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Un gâteau d'anniversaire


Blaquière

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
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Un gâteau d'anniversaire.

Quelle histoire ! Qui pourtant commence de la façon la plus banale du monde... Mon fils a sans doute commandé un gâteau d'anniversaire par internet... Pour l'anniversaire de qui ? Là n'est pas le problème. C'est ledit gâteau qui pour le moment se promène quelque part, le problème... Quelque part dans le monde... en France,,, dans le département... Je dirai même mieux et très précisément, à Signes. C'est presque le canton, mais pas tout-à-fait. (J’y suis passé l’autre jour, c’est pas loin). Au fait, d'où nous vient la découpe de nos cantons ?... Là n'est pas le problème non plus !

Je reçois un coup de téléphone du livreur :

-- Votre fils devait récupérer son gâteau à Signes, mais il n'est pas là ! Qu'est-ce que je fais ?

Moi :

-- C'est où votre prochaine livraison ?

-- Flassan !

– Mazette ! Vous allez faire tout le tour du département ! Mais vous descendez sur Méounes, alors, tout de suite ?

-- Oui !

-- Alors, dans dix minutes, je vous attends à Méounes, au croisement qui vient de Signes, je vous ferai de grands signes! On ne peut pas se rater...

-- D'accord ! A tout de suite !

Il faut dire que Méounes, c'est à 6 kilomètres de La Roque où je suis, avec ma Mobilette, ce sera un jeu d'enfant de m'y rendre pour récupérer le gâteau !

Ma Mobilette MOTOBECANE modèle 1962.

C'est à mon père que je la dois ! Il avait le sens du symbole, lui au moins ! Du NOM ! De la marque : "Quand on achète un frigo, c'est un Frigidaire ! De la margarine, c'est Astra ! Une voiture, c'est une Ford ! et une mobilette, c'est une MOBILETTE !

Qu'est-ce qu'elle a bien pu devenir cette mobilette ? Mystère !

En tout cas, maintenant et en attendant, c'est mon seul moyen de locomotion. Et je démarre en trombe ! J'arrive vers la sortie du village... Mais là, stupeur ! Tout a changé ! La route a été remplacée par une... AUTOROUTE ! Qui plus est est en cours de travaux. Et je me retrouve, au lieu de cette route toute simple et habituelle qui va à Méounes, face à un... précipice !

Je dois faire un détour. Mais par où ? Je reviens en arrière,… Il y a sûrement un pont quelque part sous l'autoroute par où je pourrai rattraper l'ancienne route ? C’est ainsi que je me perds plus ou moins dans le paysage... Je passe des "restanques"... Je monte, je descends dans des vallons... Bien sûr je tiens ma mobilette à la main et je marche à côté, je fais pas du moto-cross. (Oh pardon, on dit du Trial maintenant !). Mais tant et si bien que j'arrive devant une voix ferrée ! Pas question de la traverser à pied avec ma mobilette à la main... Trop dangereux. Je dois donc faire un nouveau détour. Un détour du détour… Ça va pas me rapprocher, ça !

(Bon ! Si mon histoire ne vous intéresse pas, allez m'attendre à la page suivante comme disait Frédéric Dard !)

Là, j'ai un coup de chance incroyable ! Oui ! En pleine colline, je tombe sur une murette, couverte d'objets archéologiques certainement de très grande valeur !  Des poteries... mais c'est courant, ça, c'est surtout les petits objets en bronze (de minuscules sculptures) qui m’intéressent ! Mais elles sont comme calcifiées, prises dans la pierre ! Le temps, les siècles, sont passés par là, que voulez-vous… Je réussi à en décrocher quelques unes avec mon canif crétois... Et j'en remplis les sacoches de ma mobilette ! Mince ! Pour l'une des statuettes, un de ses deux pieds est resté collé à la pierre... Pourtant, je réussis finalement à le faire sauter avec l'ongle, tout seul. Et je le mets dans une des deux sacoches. Plus tard, je me débrouillerai bien pour rafistoler tout ça !

Et voilà que je retombe à nouveau sur l'autoroute ! Et toujours impossible d'y accéder, des fossés, des barrières, des rambardes…  Je peste :

-- Ces enfoirés (je crois bien qu'en vrai j'ai dis "ces enculés", mais, LITTÉRATURE  oblige ! Je reprends  donc : ) Ces enfoirés se débrouillent toujours pour qu'on ne puisse pas prendre l'autoroute sans payer !

Des gens qui travaillent à l'autoroute par-ci par-là, sur les bas côtés, m'entendent et acquiescent :

-- Vous avez bien raison c'est des enculés ! (Eux ne s'inquiètent pas du tout de la littérature !)

