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révolution schumpéterienne


mig72

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Membre, 31ans Posté(e)
mig72 Membre 1 975 messages
Forumeur inspiré‚ 31ans‚
Posté(e)

Bonjour,

 

La théorie schumpetérienne sur la destruction créatrice de valeur par l'innovation de rupture n'a telle pas  pour conséquences majeures de freiner  la mobilité sociale des classes sociales ascendantes en favorisant  les inégalités descendante des populations occidentales ? N'est-telle pas à l'origine d'une potentielle croissance séculaire en  prenant sa source dans  la spécialisation des corps de métiers? Ne seraient telles  pas d'avantage  accrues par l'internationalisation des échanges économiques et financiers de l'économie mondiale et  dont le chômage de masse des pays occidentaux n'en est qu'une simple traduction?  Suffit-telle néanmoins pas  à justifier un partage équitable du travail, et en particulier  du salariat sociétaire aux seins des sociétés à capitaux,  afin de consolider le capital des plus petites entreprises occidentales par la sélectivité de valeurs obligataires  financer par cette épargne salariale de précaution sans impacter nos finances publiques  (micro-trading des institutions financières etc..) ? Enfin , faut-il favoriser  l'employabilité du salariat par des conventions de travail d'apprentissage en alternance rémunérée ou encore faire émerger une  économie circulaire et d'entreprenariat sociale d'engagement citoyen entrepreneurial  fonctionnant en   réseaux économiques à circuits-cours pour combler les défauts de notre système de protection sociale dans le traitement des inégalités sociales  ?   

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Membre, 31ans Posté(e)
mig72 Membre 1 975 messages
Forumeur inspiré‚ 31ans‚
Posté(e)
Il y a 5 heures, mig72 a dit :

Bonjour,

 

La théorie schumpetérienne sur la destruction créatrice de valeur par l'innovation de rupture n'a telle pas  pour conséquences majeures de freiner  la mobilité sociale des classes sociales ascendantes en favorisant  les inégalités descendante des populations occidentales ? N'est-telle pas à l'origine d'une potentielle croissance séculaire en  prenant sa source dans  la spécialisation des corps de métiers? Ne seraient telles  pas d'avantage  accrues par l'internationalisation des échanges économiques et financiers de l'économie mondiale et  dont le chômage de masse des pays occidentaux n'en est qu'une simple traduction?  Suffit-telle néanmoins pas  à justifier un partage équitable du travail, et en particulier  du salariat sociétaire aux seins des sociétés à capitaux,  afin de consolider le capital des plus petites entreprises occidentales par la sélectivité de valeurs obligataires  financer par cette épargne salariale de précaution sans impacter nos finances publiques  (micro-trading des institutions financières etc..) ? Enfin , faut-il favoriser  l'employabilité du salariat par des conventions de travail d'apprentissage en alternance rémunérée ou encore faire émerger une  économie circulaire et d'entreprenariat sociale d'engagement citoyen entrepreneurial  fonctionnant en   réseaux économiques à circuits-cours pour combler les défauts de notre système de protection sociale dans le traitement des inégalités sociales  ?   

Bonjour,

ce que je voulais dire par-là  c'est  qu' en  faisant  application de la théorie  de Schumpeter consistant en une destruction créatrice de valeur par de l'innovation de rupture (et notamment par le transfert de nouvelles technologies de pointes),  cela ne  va t'il  pas alors avoir pour effet de constituer une croissance séculaire et de causer in fine des inégalités sociales descendantes   du fait du  déclassement social par l'innovation de rupture ? L'internationalisations  de plus en plus accrue  des échanges en capitaux économiques et financiers ne participe-telle pas à  accroitre le  chômage de masse dans nos  sociétés occidentales ? Ou, la transition économique par le productivisme de l'économie de production des pays émergents est-elle trop  interdépendante avec  l'économie de l'innovation  des pays occidentaux pour que ceux-ci perdent leur souveraineté  économique et financière au sein de la Communauté internationale? Dès lors, faut-il un  traitement  du  chômage de masse non pas régalien par une politique de précarisation du  retour à l'emploi mais cogérer par des organisations paritaires privées  ? Quand est-t'il de l'accès à la propriété du foncier ? De l'épargne salariale d'investissements durables et solidaires ? Du salariat sociétaire ?  ou enfin  de réseaux de mutualisation des moyens de production durable à circuits-cours ? De l'apprentissage en alternance de fidélisation en entreprise ? Des réseaux de franchises mixtes en micro-trading de financement par forte capitalisation  de projet  d'entreprenariat d'engagement citoyen   ? Voir de la sélectivité de valeurs obligataires des licornes de demain organisées  en coopératives de mutualisation ? Suffisent-telle dès lors à endiguer le problème notamment par des facteurs endogènes

Merci de me répondre !

cordialement   

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Membre, Posté(e)
pluc89 Membre 11 191 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Répondre, je veux bien, mais les réponses ne sont-elles sous-jacentes à la question ?

Je reste cependant pantois devant un tel déversement subtil de questions sans réponse à moins que ce ne soit l'inverse du contraire !

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