Financement de la transition écologique

Une partie complémentaire au financement public qui se fait déjà pourrait être privée. La collecte se ferait par le biais de sociétés d'investissement destinées à la collecte de fonds privés consacrés au financement de la transition écologique, les SOFITES*, Société Financière d’Investissement pour la Transition Ecologique, calquées sur le modèles des SOFICA qui ont fait leurs preuves dans le domaine du cinéma et de l’audiovisuel. Les contribuables ayant investi dans ces SOFITES bénéficieraient en contrepartie d’un crédit d’impôt. Les modalités seraient adaptées pour permettre au plus grand nombre de pouvoir y accéder : seuils d’investissement faibles, crédit d’impôt attractif, … Il y a environ 38 millions de contribuables. A raison d’un seuil minimum de 120 € par contribuables (10 € par mois, le prix bientôt d’un paquet de cigarettes) cela ferait près de 4 milliards et demi d’euros. Or la contrepartie étant un crédit d’impôt remboursable à ceux qui ne sont pas imposables, on peut penser que même des foyers non imposables participent à ce financement. Par ailleurs, bon nombre des personnes soumises à l’IR ne se contenteront pas de ce minimum.

Les fonds récoltés seraient utilisés sous différentes formes : participation au capital de sociétés développant des moyens de production d’énergie renouvelable ou de recherche dans ce domaine, prêts à long terme à taux faible, voire à taux zéro.

Le contribuable pourrait choisir le mode de l’aide apportée : participation au capital ou prêt. Le taux du crédit d’impôt serait différent selon le type d’aide choisie : plus élevé pour la participation au capital du fait de la prise de risque que pour le prêt... Il pourrait aussi choisir le type de projet (éolien, photovoltaïque, thermodynamique,  production centralisée ou individuelle, autres sources, autres solutions). Ce choix n’aurait aucune incidence sur le taux.

Les buts de la transition écologique ne sont pas … qu’écologique. Ils sont aussi économiques, politiques et militaires :

-Économique, réduire les importations de pétrole coûteuses dont le prix ne peut qu’augmenter à terme.

-Politique, pour gagner en indépendance vis-à-vis des pays fournisseurs.

-Militaires, supprimer les cibles que constituent nos centrales nucléaires, favoriser la diversification des sources de production, les répartir sur tout le territoire, voire les individualiser au maximum, donc difficiles à neutraliser.

*Il faut peut-être trouver un autre acronyme utilisant les mots « solidaires », « participatifs », « collaboratifs », « collectifs » et se terminant par « ing ». Là vous serez assurés du succès !

Le Fourming.

il y a une heure, pluc89 a dit :

Une partie complémentaire au financement public qui se fait déjà pourrait être privée. La collecte se ferait par le biais de sociétés d'investissement destinées à la collecte de fonds privés consacrés au financement de la transition écologique, les SOFITES*, Société Financière d’Investissement pour la Transition Ecologique, calquées sur le modèles des SOFICA qui ont fait leurs preuves dans le domaine du cinéma et de l’audiovisuel. Les contribuables ayant investi dans ces SOFITES bénéficieraient en contrepartie d’un crédit d’impôt. Les modalités seraient adaptées pour permettre au plus grand nombre de pouvoir y accéder : seuils d’investissement faibles, crédit d’impôt attractif, … Il y a environ 38 millions de contribuables. A raison d’un seuil minimum de 120 € par contribuables (10 € par mois, le prix bientôt d’un paquet de cigarettes) cela ferait près de 4 milliards et demi d’euros. Or la contrepartie étant un crédit d’impôt remboursable à ceux qui ne sont pas imposables, on peut penser que même des foyers non imposables participent à ce financement. Par ailleurs, bon nombre des personnes soumises à l’IR ne se contenteront pas de ce minimum.

 

Les fonds récoltés seraient utilisés sous différentes formes : participation au capital de sociétés développant des moyens de production d’énergie renouvelable ou de recherche dans ce domaine, prêts à long terme à taux faible, voire à taux zéro.

 

Le contribuable pourrait choisir le mode de l’aide apportée : participation au capital ou prêt. Le taux du crédit d’impôt serait différent selon le type d’aide choisie : plus élevé pour la participation au capital du fait de la prise de risque que pour le prêt... Il pourrait aussi choisir le type de projet (éolien, photovoltaïque, thermodynamique,  production centralisée ou individuelle, autres sources, autres solutions). Ce choix n’aurait aucune incidence sur le taux.

 

Les buts de la transition écologique ne sont pas … qu’écologique. Ils sont aussi économiques, politiques et militaires :

 

-Économique, réduire les importations de pétrole coûteuses dont le prix ne peut qu’augmenter à terme.