Je suis un peu désespéré ! Ça fait plus d'une heure que je suis parti. Le livreur ne m'a pas vu à Méounes, (et il doit même être arrivé à Flassan !) En plus, ne me voyant pas, il a dû téléphoner à la maison . Pourquoi n'y étais-je point ? Ma femme doit se faire un sang d'encre : « Plus d'une heure pour aller à Méounes ?  C'est pas possible ! Surtout par l'autoroute ! Et sur l'autoroute, à fond, sur sa Mobilette de 1962, c'est pas dangereux, peut-être  ? »

Et surtout : QUID DE GÂTEAU ?

Pendant toutes ces réflexions, je continuais à chercher un issue vers Méounes dans la colline... Mais la dernière remarque de ma femme me fait revenir à la réalité :

-- Putain (foin de littérature) ! J'ai perdu ma Mobilette dans la colline !  Quand ? Où ? Comment ? Avec ses sacoches pleines de trésors inestimables ! Il ne me reste qu'un seau vide à la main ! (Et c'est sans doute ce qui m'a trompé : quelque chose à la main, je pensais que c'était ma mobilette ?)

Il faut que je refasse tout le chemin à l'envers !

LE LECTEUR :

-- Non ! Pitié !

MOI :

-- Mais si !

Le pire c'est que je n'ai plus la moindre idée de par où je suis passé… Mais Tant pis : Pour la Mobilette ! POUR L’HONNEUR !

C'est ainsi que je me retrouve devant la fameuse voix ferrée. Le monde est petit ! Et il me faut encore une fois la traverser.  Cette fois-ci je n'hésite pas et je m'engage, décidé  sur le ballast caillouteux... Des ouvriers travaillent ici aussi sur la voix ferrée... Le contremaître m'interpelle :

-- Monsieur ! Vous n'avez pas le droit de traverser, ici ! Si on vous attrape et que vous êtes condamné, on peut très bien vous couper la tête pour ça !

Moi :

-- Vous vous foutez de moi, ou quoi ? Couper la tête à quelqu'un qui pour cherche sa mobilette dans la colline a traversé une voie ferrée même pas en service ? Ça va pas non ? Vous croyez que je vais vous croire ?!

Or, je ne sais pas si vous savez ça, mais un chantier de voies ferrées, ça comporte des grues, des engins énormes, bizarres, dont certains qui fonctionnent avec des contre-poids... Ces contre-poids étant des sacs de sable... On attache un rail à une sorte de bascule ou de balançoire, et grâce à ce contre poids -de sacs de sable- le rail pourtant très très lourd se soulève comme par magie... Et quand il arrive là où il devrait être positionné, il suffit de lâcher les sacs-de-sable-contre-poids pour que le rail se retrouve parfaitement à sa place....

Et au moment pile où je vais traverser la voie ferrée, Vrouff ! Une sac de sable de plusieurs centaines de kilos tombe juste dans mon dos ! Puis aussitôt Vrouff ! un autre tombe juste devant moi ! Je l'ai échappée belle ! Mais vu que le sable, est mou et fluide, dans les sacs, par leur chute les sacs se déforment et épousent les formes près des quelles ils viennent de tomber. Comme un moulage !…

Et la forme en question, c’est moi ! J’en reste tout moulé moulu !

Complètement coincé entre mes deux sacs ! Il ne m'est plus possible de faire le moindre mouvement. Pendant de longues minutes je vais m'y efforcer, m'y épuiser  pourtant. Sans le moindre résultat.

J'y suis encore !

Vous comprendrez que dans ces conditions et dans cette posture, le gâteau d’anniversaire, c’est le dernier de mes soucis… Mais sans être parano, je me demande un peu quand même si le contremaître n’aurait pas lâché ses sacs de sables comme ça exprès pour m’embêter...

 

 

 

 

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Membre, Posté(e)
le merle Membre 21 605 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 33 minutes, Blaquière a dit :

Un gâteau d'anniversaire.

Quelle histoire ! Qui pourtant commence de la façon la plus banale du monde... Mon fils a sans doute commandé un gâteau d'anniversaire par internet... Pour l'anniversaire de qui ? Là n'est pas le problème. C'est ledit gâteau qui pour le moment se promène quelque part, le problème... Quelque part dans le monde... en France,,, dans le département... Je dirai même mieux et très précisément, à Signes. C'est presque le canton, mais pas tout-à-fait. (J’y suis passé l’autre jour, c’est pas loin). Au fait, d'où nous vient la découpe de nos cantons ?... Là n'est pas le problème non plus !

Je reçois un coup de téléphone du livreur :

-- Votre fils devait récupérer son gâteau à Signes, mais il n'est pas là ! Qu'est-ce que je fais ?

Moi :

-- C'est où votre prochaine livraison ?

-- Flassan !

– Mazette ! Vous allez faire tout le tour du département ! Mais vous descendez sur Méounes, alors, tout de suite ?

-- Oui !

