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remake d'un massacre


Blaquière

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)

 Le "massacre de @Naluue" m'a fait penser que moi aussi j'en avais massacré des élèves ! En espérant vous faire sourire :

 

Remake d’un massacre

 

Mais voici qu’à présent, Je qui n’avait toujours rien demandé à personne, se retrouvait dans la peau de ce forcené entré tout exprès dans une école écossaise, mitraillette à la main, histoire d’y massacrer une quinzaine d’enfants et leur institutrice...

LE CHŒUR :

Je Humble est un miroir

où le monde entier se reflète...

avec admiration !

 

Il traversait l’allée centrale de la classe regorgeante d’élèves...

Mais c’est l’institutrice qui se rut sur lui !

Qu’elle faisait gamine, cette institutrice-là ! Jeune, jolie, blonde aux cheveux shetland, bouclés, pas très longs, les cheveux, mais très grande la fille, et aux joues rondes et roses et potelés ses bras. Portait un T-shirt jaune, moulant, un pantalon fleuri, ample, de tissus fin, sous lequel se laissaient deviner des fesses rondes frémissantes, juvéniles et pourtant déjà presque lourdes de femme...

Sous l’assaut incongru, Je reflua vers l’angle de la salle près du bureau du maître en signe de protection (ou de protestation). Mais la Miss, l’empoigna soudain à corps et à cri (ce qui était NORMAL dans l’exercice de ses fonctions d’institutrice)...

Et Je la repoussait du mieux qu’il le pouvait, inventant à l’occasion de bonnes raisons très embrouillées pour la calmer. Lui disant par exemple que Elle, sa femme, assise là devant, en manière d’élève, était elle aussi très jalouse... Et n’en voulant pour preuve, que les scènes qu’elle avait pu lui faire jadis, lorsqu’il s’attardait près de l’institutrice — elle-même — après la classe, bien qu’il y fût contraint, à son cor défendu, dans le cadre très strict de ses fonctions officielles... et qu’elle (Elle) eût donc dû s’en accommoder...

L’argument fit reculer d’un pas l’institutrice qui n’avait peut-être pas l’habitude de tripoter un élu de la Nation, fût-il ex...

Pourtant, en dépit du remue-ménage en jeu dans cette affaire, Elle qui se trouvait affectivement dans la classe, ne s’était aperçue de rien !...

Dont Je regretta de ne pas en avoir profité davantage. Tant était douce et agréable cette fraîcheur des joues tout contre lui brûlant, et cette brusquerie des bras d’institutrice, aimablement persécutrice qui le forçaient, lui, forcené.

 

LE CHŒUR :

Quel que soit de sa chute, le point d’origine,

Je Humble, retombe sur ses désirs...

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)

"A son cor défendu"

Je m'explique ! C'est un allusion à une célèbre controverse largement grivoise, du temps des troubadours (XI-XII ème siècles) où il était question de savoir s'il était ou non licite, acceptable, MORAL, de souffler dans le "cor" d'une femme!... Je vous laisse deviner ce qu'était sensé être le "cor" (sonore) en question.... La "Chanson de Roland" et son cor (d’olifant) étaient déjà loin....

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