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Le concept de résilience


miscookiyou

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Membre, Devezh mat, 130ans Posté(e)
soisig Membre 29 641 messages
130ans‚ Devezh mat,
Posté(e)
Il y a 1 heure, Quasi-Modo a dit :

C'est beaucoup plus complexe que d'un côté ceux qui refusent les efforts et s'excusent par un traumatisme et ceux qui continuent de façon sereine. Ce n'est pas si binaire, même si les deux existent.

On n'oublie pas un traumatisme mais on peut très bien vivre avec, si on l'accepte comme faisant partie de notre vie sans que ce soit le résumé de notre vie. 

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Membre, Devezh mat, 130ans Posté(e)
soisig Membre 29 641 messages
130ans‚ Devezh mat,
Posté(e)
il y a une heure, miscookiyou a dit :

La je rejoint @Guasi-Modo

il ne faut pas voir la résilience comme une sorte d'obligation......c'est très culpabilisant pour les victimes de traumatisme c'est qu'elle que choses d'assez floue au final je dirait que c'est plus une forme de protection ou  a mon avis il est plus question de survie que de vivre sereinement après des moment horrible mais je pense que si la blessure n'est plus visible elle reste un peut comme une ombre 

je que croit  c'est un concept très "valeur américaine" une personne qui réussi en partant de rien comme une sorte de super héro que les épreuve et la douleurs aurait rendu plus fort du moins c'est comme ça qu'il a été compris 

enfin bref je croit que c'est un concept qui mal utilisé peut faire plus de mal que de bien 

La résilience n'est pas un concept, c'est une capacité à faire abstraction de traumatismes pour poursuivre sa vie sereinement. La force de résilience diffère d'une personne à l'autre, comme la résistance à la douleur, toutefois, ça se travaille aussi. Tout dépend de la façon dont on se projette dans l'avenir. ;)

Autre exemple que celui de la Shoah, celui des enfants victimes d'inceste. Certains vivent avec en considérant que ça s'est passé, mais que ça ne le empêchera pas de vivre leur futur, alors que d'autres restent dans l'anéantissement et leur vie d'adulte en est imprégnée ...

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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 59 711 messages
107ans‚ ©,
Posté(e)
il y a 7 minutes, soisig a dit :

On n'oublie pas un traumatisme mais on peut très bien vivre avec, si on l'accepte comme faisant partie de notre vie sans que ce soit le résumé de notre vie. 

Pourtant ça aussi ça a été largement vulgarisé : l'identification au traumatisme. Et bien pourtant là, à l'inverse, les gens arrivent en cabinet sans se rendre compte que c'est largement ce qu'ils font. Ils ont pourtant lu ça aussi dans les mêmes magazines, mais là bizarrement, ça ne passe pas :mouai:   Voilà pourquoi il est nécessaire de se tourner vers un professionnel.

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Membre, Devezh mat, 130ans Posté(e)
soisig Membre 29 641 messages
130ans‚ Devezh mat,
Posté(e)
Il y a 1 heure, Talon 1 a dit :

Ca ressemble à l'adaptation.

oui, tu as raison. certains s'adaptent à toutes les situations, alors que d'autres ont bien du mal avec les changements, même si ces changements s'avèrent positifs. 

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Invité Dzag
Invités, Posté(e)
Invité Dzag
Invité Dzag Invités 0 message
Posté(e)

Pardon par avance, parce que je n'ai pas lu l'intégralité des interventions de chacun. Mais je trouve cette notion parfois "dangereuse". 

Si le terme était sans doute nécessaire pour souligner la capacité pour certain à rebondir et se relever en cas de drames quelle qu'en soit la nature. 

Il a aussi, maintenant, cree un sentiment de culpabilité pour celles et ceux qui ne seront pas résilients parce que trop impacté. 

On entend ce mot partout, dans toutes les bouches, des reportages entiers, des témoignages constants sur ces héros qui font face à l'adversité et qui la transcende. 

Et derrière les écrans, écoutant ces histoires extraordinaires, lisant les résiliences de ces modèles, des hommes, des femmes qui s'interrogent sur leur  propre incapacité à passer au-delà du drame, qui culpabilisent d'être trop faibles, pas assez armés, pas assez courageux. 

Ce mot, si il a un vrai intérêt, me dérange aujourdhui pour ce fossé quil a créé entre ceux qui peuvent et ceux qui n'y arriveront jamais. 

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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 59 711 messages
107ans‚ ©,
Posté(e)
il y a 3 minutes, soisig a dit :

celui des enfants victimes d'inceste. Certains vivent avec en considérant que ça s'est passé, mais que ça ne le empêchera pas de vivre leur futur, alors que d'autres restent dans l'anéantissement et leur vie d'adulte en est imprégnée

Après l'inceste, il n'y a pas d'un côté ceux qui vivent bien leurs pompes et les autres, malheureusement ça n'existe pas Soisig, ça s'articule de façon beaucoup plus complexe..

