Poemes de forumeurs

Qui' en bon Ulysse de banlieue

N'a rien trouvé de mieux

Que gratifier sa Pénélope....

Ha la S...... !

(Rime riche, je développe !)

Ne vous méprenez pas

Et c'est presque un faux pas :

Seulement l'attraction

(Comme un jeu) de la rime

En rien je ne la mésestime :

Leur ordre c'est le goupillon...

Les deux vont maintenant

Poireauter leur vingt ans...

Ne soyons pas trop chiches :

Ulysse oblige !

Un poireau pour le fion direz-vous ?

Ça n'est pas là sa place !

De grâce

Qui d'autre se dévoue ?

S il faut se dévouer

Je suis votre obligée

La tirade des légumes

Et aussitôt l on hume

Dans le fion ou ailleurs

La douce et bonne odeur

De tout ces millions de pognon

Volés et détournés à la nation

Sous couvert d emplois fictifs

Se prenant pour le calife

En nous le mettant dans le derche

D une façon sèche et archiséche

Tout cela sous couvert de son immunité

 Lui permettant de bien cacher

tous ses méfaits bien ordonnés

Nous donnant des leçons de charité

A la messe chaque dimanche

Sous une avalanche

De salutations bien distinguées

De sa part et de sa mémé

Qu il ne pousse pas dans les orties

Mais plutôt à prendre l hostie

Cherchant la bénédiction

De l assemblée de moutons.

Alors que peut être là encore il vise le troncs

esperant soutirer quelques petits biftons

Je n'ai qu'un mot :

Bravo !

Ma rime est pauvre...

Mais méritée !

Mémé-héritée

(Poussé dans les hosties) de la ligne au dessus

(Parfois je me

mélange un peu!)

Chercher la rime à "pauvre" m'a déçu !

Certes le pauvre est peu pansu

Mais à ce point,

qu'il ne rime avec rien...

C'est un coup de massue !

Bien sûr Zola l'a romancé

Et bien d'autres ont recommencé

Mais qui ose le poétiser ?

Sans pour autant traumatiser ?

La si belle société,

Lui arracher quelque pitié ?

Qui a jamais pensé

faire rimer

pauvreté

Et beauté ?

Bien mieux rime "misère"

Avec colère...

Au gel de tes yeux ose s'échouer 
un chrysanthème gercé d'espoir, 
le coeur fané d'un guerrier sans gloires, 
qui de tes lauriers s'est consumé. 

De ton âme, la mienne s'est flétrie 
et mon corps, entier percé des lames 
de l'Amour, se vide de ses drames. 
Bois ! Trempe-toi de ma tragédie ! 

Comme ma passion meurt sous ton pas ! 
Néantisée par les cents poisons, 
brûlant les fleurs de ma déraison, 
depuis tes lèvres jusqu'au trépas. 

Ma folie vassale, versée d'onces 
se délivre, s'avoue à ta vue, 
exhale ses pétales vaincus, 
se lie à ton sein et lui prononce : 

je t'aimais"

Blaquiere m a vraiment bluffée

Quand je l ai entendu chanter

Que de souvenirs sont remontés

C est Brassens qui est venu me bercer

En lui il s est réincarné

Sa voix ne peut que nous enchanter

Les mêmes intonations elle a

C est un plaisir qu on ne néglige pas

Le moustachu avec sa guitare

Et son accent bien à part

Pour mon plaisir a ressuscité

Lorsque Blaquiere a chanté

Et mes oreilles, a régalées

Un moment je me suis retrouvée

Avec Margot, les copains, le cheval blanc,

Savourant mon âme d enfant

Devant l auvergnat qui mourait pour des idées

Devant les sabots d Hélène crottés

Je n ai vraiment qu un mot à dire

Bravo..Big UP à vous messire !!

Il y a 10 heures, sera-angel a dit :

Blaquiere m a vraiment bluffée

Quand je l ai entendu chanter

Que de souvenirs sont remontés

C est Brassens qui est venu me bercer

En lui il s est réincarné

Sa voix ne peut que nous enchanter

Les mêmes intonations elle a

C est un plaisir qu on ne néglige pas

Le moustachu avec sa guitare

Et son accent bien à part

Pour mon plaisir a ressuscité

Lorsque Blaquiere a chanté

Et mes oreilles, a régalées

Un moment je me suis retrouvée

Avec Margot, les copains, le cheval blanc,

Savourant mon âme d enfant

Devant l auvergnat qui mourait pour des idées

Devant les sabots d Hélène crottés

Je n ai vraiment qu un mot à dire

Bravo..Big UP à vous messire !!

