La maltraitance des enfants pourrait bien laisser des traces sur l'ADN

Des travaux de psychologues ont déjà montré qu'une personne qui a souffert d'abus physiques, psychologiques ou sexuels pendant l'enfance risque de souffrir de nombreuses conséquences à l'âge adulte, qui s'apparentent au syndrome de stress post-traumatique: anxiété, évitement, insomnie, hyperactivité, etc. Une nouvelle étude conjointe de l'université canadienne de Colombie britannique et d'Harvard indique que les adultes pourraient bien porter les traces des sévices subis pendant l'enfance jusque dans leurs cellules ADN via un marqueur biochimique détectable des années plus tard.

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Il y en a marre ! Pourrait ou peut ?

"Chers amis astronautes; il se pourrait bien que vous reveniez vivants de votre expédition."

"Patron; il se pourrait bien que je vous rende un travail ne comportant aucune erreur majeure tout au long de cette nouvelle année". 

Le 20/01/2019 à 17:39, pila a dit :

Il y en a marre ! Pourrait ou peut ?

 

Vous préférez un conditionnel honnête ou un indicatif malhonnête?
On n'avance que comme ça ; avec des hypothèses. qu'il faut vérifier.

Le problème n’est pas le conditionnel, il est de rendre publiques toutes les étapes d'une recherche.

Il y a 5 heures, chanou 34 a dit :

Vous préférez un conditionnel honnête ou un indicatif malhonnête?
On n'avance que comme ça ; avec des hypothèses. qu'il faut vérifier.

Le problème n’est pas le conditionnel, il est de rendre publiques toutes les étapes d'une recherche.

Il se pourrait bien que vous ayez raison. Ou tort.