « l’œil amoureux d’un époux » (l.6) qui souligne la question du mariage et qui montre bien qu’il s’agit là d’un mariage d’amour. Cependant nous pouvons constater que leur amour est aussi courtois, notamment lorsque Suzanne utilise la question rhétorique : « es-tu mon serviteur, ou non? » qui fait de Figaro le serviteur dévoué à sa dame. 

Cette amour qui lie ces personnages occupe donc une place centrale dans cette scène.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Membre, forumeuse acharnée, Posté(e)
querida13 Membre 48 553 messages
forumeuse acharnée,
Posté(e)

Ce serait mieux si tu publiais le texte à commenter, non?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Le prendre au sérieux, nuit gravement à la santé, Posté(e)
azad2B Membre 5 932 messages
Le prendre au sérieux, nuit gravement à la santé,
Posté(e)

Tu peux, et cela devrait t'inspirer, aller chercher (sur YouTube par exemple) une version de l'opéra de Mozart, les noces de Figaro.  Prends de préférence une version sous-titrée en Français. Après l' ouverture, tu vas directement te retrouver dans l' acte 1 scène 1 et observe bien le jeu de Suzanne qui a parfaitement compris le but du Comte et qui le dévoile à Figaro.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Talon 1, 79ans Posté(e)
Talon 1 Membre 24 163 messages
79ans‚ Talon 1,
Posté(e)
Il y a 14 heures, od08 a dit :

valais

Valet. On fait "valetaille" pour parler de ces domestiques et autres laquais.

Il y a 14 heures, od08 a dit :

compte

Comte. Les comtes étaient les "préfets" du royaume. Ils géraient les provinces royales. Les ducs géraient plusieurs comtes. Le marquis gérait une marche (province limitrophe avec un pays étranger.)

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Talon 1, 79ans Posté(e)
Talon 1 Membre 24 163 messages
79ans‚ Talon 1,
Posté(e)

Le droit de cuissage, à l'origine, vient du fait qu'on ne doit pas faire couler le sang d'une personne de sa famille. Donc, un étranger à la famille exerçait cette charge : le moine ou le seigneur.

Comment ça "quel sang" ? Après le mariage, la femme fait partie de la famille et l'hymen ne peut être défloré par son mari. Et ça saigne un peu. Les femmes volages (plus vierges) utilisaient un subterfuge : elles plaçaient, à leur fenêtre, un linge souillé de sang de pigeon pour faire croire qu'elles étaient vierges.

Votre plan me semble correct. Foncez.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×