 

 

C'est trop gentil, merci !

J'ai fait aussi

une musique pour "le pont Mirabeau"

(C'est si beau!)

Mais j'arrive pas à trouver le bon programme

:Pour l'enregistrer

Et je rame, je rame !

J'en suis tout empêtré !

Dans ma cage

J'enrage

Et tourne en rond...

J'voudrais y mettr' un peu d'violon...

Ou non plutôt du violoncelle !

(Je sais : c'est gros comme ficelle!)

Mais faut ç'qui faut

Pour le pont Mirabeau !

La météo l'avait annoncé, 

il est bien là, et n'a pas arrêté de souffler

son cri ressemble à une complainte

partout il laisse son empreinte

d'un souffle il peut tout balayer 

emportant avec lui ce qu'il a décidé

qu'on l'ait en poupe, ou qu'il décorne les boeufs

le vent est seul à savoir ce qu'il veut

Il va au gré de son vent

logé aux quatre vents

et contre vents et marées

personne ne peut l'arrêter

A mon volet il est venu frapper

cette nuit je l'ai laissé entrer,

Il m'a dit à l'oreille quelques petits secrets

je ne peux les répéter car de suite, il le saurait.

Il m'a remis du vent dans les voiles

je sais maintenant, qu'il n'était pas ma bonne étoile

Qu'il n'avait vraiment rien à écrire sur ma toile

et encore moins à soulever mon voile,

que j'avais bien fait de lui mettre un vent

et de ne pas le laisser entrer dans mon présent.

il y a 15 minutes, sera-angel a dit :

La météo l'avait annoncé, 

il est bien là, et n'a pas arrêté de souffler

son cri ressemble à une complainte

partout il laisse son empreinte

 

d'un souffle il peut tout balayer 

emportant avec lui ce qu'il a décidé

qu'on l'ait en poupe, ou qu'il décorne les boeufs

le vent est seul à savoir ce qu'il veut

 

Il va au gré de son vent

logé aux quatre vents

et contre vents et marées

personne ne peut l'arrêter

 

A mon volet il est venu frapper

cette nuit je l'ai laissé entrer,

Il m'a dit à l'oreille quelques petits secrets

je ne peux les répéter car de suite, il le saurait.

 

Il m'a remis du vent dans les voiles

je sais maintenant, qu'il n'était pas ma bonne étoile

Qu'il n'avait vraiment rien à écrire sur ma toile

et encore moins à soulever mon voile,

que j'avais bien fait de lui mettre un vent

et de ne pas le laisser entrer dans mon présent.

 

On parle, on rime,

On s'escrime

on 'amuse

Mais parfois notre muse

nous concocte un bijou

J'en deviendrais presque jaloux !

"Le vent est seul à savoir ce qu'il veut"

Est l'un d'eux...

Bonsoir formidable forum

Ce début de semaine a t il été encourageant pour tous les hommes ?

J'ose espérer que oui

En tout cas je reste tout ouïe

C'est une lo-gorrhée

Une diarrhée

Verbale

Qui déballe

Que dalle

(Trou d'balle !)

Et qui vient

Qui dit rien

Qui s'arrime

En un rythme

De mots

En grumeaux

Qui derrappe

En grappes

Et sans rime

Ou avec

Arraisonne

Et s'abîme

Impec !

Puis foisonne

Bouillonne

Et bourdonne

Ô neurone !

En cadence

Sans danse

Et va et vient

De chiens

Un rythme

Un hymne 

Vaurien

Qui vaut rien.

Je m'appelle Perrine,

j'aime ma maman

j'aimerai mieux lapine

dans quelques temps.

