Poemes de forumeurs

Parlons donc en vers,

sirotant une bonne bière

n'allons pas jeter la pierre

à quelqu'un déjà à terre, 

derrière nous est l'hiver

devant nous les barrières

que les gilets jaunes dressent, lorsqu'ils errent

dans les rues de Paris en guerre.

Nous sommes seuls à nous empêcher d'être heureux

tout autant que joyeux,

cessons de nous prendre pour des moutons, soyons des Dieux

 il nous reste les urnes et nos yeux

pour pleurer et comprendre mieux

que la vraie misère... c'est EUX !

P.S : Si on ne peut plus parler de s** il nous reste la politique , c'est bien connu que ça va toujours par deux  

Toutes ces suggestions

troublent ma digestion

Et si ma rime est riche

dans le réel je triche !

Mettre la barre haut ? En serai-je capable ?

J'ai beau faire le beau, je ne suis qu'un beau Diable...

Mais qui donc est à terre ?

Cette idée-là m'atterre...

Tu es "bêle"

Ô mouton !

Je me pèle

Le jonc !

L'hiver n'est pas fini

Et le froid infini...

il y a 10 minutes, Blaquière a dit :

Toutes ces suggestions

troublent ma digestion

Et si ma rime est riche

dans le réel je triche !

Mettre la barre haut ? En serai-je capable ?

J'ai beau faire le beau, je ne suis qu'un beau Diable...

Mettre la barre haut ? 

ou Maître du barreau ?

voilà donc un dilemne 

qui me met dans la peine

Pourquoi faut il toujours choisir

l'un ne va pas sans l'autre, cela va sans dire

mais de là à me priver, de tous mes désirs

je vais être frustrée à force, pour finir !

Elle est ici 

"La vieille"

comme hier comme demain 

Elle est bien seule

"La vieille"

Personne ne pense à elle

"La vieille"

Elle pourrait bien mourir demain

"La vieille"

qui sera là pour lui tenir la main 

À  "La vieille"

Elle n'est plus là 

"La vieille" 

Elle est morte la veille

"La vieille".

Il y a 1 heure, sera-angel a dit :

Il vaudrait mieux changer vite de thème,

pour ne pas inciter certains au blasphème,

ceux qui sur moi, voudraient jeter l'anathème

partant dans des délires extrêmes

 

Parlons donc de la pluie, du beau temps

de tous ces trucs abêtissants 

qu'adorent tous les moutons bêlants

crachant leur haine et accouchant

ici et là , de faits accablants

me laissant un goût gerbant

 

Il fait si beau aujourd'hui,

oublié tous ces jours de pluie,

de reproches et d'ennui,

apprécions juste d'être en vie

allez , allez ami ou ennemi ... jouis !!!!!!!!!

 

 

 

 

Ecellent! j'adore!!

Merci Cry , c'est gentil ! ça ne te donne pas envie de t'y mettre ?

Ce chien doit être tenu en laisse,

Je vais devoir m'en plaindre à sa maîtresse,

si elle ne sait comment le gérer, 

ce n'est pas une raison pour qu'il vienne sans cesse me renifler.

Mon derrière se porte au mieux 

et n'a pas besoin d'un curieux

sans cesse à ces trousses

parcourant toute la cambrousse

Un chien est censé être fidèle

s'il est bien et satisfait d'elle

sa maîtresse ne le soigne peut être pas bien 

pour qu'il se cherche un autre arrière train

Obsession
Tu tournes en boucle
Nous sommes en couple
À en rire
À te lire
Au spectacle
Au pinacle

Oui, oui, j'ouïs votre appel !

Et je joue ici même

A qui m'aime...

En charnel ?

J'arrache vos dentelles !

Corporel ?

Une tarte à la crème...

Ou en spirituel ?

Un poème :

Un dilemme

C'est du conflictuel

En sado ? c'est cruel !

je dis non aux oedèmes !

A l'hôtel ?

Le pire stratagème !

Au flûteau, ménestrel ?

Artiste ? La bohème !

Sur la Tour de Babel ?

Je Blasphème !

Non je ne compte pas quand j'aime :

Mon défaut, c'est d'aimer à la pelle...

Peine perdue

Tout est su

Tout est lu

Tout est vu

Depuis le début

J'ai trop bu :

Me voilà au rebut !

...

Et pendant que vous aimiez à la pelle

moi j'envoyais un mail

car il faut qu'elle sache 

ce que fait cette tache,

C'est tout en votre honneur que de ne pas compter

d'autant plus qu'à la fin, il va rien nous rester

Autant imaginer que nos poches sont pleines

ainsi que tous nos bas de laine,

c'est tout ce qu'ils n'auront pas

ces vils scélérats !

Mayday Mayday

Obtus et têtu

Je répète

Tout est su

Tout lu

Tout est vu

Depuis le début

Je vous suis : c'est les rats

Scélerats ?

Qui grignotent la laine

Et vos doux bas de soie

J'ai la haine

J'abois !

Mais ma poche est trouée

Sans le sou ! Et vous voilà flouée..

Quand on jette de l'huile sur le feu 

On finit rarement vieux

on se brûle souvent soi même

usant de tous ces stratagèmes,

à l’instant, Blaquière a dit :

Je vous suis : c'est les rats

Scélerats ?

Qui grignotent la laine

Et vos doux bas de soie

J'ai la haine

J'abois !

Mais ma poche est trouée

Sans le sou ! Et vous voilà flouée..

Au diable les varices

vous voilà sauvé

grâce à ma grande malice

vos poches j'ai raccommodé 

Au fond,  j'y ai trouvé 

bien plus qu'un mouchoir

vous m'avez arnaquée

vous pouvez bien crier Victoire !

il y a 5 minutes, sera-angel a dit :

Quand on jette de l'huile sur le feu 

On finit rarement vieux

on se brûle souvent soi même

usant de tous ces stratagèmes,

 

 

 

Au diable les varices

vous voilà sauvé

grâce à ma grande malice

vos poches j'ai raccommodé 

 

Au fond,  j'y ai trouvé 

bien plus qu'un mouchoir

vous m'avez arnaquée

vous pouvez bien crier Victoire !

 

Qu'avez-vous donc trouvé

Par ma poche trouée ?

il y a 1 minute, Blaquière a dit :

Qu'avez-vous donc trouvé

Par ma poche trouée ?

Ah ça vous intéresse 

Mais on a décidé de ne plus parler de fesse  

Alors tout va bien, vous n'avez rien à craindre,

et aucune raison qu'elle se mette à geindre,

vous ne serez pas fessé

pas plus que réprimandé,

vous avez donc l'esprit tranquille

et encore en poche, toutes vos billes,

J'avais peur, soudain d'avoir fait une erreur

en envoyant ce mail toute à l'heure,

me voilà bien soulagée 

et une bonne soirée vous souhaite de passer 

Mon gilet jaune

J'enfile

Au boulot

je file

Prolo fluo 

Pas beau

À la niche

La semaine

À la pleurniche

Le week-end

Je crois que je vous ai bien eu !

Ma tactique est d'un escrimeur :

Je mime le gars abattu

Le gars qui n'est qu'un amateur/

Là, l'adversaire

N'a plus peur !

Et du tout ne se méfie plus...

Puis devient par trop téméraire

Je suis bien le roi des bluffeurs

feignant celui qui n'en peut plus

Et je glisse mon estocade

En son cœur qui bat la chamade

Et elle tombe en pâmoison...

Moi ? Là, je la comble à foison !...