 

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Membre, 24ans Posté(e)
miscookiyou Membre 2 416 messages
Baby Forumeur‚ 24ans‚
Posté(e)
il y a 1 minute, Dzag a dit :

Pardon par avance, parce que je n'ai pas lu l'intégralité des interventions de chacun. Mais je trouve cette notion parfois "dangereuse". 

Si le terme était sans doute nécessaire pour souligner la capacité pour certain à rebondir et se relever en cas de drames quelle qu'en soit la nature. 

Il a aussi, maintenant, cree un sentiment de culpabilité pour celles et ceux qui ne seront pas résilients parce que trop impacté. 

On entend ce mot partout, dans toutes les bouches, des reportages entiers, des témoignages constants sur ces héros qui font face à l'adversité et qui la transcende. 

Et derrière les écrans, écoutant ces histoires extraordinaires, lisant les résiliences de ces modèles, des hommes, des femmes qui s'interrogent sur leur  propre incapacité à passer au-delà du drame, qui culpabilisent d'être trop faibles, pas assez armés, pas assez courageux. 

Ce mot, si il a un vrai intérêt, me dérange aujourdhui pour ce fossé quil a créé entre ceux qui peuvent et ceux qui n'y arriveront jamais. 

oui je suis d'accord c'est d'ailleurs des plus gros problème depuis que ça c'est vulgarisé pour le grand public.....

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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 59 711 messages
107ans‚ ©,
Posté(e)
il y a 3 minutes, Dzag a dit :

Ce mot, si il a un vrai intérêt, me dérange aujourdhui pour ce fossé quil a créé entre ceux qui peuvent et ceux qui n'y arriveront jamais. 

Complètement d'accord, juste regarder l'intervention de Soisig que j'ai citée plus haut : ceux qui y arrivent et ceux qui n'y arriveront jamais. La réalité est bien différente.

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Invité Dzag
Invités, Posté(e)
Invité Dzag
Invité Dzag Invités 0 message
Posté(e)
à l’instant, January a dit :

Complètement d'accord, juste regarder l'intervention de Soisig que j'ai citée plus haut : ceux qui y arrivent et ceux qui n'y arriveront jamais. La réalité est bien différente.

Je suis entièrement d'accord. Même le plus résilient continuera à vivre avec sur ses épaules le drame vécu. 

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Invité Quasi-Modo
Invités, Posté(e)
Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
Posté(e)
il y a 5 minutes, Dzag a dit :

Pardon par avance, parce que je n'ai pas lu l'intégralité des interventions de chacun. Mais je trouve cette notion parfois "dangereuse". 

Si le terme était sans doute nécessaire pour souligner la capacité pour certain à rebondir et se relever en cas de drames quelle qu'en soit la nature. 

Il a aussi, maintenant, cree un sentiment de culpabilité pour celles et ceux qui ne seront pas résilients parce que trop impacté. 

On entend ce mot partout, dans toutes les bouches, des reportages entiers, des témoignages constants sur ces héros qui font face à l'adversité et qui la transcende. 

Et derrière les écrans, écoutant ces histoires extraordinaires, lisant les résiliences de ces modèles, des hommes, des femmes qui s'interrogent sur leur  propre incapacité à passer au-delà du drame, qui culpabilisent d'être trop faibles, pas assez armés, pas assez courageux. 

Ce mot, si il a un vrai intérêt, me dérange aujourdhui pour ce fossé quil a créé entre ceux qui peuvent et ceux qui n'y arriveront jamais. 

Merci, c'est en substance le message que je tentais de faire passer.

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Membre, Devezh mat, 130ans Posté(e)
soisig Membre 29 641 messages
130ans‚ Devezh mat,
Posté(e)
il y a 1 minute, January a dit :

Pourtant ça aussi ça a été largement vulgarisé : l'identification au traumatisme. Et bien pourtant là, à l'inverse, les gens arrivent en cabinet sans se rendre compte que c'est largement ce qu'ils font. Ils ont pourtant lu ça aussi dans les mêmes magazines, mais là bizarrement, ça ne passe pas :mouai:   Voilà pourquoi il est nécessaire de se tourner vers un professionnel.