Dommage qu'elle soit si courte

Même si on dit que ce sont les meilleures 

je reste sur ma faim, je rajouterai un yaourt

Quand on aime on ne compte pas les heures

(à part peut être celles au compteur)

Lettre de George Sand à Alfred de Musset 

Cher ami,
Je suis toute émue de vous dire que j'ai
bien compris l'autre jour que vous aviez
toujours une envie folle de me faire
danser. Je garde le souvenir de votre
baiser et je voudrais bien que ce soit
une preuve que je puisse être aimée
par vous. Je suis prête à montrer mon
affection toute désintéressée et sans cal-
cul, et si vous voulez me voir ainsi
vous dévoiler, sans artifice, mon âme
toute nue, daignez me faire visite,
nous causerons et en amis franchement
je vous prouverai que je suis la femme
sincère, capable de vous offrir l'affection
la plus profonde, comme la plus étroite
amitié, en un mot : la meilleure épouse
dont vous puissiez rêver. Puisque votre
âme est libre, pensez que l'abandon ou je
vis est bien long, bien dur et souvent bien
insupportable. Mon chagrin est trop
gros. Accourrez bien vite et venez me le
faire oublier. À vous je veux me sou-
mettre entièrement.
Votre poupée 

Et maintenant, relire une ligne sur deux en commençant par Je suis toute émue ...

(Avant que mon mari ne soit mon mari, on s'écrivait ainsi , pour le cas où nos parents tomberaient sur nos lettres .. On se donnait un code 1-3 .. ou 1-4  et qu'est ce qu'on se marrait !!!! ils n'y ont jamais vu que du feu .. et trouvaient qu'on s'était bien trouvé, tous les deux de grands poètes mdrrrrrrrrrrr)

Il y a 9 heures, sera-angel a dit :

Dommage qu'elle soit si courte

Même si on dit que ce sont les meilleures 

je reste sur ma faim, je rajouterai un yaourt

Quand on aime on ne compte pas les heures

(à part peut être celles au compteur)

 

Lettre de George Sand à Alfred de Musset 

Cher ami,
Je suis toute émue de vous dire que j'ai
bien compris l'autre jour que vous aviez
toujours une envie folle de me faire
danser. Je garde le souvenir de votre
baiser et je voudrais bien que ce soit
une preuve que je puisse être aimée
par vous. Je suis prête à montrer mon
affection toute désintéressée et sans cal-
cul, et si vous voulez me voir ainsi
vous dévoiler, sans artifice, mon âme
toute nue, daignez me faire visite,
nous causerons et en amis franchement
je vous prouverai que je suis la femme
sincère, capable de vous offrir l'affection
la plus profonde, comme la plus étroite
amitié, en un mot : la meilleure épouse
dont vous puissiez rêver. Puisque votre
âme est libre, pensez que l'abandon ou je
vis est bien long, bien dur et souvent bien
insupportable. Mon chagrin est trop
gros. Accourrez bien vite et venez me le
faire oublier. À vous je veux me sou-
mettre entièrement.
Votre poupée 

Et maintenant, relire une ligne sur deux en commençant par Je suis toute émue ...

(Avant que mon mari ne soit mon mari, on s'écrivait ainsi , pour le cas où nos parents tomberaient sur nos lettres .. On se donnait un code 1-3 .. ou 1-4  et qu'est ce qu'on se marrait !!!! ils n'y ont jamais vu que du feu .. et trouvaient qu'on s'était bien trouvé, tous les deux de grands poètes mdrrrrrrrrrrr)

J'A-DO-RE

Je connais celle-ci aussi :

De de Musset à Sand :

Quand je mets à vos pieds un éternel hommage,

Voulez-vous qu'un instant je change de visage ?

Vous avez capturé les sentiments d'un cœur

Que pour vous adorer forma le créateur.

Je vous chéris, amour, et ma plume en délire

Couche sur le papier ce que je n'ose dire.

Avec soin de mes vers lisez les premiers mots,

Vous saurez quel remède apporter à mes maux.

De Sand à de Musset :

Cette indigne faveur que vôtre esprit réclame

Nuit à mes sentiments et répugne mon âme.

Ma foi

On pourrait bien

Nous traiter de pervers

Toi,

Réponds ce qui te vient

Et relis-moi à l'envers

Mi-figue mi-raisin

On me dit un pantin

Ici, je me demande

Tout ce que tu recelles

Ou me caches

Nul ne peut me le dire

Certes tu es très belle

Une jalouse qui se fâche :

L'on ne pourrait souhaiter pire !

Il y a 2 heures, Blaquière a dit :

Ma foi

On pourrait bien

Nous traiter de pervers

Toi,

Réponds ce qui te vient

Et relis-moi à l'envers

Mi-figue mi-raisin

On me dit un pantin

Ici, je me demande

Tout ce que tu recelles

Ou me caches

Nul ne peut me le dire

Certes tu es très belle

Une jalouse qui se fâche :

L'on ne pourrait souhaiter pire !