 

-Politique, pour gagner en indépendance vis-à-vis des pays fournisseurs.

 

-Militaires, supprimer les cibles que constituent nos centrales nucléaires, favoriser la diversification des sources de production, les répartir sur tout le territoire, voire les individualiser au maximum, donc difficiles à neutraliser.

 

 

 

*Il faut peut-être trouver un autre acronyme utilisant les mots « solidaires », « participatifs », « collaboratifs », « collectifs » et se terminant par « ing ». Là vous serez assurés du succès !

 

C'est quoi cette connerie ? ça suffit pas se faire niquer par l'Etat on devrait se faire enculing par les écolos maintenant ?

Il y a 2 heures, Talon 1 a dit :

Le Fourming.

Demandez à votre conseiller fiscal préféré ou même seulement à votre conseiller bancaire

il y a une heure, elbaid a dit :

C'est quoi cette connerie ? ça suffit pas se faire niquer par l'Etat on devrait se faire enculing par les écolos maintenant ?

Vous n'avez visiblement pas lu. Et si vous avez lu, c'est pire. Vous n'avez rien compris. C'est un moyen de se faire moins "niquer" par l'état.

Mais il est vrai que ma proposition s'adresse à ceux qui ont un minimum de culture économique et fiscale.

il y a 28 minutes, pluc89 a dit :

Demandez à votre conseiller fiscal préféré ou même seulement à votre conseiller bancaire

 

Vous n'avez visiblement pas lu. Et si vous avez lu, c'est pire. Vous n'avez rien compris. C'est un moyen de se faire moins "niquer" par l'état.

Mais il est vrai que ma proposition s'adresse à ceux qui ont un minimum de culture économique et fiscale.

c'est cela oui  

tu peux déjà me sortir de tes 38 millions de contribuable ça m'intéresse pas ta niche fiscale de merde .

Il y a 3 heures, elbaid a dit :

tu peux déjà me sortir de tes 38 millions de contribuable ça m'intéresse pas ta niche fiscale de merde .

A propos de niche fiscal de merde, j'en ai une autre. Il y a déjà 66.67 % de français qui en profite sans rien dire. J'en suis. Et, comme je suis généreux, et pas rancunier pour deux sous avec les auteurs de grossièreté,  je partage avec vous. A moins que vous ne fassiez des 66 % de petits malins qui profitent déjà de la chose. Une économie de taxe de 1 861.50 € par an, pour tous, imposables ou pas, en moyenne. En moyenne, car nous ne sommes égaux devant la fiscalité. Ce sera plus pour les uns et moins pour d'autres, indépendamment de leur niveau de fortune ou de revenu.

Pour les 33.33 % qui restent, il leur suffira d'arrêter de fumer ! Environ 1/3 des français fument en moyenne 15 cigarettes par jours. Ils paient en moyenne 1 861.50 € de taxe et à raison de 8.50 € le paquet, toujours en moyenne, ce qui leur feraient de plus une économie totale de 2 326.86 € soit une amélioration de leur pouvoir d'achat de 193.91 € par mois, qu'ils soient au RSA ou ex-redevables de l'ISF.

CQFD

il y a aussi les mangeur de fraise tagada , ils pourraient se passer de tagada quand même , ça ferait des économies et ainsi financer la transition écologique   ,  écoute , le mieux pour faire simple , on vous donne notre argent et vous gérez ce qu'on mange ce qu'on boit  ce qu'on fume  ce qu'on fait et ne fait pas etc etc 

Si encore cela servirait à quelque chose, mais regardez depuis le temps qu'on nous en parle rien n'est fait. Puis que la France cela sert à rien puisque c'est absolument tout les pays qui doivent se bouger. Donc je n'y crois pas et pense qu'une fois de plus c'est une histoire de prendre l'argent comme cela a souvent était le cas sans que soit réalisé le bute pour laquelle cela avait été mis en place comme la vignette,...

Il y a 8 heures, williams a dit :

c'est absolument tout les pays qui doivent se bouger.

Tout à fait d'accord, mais si chacun attend l'autre, personne ne bouge. Il en faut bien un premier?

J'ai pris l'exemple des SOFICA car c'est une des raisons du succès du cinéma français dans le monde. Ce mode de financement permet aux créateurs de films français de s'exprimer, de créer et de s'exporter* !

Alors pourquoi pas s'en inspirer pour financer la transition écologique ?

(*Salué pour son esthétisme, son émotion et son intelligence, le cinéma français est le plus apprécié dans le monde après les productions américaines et avant le cinéma britannique, selon une étude Opinionway réalisée dans quatorze pays pour UniFrance.)