Pas forcément. certaines personnes n'auront jamais besoin de spécialistes pour mettre des mots sur leurs mots. Ils n'ont rien oublié mais ont appris à vivre avec. Le professionnel aide quand les maux ne sont pas identifiés, notamment quand l'enfant a occulté un traumatisme, mais que son psychique ne l'accepte pas. Ma fille a vécu un traumatisme dans l'enfance, mais l'avait occulté (involontairement bien-sur) pour se protéger. Sauf que son comportement destructeur nous a incité à lui faire rencontrer un spécialiste comportemental, à l'adolescence. Ce dernier a réussit à faire ressortir le traumatisme, comme s'il avait donné à ma fille une petite clef lui donnant l'autorisation d'ouvrir le cadenas de ses souvenirs. Passé le douloureux moment des souvenirs terrifiants, l'acceptation de ce traumatisme, le spécialiste lui a fait travailler sur la notion de résilience, c'est à dire se projeter vers l'avenir, non sans oublier ce qu'elle avait subit, mais en considérant que c'était passé, et que ça ne devait plus l’empêcher d'être elle même. 

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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 59 711 messages
107ans‚ ©,
Posté(e)

 

il y a 1 minute, soisig a dit :

Pas forcément.

Pour moi si. Enfin, si on parle de traumatisme en tant que crime sur un plan légal. 

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Membre, Devezh mat, 130ans Posté(e)
soisig Membre 29 641 messages
130ans‚ Devezh mat,
Posté(e)
il y a 4 minutes, January a dit :

Complètement d'accord, juste regarder l'intervention de Soisig que j'ai citée plus haut : ceux qui y arrivent et ceux qui n'y arriveront jamais. La réalité est bien différente.

La question à se poser est : pourquoi certains n'y arrivent pas ? 

Nous avons tous connus de ces personnes qui semblent se complaire dans leurs maladies ou dans leurs traumatismes passés, comme si pour eux, c'est une forme d'importance. Ils ressassent donc en boucle ce qu'ils ont subit, et si au départ, ils ont des oreilles attentives, après ils lassent. Certains iront alors consulter un spécialiste pour qu'il les aide à se sentir mieux, tandis que d'autres non. On ne peut agir à la place des personnes.

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Membre, 24ans Posté(e)
miscookiyou Membre 2 416 messages
Baby Forumeur‚ 24ans‚
Posté(e)
il y a 25 minutes, soisig a dit :

On n'oublie pas un traumatisme mais on peut très bien vivre avec, si on l'accepte comme faisant partie de notre vie sans que ce soit le résumé de notre vie. 

c'est bien plus complexe comme ça été dit plus haut :/ il n'y'a pas ceux qui passe totalement au dessus bien dans leur peau et ceux qui toute leur vie pense a ce traumatisme c'est bien plus compliquer le problème avec la résilience c'est qu'elle a été trop vulgarisée jusque a en faire une sorte d'obligation jusque  a séparer les victimes entre celle qui on réussie malgré la souffrance et les traumatisme et les autres.......   rien n'est  tout blanc ou  tout noir les résilient garde le traumatisme sur les épaules il le refoule pour survivre 

tous les jours on montre dans les médias  des témoignage de personne qui on vécu des choses horribles mais qui s'en sont "bien sortie" avec une star devenu riche et célèbre malgré la maltraitance qu'elle a subit enfant machin devenu prix nobel de la paix après avoir été violer ...... ça n'aide pas  du tout les victimes de traumatisme ça crée une sorte de culpabilisation des victimes comme si elle avait un devoir a rendre au monde chaque personne réagit a l'horreur de façon différente 

ça a beaucoup trop été utilisé par le grand public......

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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 59 711 messages
107ans‚ ©,
Posté(e)

Ca fait un peu plus de quinze ans qu'on a vu arriver des gens en victimo tous pétris de connaissances psychologiques qui entravaient beaucoup leur mieux-être en fait. Bref, de plus en plus il a fallu détricoter des croyances pas meilleures que celles qu'ils auraient eu sans regarder ces foutus magazines et repartir de zéro avec parfois des patients récalcitrants puisque "sachant ce qu'ils ressentent et nous non". 

C'est pareil chez les médecins maintenant, les gens arrivent et disent : "j'ai une angine". 

Vous pouvez me croire, c'est très ch... 

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Membre, Devezh mat, 130ans Posté(e)
soisig Membre 29 641 messages
130ans‚ Devezh mat,
Posté(e)
il y a 1 minute, January a dit :

 

Pour moi si. Enfin, si on parle de traumatisme en tant que crime sur un plan légal. 

Quand je dis pas forcément, ça concerne les gens qui n'ont rien oublié du crime en question. C'est plus compliqué quand ils ont occulté.

il y a 2 minutes, miscookiyou a dit :

c'est bien plus complexe comme ça été dit plus haut :/ il n'y'a pas ceux qui passe totalement au dessus bien dans leur peau et ceux qui toute leur vie pense a ce traumatisme c'est bien plus compliquer le problème avec la résilience c'est qu'elle a été trop vulgarisée jusque a en faire une sorte d'obligation jusque  a séparer les victimes entre celle qui on réussie malgré la souffrance et les traumatisme et les autres.......   rien n'est  tout blanc ou  tout noir 

tous les jours on montre dans les médias  des témoignage de personne qui on vécu des choses horribles mais qui s'en sont "bien sortie" avec une star devenu riche et célèbre malgré la maltraitance qu'elle a subit enfant machin devenu prix nobel de la paix après avoir été violer ...... ça n'aide pas  du tout les victimes de traumatisme ça crée une sorte de culpabilisation des victimes comme si elle avait un devoir a rendre au monde 

ça a beaucoup trop été utilisé par le grand public......