 

J'aime toujours lire vos rimes ambitieuses ;

Les dégustant mon âme hurle « délicieuses ».

Plans sur la comète, je veux imaginer

À qui vous ressemblez, mais je dois butiner

Plusieurs fleurs se voulant repu telle une abeille

Alors racontez-moi toutes vos merveilles,

Venez lire mes premiers mots innocents pour

Jouir des plaisirs nobles de la langue en un tour.

Si jeune et déjà si dévergondé,

Tel est le mal aujourd'hui, de notre société

est ce à tes aînés que tu dois ces tournures ?

Ton âme était si pure

Plaisir, ah plaisirs partagés !

Je n'ose imaginer ce que cela va donner

Ne sois pas si gourmand et encore moins pressé

Saurais je par mes mots, enfin te calmer ?

refuser de te faire tomber dans le piège infernal

de la poésie érotique et pas des moins banales

te laissant imaginer dans ta chambre d'enfant

l'accorder avec tes rêves, du haut de tes 16 ans ? 

P.S : Mozart aussi, en tant que précurseur du SMS, avait inventé un langage , il exprimait des mots en lettres .. G A C O B I A L (j'ai assez obéi à elle) .. et parlait ainsi à sa soeur .

Insinuante, presque obsédante, tu me prends comme la feuille prend l'automne.

Tu es en moi et tu t'imisces, tu es malice tu es caprice

Et malgré moi je sens que tu t'introduis tu me possède de l' empreinte de tes doigts ...en moi

Tu n'es pas moi !Tu me bouscules ! Sors de mon corps !

Tu ensemences, tu m'éclabousses, j'ai un frisson cette peur aux trousses

Je te conjure tu es abject, je te vomis tu es une gerbe et je te vois, cette flaque au sol

Tu es donc là après l'envol ? toi mon chagrin,  ce doux matin et toi par terre...toi qui m'a quitté ...tu étales...ta promesse de retour.

Tu m'as quitté, mais tu es là... je te connais ...toi que je fuis, toi... ma nausée...

- Poème dédicacé à Spasfon -

il y a une heure, zenalpha a dit :

Insinuante, presque obsédante, tu me prends comme la feuille prend l'automne.

Tu es en moi et tu t'imisces, tu es malice tu es caprice

Et malgré moi je sens que tu t'introduis tu me possède de l' empreinte de tes doigts ...en moi

Tu n'es pas moi !Tu me bouscules ! Sors de mon corps !

Tu ensemences, tu m'éclabousses, j'ai un frisson cette peur aux trousses

Je te conjure tu es abject, je te vomis tu es une gerbe et je te vois, cette flaque au sol

Tu es donc là après l'envol ? toi mon chagrin,  ce doux matin et toi par terre...toi qui m'a quitté ...tu étales...ta promesse de retour.

Tu m'as quitté, mais tu es là... je te connais ...toi que je fuis, toi... ma nausée...

- Poème dédicacé à Spasfon -

Mon esprit s'est barré :

Je m'étais égaré

Je ne sais trop sous quel prétexe

Dans une histoire de... SEXE !

La dédicace m'a remis sur la voie...

D'un problème de foie !

Depuis ces quelques jours

Qu'avec bien des détours

On se parle en rimant

Je constate que oui

La rime est un aimant

Du sens épanoui.

Et l'on finit toujours par reconstruire

Ce qu'on ne savait pas qu'on voulait dire !...

il y a 52 minutes, Blaquière a dit :

Depuis ces quelques jours

Qu'avec bien des détours

On se parle en rimant

Je constate que oui

La rime est un aimant

Du sens épanoui.

Et l'on finit toujours par reconstruire

Ce qu'on ne savait pas qu'on voulait dire !...

J'ai toujours pensé que la poésie,

pourrait être en soi, comme une vraie thérapie,

Elle nous permettrait de dire facilement

tout ce qui en nous, reste en suspens

ce que l'on n'ose exprimer

en simples mots, difficiles à tourner

semble couler de source, sans ambiguïté

lorsqu'en vers, on en vient à s'exprimer,

pas de gène, de mystère, pas de faux semblants

les vers facilement expriment ce que l'on ressent

C'est comme si c'était naturel 

peut être même un chant qui nous rappelle

que nous parlions ainsi d'antan

sans nous poser de questions, un peu comme des enfants.