-- Alors, dans dix minutes, je vous attends à Méounes, au croisement qui vient de Signes, je vous ferai de grands signes! On ne peut pas se rater...

-- D'accord ! A tout de suite !

Il faut dire que Méounes, c'est à 6 kilomètres de La Roque où je suis, avec ma Mobilette, ce sera un jeu d'enfant de m'y rendre pour récupérer le gâteau !

Ma Mobilette MOTOBECANE modèle 1962.

C'est à mon père que je la dois ! Il avait le sens du symbole, lui au moins ! Du NOM ! De la marque : "Quand on achète un frigo, c'est un Frigidaire ! De la margarine, c'est Astra ! Une voiture, c'est une Ford ! et une mobilette, c'est une MOBILETTE !

Qu'est-ce qu'elle a bien pu devenir cette mobilette ? Mystère !

En tout cas, maintenant et en attendant, c'est mon seul moyen de locomotion. Et je démarre en trombe ! J'arrive vers la sortie du village... Mais là, stupeur ! Tout a changé ! La route a été remplacée par une... AUTOROUTE ! Qui plus est est en cours de travaux. Et je me retrouve, au lieu de cette route toute simple et habituelle qui va à Méounes, face à un... précipice !

Je dois faire un détour. Mais par où ? Je reviens en arrière,… Il y a sûrement un pont quelque part sous l'autoroute par où je pourrai rattraper l'ancienne route ? C’est ainsi que je me perds plus ou moins dans le paysage... Je passe des "restanques"... Je monte, je descends dans des vallons... Bien sûr je tiens ma mobilette à la main et je marche à côté, je fais pas du moto-cross. (Oh pardon, on dit du Trial maintenant !). Mais tant et si bien que j'arrive devant une voix ferrée ! Pas question de la traverser à pied avec ma mobilette à la main... Trop dangereux. Je dois donc faire un nouveau détour. Un détour du détour… Ça va pas me rapprocher, ça !

(Bon ! Si mon histoire ne vous intéresse pas, allez m'attendre à la page suivante comme disait Frédéric Dard !)

Là, j'ai un coup de chance incroyable ! Oui ! En pleine colline, je tombe sur une murette, couverte d'objets archéologiques certainement de très grande valeur !  Des poteries... mais c'est courant, ça, c'est surtout les petits objets en bronze (de minuscules sculptures) qui m’intéressent ! Mais elles sont comme calcifiées, prises dans la pierre ! Le temps, les siècles, sont passés par là, que voulez-vous… Je réussi à en décrocher quelques unes avec mon canif crétois... Et j'en remplis les sacoches de ma mobilette ! Mince ! Pour l'une des statuettes, un de ses deux pieds est resté collé à la pierre... Pourtant, je réussis finalement à le faire sauter avec l'ongle, tout seul. Et je le mets dans une des deux sacoches. Plus tard, je me débrouillerai bien pour rafistoler tout ça !

Et voilà que je retombe à nouveau sur l'autoroute ! Et toujours impossible d'y accéder, des fossés, des barrières, des rambardes…  Je peste :

-- Ces enfoirés (je crois bien qu'en vrai j'ai dis "ces enculés", mais, LITTÉRATURE  oblige ! Je reprends  donc : ) Ces enfoirés se débrouillent toujours pour qu'on ne puisse pas prendre l'autoroute sans payer !

Des gens qui travaillent à l'autoroute par-ci par-là, sur les bas côtés, m'entendent et acquiescent :

-- Vous avez bien raison c'est des enculés ! (Eux ne s'inquiètent pas du tout de la littérature !)

Je suis un peu désespéré ! Ça fait plus d'une heure que je suis parti. Le livreur ne m'a pas vu à Méounes, (et il doit même être arrivé à Flassan !) En plus, ne me voyant pas, il a dû téléphoner à la maison . Pourquoi n'y étais-je point ? Ma femme doit se faire un sang d'encre : « Plus d'une heure pour aller à Méounes ?  C'est pas possible ! Surtout par l'autoroute ! Et sur l'autoroute, à fond, sur sa Mobilette de 1962, c'est pas dangereux, peut-être  ? »

Et surtout : QUID DE GÂTEAU ?

Pendant toutes ces réflexions, je continuais à chercher un issue vers Méounes dans la colline... Mais la dernière remarque de ma femme me fait revenir à la réalité :

-- Putain (foin de littérature) ! J'ai perdu ma Mobilette dans la colline !  Quand ? Où ? Comment ? Avec ses sacoches pleines de trésors inestimables ! Il ne me reste qu'un seau vide à la main ! (Et c'est sans doute ce qui m'a trompé : quelque chose à la main, je pensais que c'était ma mobilette ?)

Il faut que je refasse tout le chemin à l'envers !

LE LECTEUR :

-- Non ! Pitié !