Question de point de vue. et il ne s'agit de devenir riche, mais juste d'avoir envie de poursuivre sa vie, sans que le traumatisme passé n'en soit l’événement principal. C'est aussi une question de personnalité. L'optimisme ou le pessimisme naturel d'une personne aidera ou freinera cette résilience. 

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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 59 711 messages
107ans‚ ©,
Posté(e)
il y a 2 minutes, soisig a dit :

La question à se poser est : pourquoi certains n'y arrivent pas ? 

Nous avons tous connus de ces personnes qui semblent se complaire dans leurs maladies ou dans leurs traumatismes passés, comme si pour eux, c'est une forme d'importance. Ils ressassent donc en boucle ce qu'ils ont subit, et si au départ, ils ont des oreilles attentives, après ils lassent. Certains iront alors consulter un spécialiste pour qu'il les aide à se sentir mieux, tandis que d'autres non. On ne peut agir à la place des personnes.

Non, c'est une croyance ça Soisig, on n'est pas tous destiné à s'en sortir, c'est pas pour tout le monde la nouvelle vie après, il n'y a rien à faire. Pourquoi tout le monde devrait s'en sortir ? 

Et non ils ne ressassent pas en boucle, je pourrais te faire part de tableaux cliniques qui te feraient dresser les cheveux sur la tête, sincèrement. Tu ne pense pas au séquelles physiques aussi, elles sont là, elles sont là pour te rappeler le traumatisme en permanence. Faut pas croire que si tu les regardes en chaussant des lunettes roses elles vont t'apparaître plus acceptables. 

Pour moi c'est vraiment, un vécu-une solution ou non. Des fois il n'y en a pas, c'est comme ça, faut se résigner. J'aimerais bien l'inverse, mais chaque année là où j'interviens on enregistre des suicides..

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Membre, Devezh mat, 130ans Posté(e)
soisig Membre 29 641 messages
130ans‚ Devezh mat,
Posté(e)
il y a 4 minutes, January a dit :

Ca fait un peu plus de quinze ans qu'on a vu arriver des gens en victimo tous pétris de connaissances psychologiques qui entravaient beaucoup leur mieux-être en fait. Bref, de plus en plus il a fallu détricoter des croyances pas meilleures que celles qu'ils auraient eu sans regarder ces foutus magazines et repartir de zéro avec parfois des patients récalcitrants puisque "sachant ce qu'ils ressentent et nous non". 

C'est pareil chez les médecins maintenant, les gens arrivent et disent : "j'ai une angine". 

Vous pouvez me croire, c'est très ch... 

Et il y a des gens qui savent de quoi ils parlent, parce qu'ils l'ont vécu ! 

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Membre, 24ans Posté(e)
miscookiyou Membre 2 416 messages
Baby Forumeur‚ 24ans‚
Posté(e)
il y a 5 minutes, soisig a dit :

Quand je dis pas forcément, ça concerne les gens qui n'ont rien oublié du crime en question. C'est plus compliqué quand ils ont occulté.

Question de point de vue. et il ne s'agit de devenir riche, mais juste d'avoir envie de poursuivre sa vie, sans que le traumatisme passé n'en soit l’événement principal. C'est aussi une question de personnalité. L'optimisme ou le pessimisme naturel d'une personne aidera ou freinera cette résilience. 

je parlait surtout des exemple utilisé dans les média la on est plus sur le modèle américain de la réussite (social,économique et pouvoirs) en tout cas ça ne change rien au fait que tout n'est pas blanc ou noir avec d'un coté ceux qui passe totalement au dessus du traumatisme et les autres 

il y a 3 minutes, soisig a dit :

Et il y a des gens qui savent de quoi ils parlent, parce qu'ils l'ont vécu ! 

une meme situation n'est pas toujours vécu de la meme façon pour toutes les victimes il n'y'a pas de règle

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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 59 711 messages
107ans‚ ©,
Posté(e)
il y a 4 minutes, soisig a dit :

Et il y a des gens qui savent de quoi ils parlent, parce qu'ils l'ont vécu ! 

Quand ils arrivent comme ça, pétris de suffisance en disant : "je sais mieux que toi je l'ai vécu", tu peux me croire : c'est contre-productif. Parce-que si nous on les écoute, eux n'écoutent rien. Et tu sais quoi ? C'est souvent eux qui vont se retrouver coincés dans le statut de victime :mouai:

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