MOI :

-- Mais si !

Le pire c'est que je n'ai plus la moindre idée de par où je suis passé… Mais Tant pis : Pour la Mobilette ! POUR L’HONNEUR !

C'est ainsi que je me retrouve devant la fameuse voix ferrée. Le monde est petit ! Et il me faut encore une fois la traverser.  Cette fois-ci je n'hésite pas et je m'engage, décidé  sur le ballast caillouteux... Des ouvriers travaillent ici aussi sur la voix ferrée... Le contremaître m'interpelle :

-- Monsieur ! Vous n'avez pas le droit de traverser, ici ! Si on vous attrape et que vous êtes condamné, on peut très bien vous couper la tête pour ça !

Moi :

-- Vous vous foutez de moi, ou quoi ? Couper la tête à quelqu'un qui pour cherche sa mobilette dans la colline a traversé une voie ferrée même pas en service ? Ça va pas non ? Vous croyez que je vais vous croire ?!

Or, je ne sais pas si vous savez ça, mais un chantier de voies ferrées, ça comporte des grues, des engins énormes, bizarres, dont certains qui fonctionnent avec des contre-poids... Ces contre-poids étant des sacs de sable... On attache un rail à une sorte de bascule ou de balançoire, et grâce à ce contre poids -de sacs de sable- le rail pourtant très très lourd se soulève comme par magie... Et quand il arrive là où il devrait être positionné, il suffit de lâcher les sacs-de-sable-contre-poids pour que le rail se retrouve parfaitement à sa place....

Et au moment pile où je vais traverser la voie ferrée, Vrouff ! Une sac de sable de plusieurs centaines de kilos tombe juste dans mon dos ! Puis aussitôt Vrouff ! un autre tombe juste devant moi ! Je l'ai échappée belle ! Mais vu que le sable, est mou et fluide, dans les sacs, par leur chute les sacs se déforment et épousent les formes près des quelles ils viennent de tomber. Comme un moulage !…

Et la forme en question, c’est moi ! J’en reste tout moulé moulu !

Complètement coincé entre mes deux sacs ! Il ne m'est plus possible de faire le moindre mouvement. Pendant de longues minutes je vais m'y efforcer, m'y épuiser  pourtant. Sans le moindre résultat.

J'y suis encore !

Vous comprendrez que dans ces conditions et dans cette posture, le gâteau d’anniversaire, c’est le dernier de mes soucis… Mais sans être parano, je me demande un peu quand même si le contremaître n’aurait pas lâché ses sacs de sables comme ça exprès pour m’embêter...

 

 

 

 

bonsoir

pour le gâteau d'anniversaire de cette année , c'est foutu , car il arrivera en piteux état .

pour l'année prochaine , il faudra le commander au japon pour qu'il arrive pour l'anniversaire car , c'est bien connu , l'honneur du pâtissier japonais serait en jeu s'il n'arrivais pas sur la table le jour de l'anniversaire .

il serai obligé de se faire hara kiri pour sauver son honneur ou se suicider comme Vatel le chef cuisinier qui n'à pas reçu le poison pour le repas du Roi Soleil et peut-être l'une des raisons qui à envoyé Fouquet à la bastille ? :D

bonne soirée

 

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)

Il y a le contenu latent et le contenu manifeste...

Pour le latent, mes problèmes psy, mes névroses... Je m'en fous !

En revanche, le manifeste, j'ai les données !

La veille, j'avais fait ce moulage d'une statuette des Cyclades que j'avais faite (pour ne pas perdre le travail)... Je l'ai imitée dans mon histoire! Je me suis senti emprisonné dans des sacs de sable, comme elle, était emprisonnée dans le plâtre du moule...

Est-ce que je l'ai simplement imitée ou est-ce que je me sens a priori être moi-même la statuette (parce que que j'ai faite ?) Peut-être les deux et que le fait de l'avoir réalisée dans un premier temps m'aide à l'imiter par la suite.Sans me la jouer, (puisqu'il ne s'agit pas d'une création mais seulement d'une reproduction!) on peut se demander si dans un travail artistique,  il n'y a pas toujours, ou souvent identification du "créateur" à son œuvre. Et qu'il se ressentirait  comme à l'intérieur de l’œuvre...

A la statuette qu'on m'avait demandé de reproduire, il manquait un pied. Ce que j'ai imité dans ma reproduction. Mais aussi dans mon rêve, dans mon histoire, je décroche une figurine d'une pierre, mais un pied reste accroché.à la pierre ! (A ce niveau là, il n'y avait pas encor identification.)

La statuette des Cyclades prise dans son moule comme moi entre mes deux sacs de sable (!) :

Cyclades.thumb.jpg.940045be5205481b6738756bc7ada796.jpg

"L'artiste EST son œuvre, dans son oeuvre ?"

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